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ps - Page 218

  • Le Parti socialiste soutient les acteurs du logement social

    A l’issue de la manifestation organisée ce jour à l’appel de 40 organismes HLM, à laquelle ont pris part des élus et militants socialistes, le Parti socialiste réitère son opposition à la stratégie logement du gouvernement, encore défendue dimanche dernier par le Président de la République.
     
    Alors que s’ouvre l’examen du projet de loi de finances 2018 à l’Assemblée nationale, son article 52 prévoit une baisse de l’APL et une réduction de loyer de solidarité (RLS). Si ces mesures permettraient à l’Etat d’économiser 1.7 milliard d’euros sur le montant des aides au logement, elles auraient des conséquences désastreuses pour le logement social.
     
    Le Parti socialiste rappelle que les premières victimes de cette politique du logement « low cost » seraient les locataires, car les bailleurs, privés de ces moyens financiers, devraient renoncer à réaliser des programmes de réhabilitation et d’entretien du patrimoine. Elle porterait aussi un coup d’arrêt brutal à la construction de logements neufs, rendant impossible les parcours résidentiels et la satisfaction des milliers de demandeurs de logement.
     
    Le Parti socialiste veut insister sur le rôle quotidien des équipes des bailleurs dans l’accompagnement des locataires les plus fragiles et dans l’animation de quartiers populaires que cette baisse massive de moyens pourrait remettre en cause en altérant le lien social et la cohésion territoriale.
     
    C’est pourquoi, le Parti socialiste demande au gouvernement d’abroger l’article 52 du PLF 2018, de convoquer une Conférence nationale sur le logement social pour réfléchir aux meilleurs moyens de gagner la bataille du « logement pour Tous ».  

  • Carine Petit : "Anne Hidalgo n'a pas applaudi des deux mains mais a compris mon choix de liberté"

    Après 22 ans de militantisme au parti socialiste, l’actuelle maire du 14e arrondissement de Paris vient de rendre sa carte pour rejoindre le mouvement de Benoît Hamon, le M1717. Quel(s) impact(s) sur la majorité parisienne ? Anne Hidalgo est-elle fragilisée par les divisions de la gauche et l’adhésion de certains socialistes au mouvement d’Emmanuel Macron ? Enfin, quel avenir pour le mouvement de Benoît Hamon ? Carine Petit est l’invitée de La Midinale.

  • France Info - Parti socialiste : une annonce pour la mise en vente du siège de Solférino publiée dans la presse

    Confronté à des problèmes financiers, le parti avait annoncé la mise en vente de son bâtiment du 7e arrondissement de Paris le 19 septembre.

    "Un ensemble immobilier exceptionnel à usage de bureau et d'habitation d'une surface de 3 389 m2." Une petite annonce concernant la mise en vente du siège du Parti socialiste, situé rue de Solférino dans le 7e arrondissement de Paris, est parue dans le journal Les Echos, mercredi 18 octobre. 

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  • SYRIE : le Parti socialiste salue la libération de Raqqa

    Le Parti socialiste salue la libération totale de la ville de Raqqa de l’organisation terroriste « État islamique ». Cette victoire de la Coalition internationale, en soutien aux forces kurdes, arabes et turkmènes regroupées au sein des Forces démocratiques syriennes, marque l’échec du projet politico-religieux et criminel de Daech.

    Au nom d’un islam dévoyé au service de la terreur, l’organisation « État islamique » n’a fait que piller, prendre en otage, asservir les populations locales et manipuler les consciences de milliers d’individus à travers le monde entier.

    Le Parti socialiste observe néanmoins que ce revers majeur infligé à l’organisation « État islamique » ne marque pas l’éradication intégrale de l’organisation terroriste en Syrie, et que ce théâtre de guerre est exploité pour favoriser la consolidation d’une présence durable de la mouvance Al-Qaida.

    Le Parti socialiste appelle à une pression internationale unifiée et renforcée pour que des négociations crédibles sous l’égide de l’ONU, et avec un rôle accru de l’Union européenne, reprennent sur la Syrie afin d’engager une transition politique. Responsable initial des centaines de milliers de morts et des millions de réfugiés et déplacés, le président syrien Al Assad devra, en tout état de cause, répondre de ses crimes de masse.

  • Le Parisien - Paris : les Hamonistes du XIVe quittent le PS

    Sept élus du XIVe claquent la porte du PS pour rejoindre le mouvement politique de Benoît Hamon.

    Décidément, le paysage politique parisien est mouvant. Après le départ des élus qui ont soutenu Emmanuel Macron à la présidentielle, voilà que le PS perd aussi les Hamonistes. Pascal Cherki, ancien député frondeur, a annoncé qu’il quittait le parti socialiste pour rejoindre le mouvement du 1er juillet (M1717) de Benoît Hamon, l’ancien candidat PS à la présidentielle.

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  • France Inter : PS la génération perdue

    On ne les entend plus, on ne les voit plus. Pire ! On ne les connaît même plus. Que sont les socialistes devenus ?

    Par Jannick Alimi

    Où sont passés ceux qui nous gouvernaient il y a à peine cinq mois ?

    Soyons justes, tout d’abord. Le PS, on l’a dit ici même, a étonnamment résisté lors des sénatoriales de septembre dernier. Mais, what else ? On sait que la lumière va bientôt s’éteindre rue de Solférino, siège quasi historique du PS. On sait que l’appareil et les militants socialistes préparent leur Congrès de février prochain.

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  • Le Point - Le PS va se séparer de la moitié de ses effectifs

    Selon "Le Monde", entre 50 et 70 personnes seront victimes d'un licenciement économique dans les jours qui viennent. Les difficultés financières continuent.

    On savait le parti en grandes difficultés financières. La vente du siège historique du PS rue de Solférino avait d'ailleurs fait grand bruit il y a quelques semaines, révélant au grand jour les graves soucis d'argent depuis les multiples défaites électorales : municipales, départementales, régionales, présidentielle et législatives. La facture salée de la campagne de Benoît Hamon (arrivé en 5e position au premier tour de la présidentielle) avait même créé le malaise au sein du parti, certains ténors réclamant des explications sur les lourdes dépenses effectuées par le candidat : après son année électorale désastreuse, le Parti socialiste est passé de 28 millions d'euros de budget annuel à seulement 8 millions, rappelle au Mondele trésorier du PS Jean-François Debat. Surtout quand la masse salariale s'élève à environ 12 millions d'euros annuels.

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  • Perturbateurs endocriniens : le Parti socialiste se félicite du rejet de la définition de la Commission

    Le Parti socialiste salue le travail des eurodéputés du groupe S&D qui ont largement contribué au rejet par le parlement européen de la définition des perturbateurs endocriniens proposée par la Commission.
    Ce vote, que nous appelions de nos vœux dès juillet dernier, est une triple sanction.
     
    Sanction contre la Commission, d’abord, qui a présenté une définition au rabais, insuffisamment protectrice face au risque sanitaire pour nos concitoyens.
     
    Sanction contre les lobbys de l’industrie chimique, ensuite,  qui ont cherché à continuer la commercialisation de leurs pesticides tout en rendant impossible l’application du principe de précaution.
     
    Sanction contre le gouvernement Philippe, enfin, qui avait récemment permis à la Commission de trouver une majorité qualifiée sur sa définition inacceptable, alors-même que la France avait été exemplaire sur ce sujet délicat pendant le quinquennat précédent.
     
    Le Parti socialiste demande, à nouveau, une reprise des discussions au sein de la Commission européenne afin de construire une réglementation à la hauteur des défis posés en matière de santé-environnementale.