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ps - Page 216

  • L'actualité des socialistes du 13 au 19 octobre

    Un peu d'histoire : Cette semaine la révolution d'octobre 17.... il y a 100 ans le 25 octobre.

    CHOMAGE

    Observatoire des inégalités - Chômage : les jeunes aux premières loges

    Entre 1975 et 2015, le taux de chômage a été multiplié par quatre pour les 20-24 ans et par presque autant pour les 25-49 ans. Depuis 2008, la crise a particulièrement touché les plus jeunes. Le taux de chômage des moins de 25 ans atteint désormais un niveau record en France. Mais les plus âgés ne sont pas épargnés non plus.

    État des lieux et évolution depuis 1975

    En 2015, plus d’un jeune actif sur cinq (22,1 %) de 20 à 24 ans est sans emploi, quatre fois plus qu’il y a quarante ans. La majeure partie de l’augmentation du chômage des jeunes a eu lieu en dix ans, entre 1975 et 1985 : le taux passe alors de 5,1 à 16,8 %. Les actifs de 25 à 49 ans sont beaucoup moins touchés que les plus jeunes en 2015.

    PAUVRETE

    Observatoire des inégalités - 600 000 pauvres de plus en dix ans

    La France compte entre 5 et 8,9 millions de pauvres selon la définition adoptée. Entre 2005 et 2015, le nombre de personnes concernées a augmenté de 600 000 personnes au seuil à 50 % et de près d’un million au seuil à 60 %. Principalement sous l’effet de la progression du chômage.

    La France compte cinq millions de pauvres si l’on fixe le seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian   [1] et 8,9 millions si l’on utilise le seuil à 60 %, selon les données 2015 (dernière année disponible) de l’Insee. Dans le premier cas, le taux de pauvreté est de 8,0 % et dans le second de 14,2 %. Au cours des dix dernières années (2005-2015), le nombre de pauvres a augmenté [2] de 600 000 au seuil à 50 % et d’un million au seuil à 60 %. Le taux de pauvreté s’est élevé de 0,5 point au seuil à 50 % et de 0,9 point au seuil à 60 %.

    Observatoire des inégalités - Qui sont les pauvres en France ?

    La moitié des pauvres ont moins de trente ans, autant disposent au maximum du brevet des collèges, un quart vivent au sein d’une famille monoparentale. Portrait de la population pauvre en France.

    Plutôt jeune, vivant en famille, peu diplômée, ouvrière ou employée : voici le portrait-robot d’une personne pauvre. Le plus souvent, on mesure la proportion de pauvres au sein d’une catégorie : par exemple, le pourcentage d’enfants en situation de pauvreté. Jamais ou presque on n’observe la composition de la population des cinq millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté (au seuil à 50 % du revenu médian   que nous utilisons). Parmi les pauvres, quelle est la part de jeunes, de vieux, de diplômés, d’ouvriers, d’immigrés ? Masquer cette répartition évite d’attribuer un visage concret à la pauvreté. On dispose pourtant d’éléments sur le sujet.

    BENJAMIN STORA

    Slate - Benjamin Stora, l'incontournable «monsieur Algérie», historien engagé

    Après l'engagement politique intense de sa jeunesse, Benjamin Stora a travaillé à une meilleure connaissance et compréhension de l'épisode douloureux de la guerre d'Algérie. Un travail d'historien, innovateur et parfois critiqué, qu'il a tenu à sortir des sphères académiques.

    Tous ses amis le disent: «Chez Benjamin, il y a un avant et un après la mort de sa fille». À la suite d’un long et douloureux rhabdomyosarcome, un cancer des muscles de la face, Cécile s’est éteinte en 1992 à l’âge de 12 ans. Peu avant que le diagnostic ait été posé, l’historien avait quitté les trotskistes où il avait milité pendant une quinzaine d’années. «J’avais intégré un groupe d’experts chez les socialistes. Ça a duré deux ans et puis il y a eu la maladie de ma fille et là, ça été fini», dit Benjamin Stora lequel, dans un premier temps, garde une carte au PS, puis s’en éloigne.

    ELECTIONS 2017

    Terra Nova - Elections 2017 : pourquoi l’opposition métropoles-périphéries n’est pas la clé

    Les résultats électoraux récents ont souvent été lus à la lumière d'une opposition entre centres et périphéries. Selon cette théorie, la distance des électeurs au cœur des métropoles serait une variable explicative de leur choix : les publics métropolitains seraient dans une dynamique d'adhésion au « système », à la mondialisation et au paradigme de la « société ouverte », et ceux des périphéries, au contraire, dans une dynamique de rejet se traduisant par une propension à voter pour le Front national. Les résultats du premier tour de l'élection présidentielle de 2017 invitent à réviser ces représentations, ce qu'analyse Terra Nova dans cette note, qui vise, entre autres, à éviter les pièges du "cartographisme". Il ne s'agit pas de congédier la géographie mais à lui rendre sa complexité et à la remettre à sa juste place : non seulement notre système spatial ne se résume pas à une opposition centre vs périphérie, mais les critères territoriaux du vote doivent être réintégrés dans un ensemble de causalités où les facteurs économiques et sociaux, ainsi que les héritages politiques, jouent un rôle souvent tout aussi puissant.

    INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Les trois quarts des élèves défavorisés étudient hors de l’éducation prioritaire

    Les trois quarts des élèves défavorisés n’étudient pas dans une école appartenant au réseau de l’éducation prioritaire. Ils ne bénéficient aucunement des mesures qui ne portent que sur ces réseaux. Extrait du Centre d’observation de la société.

    Les trois quarts des 3,2 millions d’élèves issus de milieux défavorisés [1] étudient dans des établissements qui ne sont pas intégrés aux réseaux dits « prioritaires » de l’éducation, selon les données du tableau de bord national publié par le ministère de l’Éducation nationale [2]. L’éducation prioritaire à pour objectif de compenser les difficultés économiques et sociales des habitants de certains quartiers en attribuant davantage de moyens aux établissements qui s’y trouvent. Mais ces territoires ne rassemblent qu’une partie très minoritaire des populations défavorisées.

    ASSURANCE-CHOMAGE

    Terra Nova - Gouverner l’assurance-chômage : entre étatisation et tripartisme de façade, quel chemin de réforme ?

    Ce rapport propose une évolution de la gouvernance de l'assurance chômage cohérente avec la volonté actuelle de réviser la place du « paritarisme de gestion » dans son organisation. Après avoir souligné les limites, mais aussi les réussites de cette organisation, ses auteurs écartent la piste d'une simple étatisation et envisagent deux chemins de réforme.

    INTERSECTIONNALITE

    Medium - L’intersectionnalité dévoyée : le cheval de Troie des islamistes

    Comment des militant.e.s féministes et homosexuel.le.s se réclamant de la gauche pour qui l’égalité est une valeur fondamentale peuvent-ils faire cause commune avec des mouvements religieux fondamentalistes proches des islamistes dont l’idéologie sexiste et homophobe n’est plus à démontrer ? La réponse se trouve dans ce mot dont le sens a été dévoyé, intersectionnalité.

    L’intersectionnalité est un concept visant à mettre en évidence la multiplicité des formes de discriminations : race, sexe, classe, handicap, âge, etc. Ce terme est apparu sous la plume d’une féministe et juriste afro-américaine, Kimberlé Williams Crenshaw dans un article paru à la fin des années 1980

    PS

    Marianne - Casse sociale : le PS officialise le licenciement d'une "soixantaine" de salariés

    Début août, "Marianne" révélait que le Parti socialiste préparait un plan de licenciement pour se séparer de plus d'un salarié sur deux. Le trésorier du parti vient d'annoncer ce 17 octobre sa mise en oeuvre.

    C'était une simple question de temps. Après les claques électorales du Parti socialiste, à la présidentielle et aux législatives, les salariés du PS se préparaient à l'idée. Dès août, Marianne avait eu vent d'un projet de plan de licenciement massif pour se séparer de plus de la moitié des permanents. Une casse sociale sans précédent.

    Le Point - Le PS va se séparer de la moitié de ses effectifs

    Selon "Le Monde", entre 50 et 70 personnes seront victimes d'un licenciement économique dans les jours qui viennent. Les difficultés financières continuent.

    On savait le parti en grandes difficultés financières. La vente du siège historique du PS rue de Solférino avait d'ailleurs fait grand bruit il y a quelques semaines, révélant au grand jour les graves soucis d'argent depuis les multiples défaites électorales : municipales, départementales, régionales, présidentielle et législatives. La facture salée de la campagne de Benoît Hamon (arrivé en 5e position au premier tour de la présidentielle) avait même créé le malaise au sein du parti, certains ténors réclamant des explications sur les lourdes dépenses effectuées par le candidat : après son année électorale désastreuse, le Parti socialiste est passé de 28 millions d'euros de budget annuel à seulement 8 millions, rappelle au Mondele trésorier du PS Jean-François Debat. Surtout quand la masse salariale s'élève à environ 12 millions d'euros annuels.

    IMMIGRATION

    Le Vent se lève - Le populisme démocratique à l’épreuve de l’immigration

    Ecrit par Raffaele Bazurli et paru initialement le 23 juin 2017 dans la revue italienne Senso Comune. Nous avons décidé de reproduire cet article afin d’offrir à nos lecteurs un point de vue étranger, qui peut être raffraichissant, sur une question qui fait débat. La traduction a été réalisée par Astrée Questiaux.

    À l’occasion des dernières élections présidentielles françaises, le mouvement « La France Insoumise » dirigé par Jean-Luc Mélenchon a fait grand bruit, pour avoir brisé, l’un après l’autre, de nombreux tabous de la gauche traditionnelle. L’immigration n’a pas fait exception. Mélenchon a sans cesse affirmé vouloir intervenir sur les causes des phénomènes migratoires : guerres, famines, changements climatiques. Mais ce n’est pas tout : il a également franchi le Rubicon au sujet des frontières. Bien que rappelant le devoir de solidarité à l’égard des demandeurs d’asile, il a toutefois soutenu l’idée que la France ne peut plus se permettre d’accueillir ceux qui arrivent à la recherche d’un travail, qu’on appelle les « migrants économiques ». Cela marque un changement radical, non seulement par rapport au reste de la sphère progressiste – qui en effet n’a pas lésiné sur les attaques à son encontre – mais aussi par rapport à la position de Mélenchon lui-même, il y a cinq ans, lorsqu’il était candidat à la présidentielle pour le « Front de Gauche ».

    HAMON

    Ouest France - À Nantes ce mardi, Benoît Hamon prépare la création d’un nouveau parti

    L’ex-candidat socialiste à la présidence de la République a lancé son propre mouvement, M1717, le 1er juillet dernier. Il a entrepris de l’organiser en lien avec ses partisans, qu’il rencontre en ce moment à l’occasion d’un tour de France des grandes villes. Objectif : jeter les bases d’un nouveau parti, impliqué dans un futur rassemblement de la gauche. Une consultation en ligne sera proposée d’ici quelques jours. En attendant, Benoît Hamon est à Nantes ce mardi 17 octobre.

    MACRON

    Paul Alliès - Macron et la réforme démocratique: En attendant Godot

    Beaucoup demandent de donner du temps à Emmanuel Macron avant de le juger à l’aune de ses promesses. Celles faites en matière de réforme démocratique ne sont pas secondaires. Et nous sommes de ceux qui les avons prises au pied de la lettre.
     
    Avec le discours de Versailles (le Parlement réuni en Congrès le 3 juillet 2017) ce qui était promesse est devenu projet. Un projet de réforme de la V° République assez ambitieux pour qu’on s’y intéresse de près : la réduction d’un tiers du nombre de parlementaires; la limitation du cumul des mandats dans le temps; l’introduction de la proportionnelle dans l’élection législative; la transformation du Conseil Economique, Social et Environnemental; la suppression de la Cour de Justice de la République; le renforcement du Conseil Supérieur de la Magistrature.

    Slate - Ce qui ne va pas avec le début de présidence d'Emmanuel Macron par Jean-Marie Colombani

    Les Français le connaissaient peu, voilà qu'il apparaît aujourd'hui en président narcissique, à tendance autoritaire. Le manque d'humilité du chef de l'État peut-il mettre à mal la promesse portée lors de la campagne présidentielle?

    Emmanuel Macron s’est auto célébré devant une audience record et s’est félicité de ses cinq premiers mois à l’Élysée. Il a raison. Car il avance, déroulant sa feuille de route et ses engagements de campagne, sans trop d’obstacles. Malgré une baisse de popularité elle aussi record, son meilleur argument est bien celui qu’il a utilisé: je fais ce que j’ai dit. En ces temps de grande méfiance vis-à-vis de la politique, il y a là un socle à partir duquel il pourra consolider sa position et rebondir. Son horizon est relativement dégagé: l’opposition est éclatée et il se passera du temps avant qu’une droite et une gauche réformiste puissent retrouver leurs esprits.

    MELENCHON

    L'arène nue - Lettre ouverte à Jean-Luc Mélenchon, par Ambroise de Rancourt

    Ambroise de Rancourt a 29 ans. Il est pianiste, diplomé du CNSM (Conservatoire national supérieur de musique) de Paris. Il n'est pas encarté à la France insoumise mais a voté pour Jean-Luc Mélenchon en 2012 et en 2017. Il lui écrit aujourd'hui pour exprimer des craintes et des griefs. 
     
    L'arène nue est plutôt un blog consacré à l'Europe, avec quelques exceptions. La publication de cette lettre en est une. Venant d'un électeur très informé, elle réaffirme utilement ce en quoi croit toute une partie de la gauche (hélas pas la partie la plus revendicative) et exprime ses inquiétudes quant à la généralisation des thématiques identitaires dans le débat public. Elle est d'utilité publique. 

    POPULISME

    Le Vent se lève - Le populisme fleurit là où on masque la lutte des classes – Entretien avec Guillaume Roubaud-Quashie

    Directeur de la revue Cause Commune, Guillaume Roubaud-Quashie est membre de la direction du PCF. A ce titre, il a dirigé l’organisation de la dernière université d’été du parti, lors de laquelle le populisme est entré au coeur des débats.

    Vous êtes directeur de la revue Cause Commune, éditée par le PCF et auparavant intitulée La Revue du projet. Pourquoi ce changement de nom ? S’agit-il, aussi, d’un changement de projet ?

  • Le Parisien - François Hollande, patron du PS malgré lui

    Du 4e étage du 242, rue de Rivoli, avec vue lumineuse sur les jardins des Tuileries, à Paris, l'ex-président François Hollande surveille le PS pour contrôler ce qu'il s'y passe. 

    «C'est bordélique, comme toujours !» Tous ceux qui sont passés dans les bureaux de François Hollande décrivent un capharnaüm de papiers et journaux, au milieu de cartons entassés. Au point que Michel Sapin, détaché du Conseil d'Etat depuis le 1er  octobre pour le conseiller, ne trouve pas de place pour s'installer. De l'Elysée, l'ex-président a ramené un casque à crinière des cavaliers de la garde républicaine, des voitures miniatures Dinky Toys dont il fait collection, et de nombreuses photos.

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  • Le JDD - Quand les salariés du PS racontent leur Solférino

    La mise en vente de Solférino, le siège du Parti socialiste, fait remonter souvenirs et anecdotes dans les esprits des anciens salariés du PS. Ils racontent au JDD.

    A peine les mots "vos années à Solférino" sont-ils prononcés que les souvenirs fusent. "Solfé, c'est l'Histoire et plein de petites histoires", sourit Valerio Motta, passé par différents postes à la communication du Parti socialiste (PS) pendant 10 ans. Pour tous ces salariés, chargés de la communication, permanents de fédération, directeurs de cabinet… le 10, rue de Solférino est un morceau de vie, dont il est difficile de se séparer, malgré l'officialisation mi-septembre de la mise en vente du siège de la formation.

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  • Le JDD - La nouvelle génération à l'assaut du PS

    Officiellement, personne n'est candidat à la tête du Parti socialiste. Mais certains y pensent comme Luc Carvounas, Olivier Faure ou, plus inattendu, Carole Delga.

    Si La France insoumise, La République en marche et Les Républicains vont changer leurs structures ou leur direction entre novembre et décembre, les socialistes, encore groggy, se réveillent peu à peu. La date exacte de leur congrès – fin février ou début mars – n'est toujours pas connue. Personne encore ne vise officiellement le poste de premier secrétaire mais certains font davantage qu'y penser, à l'instar des députés Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Luc Carvounas. Les hypothèses Matthias Fekl et Najat Vallaud-Belkacem s'éloignent. Dans ce brouillard, un autre nom émerge, plus inattendu, celui de Carole Delga.

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  • Pour le gouvernement, supprimer l’ISF oui ! Sauver les politiques de solidarité, on verra…

    Le Parti socialiste déplore que le Gouvernement d’Edouard Philippe, si prompt à donner des gages aux plus riches en supprimant l’ISF, ne soit pas aussi efficace quand il s’agit de sauver le bouclier social français dont nos concitoyens les plus fragiles ont besoin.

    Devant les présidentes et présidents des départements de France réunis en Congrès à Marseille, le Premier ministre a esquivé le sujet du financement pérenne des Allocations Individuelles de Solidarités (RSA, APA, PCH), renvoyant à des groupes de travail ou des missions. Seule l’annonce d’un fonds d’urgence, au périmètre indéfini et au montant inconnu, peut faire office de lueur dans l’avenir sombre que le Gouvernement impose aux solidarités.

    Le Parti Socialiste rappelle que ces allocations individuelles, garantes du pacte républicain et de la cohésion sociale, doivent être financées par la solidarité nationale et ne pas reposer sur la fiscalité locale. Il faut arrêter de faire payer les moins favorisés pour les plus fragiles !

    Seul point positif, le Gouvernement s’inscrit dans la continuité des actions engagées par les précédents Gouvernements concernant l’accueil des mineurs non accompagnés (MNA). La prise en charge de la mise à l’abri et l’évaluation de la minorité est en effet nécessaire. Mais ici aussi, des solutions claires devront être formulées.

    Le Gouvernement sait pourtant être très clair quand il réaffirme sa volonté de réduire les dépenses publiques. Il veut imposer aux collectivités des contrats avec un taux directeur de dépense publique reniant ainsi le principe fondamental de libre administration des collectivités territoriales et l’essence même de la décentralisation. Et il l’a fait à Marseille, ville de Gaston Defferre, qui porta la grande loi de 1982.

  • Un peu d'histoire : Lorient : interview de Jean Yves Le Drian du Parti socialiste

    Interview de Jean-Yves LE DRIAN après son élection de député de la cinquième circonscription du Morbihan.

  • Un peu d'histoire - 25 ans de municipalité socialiste à Saint Brieuc (INA, 1987)

    Michel ROCARD est venu à Saint Brieuc fêter les 25 ans de gestion socialiste de cette ville dont le premier maire PS fut Antoine MAZIER élu en août 1962. Discours de Michel ROCARD ou il attaque le libéralisme.

  • Un peu d'histoire : Marie Noëlle Lienemann et le parti socialiste

    Thierry ARDISSON reçoit Marie-Noëlle LIENEMANN, ancienne minsitre du logement dans le gouvernement Jospin. Elle publie "Ma part d'inventaire" qui a provoqué quelques remous à l'Université d'été du PS car l'ex candidat à la présidentielle est devenu sa "tête de turc" suite à son retrait de la vie politique après le premier tour de 'élection.

  • Le Parti socialiste soutient les acteurs du logement social

    A l’issue de la manifestation organisée ce jour à l’appel de 40 organismes HLM, à laquelle ont pris part des élus et militants socialistes, le Parti socialiste réitère son opposition à la stratégie logement du gouvernement, encore défendue dimanche dernier par le Président de la République.
     
    Alors que s’ouvre l’examen du projet de loi de finances 2018 à l’Assemblée nationale, son article 52 prévoit une baisse de l’APL et une réduction de loyer de solidarité (RLS). Si ces mesures permettraient à l’Etat d’économiser 1.7 milliard d’euros sur le montant des aides au logement, elles auraient des conséquences désastreuses pour le logement social.
     
    Le Parti socialiste rappelle que les premières victimes de cette politique du logement « low cost » seraient les locataires, car les bailleurs, privés de ces moyens financiers, devraient renoncer à réaliser des programmes de réhabilitation et d’entretien du patrimoine. Elle porterait aussi un coup d’arrêt brutal à la construction de logements neufs, rendant impossible les parcours résidentiels et la satisfaction des milliers de demandeurs de logement.
     
    Le Parti socialiste veut insister sur le rôle quotidien des équipes des bailleurs dans l’accompagnement des locataires les plus fragiles et dans l’animation de quartiers populaires que cette baisse massive de moyens pourrait remettre en cause en altérant le lien social et la cohésion territoriale.
     
    C’est pourquoi, le Parti socialiste demande au gouvernement d’abroger l’article 52 du PLF 2018, de convoquer une Conférence nationale sur le logement social pour réfléchir aux meilleurs moyens de gagner la bataille du « logement pour Tous ».