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ps - Page 64

  • Héritiers de l’avenir : Élisabeth Guigou

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Élisabeth Guigou, ancienne ministre, ancienne députée, interrogée par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Élisabeth Guigou est la première femme nommée à un ministère régalien en France quand elle devient en 1997 Garde des sceaux, ministre de la Justice, dans le gouvernement de Lionel Jospin. Elle revient dans cet entretien pour la Fondation sur son parcours personnel et militant. De son adolescence au Maroc à son adhésion à la Convention des institutions républicaines, puis au Parti socialiste après 1971, elle aborde ses engagements, convaincue du projet politique incarné par François Mitterrand. En 1981, elle intègre le cabinet de Jacques Delors, alors ministre de l’Économie et des Finances, puis devient conseillère à l’Élysée en 1982 sur les questions économiques, puis elle suivra étroitement les questions européennes pour le chef de l’État à différentes fonctions. En 1992, elle mène son premier combat électoral aux élections régionales, puis devient députée européenne en 1994, députée en 1997, et de 2002 à 2017.

  • Loïg Chesnais-Girard : "Vous êtes intransigeants sur le fond "

    Les candidats du second tour des elections régionales en Bretagne s'affrontaient lors d'un débat organisé par Public sénat, TV Rennes et Ouest France mercredi 23 juin 2021. 

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  • Héritiers de l’avenir : Jean-Paul Planchou

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Jean-Paul Planchou, ancien député, ancien vice-président de la région Île-de-France, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Jean-Paul Planchou adhère au Parti socialiste en 1972, après le congrès de l'unité d'Épinay un an auparavant, dans le sillage de Pierre Joxe. Membre actif du courant de Jean-Pierre Chevènement dès 1973, le CERES, il revient sur l'importance et la particularité des courants, constitutifs du Parti socialiste des années 1970. Les années 1970 sont aussi marquées pour lui par les sections d'entreprise, près d'un tiers des militants de Paris alors en faisait partie. Il devient premier fédéral de la Fédération socialiste de Paris. Il retrace dans cet entretien sur son parcours, et analyse le débat européen au sein du PS dans les années 1980 et 1990, débat qui a entraîné sa rupture avec le courant de Jean-Pierre Chevènement. Il s'implante en Seine-et-Marne en 1988, et devient ultérieurement maire de Chelles et conseiller régional. Il revient longuement sur la gauche et la décentralisation dans la dernière partie de cet entretien.

  • Héritiers de l’avenir : Michel Charzat

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Michel Charzat, ancien député, ancien sénateur, ancien maire du 20e arrondissement de Paris, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Michel Charzat revient sur son parcours militant, depuis sa participation à la campagne de François Mitterrand de 1965 à ses différents mandats parisiens. Il adhère à la SFIO en 1968, et milite notamment au CERES avec Georges Sarre à Paris. Il revient sur les dynamiques qui ont conduit au congrès de l'unité des socialistes à Épinay en juin 1971, et sur les mois qui ont suivi Cité Malesherbes, où il devient un jeune permanent, travaillant aux cotés de Georges Sarre en charge de la propagande et de l'animation du parti maintenant dirigé par François Mitterrand. Son témoignage permet de comprendre les ressorts du dynamisme qui accompagne le Parti socialiste durant ces années de reconstruction, de congrès en congrès. Il aborde ensuite sa fidélité à Jean-Pierre Chevènement, qui, avec d'autres membres de son courant Socialisme et République, s'interrompt au début des années 1990. Il est chargé par Pierre Mauroy de conduire les réflexions en vue de refonder la doctrine du Parti socialiste, réflexions qui aboutissent au congrès du Projet à l'Arche en décembre 1991.

  • Zap Parlementaire | Semaine du 14.06

    Pour le Zap de cette semaine, nouveau format ! Nous avons désormais inclus les réponses du gouvernement après les questions de nos parlementaires. Laissez-nous un commentaire pour nous dire ce que vous en pensez, et si vous l'aimez, un petit pouce en l'air ! ☺️ Cette semaine, les député·e·s ont posé les questions suivantes au gouvernement : - Jean-Louis Bricout sur l'Allocation Adulte Handicapé - Chantal Jourdan sur le remboursement des soins psychologiques - Cécile Untermaier sur les féminicides en France Les sénateurs et sénatrices à avoir posé une question au gouvernement sont : - Michelle Meunier sur la situation de l'hôpital public - Joël Bigot sur l'action de la France dans la lutte contre le réchauffement climatique - Jean-Claude Tissot sur le Ségur de la santé

  • Héritiers de l’avenir : Henri Nallet

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Henri Nallet, ancien ministre, président de la Fondation Jean-Jaurès, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Henri Nallet devient conseiller technique de François Mitterrand en juillet 1981, chargé des questions agricoles, des problèmes communautaires et de la pêche. Il n'est pas alors adhérent du Parti socialiste, actif dans les années 1960 dans les mouvements de jeunesse, dont la JEC, puis plutôt proche dans les années 1970 des combats pour le tiers-monde. Proche de Pierre Joxe, il rejoint ainsi l'entourage du candidat socialiste pour son expertise sur les sujets agricoles. En 1985, il devient ministre de l'Agriculture. En 1988, il est trésorier de la campagne de François Mitterrand, et il sera tour à tour ministre de l'Agriculture et Garde des sceaux, ministre de la Justice dans les gouvernements de Michel Rocard et d'Édith Cresson, faisant adopter notamment les lois de financements des partis politiques. Parallèlement, il adhère au Parti socialiste et s'implante dans l'Yonne. Il aborde à la fin de l'entretien son attachement à l'idée européenne.

  • Slate - Le congrès d'Épinay, cinquante ans d'une leçon de politique oubliée, Gaël Brustier

    Entrée dans une période qui ressemble à un crépuscule, la gauche française rêve tout haut d'un «nouvel Épinay». Un songe qui fait l'impasse sur la signification politique du congrès de 1971.

    Épinay reste une référence dans notre histoire politique contemporaine, mais la signification du congrès fondateur du Parti socialiste (PS) est largement oubliée ou passée sous silence aujourd'hui.

    La vulgate militante relative au congrès d'Épinay réduit l'événement à un récit simpliste, ôtant toute signification historique au congrès de ce qui était encore le Nouveau Parti socialiste (NPS) d'Alain Savary. En effet, l'imaginaire résiduel des gauches tend à borner Épinay à l'annonce faite aux socialistes par François Mitterrand de leur victoire prochaine, et à la sublime habileté qui aurait été la sienne.

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  • L'arrière-cour - Régionales : Najat Vallaud-Belkacem la joue comme Biden

    Conseillère régionale et vice-présidente adjointe à la culture sous Jean-Jack Queyranne, conseillère générale du Rhône, adjointe à la mairie de Lyon, porte-parole de Ségolène Royal, ministre des Droits des femmes et de l’Éducation sous François Hollande… Les rouages, Najat Vallaud-Belkacem les connaît, et la Région, elle sait comment elle fonctionne. On « ne la [lui] fait pas », c’est elle-même qui le dit. Alors, après une pause « pour prendre du recul en politique », la candidate tête de liste du Parti socialiste se relance dans le match, bien décidée à reprendre la Région à un Laurent Wauquiez « scandaleux et catastrophique ». Avec des envies américaines à la Biden, elle se dit prête à mettre dehors un « mini-Trump » et son « système qui ne fonctionne plus ». Enquête et entretien signés Romane Guigue et illustrés par Jibé.

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  • La Croix - Élections Régionales : dans les Hauts-de-France, un fragile laboratoire de l’union de la gauche

    Les gauches ont scellé un accord unique en France, derrière la tête de liste écologiste Karima Delli, pour reprendre une place dans l’hémicycle du conseil régional. Cette union EELV-PS-PCF-LFI n’a guère de chance d’être dupliquée pour soutenir un candidat commun à l’élection présidentielle en 2022.

    « C’est fait ! clamait le communiqué publié le 11 mars. Nous, Europe Écologie-Les Verts, France insoumise, Parti socialiste et Parti communiste français, faisons union pour les élections régionales » dans les Hauts-de-France (1). Tous se rangeaient alors derrière la tête de liste écologiste, la députée européenne Karima Delli, 42 ans, qui a grandi à Tourcoing.

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