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ps - Page 224

  • Public Sénat - Sénatoriales : la division menace le groupe PS après le scrutin

    Le groupe PS va perdre des sièges lors des sénatoriales. La grogne des élus locaux donne de l’optimisme mais la division à gauche risque de compliquer le jeu. Le débat sur la ligne à tenir face à Macron – soutien constructif ou opposition – pourrait aboutir à la scission du groupe après l'élection.

    Ce n’est pas un scoop : les sénatoriales s’annoncent sur le papier difficiles pour le PS. C’est la conséquence des municipales de 2014, qui s’étaient traduites pour les socialistes par la perte de nombreuses villes. Il faut avoir en tête que les sénatoriales sont en quelque sorte le troisième tour des municipales. 96% du corps électoral des grands électeurs élisant les sénateurs est composé des conseillers municipaux et de leurs délégués.

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  • Le Parti socialiste a reçu une délégation brésilienne du Parti des Travailleurs (PT)

    Le dialogue et la coopération entre le Parti socialiste et le Parti des Travailleurs (PT) ont été instaurés de longue date, particulièrement depuis Congrès de Brest en 1997, et se poursuivent régulièrement. Ainsi, une délégation du PS, avec d’autres forces politiques de gauche françaises, était présente au congrès fédéral du PT en juin dernier. Aujourd’hui, c’est une délégation du Parti des Travailleurs (PT) conduite par le député fédéral et ancien président de l’Ordre des avocats du Brésil, Wadih Damous, qui a été accueillie au siège du PS.

    Cet échange a permis l’examen détaillé des enjeux politiques et démocratiques qui sont au cœur des affaires de corruption rapportées par les médias. Les liens étroits de certains corps de la justice brésilienne avec les milieux conservateurs ont été soulignés. La procédure parlementaire qui a conduit au départ de Dilma Rousseff de la présidence du pays apparaît très discutable, voire inique, au regard du maintien en fonction de son successeur pourtant liés à des faits de corruptions avérés.

    Le Parti socialiste partage avec le Parti des Travailleurs la nécessité impérieuse de lutter contre la corruption. Le Parti socialiste affirme son opposition à toute offensive contre les fondements de la démocratie et contre les acquis sociaux réalisés par les présidences successives de Lula da Silva puis Dilma Rousseff. Il renouvelle sa solidarité avec le Parti des Travailleurs (PT) et avec les forces sociales et syndicales qui l’animent.

  • Huffington Post - Le président du groupe PS à l'Assemblée, Olivier Faure, accuse Laurent Wauquiez d'emploi fictif

    En cause, les points de retraites que ce haut fonctionnaire cumule depuis plus de 10 ans pour un poste occupé pendant deux mois.

    "Faites ce que je dis, pas ce que je fais". Les révélations de Lyon Capitale mettent Laurent Wauquiez dans l'embarras. Et Olivier Faure, le patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, ne se gène pas pour le faire savoir.

    Selon les informations du journal local, le président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes est effectivement en détachement du Conseil d'État depuis 2004, après sa première élection en tant que député de Haute-Loire. "Une position qui lui permet, parallèlement à sa carrière politique, de conserver son avancement et de cumuler des points de retraite en tant que maître des requêtes", rappelle Lyon Capitale, qui conclut donc que le prétendant à la présidence des Républicains a cumulé 13 ans de droits à la retraite pour un poste occupé pendant deux mois seulement.

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    20 minutes - Laurent Wauquiez va porter plainte contre le député PS Olivier Faure

  • "Macron essaye de disqualifier l'opposition dès qu’il le peut", selon Boris Vallaud

    Boris Vallaud a vivement critiqué Emmanuel Macron ce dimanche sur BFMTV, estimant que le Président "essaye de disqualifier l’opposition dès qu’il le peut". "Il n’y a pas de démocratie quand il n’y a pas d’opposition", a par ailleurs rappelé le porte-parole du groupe Nouvelle Gauche.

  • BFMTV - Pour Boris Vallaud, la politique du gouvernement "est juste de droite"

    Invité sur BFMTV ce dimanche, Boris Vallaud a fustigé le gouvernement, qui selon lui fait une politique qui "n’est pas ‘et de gauche et de droite’, elle est ‘et de droite’". Le porte-parole du groupe Nouvelle Gauche a notamment critiqué la réforme du code du travail qui va "consacrer une société de mini-jobs".

  • Huffington Post - Fête de l'Huma sans Mélenchon mais avec Hamon: la gauche se cherche sans se trouver

    Rendez-vous œcuménique de toutes les gauches, la Fête de l'Humanité ne verra pas l'esquisse d'un nouveau front anti-Macron.

    En pleine mobilisation contre la réforme du code du travail, l'édition 2017 de la Fête de l'Huma bat le rappel de toutes les gauches autour d'un thème fédérateur: l'opposition frontale à la politique d'Emmanuel Macron. Tandis qu'Iggy Pop et son "I wanna be your dog" enflammeront la scène de la Courneuve, le Parti communiste mise sur un climat social ardent pour favoriser les rapprochements après l'échec de la candidature commune espérée lors de la présidentielle.

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  • Le Point - Vallaud (PS): la politique du gouvernement n'est pas "et de gauche et de droite" mais juste de droite

    Boris Vallaud, porte-parole du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée, a estimé dimanche que la politique du gouvernement n'était pas "et de gauche et de droite" mais juste "et de droite".

     

    "La politique qui est faite depuis quelques mois, elle n'est pas +et de gauche et de droite, elle est de droite", a dénoncé le député des Landes sur BFM TV.

    "On le constate dans la réforme du droit du travail, on va le constater dans la réforme fiscale, on le voit dans la suppression des emplois aidés, qui va être un plan social catastrophique...", a-t-il énuméré.

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  • Le Parti socialiste présent à la fête de l’Humanité

    16 septembre 2017

    Samedi 16 septembre, une délégation du Parti socialiste s’est rendue à « la fête  de l’Humanité » à l’invitation de Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti communiste.

    Rachid Temal, Secrétaire national à la Coordination et à l’organisation, Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy, Secrétaire nationale au suivi de l’opinion et présidente de la délégation socialiste française au Parlement européen, Isabelle This Saint-Jean, Secrétaire nationale à la transition énergétique et écologique, et Olivia Polski, Secrétaire nationale à la Communication et aux réseaux sociaux, ont assisté au discours de réception des organisations et associations partenaires.

    Par cette rencontre symbolique, le Parti socialiste réaffirme que seule l’unité permettra de s’opposer véritablement à la déferlante de textes libéraux du gouvernement d’Edouard Philippe.

  • Les décodeurs du Monde - Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan vélo » de Paris

    Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l’auto fait émerger nombre de contrevérités.
     
    La rentrée politique a coïncidé dans la capitale avec la rentrée des polémiques. En cause, le « plan vélo 2015-2020 », voté… en 2015 et dont la maire de Paris, socialiste, Anne Hidalgo, assure qu’il sera mis en place avant la fin du mandat en 2020, mais qui commence à s’appliquer, avec l’installation de nouvelles pistes cyclables. Diversement appréciées, sinon des Parisiens, du moins d’une part des journalistes de la capitale.
     
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  • Challenges - Elections sénatoriales: vers une première gifle électorale pour Emmanuel Macron?

    Sans majorité ni réseau d'élu, la République en Marche aborde les élections sénatoriales dans une situation de grande fragilité.

    Après deux succès éclatants à l'élection présidentielle et aux législatives, La République en Marche (LREM) s'apprête-t-elle à vivre sa première déconvenue électorale? Sans réseau d'élus locaux ni majorité sortante, le parti d'Emmanuel Macron devrait logiquement s'incliner aux élections sénatoriales dimanche 24 septembre. La République En Marche pourrait même se retrouver en troisième position derrière Les Républicains et le Parti socialiste, les deux forces majoritaires au Palais du Luxembourg. Dans les locaux de la rue Sainte-Anne (2e arrondissement de Paris) où le mouvement présidentiel vient tout juste de poser ses cartons, l'heure est à la résignation. " C'est une élection qu'on aurait dû enjamber mais on y est quand même allé, regrette la sénatrice LREM de Paris Bariza Khiari. C'est très difficile: on n'a pas de grands électeurs hormis les députés élus en juin, on part de zéro. "

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  • Le Parti socialiste dénonce le drame humain dont les Rohingya birmans sont victimes

    Depuis le 25 août dernier, les tueries et exécutions se sont multipliées dans l’état de l’Arakan, partie occidentale de la Birmanie. Près de 370 000 Rohingyas sont désormais coincés à la frontière Birmane avec le Bangladesh, dans l’impossibilité de fuir leur pays face aux violences de l’armée birmane. Face à la détresse de cette population, nous appelons à la mise en place d’une solution rapide afin de redonner la dignité qu’ils méritent à ces enfants, femmes et hommes.

    Le processus de démocratisation en Birmanie est en cours. La situation politique et l’équilibre des pouvoirs effectifs est délicate. La constitution du pays octroie encore une place prépondérante aux militaires,  détenant 25% des sièges du Parlement et trois ministères déterminants sur les questions de sécurité.

    Pour renforcer la stabilité du pays, il est primordial d’aider, d’inciter et de convaincre tous les acteurs de la vie politique birmane – particulièrement les démocrates – à travailler à l’inclusion de tous les Birmans quelle que soit leur origine, famille ethnique ou confession.

    Le Parti socialiste est engagé dans cette volonté de dialogue entre les peuples, sujet sur lequel il travaille avec tous les acteurs de la mouvance progressiste et socialiste dans le monde.