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ps - Page 226

  • Jean-Christophe Cambadélis sur Emmanuel Macron : "Il décide tout, je le trouve très seul"

  • Le PS a hypothéqué son siège rue de Solférino

    Le PS a hypothéqué son siège de la rue de Solférino pour boucler un emprunt auprès du Crédit coopératif destiné à financer la campagne de Benoît Hamon, a affirmé aujourd'hui à l'AFP le trésorier du PS, Jean-François Debat, confirmant une information de la Lettre A. Le 19 septembre, M. Debat avait annoncé que la direction avait pris la décision de principe de vendre le siège du PS. Un appel à candidatures sera publié mi-octobre, a précisé le parti mercredi.

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  • Conférence nationale des Territoires : le gouvernement doit revenir sur la baisse de dotation aux collectivités territoriales

    Le Parti socialiste prend acte de la décision de Régions de France de quitter la Conférence nationale des Territoires et comprend la colère des élus régionaux face aux annonces du PLF 2018.

    Il demande l’application par le gouvernement de l’ensemble des engagements pris par l’Etat devant les Régions lorsque Manuel Valls était premier ministre et qui ont fait l’objet d’un vote du parlement dans le PLF initiale 2017.

    Si, pour assurer le financement des Régions, le transfert de la DGF en une fraction de la TVA a bien été confirmé par le Premier ministre, Edouard Philippe, le fonds de soutien de 450 millions n’a lui pas été reconduit. Or celui-ci visait à accompagner le transfert de compétences en matière économique des départements aux Régions dans le cadre de la loi NOTRe. Cette suppression brutale va pénaliser les acteurs économiques, notamment les PME et les ETI.

    Le Parti socialiste demande au Premier ministre de revenir sur la baisse de dotation aux collectivités territoriales et l’invite une nouvelle fois à renouer le dialogue avec elles dans le respect de leurs prérogatives.

  • Challenges - Hollande, Macron, Montebourg… Cambadélis dézingue ses anciens camarades dans un livre

    EXCLUSIF Jean-Christophe Cambadélis publie mercredi "Chronique d'une débâcle", un essai "coup de poing" sur le quinquennat de François Hollande, dans lequel chacun en prend pour son grade. Un sommet dans la perfidie.

    Jean-Christophe Cambadélis ne va pas se faire beaucoup d'amis avec son livre " Chronique d'une débâcle ". Sorti de son droit de réserve, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste signe mercredi un essai "coup de poing" sur le quinquennat raté de François Hollande aux éditions L'Archipel. L'ex-député de Paris, emporté par la vague macroniste au mois de juin, y règle ses comptes avec les ténors du Parti socialiste, responsables selon lui du "plus grand revers électoral de l'histoire du PS". Benoît Hamon, Manuel Valls, Arnaud Montebourg et surtout François Hollande -  président impuissant et incapable de dire non - passent sur le grill de l'ancien locataire de Solférino, qui ne se montre pas plus enthousiaste face à l'élection d'Emmanuel Macron, " l'homme qui vient de la gauche et qui convient à la droite ". Morceaux choisis.

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  • Challenges - Socialistes: pourquoi il faut occuper le siège historique de Solférino Par Nicolas Domenach

    On ne brade pas les bijoux de famille. Mieux vaut ruser. Tergiverser. On ne s’incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu’on a été le premier mouvement politique de France!

    S'il reste encore quelques socialistes au PS, ils devraient occuper "Solfé", le 10 rue de Solférino, siège du parti socialiste, et empêcher la vente annoncée par un quarteron de dirigeants en retraite... D'abord parce qu'on ne brade pas les bijoux de famille, sinon, c'est qu'on accrédite la débâcle. Mieux vaut ruser. Tergiverser. Mais on ne s'incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu'on a été le premier mouvement politique de France qui ne saurait avoir honte d'occuper un hôtel particulier dans les beaux quartiers. C'était un choix stratégique très réfléchi.

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  • PS - Le Parti socialiste regrette la cacophonie et le flou artistique qui marquent la communication du gouvernement à propos du glyphosate

    Pour la seule journée de lundi, les annonces du Premier ministre, Edouard Philippe, et  celles du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, se sont non seulement télescopées mais contredites, passant de l’interdiction totale aux  « progrès à accomplir d’ici 2022 »… On y voit flou !

    Il est temps de clarifier la situation. Le glyphosate est un herbicide dangereux, reconnu comme « cancérigène probable » par  l’OMS et dont les agriculteurs sont les premières victimes. Il faut en sortir.

    Si aujourd’hui, l’absence de solutions alternatives crédibles rend difficile de supprimer son utilisation du jour au lendemain, il est tout à fait irresponsable de prolonger son autorisation pour 5 ans. Pourquoi, en application du principe de précaution, ne pas envisager une prolongation annuelle, permettant à la recherche de progresser et de proposer de nouvelles solutions ? La France, comme pour les perturbateurs endocriniens, aurait-elle déjà capitulé face aux lobbys de l’industrie allemande ?

    Car l’enjeu n’est pas tant national qu’européen. Le vote sur la proposition de la Commission européenne de renouveler le glyphosate pour 10 ans est prévu pour le 5-6 octobre prochain par le Comité permanent des plantes, des animaux, des denrées alimentaires et des aliments pour animaux (PAFF). Le Parti socialiste soutient la demande des eurodéputés de le reporter après l’audition publique sur le glyphosate et les Monsanto Papers, prévue le 11 octobre.

  • RTL - "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", pour Jean-Christophe Cambadélis

  • L'Obs - Démissionnaire du PS, Cambadélis allume Hollande (et les autres) dans un livre

    Jean-Christophe Cambadélis, façon Attila. Alors que le Premier secrétaire du Parti socialiste s'apprête à quitter ses fonctions - lors du conseil national du PS samedi prochain -, l'ancien député de Paris règle ses comptes. Dans "Chronique d'une débâcle" (à paraître ce mercredi 26 septembre aux éditions L'Archipel), Jean-Christophe Cambadélis - dont le bilan à Solferino est loin de faire l'unanimité - tire à boulets rouges sur le quinquennat de François Hollande.

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  • "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", analyse Cambadélis

    INVITÉ RTL - Premier secrétaire du Parti socialiste jusqu'au 30 septembre, Jean-Christophe Cambadélis fait l'inventaire du quinquennat Hollande dans "Chronique d'une débâcle".

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  • PS - Pour les emplois aidés, le compte n’y est pas et c’est la double peine

    25 septembre 2017

    Face à la grogne qu’il a levé dans le pays en annonçant la suppression sèche de 150.000 emplois aidés, le Premier ministre a présenté des correctifs pour atténuer la brutalité de son plan social. Mais pour le Parti socialiste, le compte n’y est pas car l’inflexion demeure timide, tardive et précipitée.

    Le nombre des emplois aidés sera en chute libre : de 460.000 en 2016, à 320.000 et seulement 200.000 en 2018. Cette baisse de 40% représente autant de personnes, souvent en situation de fragilités sociales et en difficultés sur le marché du travail, qui se retrouveront demain dans les files de pôle emploi.

    Les services publics et les associations n’échappent pas au couperet. Les critères posés par l’Etat sont à ce point restrictifs qu’ils condamnent à la suppression les contrats aidés dans les cantines scolaires, les jardins et espaces verts ou les associations sportives, quelques jours après la désignation de Paris 2024.

    Le gouvernement applique la double peine aux emplois aidés : non seulement il diminue leur nombre mais il baisse leur prise en charge qui passe de 70% à 60%.

    Le Parti socialiste réitère sa demande au gouvernement de sursoir à la suppression de tous emplois aidés tant qu’une discussion générale n’aura pas permis d’imaginer un autre système. Les personnes en contrats aidés et les services de proximité ne doivent pas payer le politique d’austérité mise en œuvre par le Premier ministre, Édouard Philippe.

  • Le JDD - Le prochain congrès du PS aura lieu à Paris

    INDISCRET - Face aux difficultés financières, le Parti socialiste n'a d'autre choix que d'organiser son congrès, prévu pour février 2018, à Paris.

    Le prochain congrès du Parti socialiste (PS), censé être organisé en février 2018, aura vraisemblablement lieu à Paris, ou du moins en région parisienne. Il s'agit moins d'une affaire de symboles que d'économies : le parti est financièrement exsangue depuis ses défaites aux dernières élections (législatives et présidentielle), au point de mettre en vente son siège historique de la rue de Solferino. Les subventions annuelles de l'Etat ont en effet chuté de 25 à 7 millions d'euros par an pour le PS après sa déroute aux législatives. Cela correspond à un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros sur cinq ans.

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