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ps - Page 227

  • Reuters - Martine Aubry étrille Macron et Muriel Pénicaud

    PARIS (Reuters) - L‘ancienne ministre socialiste du Travail Martine Aubry a dénoncé mercredi le “retour en arrière” social d‘Emmanuel Macron qu‘elle accuse de précariser les salariés et d‘imposer une politique d‘austérité à la France.

    La maire de Lille, qui ne s’était pas exprimée publiquement depuis l’élection du nouveau chef de l‘Etat, n‘a pas été tendre non plus avec la ministre du Travail Muriel Pénicaud, qui a porté les ordonnances de la réforme du Code du travail et fut à ses côtés conseillère pour la formation lorsqu‘elle occupait les fonctions de ministre du Travail, de l‘Emploi et de la formation professionnelle (1991-1993).

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  • S. Troussel, pdt Seine-Saint-Denis : "Le gouvernement ne fait pas des économies, il fait des choix"

  • Europe 1 - La "verdisation" du PS ou comment l'art de la synthèse a bloqué le parti

    Le Parti socialiste a tenu lundi soir son bureau national de rentrée. L'occasion pour les socialistes, toujours très divisés, de tenter un état des lieux.

    L'ÉDITO POLITIQUE

    Les socialistes n'arrivent pas à trancher. Le communiqué final du bureau national est un modèle du genre : "le PS soutient les manifestations syndicales contre la loi Travail, mais n’appelle pas explicitement à manifester". La beauté d’une motion de synthèse en une seule phrase ! Le "soutien sans participation", ça vous rappelle quelque chose ? On est là au cœur des errances actuelles des socialistes : pas d'accord entre eux sur le mot d'ordre, les uns ayant déjà appelé à se joindre aux cortèges de la CGT le 12 septembre, d’autres n’excluant pas de défiler derrière Jean-Luc Mélenchon le 23 septembre, les derniers refusant catégoriquement de s’afficher à la remorque des uns ou des autres tant que l’unité n’a pas été trouvée, mais n’excluant pas de lancer leur propre journée de mobilisation.  

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  • Point presse du 4 septembre 2017

    Karim Bouamrane, porte-parole, a tenu ce lundi 4 septembre un point presse suite au Bureau national du PS.

  • PS - Manifestation du 12 septembre : position du Parti socialiste

    05 septembre 2017

    Le Parti socialiste soutient, dans le respect de l’indépendance syndicale, toutes les démarches de mobilisation, mais il ne sera pas pour autant co-initiateur de la manifestation du 12 septembre prochain.

    Il va promouvoir une campagne pour l’unité au travers d’un tract qui sera publié à plusieurs millions d’exemplaires et des rassemblements devant les préfectures.

     
  • PS - Rentrée 2017: Monsieur le Ministre, effacer n’est pas progresser !

    Le Parti socialiste souhaite une bonne rentrée aux élèves et à leurs parents ainsi, plus généralement, qu’à celles et ceux qui œuvrent, à l’école, dans les collectivités locales ou les associations, à la réussite éducative des enfants et des jeunes dans notre pays.

    La rentrée 2017 porte la marque de la contre-réforme Blanquer qui aura consisté, en quelques mois, à détricoter sans évaluation ni concertation, et sans jamais mettre au centre de la décision politique l’intérêt de l’enfant, tout ce qui avait été patiemment construit avec la Refondation de l’école : rythmes scolaires, dispositif « Plus de maîtres que de classes », réforme du collège…

    Le Parti socialiste rappelle que défaire à tour de bras ne saurait constituer une politique éducative. D’autant que les mesures prises par le Ministre ne sont pas à la hauteur des défis de notre système éducatif. Elles donnent des gages aux tenants du conservatisme scolaire, scotchés à une école du passé qui a déjà a déjà échoué en s’intéressant aux 70% des élèves qui vont bien à l’école davantage qu’aux 30% qui échouent. Avec le risque d’une aggravation des inégalités sociales, scolaires et territoriales.

    Faute de postes supplémentaires suffisants (l’augmentation du budget annoncé pour 2018 est un leurre), le dédoublement des classes de CP en REP+, érigé comme modèle pédagogique définitif, ne peut se réaliser qu’en ponctionnant les moyens des autres écoles, renvoyant aux calendes l’amélioration pour tous les élèves des remplacements ou de la formation des enseignants. Avec le spectre d’un retour à une école à plusieurs vitesses.

    A ce stade, la réforme du baccalauréat proposée par le Ministre est appréhendée par le petit bout de la lorgnette et se révèlera contre-productive si elle ne permet pas de réfléchir à un continuum éducatif « -3/+3 » qui favorisent la réussite des élèves dans l’enseignement supérieur.

    Les socialistes déplorent  enfin le climat dans lequel s’est déroulée cette rentrée, polluée par des polémiques inutiles et obsolètes lancées par le Ministre sur l’apprentissage de la lecture ou encore sur les conséquences désastreuses de la suppression des emplois aidés qui n’ont pas permis, comme nous l’annoncions, à certaines écoles d’ouvrir normalement en ce jour de rentrée.

    « L’école de la confiance », à laquelle le Ministre prétend aspirer, ne se décrète pas, elle se construit dans la concertation et le dialogue.

  • Francetvinfo - Code du travail : le PS soutient les mobilisations syndicales du 12 septembre

    Cette question de la participation ou non du PS à la manifestation du 12 septembre a suscité quelques remous ces derniers jours au sein même du parti.

    Le bureau national du Parti socialiste a pris sa décision. Le PS affichera son "soutien" à toutes les initiatives syndicales contre la réforme du code du travail, a affirmé lundi 4 septembre le numéro deux du parti Rachid Temal."Le PS, respectueux de l'indépendance syndicale, soutient toutes les initiatives syndicales contre la loi Pénicaud en appelant à des démarches unitaires", a-t-il précisé. "Le PS va éditer un tract national contre la loi Pénicaud et appelle ses fédérations à mener des actions de mobilisation."

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  • Libé - Contre la loi travail, les socialistes déjà divisés sur l’idée de manifester

    On ne sort pas de la crise du jour au lendemain. Au Parti socialiste, cet été, après le fiasco électoral et la démission du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, une direction collégiale aussi longue qu’une nuit d’hiver a été nommée pour dessiner une feuille de route. Tous les courants sont donc à la tête du parti, avec un objectif : une ligne claire, commune. Quelques semaines ont passé et la vérité a refait surface : les divisions sont tenaces et la bataille du congrès, qui devrait avoir lieu en février, n’est pas encore lancée.

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