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ps - Page 68

  • France Info - La socialiste Carole Delga élue pour trois ans à la tête des Régions de France

    La présidente de la région Occitanie succède au LR Renaud Muselier. La droite récupérera cependant ce poste dans trois ans.

    La socialiste Carole Delga a été élue vendredi 9 juillet présidente des Régions de France, l'institution qui représente les régions auprès des pouvoirs publics, pour trois ans. La présidente de la région Occitanie succède à Renaud Muselier, président (Les Républicains) de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui assumera la fonction de président délégué.

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  • Patrick Kanner : "Nous devons adopter le vote électronique"

    Les socialistes ont relevé la tête dimanche avec de bons résultats aux élections régionales et départementales, même si la droite obtient plus de régions. Mais c'est l’abstention qui a marqué le scrutin. Comment mobiliser les électeurs ? Quel candidat pour la gauche en 2022? Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Sénat est l’invité de Roselyne Febvre et Frédéric Rivière dans "Mardi politique".

  • Libé - Billet A gauche, l’union ne va plus très Faure

    Le patron du PS, qui plaçait jusqu’ici l’unité avant l’identité de son parti, estime désormais qu’un «plafond de vert» peut empêcher la gauche de gagner.
     
     
    Le premier secrétaire du Parti socialiste a pris les clés de la vieille maison rose sur une promesse. Elle lui a causé quelques pépins. Les éléphants ont tenté de l’écraser. Depuis son élection au printemps 2018, Olivier Faure a résisté en chantant du matin à la nuit la même chanson : la gauche est au bord de la disparition et le mélange des forces reste le seul remède. Le député de Seine-et-Marne tenait un discours clair sur le sujet. C’était le seul. Pas question de mettre une couleur avant l’autre. Olivier Faure mettait l’union avant les noms. Une stratégie nouvelle pour les socialistes. Une manière de dire que l’hégémonie de sa famille était passée. Pas simple, l’exercice. Ça a mis en rogne les patrons d’hier (François Hollande, Stéphane Le Foll, François Rebsamen…).
     
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  • Libé - Illusions Régionales : à gauche, tous voués aux hégémonies

  • Héritiers de l’avenir : Élisabeth Guigou

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Élisabeth Guigou, ancienne ministre, ancienne députée, interrogée par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Élisabeth Guigou est la première femme nommée à un ministère régalien en France quand elle devient en 1997 Garde des sceaux, ministre de la Justice, dans le gouvernement de Lionel Jospin. Elle revient dans cet entretien pour la Fondation sur son parcours personnel et militant. De son adolescence au Maroc à son adhésion à la Convention des institutions républicaines, puis au Parti socialiste après 1971, elle aborde ses engagements, convaincue du projet politique incarné par François Mitterrand. En 1981, elle intègre le cabinet de Jacques Delors, alors ministre de l’Économie et des Finances, puis devient conseillère à l’Élysée en 1982 sur les questions économiques, puis elle suivra étroitement les questions européennes pour le chef de l’État à différentes fonctions. En 1992, elle mène son premier combat électoral aux élections régionales, puis devient députée européenne en 1994, députée en 1997, et de 2002 à 2017.