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ps - Page 221

  • France 24 - Le Parti socialiste tourne la page Cambadélis

    À cinq mois de son congrès, le Parti socialiste a lancé samedi des "forums de la refondation". Après la déroute électorale de la présidentielle et la démission de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, le PS tente de rebondir.

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  • Marianne - Hamon et Cambadélis n'en finissent plus de se renvoyer l'échec socialiste à la présidentielle

    Pas facile de tourner la page en politique. Benoît Hamon et Jean-Christophe Cambadélis le prouvent, se déchirant encore aujourd'hui sur les raisons de l'échec socialiste à la présidentielle. Chacun se renvoyant soigneusement la balle.

    En politique, le temps n'efface jamais l'amertume. Surtout après une défaite électorale majeure. Et plutôt que d'en assumer la responsabilité, le jeu se résume souvent à refaire l'histoire en pointant les coupables. Les divergences entre Benoît Hamon et Jean-Christophe Cambadélis, les deux principaux acteurs de la campagne présidentielle socialiste, sur les raisons de la défaite historique du candidat du PS, en donnent un vibrant exemple.

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  • PS - BÉLARUS : le Parti socialiste dénonce l’arrestation de Mikola Statkevich

    Depuis le 22 septembre 2017, le président du Parti social-démocrate du Bélarus, Mikola Statkevich, est à nouveau arbitrairement détenu par les autorités du Bélarus pour une quinzaine de jours. Plusieurs fois emprisonné pendant des mois entre décembre 2010 et août 2015, il est l’une des principales figures de l’opposition démocratique et a été candidat face au président Loukachenko en 2010. En mars 2017, le Parti socialiste avait pu rencontrer cette personnalité lors du XXVe congrès de l’Internationale socialiste.
     
    Dès le début des années 1990, Mikola Statkevich a milité pour que chacun des peuples de l’ex-URSS puisse définir démocratiquement son propre chemin, en toute indépendance.
     
    Le Parti socialiste réaffirme sa vive préoccupation envers le sort du dirigeant social-démocrate et celui de tous les opposants. Il demande aux autorités françaises d’agir auprès des autorités du Bélarus pour une libération immédiate de Mikola Statkevich, en lien avec l’Union européenne et tous les États susceptibles d’y contribuer.

  • Luc Carvounas (NG): «La Loi Finances va pénaliser le pouvoir d’achat des Français»

  • Jean-Christophe Cambadélis sur Emmanuel Macron : "Il décide tout, je le trouve très seul"

  • Le PS a hypothéqué son siège rue de Solférino

    Le PS a hypothéqué son siège de la rue de Solférino pour boucler un emprunt auprès du Crédit coopératif destiné à financer la campagne de Benoît Hamon, a affirmé aujourd'hui à l'AFP le trésorier du PS, Jean-François Debat, confirmant une information de la Lettre A. Le 19 septembre, M. Debat avait annoncé que la direction avait pris la décision de principe de vendre le siège du PS. Un appel à candidatures sera publié mi-octobre, a précisé le parti mercredi.

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  • Conférence nationale des Territoires : le gouvernement doit revenir sur la baisse de dotation aux collectivités territoriales

    Le Parti socialiste prend acte de la décision de Régions de France de quitter la Conférence nationale des Territoires et comprend la colère des élus régionaux face aux annonces du PLF 2018.

    Il demande l’application par le gouvernement de l’ensemble des engagements pris par l’Etat devant les Régions lorsque Manuel Valls était premier ministre et qui ont fait l’objet d’un vote du parlement dans le PLF initiale 2017.

    Si, pour assurer le financement des Régions, le transfert de la DGF en une fraction de la TVA a bien été confirmé par le Premier ministre, Edouard Philippe, le fonds de soutien de 450 millions n’a lui pas été reconduit. Or celui-ci visait à accompagner le transfert de compétences en matière économique des départements aux Régions dans le cadre de la loi NOTRe. Cette suppression brutale va pénaliser les acteurs économiques, notamment les PME et les ETI.

    Le Parti socialiste demande au Premier ministre de revenir sur la baisse de dotation aux collectivités territoriales et l’invite une nouvelle fois à renouer le dialogue avec elles dans le respect de leurs prérogatives.

  • Challenges - Hollande, Macron, Montebourg… Cambadélis dézingue ses anciens camarades dans un livre

    EXCLUSIF Jean-Christophe Cambadélis publie mercredi "Chronique d'une débâcle", un essai "coup de poing" sur le quinquennat de François Hollande, dans lequel chacun en prend pour son grade. Un sommet dans la perfidie.

    Jean-Christophe Cambadélis ne va pas se faire beaucoup d'amis avec son livre " Chronique d'une débâcle ". Sorti de son droit de réserve, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste signe mercredi un essai "coup de poing" sur le quinquennat raté de François Hollande aux éditions L'Archipel. L'ex-député de Paris, emporté par la vague macroniste au mois de juin, y règle ses comptes avec les ténors du Parti socialiste, responsables selon lui du "plus grand revers électoral de l'histoire du PS". Benoît Hamon, Manuel Valls, Arnaud Montebourg et surtout François Hollande -  président impuissant et incapable de dire non - passent sur le grill de l'ancien locataire de Solférino, qui ne se montre pas plus enthousiaste face à l'élection d'Emmanuel Macron, " l'homme qui vient de la gauche et qui convient à la droite ". Morceaux choisis.

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  • Challenges - Socialistes: pourquoi il faut occuper le siège historique de Solférino Par Nicolas Domenach

    On ne brade pas les bijoux de famille. Mieux vaut ruser. Tergiverser. On ne s’incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu’on a été le premier mouvement politique de France!

    S'il reste encore quelques socialistes au PS, ils devraient occuper "Solfé", le 10 rue de Solférino, siège du parti socialiste, et empêcher la vente annoncée par un quarteron de dirigeants en retraite... D'abord parce qu'on ne brade pas les bijoux de famille, sinon, c'est qu'on accrédite la débâcle. Mieux vaut ruser. Tergiverser. Mais on ne s'incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu'on a été le premier mouvement politique de France qui ne saurait avoir honte d'occuper un hôtel particulier dans les beaux quartiers. C'était un choix stratégique très réfléchi.

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  • PS - Le Parti socialiste regrette la cacophonie et le flou artistique qui marquent la communication du gouvernement à propos du glyphosate

    Pour la seule journée de lundi, les annonces du Premier ministre, Edouard Philippe, et  celles du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, se sont non seulement télescopées mais contredites, passant de l’interdiction totale aux  « progrès à accomplir d’ici 2022 »… On y voit flou !

    Il est temps de clarifier la situation. Le glyphosate est un herbicide dangereux, reconnu comme « cancérigène probable » par  l’OMS et dont les agriculteurs sont les premières victimes. Il faut en sortir.

    Si aujourd’hui, l’absence de solutions alternatives crédibles rend difficile de supprimer son utilisation du jour au lendemain, il est tout à fait irresponsable de prolonger son autorisation pour 5 ans. Pourquoi, en application du principe de précaution, ne pas envisager une prolongation annuelle, permettant à la recherche de progresser et de proposer de nouvelles solutions ? La France, comme pour les perturbateurs endocriniens, aurait-elle déjà capitulé face aux lobbys de l’industrie allemande ?

    Car l’enjeu n’est pas tant national qu’européen. Le vote sur la proposition de la Commission européenne de renouveler le glyphosate pour 10 ans est prévu pour le 5-6 octobre prochain par le Comité permanent des plantes, des animaux, des denrées alimentaires et des aliments pour animaux (PAFF). Le Parti socialiste soutient la demande des eurodéputés de le reporter après l’audition publique sur le glyphosate et les Monsanto Papers, prévue le 11 octobre.

  • RTL - "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", pour Jean-Christophe Cambadélis