Vincent Peillon : "Si la réforme du collège ne... par rtl-fr
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Vincent Peillon : "Si la réforme du collège ne se fait pas, le pays aura d'énormes difficultés"
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L'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juin (mise à jour)
A la une
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Page officielle de l'Appel des 100. Parlementaires et responsables socialistes, engagés pour une politique de gauche juste et efficace.
Laurent Baumel : « Sommes-nous morts pour rien? ou pourquoi les députés socialistes se mobilisent »
Le 30 mars 2014, le socialisme municipal s’est effondré en France dans des proportions inattendues et colossales qu’on peine encore à mesurer. L’attention s’est portée sur l’implacable statistique des «155 villes » de plus de 9 000 habitants tombées dans l’escarcelle de la droite et ses conséquences en chaîne sur la direction des grandes communautés urbaines du pays.
Pouria Amirshahi – « Frondeurs » : qui sommes-nous, que voulons-nous ?
ENTRETIEN À POLITIS
Pouria Amirshahi est l’un des « frondeurs » qui n’ont pas voté le pacte de stabilité défendu par Manuel Valls. Il explique sa démarche. Ils ont été 41 députés socialistes à s’abstenir, le 29 avril à l’Assemblée. Un désaveu pour le nouveau Premier ministre et pour François Hollande. Simple avertissement ou amorce d’une contestation durable ? Pouria Amirshahi penche pour la seconde hypothèse.29, 30, 31 mai et 1er juin
Libé - Duflot et Royal réunies autour de Raoni
Le chef amazonien est l'invité mardi d'une conférence sur le climat organisée par Claude Bartolone à l'Assemblée.
Le Monde - Hollande chez les Bleus, un président en quête d'une France qui gagne
Quoi de mieux qu'une visite présidentielle aux Bleus, en cette période post-déroute électorale et pré-Coupe du monde, pour tenter de se requinquer ? Sans doute faut-il y voir les effets du 4 à 0 sans bavure infligé à la Norvège, mardi soir en match amical, conjugués à ceux des 13,98 % recueillis pas le PS aux européennes, mais force est de constater que François Hollande, ces jours-ci, manifeste un intérêt renouvelé pour la France qui gagne : celle du football.
Le Figaro - François Hollande élude la question de sa candidature en 2017
Le président aurait confié à des proches rester «froid» et «indifférent» face au sondage selon lequel seuls 3% des Français le préféreraient comme candidat socialiste à sa propre succession en 2017.
LCP - "Colère" de Cambadélis contre la presse et "une partie" de la classe politique
La presse et "une partie" de la classe politique sont "irresponsables" en ces temps de "crise politique majeure", a accusé mercredi le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, interrogé sur la désaffection des Français à l'égard de François Hollande.
Le Monde - Hollande et Valls ne fléchissent pas face aux députés PS frondeurs
François Hollande a répondu depuis Bruxelles, mardi 27 mai, aux élus socialistes de l'Assemblée réclamant une inflexion à gauche après la débâcle de la majorité aux Européennes. Plus tôt dans la journée, une partie d'entre eux avaient également eu une discussion avec le premier ministre Manuel Valls, venu s'exprimer devant le groupe de l'Assemblée.
Huffington Post, Laurent Baumel - La gauche sait-elle tirer les leçons de son Histoire?
"Peuples et gouvernements n'ont jamais rien appris de l'Histoire" a écrit Hegel. S'il n'est pas toujours aisé, en effet, de tirer des leçons réelles du passé, chaque génération devrait au moins être capable de tirer les leçons de sa propre histoire.
Alors la gauche au pouvoir vient de subir une nouvelle défaite cuisante, on peut se demander si ce n'est pas précisément cette capacité-là qui lui manque.
Paul Alliès - RompreLe résultat des élections européennes mais surtout les réactions de François Hollande et Manuel Valls qui les ont suivies amènent à une conclusion: l'exécutif n'entend plus rien et n'est plus à même de reconstruire une quelconque histoire de la gauche d'ici 2017. Il faut donc rompre avec une politique comme avec un système politique qui peuvent nous conduire à un "désastre obscur".
28 mai
Le Parisien - Devant Valls, des députés de la majorité évoquent «un problème Hollande»
Rien ne va plus au PS. Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes et l'ont fait savoir au Premier ministre Manuel Valls qui les rencontrait ce matin à l'Assemblée nationale.
Le Monde - Qui est responsable de la montée du FN ?
La première place du Front national aux élections européennes du 25 mai marque une rupture dans la vie politique française. Quelles sont les responsabilités des partis traditionnels dans cette déroute ? Après l'avoir diabolisé dans les années 1980, les médias n'ont-ils pas contribué à banaliser le FN des années 2010 ? L'UMP survivra-t-elle à cette percée frontiste ? Comment le PS peut-il encore éviter la perspective d'un 21 avril 2017 ? Comment réduire la fracture entre les perdants et les gagnants de la mondialisation ?
Le Monde - Rythmes scolaires : le décret Hamon a-t-il ouvert la boîte de Pandore?
Certaines ne cachent pas leur enthousiasme, d'autres se perdent dans les justifications. Dans les villes candidates à un « assouplissement » de la réforme des rythmes scolaires, comme le permet pour trois ans de « décret Hamon », le soulagement se fait entendre, même si l'embarras demeure.
Public Sénat - Les députés socialistes accusent le choc des européennes
Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes avec un FN en tête, exprimant leurs inquiétudes aiguës devant Manuel...Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes avec un FN en tête, exprimant leurs inquiétudes aiguës devant Manuel Valls et allant, pour l'un d'eux, jusqu'à évoquer un "problème" François Hollande.
Le chef de l’Etat ne sera pas en mesure de se représenter en 2017. La gauche doit se mettre en quête du candidat qui pourra résister à la menace Le Pen.
27 mai
Libé - François Hollande : «L’Europe, elle est devenue illisible, j’en suis conscient»
VERBATIM Le Président s'est exprimé ce lundi soir lors d'une brève allocution télévisée.
Libé - Européennes : Hollande admet la claque, mais garde le cap
Le Président s'est exprimé lundi soir, au lendemain des élections européennes qui ont vu la victoire du FN. Sa «ligne de conduite» ne déviera pas.
Le blog de Françoise Fressoz - Le président sans cartouche
En l'écoutant lundi 26 mai faire sa déclaration aux Français dans le cadre du journal de 20 heures, on comprenait pourquoi toute la journée le président de la République avait hésité à parler.
Que pouvait-il annoncer à son peuple qui, dans la foulée des élections municipales, venait de lui infliger une nouvelle gifle électorale ? Rien et c’est tout le problème.
Les Echos - PS : les « hollandais » sonnés, les frondeurs à l'offensive
Les députés PS sont de plus en plus nombreux à appeler le président à ralentir le rythme de réduction du déficit.
C'est un parlementaire proche de François Hollande qui avoue : « Je ne comprends pas ce qu'on fait. A ce train, on va arriver dans la même situation que Chirac en 1997, à devoir dissoudre » l'Assemblée. C'est un autre parlementaire, toujours un fidèle du chef de l'Etat, qui s'inquiète : « Le président peut bien prendre des initiatives, rien ne passera. Le vote FN devient normal pour certains. L'UMP ne va pas bien, mais, pour le moment, ce n'est pas elle qui est disqualifiée pour le second tour de la présidentielle. »
Le Monde - Européennes : pourquoi le 25 mai est plus grave que le 21 avril
Analyse. Mesurons l'ampleur du séisme politique des élections européennes en France : le 25 mai 2014 est bien plus grave que le 21 avril 2002. Pour trois raisons. D'abord parce que la victoire historique du FN dans un scrutin national ne provoque pas de réaction collective, comme si l'encéphalogramme démocratique restait désespérément plat, là où le 21 avril avait conduit une partie de la société française, notamment de sa jeunesse, à sortir dans la rue et la gauche à se battre pour permettre la victoire de Jacques Chirac contre Jean-Marie Le Pen.
Le Monde - Européennes : 5 enseignements du scrutin passés inaperçus
Après les réactions à chaud, les résultats détaillés des élections européennes fournis par le ministère de l'intérieur permettent de tirer de nouveaux enseignements sur le scrutin du 25 mai.
Le Point - Hollande-Valls : le commando fiscal
Au lendemain du séisme électoral, ils ont recours à la bonne vieille ficelle de la baisse des impôts. Au risque de se contredire et de se répéter.
Les Echos - Le doute s'accroît un peu plus au sommet de l'Etat sur la présidentielle de 2017
Après la déroute de dimanche, les soutiens de François Hollande s'interrogent sur ses chances de se succéder à lui-même.
Ce dimanche, le Parti Socialiste a fait le plus mauvais score aux élections européennes de son histoire et n'a pu que constater la vague bleue marine qui a déferlée dans le pays mais aussi en Midi-Pyrénées. Christophe Borgel, député de de Haute-Garonne et secrétaire national chargé des élections du Parti Socialiste, revient sur cet échec électoral et sur l'avenir du PS.
Les Echos - François Hollande ou le quinquennat bloqué
Sur le plan institutionnel, le scrutin européen ne change rien. François Hollande a été élu pour cinq ans et poursuit son mandat. Mais politiquement, la situation devient intenable, ou presque.
Les Echos - Européennes : le PS a été plus boudé par les salariés du privé que par ceux du public
Ce n’est pas le vote fonctionnaire qui a manqué aux socialistes lors des élections européennes mais celui des salariés du privé.
Direct Matin - Cambadélis (PS) : l'Europe doit "se concentrer sur l'essentiel"
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, a vu dans les résultats aux élections européennes un "message clair" qui est que "l'Europe doit de manière urgente se concentrer sur l'essentiel", l'emploi et la croissance verte.
26 mai
Le JDD - La triste victoire d’Edouard Martin
REPORTAGE - C’est avec la rage de voir le FN en pôle position en France comme dans sa circonscription aux élections européennes qu’Edouard Martin obtient son ticket pour Bruxelles. Récit d’une soirée triste et amère pour l’ancien leader syndicaliste de Florange.
Le Nouvel Obs - Européennes: Hollande veut limiter les dégâts au lendemain de la victoire du FN
Sévèrement désavoué dimanche lors des élections européennes qui ont vu le triomphe du Front national, François Hollande va tenter, dès lundi matin, de tirer avec Manuel Valls les leçons d'un choc électoral qui ébranle la France et l'Europe.
La Tribune - "Il faut de nouvelles baisses d'impôts" (Manuel Valls)
Le Premier ministre estime nécessaire de baisser la fiscalité. Il s'exprime au lendemain de la défaite électorale aux élections européennes pour la majorité.
France Info - Européennes : "Des leçons doivent être tirées" (Elysée)
Après le succès du FN et la déroute du PS dimanche soir, François Hollande réunira Manuel Valls et plusieurs ministres lundi à 08h30. "Des leçons doivent être tirées" de cet "événement majeur", a indiqué l'Elysée. Les européennes sont "un choc", "un séisme" a déclaré le Premier ministre qui a décrit un moment "très grave" pour l'Europe et la France.
Choc, séisme... Ce dimanche soir, dans la bouche des socialistes beaucoup de mots rappelaient ceux prononcés le 21 avril 2002 quand Lionel Jospin avait été éliminé du second tour de la présidentielle. A nouveau troisième d'une élection nationale, le PS subit une seconde déconvenue, deux mois après son camouflet des municipales.
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Intervention de Vincent Peillon au meeting européen de Lyon
Intervention de Vincent Peillon au meeting... par PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 12 au 18 mai (mise à jour)
A la une
Le Monde - Impôts : Valls détaille son geste fiscal pour près de 2 millions de ménages
Le premier ministre, Manuel Valls, a annoncé vendredi 16 mai que les nouvelles mesures fiscales annoncées après les élections municipales allaient bénéficier à 3 millions de Français. Au total, 1,8 million de ménages devraient sortir de l'impôt sur le revenu.
18 mai
Le Parisien - Baisse d'impôts : pourquoi Hollande et Valls se sont laissé convaincre ?
La décision a été définitivement arbitrée jeudi par l'Elysée et Matignon : il fallait aller plus vite, plus loin, plus fort ! Ce sont donc finalement 1,8 million de ménages qui échapperont à l'impôt sur le revenu dès cette année, et non plus 650 000 comme l'avait annoncé Manuel Valls dimanche soir sur TF1.
Le blog de Jean-Marcel Bouguereau - Des baisses d'impôts en trompe-l'oeil
Ce n'est pas encore Noël mais c'est déjà le temps des cadeaux. Les Européennes s'annoncent très mal pour la gauche. A dix jours du scrutin, plusieurs sondages donnent le FN en tête avec 25 %, creusant l'écart avec l'UMP (21 %) et enterrant le PS avec ses malheureux 18 % ! Il fallait faire quelque chose. Hier, Manuels Valls a donc sorti de sa hotte des cadeaux fiscaux à l'intention de 3 millions de ménages, soit un effort d'un milliard d'euros. Le double de ce qui était prévu.
Pierre-Alain Muet est l'un des 41 députés PS qui se sont abstenus sur le programme de stabilité du gouvernement. Vice-président de la commission des Finances, il a travaillé à l'Insee et à l'OFCE avant d'être conseiller économique du Premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002.
17 mai
Libé - Les députés PS frondeurs satisfaits après les annonces de Valls
Le Premier ministre a déclaré que 1,8 million de ménages allaient sortir de l'impôt sur le revenu.
Certains députés PS ayant participé à la fronde sur les 50 milliards d’euros d’économies, y compris quelques abstentionnistes sur le programme de stabilité, ont salué les annonces de Manuel Valls vendredi. Le Premier ministre a annoncé de nouvelles mesures fiscales pour 3 millions de Français, qui permettront à 1,8 millions de ménages de sortir de l'impôt sur le revenu
Le Monde - Arnaud Montebourg : « Le décret sur les entreprises, c'est la fin du laisser-faire »
C'est l'outil dont rêvait Arnaud Montebourg. En élargissant le décret sur les entreprises « stratégiques », qui permet à l'Etat de s'opposer à la prise de contrôle d'une entreprise, à cinq nouveaux secteurs, la France se dote de la même arme que ses voisins, estime le ministre de l'économie. Qui compte bien l'utiliser dans le dossier Alstom.
16 mai
RAPPEL HISTORIQUE - Un reniement ? Où ça ? Pas de la part de François Hollande en tous cas. Et c’est Jean-Christophe Cambadélis, pas vraiment hollandais historique, qui l'explique.
Mercredi 13 mai, lors d’un débat organisé par Mediapart avec Emmanuelle Cosse et Jean-Luc Mélenchon, le premier secrétaire du Parti socialiste considère que, finalement, le discours du Bourget, ça ne comptait pas.
Marianne - Cambadélis aux déçus d'Hollande: fallait pas le choisir à la primaire !
Invité par Médiapart à un débat des gauches avec Emmanuelle Cosse et Jean-Luc Mélenchon, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis n'a pas cherché à occulter la déception suscitée par François Hollande, renvoyant sèchement les sympathisants socialistes à leur choix au moment de la primaire. Un bref moment de vérité.
L'Hémicycle - Encadrement du lobbying : bilan contrasté des nouvelles mesures
Sur l’impulsion du président Claude Bartolone et du vice-président PS Christophe Sirugue, les modalités d’entrée des représentants d’intérêts sont devenues plus contraignantes. De quoi rebuter les marchands d’influence et recréer de l’opacité.
La tempête Cahuzac continue de produire ses effets. Si elle a conduit à la publicité du patrimoine des ministres, elle a aussi fait changer les règles d’encadrement des lobbys à l’Assemblée nationale. En toute discrétion, une petite révolution a eu lieu en octobre dans les couloirs du palais Bourbon. « Ni diabolisation, ni laisser-faire, tel a été l’état d’esprit du bureau de l’Assemblée nationale », insiste-t-on dans l’entourage du président Claude Bartolone, qui a été à la manœuvre avec le vice-président PS Christophe Sirugue.
Les Echos - Affaire Bygmalion : le PS engage Copé à s’expliquer
Le porte-parole du PS, Carlos Da Silva, estime que Jean-François Copé doit des explications aux Français suite aux facturations fictives dont l’accuse « Libération ». Accusations que le patron de l’UMP qualifie d’allégations mal vérifiées.
15 mai
Temps 2 de la contestation. Deux semaines après s'être abstenus sur le vote consultatif du programme de stabilité, deux députés PS "frondeurs" s'en prennent à la réforme territoriale du gouvernement, déjà contestée par l'opposition.
Sur France Info, ce 14 mai, le député PS de Paris Pascal Cherki a semblé douter des résultats d'une réorganisation territoriale
Le Monde - Un député PS propose de nationaliser les autoroutes
Le député socialiste Jean-Paul Chanteguet, président et rapporteur de la mission d'information parlementaire sur l'écotaxe, engage une réflexion sur la nationalisation des autoroutes, dont le réseau avait achevé d'être privatisé en 2006.
Paris Match - Ségolène Royal "Je suis à ma place. Enfin"
Collier de perles grises, pull vert d’eau fermé par des rubans, vernis rose pâle sur les ongles, elle arrive au rendez-vous avec une bonne heure de retard mais le regard vif et la tête pleine de musique. La veille, Ségolène Royal était au palais Garnier pour assister à la représentation de l’opéra dansé de Pina Bausch, «Orphée et Eurydice», sur la musique de Gluck. La nuit a été courte. La ministre, qui était accompagnée de ses deux filles, Clémence et Flora, s’est couchée tard.
Libé - Royal vante «l'amitié et la solidarité entre ministres»
Alors que des propos parus dans «Paris Match», sur l'écotaxe et Alstom, laissaient penser à des désaccords, la ministre de l'Ecologie évoque des «petites phrases» et pas une «interview en tant que telle».
Nouvel Obs - Ségolène Royal ou l'habitude de la "rétropédalitude"
Depuis plusieurs années, la ministre de l'Ecologie s'est fait une spécialité de cogner ses camarades avant de démentir ses propos.
Libé - Hollande, plus impopulaire que jamais
Selon le baromètre Ipsos, le président de la République n'est pas soutenu par 78% des Français.
Le président de la République François Hollande a enregistré en mai un nouveau record d’impopularité, 78% des Français se disant défavorables à son action, selon le baromètre Ipsos pour «Le Point» publié mercredi.
Le Parisien - Ecotaxe : les députés plaident pour son maintien, Royal est sceptique
Oui à l'écotaxe, mais remaniée. C'est en substance ce que proposent les députés de la mission d'information parlementaire qui planchaient depuis novembre sur cet épineux dispositif, suspendu après avoir mis le feu à la Bretagne à l'automne dernier.
LCP - Européennes : Edouard Martin distingue le PS de "Hollande ou Ayrault"
"Le PS, ça n'est pas que Hollande et Ayrault", a affirmé Edouard Martin, tête de la liste socialiste dans le Grand-Est pour les européennes et ex-leader syndical d'ArcelorMittal à Florange, en appelant à "l'Europe du juste échange" lors de son premier grand meeting de campagne, mardi soir à Metz.
Libé - Ecotaxe: le rapport parlementaire plaide pour une «éco-redevance»
Il faut faire disparaître le mot «écotaxe» mais pas abandonner le principe d’une redevance payée par les poids lourds, qui nécessite des aménagements, a conclu la mission d’information parlementaire dans son rapport, remis mercredi, sur ce dispositif suspendu à l’automne après la fronde des «bonnets rouges».
Rue 89 - Rythmes scolaires : Gérard Collomb trouve-t-il à Lyon l’emploi du temps idéal ?
A Lyon, il avait traîné les pieds, refusant de la mettre au débat. Le socialiste Gérard Collomb n’avait pas caché que la réforme des rythmes scolaires le gênait du fait de son impopularité et, comme pour toutes les communes, à cause de sa mise en place complexe. Plus possible de faire l’impasse, en vue de la rentrée 2014. Cette fois un emploi du temps a été fixé pour les écoles publiques de Lyon.
Le Figaro - Christian Paul : «Nous sommes une majorité à souhaiter des inflexions substantielles»
INTERVIEW - Élu de la Nièvre, Christian Paul est un des chefs de file des 41 députés qui s'étaient abstenus sur le programme de stabilité.
14 mai
LCP - Valls en mission pour ressouder députés PS et gouvernement
Entre "câlinothérapie" et rappels à la discipline, Manuel Valls, venu devant les députés socialistes avec la quasi-totalité du gouvernement, veut resserrer les liens avec une majorité toujours en proie au doute, à deux semaines de nouvelles élections périlleuses pour le PS.
Les Echos - Foyers modestes : un geste sur les impôts locaux dès cette année
Les ménages modestes vont bénéficier d’une remise d’impôt sur le revenu, mais aussi de taxe d’habitation.
Europe 1 - Bienvenue au "club des socialistes affligés"
LE COURANT QUI VA FAIRE PARLER - Ce groupe de réflexion dénonce la politique économique menée par le gouvernement.
Tout est dans l'intitulé. Pas sûr que leur initiative plaise à Solférino. Liêm Hoang Ngoc, eurodéputé socialiste sortant, annonce lundi la création d'un nouveau courant au PS, autobaptisé le "club des socialistes affligés". Ce groupe de réflexion entend surfer sur la dynamique enclenchée par les 41 députés frondeurs, qui se sont abstenus lors du vote sur le programme de stabilité budgétaire à l'Assemblée, le 29 avril dernier.
Le Monde - Le « Club des socialistes affligés » veut contester la politique de l'offre de Hollande
Rien que par son intitulé, cette initiative ne devrait pas passer inaperçue. Le socialiste Liêm Hoang Ngoc lance, lundi 12 mai, un « club des socialistes affligés », pour battre en brèche la politique économique suivie par le tandem François Hollande-Manuel Valls.
Le manifeste des socialistes affligés
13 mai
Lyon Capitale - Européennes : Manuel Valls à Lyon le 23 mai
Manuel Valls viendra à Lyon le vendredi 23 mai pour le meeting de clôture de la campagne du parti socialiste des élections européennes. Il sera accompagné de Vincent Peillon mais aussi de l'allemand Martin Schulz.
Le Monde - Hollande et Valls s'engagent dans la bataille des européennes
François Hollande et Manuel Valls semblent avoir retenu la leçon des municipales, au moins sur la forme. Le gouvernement et le Parti socialiste ont en effet choisi de ne pas mettre leur rose dans la poche dans la campagne pour les élections européennes. A deux semaines du vote, le choix a été fait par l'exécutif de s'impliquer personnellement dans la bataille.
Le Monde - Martine Aubry, cette alternative qui ne vient pas
La mise au point date d'avant le second tour des élections municipales : « Je ne serai pas premier ministre ni demain ni après-demain, mettez-vous ça dans le crâne une bonne fois pour toutes ! Quant à mes soi-disant amis qui parlent à ma place, ça commence à bien faire ! », avait sèchement expliqué au Monde Martine Aubry.
Les Echos - Départementales 2015 : une élection qui s’annonce difficile pour le PS et l’UMP
LE CERCLE. Planifiées pour mars 2015(1), les élections départementales s’appuieront sur un redécoupage général des cantons et des candidatures paritaires, le tout sur fond de remise en cause des conseils généraux. Un contexte qui risque de poser problème pour le PS menacé d'un nouveau vote sanction mais aussi pour l’UMP.
12 avril
Le Monde - Aubry et Cambadélis veulent une autre réforme de l'intermittence
Est-ce une ultime tentative de sensibiliser le gouvernement au sort des intermittents du spectacle, alors que l'accord du 22 mars sur l'assurance-chômage ne cesse d'être contesté, et que le gouvernement a décidé malgré tout d'agréer l'accord ? Ou bien est-ce le signe d'une divergence interne au parti socialiste sur la question des annexes 8 (techniciens) et 10 (artistes) de l'Unedic ? Toujours est-il que le courrier adressé le 7 mai par la maire de Lille, Martine Aubry, au ministre du travail François Rebsamen, lui demandant de « ne pas agréer le texte de la convention Unedic qui sera soumis au gouvernement dans les prochains jours », n'est pas passé inaperçu.
Le Figaro - Élections européennes : Valls tente de mobiliser la gauche
Ils espéraient limiter la casse, ils veulent maintenant sauver les meubles. Deux mois après la déroute des élections municipales, les socialistes abordent avec appréhension le scrutin européen du 25 mai. «Ces élections ne peuvent pas être bonnes pour nous, tranche un membre du bureau national du PS. Y a-t-il une seule raison, même infime, de voter socialiste aujourd'hui? J'ai beau chercher, je n'en vois aucune.»
Ce qu'il faut retenir de l'interview de Manuel Valls sur TF1
Impôts, élections européennes, crise ukrainienne... Le Premier ministre était l'invité du 20 heures de TF1 et a notamment annoncé la sortie de l'impôt de 650.000 ménages dès 2014.
Le Monde - Malgré la crise en Ukraine, la France livrera bien ses Mistral à la Russie
Le doute n'est désormais plus permis. Malgré la crise en Ukraine, la France n'a aucune intention de suspendre la livraison des deux navires de guerre de type Mistral à la Russie. Ce contrat de 1,2 milliard d'euros n'a pas vocation à faire partie d'un paquet d'éventuelles sanctions économiques de l'Union européenne à l'encontre de Moscou.
Le JDD - Boko Haram : Hollande annonce un sommet africain
François Hollande a annoncé dimanche soir la possible tenue, en fin de semaine, d'un sommet de dirigeants africains sur la sécurité au Nigeria, après l'enlèvement par le groupe terroriste Boko Haram de plus de 200 jeunes filles.
FranceTVinfo - François Hollande continue de chuter dans les sondages
Le président enregistre son plus bas score avec le baromètre OpinionWay publié dimanche pour Clai-Metronews-LCI. Seuls 18% des sondés sont satisfaits de son action.
Le JDD - "Je suis pour supprimer les conseils généraux"
VERBATIM - Didier Guillaume, patron des sénateurs PS et président du conseil général de la Drôme.
La Tribune - Plus d'un Français sur deux favorable à la suppression des départements
Selon un sondage Ifop pour le "Journal du Dimanche", 55% des Français hors Paris est favorable à la suppression des conseils généraux.
Le secrétaire d'Etat à la réforme territoriale, André Vallini, estime, vendredi 9 mai dans un entretien au Figaro, que la réforme territoriale permettrait un gain « annuel de 12 à 25 milliards d'euros ».
« Le budget des collectivités locales représente au total 250 milliards d'euros. Les meilleurs spécialistes pensent qu'en tablant sur des économies d'échelle et des suppressions de doublons qui pourraient à terme représenter de 5 % à 10 % on arrive à un gain annuel de 12 à 25 milliards d'euros à moyen terme. Ce qui est beaucoup. Sans parler des gains de temps et d'efficacité qui sont difficilement quantifiables mais sans doute très importants ».
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Vincent Peillon, invité de Guillaume Durand avec LCI
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L'actualité des socialistes du 28 avril au 11 mai (mise à jour)
Jusqu'au 11 mai, pour cause de vacances, l'actualité sera suivie beaucoup plus irrégulièrement. Chaque jour des vidéos ou des documents de réflexion seront toutefois proposés sur ce blog.
_________________________________________________________________9, 10 et 11 mai
Le Figaro - Manuel Valls cajole les députés socialistes et garde un œil sur les frondeurs
Opération «câlinothérapie». Après le vote serré sur le programme de stabilité et à quelques semaines de la présentation des textes très sensibles rectifiant les budgets de l'État et de la Sécurité sociale pour 2014, Manuel Valls souhaite recoller les morceaux avec le groupe PS de l'Assemblée «en déshérence depuis deux ans», selon les mots d'un proche.
Le Monde - Européennes : la lettre ouverte de Cambadélis à Marine Le Pen
Pour l'instant, ils ne débattent pas physiquement l'un contre l'autre mais par médias interposés. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a envoyé, jeudi 8 mai, une lettre ouverte à la présidente du Front national, Marine Le Pen.
L'Express - France 2: Cambadélis boude des Paroles et des Actes
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, a décidé de ne pas participer à l'émission Des Paroles et des Actes consacrée aux élections européennes. Il propose d'être remplacé par Martin Schulz. Une initiative qui fait mauvais effet.
Le Parisien - Européennes: Cambadélis propose à Le Pen un débat «où elle veut, quand elle veut»
«Mais puisque vous y tenez, je vous propose donc un débat Madame, où vous voulez et quand vous voulez». Voilà donc le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis bien décidé à en découdre avec Marine Le Pen, devant les caméras.
Le Monde - Françoise Castex, eurodéputée assidue et débarquée
« Réussir à retourner une majorité électorale, dans une vie d'eurodéputée, ça ne s'oublie pas », sourit Françoise Castex, avec une pointe de nostalgie. L'épisode auquel l'élue fait référence est le rejet par le Parlement européen de l'accord commercial anticontrefaçon (ACTA), en juillet 2012, alors que, « au début, on était une toute petite poignée à s'y opposer ». Confortablement installée dans le Thalys qui la conduit au Parlement de Bruxelles depuis dix ans maintenant, la quinquagénaire égrène les sujets sur lesquels elle a ferraillé durant ses deux mandats. Pêle-mêle : le renforcement de la protection des données personnelles, le vote du Parlement sur la neutralité du Net début avril et le lancement d'une contestation du traité transatlantique. Difficile d'imaginer qu'elle devra faire ses cartons dans quelques semaines. Le 27 juin au plus tard, son bureau devra être libéré.
Le Monde - Réforme territoriale : un président de région PS dénonce le « mépris » de Valls
Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée) de 1977 à 2004, Jacques Auxiette est président socialiste de la région Pays de la Loire. Il ne se présentera pas pour sa propre succession.
Le Nouvel Obs - Européennes : comment Cambadélis force Le Pen à débattre avec Schulz
Le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe a fait savoir son souhait de laisser sa place à Martin Schulz, candidat social-démocrate, dans un débat entre les chefs de parti sur l'Europe.
7 et 8 mai
Le Monde - Régions, vie privée, économie, Alstom : ce qu'a dit Hollande
Deux ans jour pour jour après son élection, François Hollande s'est livré, mardi 6 mai, à un exercice médiatique inédit pour un président de la République : une interview avec un journaliste au style réputé très direct, suivie d'un face-à-face avec les auditeurs de BFM-TV et de RMC pendant plus d'une demi-heure.
Le Nouvel Obs, Laurent Jofrin - Hollande, 2 ans après : le temps des noyaux
Pour Hollande, tout est perdu ? Pas tout à fait. Le scénario du redressement peut encore prendre corps. Mais pour profiter de cette embellie, il ne suffira pas de proclamer qu'on l'avait bien dit.
LE PLUS. François Hollande était l'invité de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFM-TV, mardi 6 mai. Pour notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, avec cet exercice, il a pu mesurer le gouffre qui le sépare d'une certaine France, beauf et réac, qui demande au président de résoudre des petits problèmes qui n'ont rien à voir avec la fonction présidentielle. A-t-il fait le bon choix avec cette émission ?
Libé - Comment Hollande embarque Valls dans sa galère
RETOUR SUR L'interview de mardi matin a permis au chef de l'Etat de construire la solidarité du couple exécutif.Comme un petit jeu de la barbichette présidentielle. Avec son engagement de ne pas se représenter en 2017 si le chômage n’a pas baissé à cette date, François Hollande fait peut-être un pari macro-économique risqué.
Le Monde - A Villiers-le-Bel, Hollande tente de raviver ses promesses pour la jeunesse
Le bain de foule n'était pas prévu au programme. Mais lorsqu'il est sorti de l'Institut des métiers et de l'artisanat de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), où il avait passé une partie de la matinée à s'entretenir avec des apprentis et des jeunes créateurs d'entreprises, François Hollande n'a pas résisté à ce qui était encore, il y a un peu plus de deux ans, une joie de candidat en campagne.
Libé - Report des élections régionales : «Se donner un an de plus pour la réflexion»
INTERVIEW Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, se réjouit de l'annonce de François Hollande, qui permettrait d'éviter «un vote pour rien en 2015».
Le Nouvel Obs - Hollande pour le big bang territorial et retarder les Régionales
François Hollande et son gouvernement envisagent désormais de faire la réforme territoriale -suppression des départements et réduction drastique du nombre des régions- avant les nouvelles élections régionales et cantonales, ce qui implique de reporter ces scrutins de 2015 à 2016.
Huffington Post - François Hollande tient sa permanence de député de la France
On pouvait assister à un spectacle bien étrange ce matin au réveil sur RMC-BFM TV:
François Hollande soumis aux injonctions de l'inquisiteur Bourdin d'expier ses pêchés, de confesser ses fautes devant la nation.Face à un Jean-Jacques Bourdin qui ne voulait rater pour rien au monde l'occasion de dévorer tout cru un président, François Hollande peinait à trouver ses mots, se perdait en bafouillements, tentant vainement de se donner une allure de combattant.
Le Monde - Le chef de l'Etat veut restaurer son lien avec la majorité
Et maintenant, les parlementaires ? Après s'être adressé en direct aux Français au micro de RMC, mardi 6 mai au matin, le président de la République est désormais pressé par les ténors socialistes de venir s'exprimer devant ceux qu'il a en partie contribué à faire élire en juin 2012. Après le remaniement du cabinet à l'Elysée et du gouvernement, « la réinstallation du lien avec la majorité doit être l'épisode suivant », conseille le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone pour qui une rencontre prochaine est « inéluctable ».
Huffington Post - Interview de Hollande: un mea culpa télévisé pour passer "du regret au rebond"
INTERVIEW FRANÇOIS HOLLANDE - Pour son deuxième anniversaire à l'Elysée, François Hollande n'a eu droit à aucun cadeau ce mardi matin sur BFMTV et RMC. Bousculé par Jean-Jacques Bourdin et ses auditeurs qui ne l'ont pas ménagé, le président de la République a fait acte de contrition pendant près d'une heure tout en tachant de relancer un quinquennat à la dérive. "Bien sûr que j'ai des regrets", a-t-il reconnu à plusieurs reprises tout en battant sa coulpe sur le rythme des réformes et la faiblesse des résultats constatés.
Le Figaro - Hollande prié de soigner les députés PS
«Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Élysée.» L'anaphore de François Hollande prononcée le 2 mai 2012 vient de nouveau de recevoir du plomb dans l'aile. Et c'est le député Bruno Le Roux, patron des députés socialistes qui a lancé la salve, à deux jours du deuxième anniversaire de l'arrivée de Hollande à la tête de l'État.
Ouest France - François Hollande le dos au mur
Personne ne sait ce que donnera, dans trois ans, voire dans trois mois, l'opération reconquête que le Président, privé d'un effet Valls, entame ce matin à la radio et à la télévision.
D'abord, pour des raisons politiques. Il n'est pas écrit que la majorité restera majoritaire. Le pacte de stabilité a été voté, la semaine dernière, avec moins de la moitié des députés. Quand les chevènementistes votent contre, quand 41 socialistes s'abstiennent, quand les écologistes prennent leurs distances, on devine que chaque texte sera un combat.
Le Monde - Un « mandat d'éducation » pour faciliter la vie quotidienne
Légiférer sur les beaux-parents n'est pas chose aisée. Beaucoup d'encre a coulé sur le sujet, des projets ont été rédigés… en vain. Dans leur proposition de loi « relative à l'autorité parentale et à l'intérêt de l'enfant », qui doit être débattue par la commission des lois de l'Assemblée nationale mardi 6 mai, les députés PS Erwann Binet (Isère) et Marie-Anne Chapdelaine (Ille-et-Vilaine) ont joué la prudence.
Le Nouvel Obs - Geneviève Fioraso affronte une inquiétante cabale
Une violente fronde anti Geneviève Fioraso a éclaté lors du changement de gouvernement et continue d'empoisonner l'atmosphère universitaire, avec des attaques un peu hystériques.
Retour de courte durée pour Pierre Moscovici. Comme neuf autres de ses anciens collègues au gouvernement, l'ex-ministre de l'Economie est redevenu député samedi 3 mai, un mois après la démission de l'équipe Ayrault.
Mais l'élu du Doubs ne va pas s'attarder au Palais Bourbon. Il vient en effet d'être chargé d'une mission sur l'Europe par le président de la République et le premier ministre. Il en avait lui-même fait l'annonce, lundi ce qui a été confirmé à la lecture du journal officiel du mardi 6 mai.
Le Figaro - Les socialistes angoissent déjà pour la prochaine présidentielle en 2017
«2017 c'est encore loin même si l'heure est au pessimisme», confie Yann Galut au Parisien mardi. Le député PS du Cher n'hésite pourtant pas à évoquer une primaire socialiste en 2017, tant la reconduction de François Hollande lui semble compliquée: «Il n'y a rien de scandaleux à dire que le sortant doit se soumettre à des primaires ça peut être pour Hollande un moyen de renouer avec les français».
Europe 1 - "Plan social" au PS après la gifle des municipales
CRISE - Après la déroute de nombreux maires socialistes, le parti peine à recaser les collaborateurs sur le carreau.
L'envolée du chômage frappe aussi les rangs du PS. Alors que François Hollande annonce pour bientôt un "retournement économique", certains socialistes se voient contraints de pointer à Pôle emploi. Et pour Caroline Roux, éditorialiste d'Europe1, c'est "le sujet tabou au PS, après les élections municipales". Car ce n'est rien de moins qu'un "plan social" qui est en cours.
6 mai
Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Hollande
Impopularité, retournement, réforme territoriale... Retrouvez tous les grands thèmes sur lesquels le chef de l'Etat s'est exprimé à l'antenne de BFM et RMC.
Le Nouvel Obs - Offensive médiatique de Hollande, élu il y a tout juste deux ans
Deux ans jour pour jour après son élection à l'Elysée, François Hollande sera l'invité mardi matin de BFMTV et RMC Radio, l'occasion pour lui d'en dire plus sur le "retournement économique" qu'il voit venir, sans convaincre à ce stade la classe politique.
BFM - Hidalgo: "Un retournement économique? Non, un frémissement"
La maire PS de Paris s'est exprimée sur BFMTV sur la politique menée par François Hollande et Manuel Valls. Si elle reconnaît un "frémissement" dans l'économie, elle met en garde contre une politique centrée sur la réduction des déficits.
Libé - Des anciens ministres de retour à l'Assemblée nationale
Jean-Marc Ayrault, François Lamy, Cécile Duflot, Alain Vidalies, Michèle Delaunay, Marie-Arlette Carlotti ou encore Guillaume Garot ont retrouvé leur mandat de député, après leur éviction du gouvernement lors du dernier remaniement.
Le Parisien - Déficit : la France ne parviendra pas à passer sous les 3% du PIB
Le retournement , et d'une inflation toujours, la Commission européenne maintient toujours sa pression sur le gouvernement français. «Des fondations solides sont en place pour que la reprise économique se poursuive», s'est félicité Siim Kallas, commissaire européen en charge de ce dossier.
Libé - Des féministes enterrent «le courage du gouvernement» sur la PMA
Une trentaine de militantes d'une association de défense des personnes lesbiennes, bi et trans ont organisé ce lundi devant le ministère de la Famille une action de protestation contre l'abandon de la promesse de rendre accessible la procréation médicalement assistée aux homosexuelles.
3, 4 et 5 mai
Libé - Cambadélis: Hollande «a stoppé le déclin»
Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, a déclaré dimanche que François Hollande «a stoppé le déclin» français.
Le député était interrogé dans le Grand Rendez-vous (Europe 1, i-TELE, Le Monde) à propos d’une formule du chef de l’Etat citée en Une par le Journal du Dimanche: «Le retournement arrive».
SAUVE QUI PEUT - C'est le sujet tabou au sein du Parti Socialiste. Et une des conséquences inattendue de la débâcle aux élections municipales. Selon Caroline Roux, journaliste au service politique d'Europe 1, 1 000 personnes se retrouvent au chômage dans les mairies tenues par le Parti Socialiste après la défaite électorale de mars:
Le Pariisien - Déficit : Michel Sapin à Bruxelles pour convaincre la Commission européenne
Alors que la commission européenne publier ce lundi à 11 heures, ses prévisions économiques (croissance, inflation, chômage) des 28 pays de l'UE, Michel Sapin, le ministre des Finances, se rend à Bruxelles pour tenter de convaincre ses homologues de la zone euro sur la politique économique entreprise pour ramener le déficit de la France à 3% du PIB l'an prochain
Le Monde - Amirshahi (PS) : « L'orientation économique de Hollande et Valls ne marche pas »
Pouria Amirshahi fait partie des 41 députés socialistes qui se sont abstenus lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros défendu par le premier ministre Manuel Valls. Il explique pourquoi il s'est joint aux syndicats lors de la manifestation du 1er mai et ce qu'il attend de François Hollande et Manuel Valls dans les semaines à venir sur les scènes nationale et européenne. La pratique du pouvoir autant que les orientations de l'exécutif posent problème, explique le député des Français de l'étranger.
2 mai
Libé - Quel avenir pour les «abstentionnistes» du PS ?
Les 41 députés socialistes qui n'ont pas voté le plan de relance continueront de se réunir, mais sans se structurer davantage.
Ils sont quarante et un à avoir refusé mardi de voter en faveur du plan d’économies proposé par le gouvernement. Quarante et un à n’avoir pas voté en faveur du programme de stabilité budgétaire. Ce n’est qu’après de longues discussions qu’ils ont su concilier leurs divergences sur la manière d’exprimer leur désaccord. Leur solution: l’abstention. Mais s’ils estiment que l’effort demandé aux Français est trop important, ils ne se sont pas tous abstenus pour les mêmes raisons.
Libé - Défilés anti-austérité dans toute la France pour le 1er mai
Près de 100 000 manifestants se sont rassemblés à travers le pays, selon le ministère de l'Intérieur. Comme l'an dernier, les syndicats sont partis divisés.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans toute la France jeudi à l’occasion du 1er mai pour dire leur colère contre l'«austérité» mise en oeuvre par le gouvernement et exprimer leur mécontentement face au bilan de François Hollande, deux ans après son élection.
Le Figaro - 1er Mai : Jean-Christophe Cambadélis en appelle à Léon Blum
«Léon Blum? C'est lui qui a fait la révolution du travail…» Alexandre, 8 ans, a retenu une leçon entendue à l'école, mais aussi celle de sa mère, Sandrine Mazetier. La députée PS de Paris l'a emmené mercredi à l'hommage à Léon Blum voulu par Jean-Christophe Cambadélis…
BFM - Exclusif-Baromètre BVA-BFM: Valls redonne plus confiance à droite qu'à gauche
Le dernier baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys, publié ce mercredi 30 avril, montre une légère amélioration de la confiance des Français proches de l'opposition dans l'économie depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon. Mais sept sondés sur dix se déclarent toujours pessimistes.
1er mai
Un mois après le séisme des élections municipales, le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste publie le 30 avril L'Europe sous la menace national-populiste. Un cri d'alarme : Jean-Christophe Cambadélis décrit la France comme « le maillon faible » et pronostique une course à trois PS-UMP-FN pour le second tour de la présidentielle de 2017.
Le Nouvel Obs - Plan de stabilité : qui sont les 41 députés PS abstentionnistes ?
Une quarantaine de députés de la majorité n'a pas voté mardi le programme de stabilité présenté par le gouvernement. Décryptage.
L'Express - Le jour d'après à l'Assemblée, les projets des 41 abstentionnistes PS
Paris - Les 41 députés PS qui se sont abstenus mardi sur le plan d'économies refusent la pilule "social-démocrate" prescrite par le duo Hollande-Valls et se retrouvent en position de force pour peser dans les débats à venir, avec le soutien d'autres membres du groupe socialiste.
L'Express - PS: 41 abstentions et puis s'en vont?
L'abstention de 41 députés socialistes lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros mardi a frappé les esprits. Ces parlementaires veulent maintenant transformer l'essai.
Le Point - PS : qui sont les 41 lâcheurs ?
Derrière les abstentionnistes socialistes qui ont refusé de voter le pacte de stabilité de Manuel Valls, il ne semble pas y avoir de tête de réseau. Analyse.
Le Monde - Le coup de semonce du PS à Valls et à Hollande
Quelle majorité, aujourd'hui, pour Manuel Valls et François Hollande ? Pendant les deux premières années du quinquennat, nombre de socialistes estimaient que le chef de l'Etat n'avait pas tout à fait la majorité pour mener sa politique. Le vote de l'Assemblée sur le « programme de stabilité budgétaire », mardi 29 avril, le souligne avec une lumière crue : depuis le départ de Jean-Marc Ayrault, l'équation politique s'avère plus délicate que jamais.
Le Figaro - Européennes : Peillon reconnaît que «la campagne sera très difficile»
À moins d'un mois des élections européennes, trois têtes de listes pour la région Sud-Est, l'ancien ministre PS Vincent Peillon, l'ex-secrétaire d'Etat UMP aux Affaires étrangères Renaud Muselier et le président d'honneur du FN Jean-Marie Le Pen ont croisé le fer mercredi lors d'un débat organisé par Europe 1, LCI et Le Figaro. L'enquête Ifop publiée la veille sonne comme un avertissement pour le PS: l'UMP arrive en tête des intentions de vote dans cette région (28%), devant le FN (23%) et loin devant la liste conduite par Vincent Peillon (13 %).
Le Lab - Arnaud Montebourg et Laurent Fabius s’écharpent en plein conseil des ministres
D’après Arnaud Montebourg, le conseil des ministres version Manuel Valls, "ça a de la gueule". Ça tire la gueule également, à en croire une information publiée ce mardi 29 avril par Le Canard Enchaîné.
30 avril
L'Expansion - Paul (PS): "On n'est pas condamnés au bras de fer" avec le gouvernement
Paris - Christian Paul, un des députés socialistes frondeurs, a estimé que le nombre important d'abstentionnistes au PS sur le programme de stabilité ne condamnait pas à un "bras de fer" avec le gouvernement.
Le Nouvel Obs- Plan d'économies : "Manuel Valls a gagné sur le fil"
Les éditorialistes estiment que le Premier ministre a franchi de justesse une première étape à l'Assemblée nationale lors du vote du plan de stabilité.
Le blog de Françoise Fressoz - La majorité rétrécie de Manuel Valls
41 députés socialistes ont fait le choix de s'abstenir, mardi 29 avril, lors du vote sur le programme de stabilité budgétaire. Pour Manuel Valls, ce n'est pas un désastre : le premier ministre dispose d'une majorité pour gouverner. Mais c'est un sérieux avertissement. Pour mener le redressement, phase cruciale du quinquennat, il ne dispose d'aucun blanc-seing. Sa majorité est rétrécie, sa majorité est rebelle. Sa majorité va lui donner du fil à retordre.
Libé - A l'Assemblée, Valls décroche un vote sans passion... et des abstentions
Le Premier ministre a obtenu la majorité à l'Assemblée sur le plan d'économies mais 41 députés socialistes de sont abstenus.
A l'issue d'une journée de débat dans l'hémicyle et de petites phrases dans les couloirs de l'Assemblée, Manuel Valls a obtenu un vote favorable sur son plan d'économies (265 pour et 232 contre), mais avec 41 abstentions dans les rangs socialistes.
Le Parisien - Plan d'économies : 41 députés PS se sont abstenus
Dans quelle mesure Manuel Valls allait-il être suivi par sa majorité ? C'était le principal enjeu du vote consultatif sur le plan d'économies du gouvernement organisé à l'Assemblée. La réponse est tombée ce mardi soir, en même temps que les résultats de ce scrutin à haut risque pour l'exécutif.
Le Nouvel Obs - Manuel Valls, ses 50 milliards, et les 41 "frondeurs" socialistes
Le plan d'économies de Manuel Valls a bien été adopté, mais sans les voix d'une quarantaine de députés socialistes. Récit d'un vote électrique pour la gauche à l'Assemblée.
Le Figaro - Manuel Valls sous surveillance de la gauche
Jusqu'au bout, Manuel Valls aura tenté de convaincre la majorité de se rassembler autour du programme de stabilité. Les députés ont voté. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le résultat n'est pas à la hauteur de l'énergie déployée et de ce «dialogue nourri, exigeant et fructueux avec les groupes de la majorité» que vantait le premier ministre, mardi après-midi, dans l'hémicycle.
Regards - Vote du Pacte de stabilité : les prémisses d’un bouleversement politique
Le "Pacte de stabilité" a été adopté par l’Assemblée ce mardi 29 avril. Si l’issue du vote ne faisait aucun doute, la composition de la majorité pour entériner ce pacte était, elle, très attendue. La décomposition du PS l’est-elle désormais ?
Le Monde - Comment Valls fait accepter la rigueur au PS
L'épisode aura été rugueux mais, au bout du compte, il pourrait constituer l'acte fondateur de l'ère Valls. Confronté à une contestation dans les rangs d'un PS traumatisé par la déroute des municipales, qui dépassait largement l'aile gauche du parti, Manuel Valls a étrenné ses habits de chef de la majorité et rodé sa « méthode » avant le vote sur le plan de rigueur par l'Assemblée nationale, mardi 29 avril.
Le Figaro - Européennes : sanction en vue pour le PS dans le Sud-Est
UMP 28 %, FN 23 %, PS/PRG 13 %. Ce sondage réalisé dans le Sud-Est annonce-t-il une nouvelle sanction électorale pour le Parti socialiste aux européennes? À vingt-six jours du scrutin, l'enquête Ifop pour Le Figaro, Europe 1 et LCI est alarmante pour la majorité. La liste régionale conduite par Vincent Peillon ne recueillerait que 13 % des voix sur une circonscription de plus 6,2 millions d'électeurs couvrant Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse et Rhône-Alpes.
29 avril
Le Parisien - Un bureau national du PS divisé adopte le plan d'économies de Valls
A la veille d'un vote à l'Assemblée sur le programme de stabilité, le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 «contre» et une «abstention», une résolution de soutien au dispositif, a annoncé lundi le porte-parole du parti, Olivier Faure. Alors que, dans une lettre aux députés PS, Manuel Valls a demandé la voix de tous, le bureau national du parti apparaît divisé.
Le Figaro - Malgré la grogne, le PS apporte son soutien au plan Valls
Les propositions de Manuel Valls répondent aux attentes du PS… Jean-Christophe Cambadélis l'a affirmé en substance lundi en fin de journée, lors d'un bureau national (BN) extraordinaire du PS consacré au vote à l'Assemblée, mardi, du programme de stabilité du gouvernement. Ce BN «conclusif» a voté le plan de 50 milliards d'économies présenté par le premier ministre par 31 voix pour, 15 voix contre et une abstention. «Un vote extrêmement clair de soutien à Manuel Valls», selon le porte-parole du parti Olivier Faure.
RTL - Le bureau national du PS adopte la résolution "de soutien" du programme de stabilité
Le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 "contre" et une "abstention", une résolution de soutien au programme de stabilité, à la veille d'un vote crucial au Parlement sur ce sujet, a annoncé lundi 28 avril le porte-parole du parti, Olivier Faure.
Le Figaro - Manuel Valls à l'épreuve de sa majorité
Montrer que l'on est à l'offensive, que l'on mène un combat. Alors que le pacte de responsabilité, sur lequel mise François Hollande pour redonner de la compétitivité aux entreprises et créer de l'emploi, reste contesté par une partie de la majorité, les deux têtes de l'exécutif ont sonné la «mobilisation générale» pour la «bataille de l'emploi». Lundi, à l'occasion d'une «grand-messe» à la Maison de la chimie (sur le modèle de celles qu'organisait jadis Nicolas Sarkozy), où étaient convoqués préfets, sous-préfets, directeurs d'administrations, Valls et Hollande ont défendu pied à pied le pacte et mis en scène le volontarisme du gouvernement dans la lutte contre le chômage.
Le Monde - Parti par parti, qui votera le pacte de stabilité présenté par Manuel Valls ?
Le nouveau premier ministre Manuel Valls a obtenu – plutôt confortablement – la confiance des députés après son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Mais qu'en sera-t-il le 29 avril quand ces mêmes députés devront se prononcer sur le pacte de stabilité ?
Libé - Retraites, pauvreté, fonctionnaires : les annonces du gouvernement
Pour convaincre sa majorité de voter les mesures d'austérité budgétaire qu'il a présentées, le Premier ministre a fait quelques concessions.
Pressé par sa majorité, le Premier ministre Manuel Valls a lâché du lest lundi sur plusieurs mesures du plan de rigueur, dont le gel des retraites, la revalorisation du RSA et confirmé la hausse des salaires des fonctionnaires les moins bien rémunérés. Voici le détails des annonces.
Le Monde - Manuel Valls mobilisé pour défendre le pacte de responsabilité
A la veille du vote sur le programme de stabilité à l'Assemblée nationale, Manuel Valls a défendu, lundi 28 avril, le « pacte » de responsabilité, « nécessaire et indispensable » selon lui. Devant un parterre de préfets, sous-préfets et de directeurs d'administrations, il a tenu à afficher sa vigilance sur l'usage que feront les entreprises des allégements de cotisations, prévues dans le cadre du plan d'économies de 50 milliards d'euros.
Libé - Démission de l'une des nouvelles porte-parole du PS
Rafika Rezgui, arrivée dans les instances du parti avec le nouveau premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, se voit reprocher une situation de conflit d'intérêts.
28 avril
EDITORIAL Avec des amis comme ça pas besoin d’ennemis… A quelques heures d’un vote au Parlement, voici donc Manuel Valls dans l’inconfortable position de devoir compter les voix… parmi les siens. Rarement fronde aura été plus médiatisée que celle qui agite les socialistes sur le programme de stabilité présenté par le Premier ministre. Depuis début avril, les mécontents sont montés au créneau pour dire leur refus d’un plan d’économies de 50 milliards sans contreparties sociales plus affirmées. Personne n’a encore publiquement assumé un vote «contre» le texte, mais la menace de plusieurs dizaines d’abstentions est réelle. Et la majorité du nouveau Premier ministre n’est pas garantie.
Le Nouvel Obs - Pacte de stabilité : 36h pour convaincre les députés PS frondeurs
Hollande et Valls vont défendre leurs grandes orientations économiques lors d'une réunion avec tous les acteurs de l'Etat ce lundi.
Libé - Valls «confiant» sur le vote du programme de stabilité mardi
Le premier ministre veut être optimiste en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.
Le Premier ministre Manuel Valls s’est déclaré «confiant» dimanche sur le vote du programme de stabilité mardi à l’Assemblée, en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.
Le Monde - Plan d'économies : Manuel Valls aux prises avec sa majorité
Existe-t-il une majorité alternative pour appuyer le plan d'économies et le pacte de responsabilité et de solidarité mis en oeuvre par le gouvernement de Manuel Valls, qui sera soumis au vote consultatif des députés mardi 29 avril ? Le premier ministre devra-t-il aller chercher dans l'opposition les voix qui lui feront défaut dans la majorité ? A-t-il fait le choix d'aller à l'épreuve de force avec une partie, même, des députés socialistes ?
Le Nouvel Obs - Programme de stabilité : Hollande et Valls, 36h pour convaincre
Les tractations se poursuivent pour tenter d'amadouer les députés PS qui menacent de ne pas voter mardi le programme de stabilité.
Le Nouvel Obs - Cambadelis : "Il faut savoir terminer une fronde"
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis s'adressait aux députés de son camp qui refusent de voter le programme de stabilité mardi.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis a déclaré dimanche 27 avril qu'il fallait savoir "terminer une fronde", à l'adresse des députés socialistes qui refusent de voter le programme de stabilité mardi à l'Assemblée. "Si c'est une fronde il faut savoir terminer une fronde", a déclaré sur Radio J Jean-Christophe Cambadelis.
Le Figaro - Au PS, l'agacement des députés «légitimistes» contre les «frondeurs»
Christophe Caresche dénonce «l'immaturité politique» des primo-députés qui s'opposent au plan de Manuel Valls. Son collègue Jean-Louis Gagnaire demande la démission de Laurence Dumont, députée frondeuse, de son potse de vice-présidente de l'Assemblée.
Le Monde - Alstom : Arnaud Montebourg exprime sa « vigilance patriotique »
Le dossier s'annonce ravageur pour le jeune gouvernement Valls. L'américain General Electric (GE) s'intéresse bien à Alstom, le spécialiste tricolore des infrastructures d'énergie et de transport, comme l'a révélé l'agence Bloomberg, jeudi 24 avril. Il convoite ses activités dans l'énergie, soit plus de 73 % de l'activité d'Alstom. Un prix autour de 10 milliards d'euros pour ces actifs est évoqué, non compris les 2 milliards d'euros de trésorerie logée dans Alstom Power.
Le Monde (blog) - Manuel Valls: petites leçons d’Italie
Le premier ministre français n'est pas venu à Rome pour assister seulement, en costume et cravate noirs de rigueur, à la messe de canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Arrivé samedi, il en a profité pour dîner en compagnie de Matteo Renzi, le nouveau président du conseil auquel on le compare volontiers.
Libé - Le gouvernement souhaite créer «une douzaine de régions», selon Vallini
Le secrétaire d’Etat en charge de la réforme territoriale précise que l'objectif est que ces nouvelles grandes régions soient «mieux armées, en visibilité aussi, dans la compétition économique internationale».
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50 milliards d'économies : la grogne de certains socialistes est "normale" pour Vincent Peillon par rtl.fr
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Une "claque magistrale" pour Moscovici et Peillon
Une "claque magistrale" pour Moscovici et Peillon par Europe1fr -
L'actualité des socialistes du 24 au 30 mars (mise à jour)
Pour cause de fin de campagne la prochaine mise à jour de l'actualité interviendra dimanche soir. En attendant la fin de semaine sera exclusivement consacrée aux réflexions.
A la une
Le Monde - Municipales : les second tour est-il déjà joué ?
Le premier tour des élections municipales est marqué par un taux d'abstention record, un effondrement des listes socialistes, et une montée des listes d'opposition (UMP et FN). Ces tendances vont-elles se confirmer au second tour ? Peut-il y avoir un changement de tendance à la faveur d'une remobilisation de l'électorat de gauche ?
Slate - Municipales: la défaite du PS va-t-elle dépasser celles de 1983 et 2001?
Le PS a été sanctionné. C'est l'un des points sur lesquels tous les observateurs et spécialistes de la politique française s'accordent après le premier tour des élections municipales. La question qui se pose désormais est: le second tour va-t-il marquer la plus importante défaite de l'histoire du parti lors d'un scrutin municipal?
29 et 30 mars
Arrêt sur Images - Avec Jérôme Safar, le rebelle socialiste de Grenoble
"Et d'abord, depuis quand Mélenchon est écologiste ?"
Attaques. Contre-attaques. En maintenant aux municipales de Grenoble sa liste au second tour – contre l’avis du Parti socialiste qui lui a retiré son investiture, voir notre reportage d'hier – Jérôme Safar entend défendre son programme avec une équipe motivée. Non il n’est pas un homme seul et déçu comme l’affirme la tête de liste Eric Piolle qui rassemble écolos, Parti de gauche et mouvements citoyens. Safar s’affiche en homme libre et attaque le projet du camp adverse. Qui réplique aussi sec.
Arrêt sur Images - Une journée à Grenoble avec les militants d'Eric Piolle
Anticor, Amnesty, RESF : le Vert-surprise qui a tout pour lui
"Comme on dit ici, c’est Grenoble". Entendez : on ne fait rien comme tout le monde. La tournure prise par les municipales ne déroge pas. Dimanche, on a vu la liste qui rassemble les Verts, le Parti de gauche et des mouvements citoyens arriver en tête au premier tour devant la liste des socialistes et des communistes. Une première. Mardi, au terme d’un long suspens, les socialistes décident de se maintenir malgré les consignes inverses de Paris. Une rébellion. Et demain ? Grenoble sera-t-il le théâtre en plein air des prémices de la recomposition à gauche ?
Libé - Hidalgo : «Une campagne, ce n'est pas de l'enfumage permanent»
Sa stratégie, son adversaire, son programme, ses alliances... la candidate socialiste à Paris revient sur sa campagne.
A trois jours du deuxième tour, la candidate socialiste Anne Hidalgo espère faire de Paris le symbole de la résistance face à la poussée de la droite lors de ces municipales. Dans une interview à Libération, elle s’explique sur sa campagne, les résultats du premier tour, son adversaire, son alliance avec les écologistes et la politique nationale.
Le Monde - Deux ans après, sur les traces de François Hollande dans la Moselle délaissée
C'était une magnifique carte postale de campagne. Une « séquence » comme les apprécient les communicants et les animaux politiques en chasse de bulletins. Le 4 mai 2012, deux jours avant le second tour de la présidentielle, Francois Hollande, avait entamé une journée marathon par un déplacement à Hombourg-Haut, ville au cœur du bassin houiller de Moselle. Juché sur un camion, au milieu des petits immeubles délabrés de la cité minière, le candidat socialiste, marqué par le score de Marine Le Pen au premier tour, avait chanté une ode à l'unité nationale. « Nous n'aurons pas besoin de rejeter ceux qui n'auront pas fait le même choix que nous. Nous aurons besoin de cette réconciliation, de ce redressement, de ce rassemblement », avait-il harangué, la voix éraillée.
Libé - La Seine-Saint-Denis à bastons rompues
Duels fratricides à gauche, risques de bascule à droite, le département de Claude Bartolone devrait tanguer dimanche.
Libé - «Loi Florange»: les députés PS n’entendent pas en rester là
Les députés socialistes, assez remontés, cherchaient vendredi comment réintroduire les dispositions censurées de la «loi Florange» sur la reprise de sites rentables, notamment son volet sur les sanctions des dirigeants en l’adaptant, l’un d’eux suggérant même de modifier la Constitution.
Lyon Capitale - Les enjeux du 2nd tour à Lyon
Si l'issue du scrutin à Lyon ne fait plus vraiment de mystère après le 1er tour – Gérard Collomb devrait être réélu maire de Lyon –, le 2nd tour présente de grands enjeux pour Nathalie Perrin-Gilbert (Gram) et Michel Havard (UMP). Le vote de dimanche devrait aussi acter le retour du FN au conseil municipal. Tour d'horizon des points chauds du 2e tour.
Politis - Grenoble : tensions de l’entre-deux-tours
À Grenoble, l’ex-candidat socialiste Jérôme Safar et l’écologiste Éric Piolle s’affrontent sur fond de rumeurs. Depuis l’annonce, mardi, du maintien du candidat PS Jérôme Safar au second tour, Grenoble est devenu le champ de bataille de candidats à couteaux tirés. Toujours en lice, la candidate Front national Mireille d’Ornano (12,56 %) et le candidat UMP Matthieu Chamussy (20,86 %) alignent les critiques sur les programmes de leurs rivaux.
France Info - Grenoble : les Verts à une marche de la mairie, tensions à gauche
Le premier tour des élections municipales à Grenoble a créé la surprise avec l'arrivée en tête du candidat écologiste Eric Piolle, devant le socialiste de l'équipe municipale sortante Jérôme Safar, l'UMP Matthieu Chamussy et la candidate FN Mirelle D'Ornano. Le second tour donnera lieu à une quadrangulaire après que le candidat socialiste a refusé l'union avec les Verts
Rue 89 - Mais qui est ce socialiste Jérôme Safar qui s’entête à Grenoble ?
Pour la gauche, il y avait au moins une nouvelle rafraîchissante dans l’horreur du premier tour des municipales : à Grenoble (Isère), une nouvelle tête, un candidat inattendu, avait créé la surprise en arrivant en tête, sur une liste Europe écologie-Les Verts-Parti de gauche.
Le Monde - Municipales : Toulouse pourrait symboliser la débâcle socialiste
« Je sais que le match sera serré mais je suis confiant et serein. Il le faut », confie le maire socialiste sortant de Toulouse, Pierre Cohen, à deux jours du second tour des municipales. Sur cette terre où les « rouge et noir » du Stade toulousain sont érigés en demi-dieux, on parle de politique avec les métaphores de l'ovalie.
Le Figaro - La droite lorgne les métropoles de Paris et de Lyon
Dans l'hypothèse d'une «vague bleue» au second tour des municipales, l'opposition peut espérer gagner des communautés d'agglomération.
28 mars
Le Nouvel Obs - Loi "Florange" : Martin fustige "l'attitude politicienne" de l'UMP
La loi censurée par les Sages devrait être remaniée avec des sanctions plus encadrées, prévient de son côté le porte-parole des députés PS.
Le Nouvel Obs - Remaniement : "Dans mon ministère, ça sent la fin"
Mines de déterrés, bureaux mal rangés... Témoignage d'un fonctionnaire, à lire sur Le Plus.
Le Nouvel Obs - Coup de pouce fiscal aux ménages : ce que l'on sait
Après la claque électorale du PS au premier tour des élections municipales, l'idée d'une baisse de la fiscalité des ménages est de plus en plus évoquée.
Le Monde - Remaniement : François Hollande a pris sa décision
Garder ou non Jean-Marc Ayrault comme premier ministre ? François Hollande a choisi. Le président de la République attendra le deuxième tour des élections municipales, dimanche 30 mars, pour finaliser son choix. Mais si la « vague bleue » est aussi importante que l'annoncent les sondeurs, il n'hésitera pas à changer son dispositif.
Hollande reconnaît le vote-sanction. Pour le chef de l'Etat, l'analyse de la situation est faite : le gouvernement a été victime d'un vote sanction, la droite a bénéficié d'une bien plus forte mobilisation que la gauche, le score du Front national a révélé les fragilités du pays, qui vit une multitude de crises. Il faut réagir.
Libé - Edouard Martin : la censure de la loi Florange «rend la politique détestable»
L'ex-leader syndical d'ArcelorMittal déplore la décision du Conseil constitutionnel de censurer la loi «Florange». Et fustige les 108 sénateurs et 80 députés UMP qui l'avaient saisi après l'adoption au Parlement le 24 février.
Libé - L'économie au coeur de la campagne du deuxième tour à Grenoble
Le PS battu dimanche par une liste citoyenne de la gauche et des écologistes accuse son rival d'irresponsabilité en matière d'économie.
L’angle d’attaque est donné. Mardi, lorsqu’il a annoncé son refus de fusionner sa liste avec celle du rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes, Jérôme Safar, arrivé second au premier tour des municipales dimanche derrière le rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes d’Eric Piolle, avait mis en avant des divergences sur notamment le développement économique.
Le Monde - A Rennes, la façade de la gauche unie se fissure
« Libérez Aly ! Prouvez que vous êtes de gauche ! » scandent les manifestants – des étudiants pour la plupart – qui ont envahi la scène de la salle de Cité, au cœur de Rennes, où était supposé se tenir un meeting rassemblant les chefs de file des trois principales listes de gauche en lice lors du premier tour de l'élection municipale. Matthieu Theurier (EELV) et Valérie Faucheux (Front de gauche), étaient venus apporter leur soutien à Nathalie Appéré (PS), arrivée en tête au soir du premier tour. Et malgré les efforts du service d'ordre, quelques dizaines de manifestants ont réussi à gâcher la fête.
La garde meurt mais ne se rend pas. Accablé par les socialistes de tous bords après la débâcle électorale de dimanche, Jean-Marc Ayrault a décidé de passer à la contre-offensive. Aussi rare que brutale.
27 mars
Le Nouvel Obs - Remaniement : ils veulent partir, ils veulent rester, ils veulent entrer
Dans la petite classe de Hollande, il y a les bons élèves, les fayots, les fortes têtes, les redoublants et même quelques bonnets d'âne. Revue de détail.
Le Nouvel Obs - Chômage : un "coup de massue qui tombe mal" pour Hollande
VIDEO. La forte hausse du nombre de demandeurs d'emploi en février intervient au pire moment pour le gouvernement, avant le second tour des municipales. Revue de presse.
Lyon Info - Yves Fournel pressenti par Collomb à la mairie du 1er
Si la liste d’union PS/EELV remporte la mairie du 1er dimanche prochain, ni Émeline Baume, ni Odile Belinga ne s’assiéront dans le fauteuil du maire. C’est Yves Fournel, l’actuel adjoint à la petite enfance, qui succéderait alors à Nathalie Perrin-Gilbert. L’info, savamment tue jusqu’à présent, a été lâchée par Gilles Buna au cours d’une conférence de presse.
Le Monde - A Montreuil, la guerre des gauches fait rage
A Montreuil, élection rime avec élimination au PS. Après l'éviction du socialiste Razzy Hammadi qui, avec 9,8 % des voix, n'a pu se maintenir au second tour, Dominique Voynet, maire EELV de la ville qui ne se représente pas, rêve de voir Jean-Pierre Brard, son prédecesseur (ex-PCF) arrivé en tête avec 25,54% des voix, mordre la poussière, dimanche 30 mars. L'édile écologiste entend aussi régler ses comptes avec Claude Bartolone, l'ex-patron PS du département, figure tutélaire des socialistes en Seine-Saint-Denis qui, estime-t-elle, n'a rien entrepris pour apaiser le climat politique dans la ville ces dernières années.
Le Nouvel Obs - Remaniement : la question qui fâche les écolos : si c’est Valls, on fait quoi ?
Ce n'est encore qu'une hypothèse, mais la possible nomination du ministre de l'Intérieur à Matignon donne des sueurs aux écolos
Le Figaro - Hollande promet de «tirer une leçon» du scrutin
.... Dans les allées du pouvoir, c'est la fébrilité. Chez les premiers ministrables, les manœuvres ont commencé. Valls, qui a réfléchi à son cabinet, a reçu Le Drian (Défense), Montebourg (Redressement productif) et Duflot (Logement). Cette dernière lui a signifié qu'elle quitterait le gouvernement s'il était nommé à Matignon. «Une question de ligne», argue-t-on dans son entourage. Quant à Le Drian, il joue un rôle de go between entre Hollande et Valls. «Ne te méfie pas de Valls», répète-t-il au président.
Les décodeurs - Face à la défaite, le PS fait dans l'intox
Face à une sévère défaite, il est parfois difficile de se justifier. Après le premier tour des municipales, le PS est confronté à cette épreuve.
Depuis lundi 24 mars, Harlem Désir, David Assouline ou Bertrand Delanoë doivent répondre aux questions de la presse, et s'y emploient, quitte parfois à faire dans la langue de bois, voire l'intox pure et simple.
Le Monde - Le patron des députés PS veut moins d'impôts pour les plus modestes
Bruno le Roux l'affirme : « Nous avons entendu le message » des électeurs. A quatre jours du second tour des élections municipales, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale promet une inflexion sociale de la politique conduite par François Hollande. « Je veux dire à tous ceux qui, à gauche, ont voulu nous donner un signe, que nous l'avons entendu. La question de la justice doit être au cœur des politiques que nous allons mener et continuer à mener pour redresser notre pays », a-t-il déclaré mercredi dans l'émission « Questions d'info » sur LCP en partenariat avec Le Monde, France Info et l'AFP.
Le Figaro - Duflot à Valls : «Si tu es nommé à Matignon, je m'en vais»
Lors d'un déjeuner, mardi, l'écologiste a assuré au ministre de l'Intérieur qu'elle ne resterait pas dans un gouvernement dont il prendrait la tête. «Une question de ligne», explique-t-on dans l'entourage de la ministre.
Le Point - Boutih (PS) : "En 2012, les comptables ont pris le pouvoir"
Le député de l'Essonne a analysé le vote-sanction de dimanche. Selon lui, les électeurs ont le sentiment que les socialistes "n'ont pas mouillé le maillot".
Le Nouvel Obs - Un remaniement, peut-être un geste fiscal: l'après-municipales se dessine
Un remaniement d'ampleur, avec un possible changement de Premier ministre, et peut-être un geste fiscal en faveur des ménages, sans changement de cap économique: la réponse de François Hollande à la claque des municipales commence à s'esquisser.
Europe 1 - Il y a la gauche qui pleure, et celle qui rit
NON, L'AUTRE GAUCHE ! Au premier tour des municipales, le PS a pris une claque. Ses "alliés", en revanche, s'en sont plutôt bien sortis.
Libé - Jean-Noël Guérini renvoyé en correctionnelle
HISTOIRE Le président du conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini, en voie d’exclusion du PS, a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Marseille pour «détournement de fonds publics» dans une affaire de licenciement abusif.
Libé - Second tour : le désistement républicain divise à gauche
A Brignoles et Perpignan, les candidats arrivés derrière la droite et le FN, se retirent pour contrer l'extrême droite. D'autres se maintiennent.
Ils ont fini par trancher leur dilemme. Se maintenir ou se retirer pour éloigner le risque de voir l’extrême droite conquérir leur ville ? Obéir aux consignes de «désistement républicain» données à l’unisson par le PS, EE-LV, le PG et le PCF ou tenter d’obtenir quelques sièges dans l’opposition au conseil municipal ?
26 mars
Le Monde - Municipales : dans quelles villes la gauche sera-t-elle unie au second tour ?
Après le premier tour des municipales, les tractations en vue du second ont duré jusqu'au dépôt des listes, à 18 heures mardi. A Paris, à Nantes ou à Lyon, les listes socialistes ont fusionné avec les écologistes. A Grenoble, aucun accord n'a été trouvé et à Avignon, une fusion avec le Front de gauche est censée faire barrage au FN.
Le Monde (blog) - A Grenoble, le « choix de la division » des socialistes
Coup de tonnerre à Grenoble. Arrivé en deuxième position dimanche au premier tour des municipales derrière l'écologiste Eric Piolle, le candidat socialiste Jérôme Safar a finalement décidé de se maintenir. Il y aura donc quatre listes qui s'affronteront dimanche : deux à gauche, une de l'UMP et une du FN.
Libé - A Grenoble, les socialistes sourds à l'alliance
Malgré des négociations menées jusqu'à Paris, le socialiste Jérôme Safar a refusé de se ranger derrière la liste Europe Ecologie-Les Verts-Parti de gauche arrivée en tête au premier tour.
Lyon Capitale - Pourquoi les Verts ont rallié Collomb
L'accord est gagnant-gagnant. Les Verts conservent des postes à la Ville comme au Grand Lyon. Gérard Collomb lui se donne les moyens de sortir du jeu Nathalie Perrin-Gilbert dans le 1er et Michel Havard dans le 5e. Se faisant, il en profite pour semer la zizanie dans les rangs écolos.
Libé - A Paris, les discussions PS-Front de gauche s'achèvent sur un échec
Le désaccord a été acté dès la nuit de dimanche à lundi. Au prix d'un net durcissement des relations entre le Parti de gauche et le PCF, allié au PS.
«J’en ai la nausée.» Au siège de campagne de Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche à Paris, les militants fulminent. Quarante-huit heures après le premier tour du scrutin municipal, c’est acquis : aucun accord ne sera trouvé avec la candidate socialiste Anne Hidalgo. Dans ces conditions, il sera difficile pour leur camp d’être représenté au conseil de Paris – comme il l’était jusqu’à présent, avec deux élus ex-PS ayant rejoint le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon en 2008.
Le Monde - Baylet « désavoue totalement l'accord avec Gaudin » et étrille Mennucci
Le président du Parti radical de gauche (PRG), Jean-Michel Baylet a vivement réagi, mardi 25 mars, à l'annonce faite un peu plus tôt du ralliement-surprise de la candidate PRG Lisette Narducci, fortement soutenue par le président du Conseil général Jean-Noël Guérini, aux listes UMP de Jean-Claude Gaudin.
Le Monde - Municipales : premiers règlements de compte au PS
Au PS, l'heure est aux règlements de compte après les résultats du premier tour de l'élection municipale. Delphine Batho, députée PS des Deux-Sèvres et ex-ministre de l'écologie, débarquée au mois de juillet pour avoir critiqué son budget, est l'une des premières à dégainer dans le Parisien.
Le Monde - Municipales : le point sur les alliances et les désaccords
Après le premier tour des municipales, place à la préparation du second. Les tractations ont commencé dès lundi matin pour négocier des accords et présenter des listes reconfigurées avant mardi 25 mars à 18 heures. Plusieurs cas se présentent avec des objectifs différents. Des fusions simples entre listes sont en cours de négociation, et des retraits de liste sont à attendre. Le porte-parole du PS, David Assouline, a notamment précisé que « les listes qui ne se retireraient pas en cas de menace FN n'auront pas l'investiture du PS » pour le second tour, sans plus de précisions.
25 mars
Le Monde - A Montreuil, un accord Front de gauche-EELV-PS contre Brard
La guerre des gauches continue à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Cinq listes s'affrontaient au premier tour (sept en comptant l'extrême gauche), elles seront trois au second. Patrice Bessac, candidat du Front de Gauche qui a recueilli 18,81% des voix, dimanche 23 mars, conduira une liste avec Ibrahim Dufriche-Soilihi (EELV) qui a obtenu 15,25% des suffrages. Le PS s'est rallié à l'accord après que son candidat, Razzy Hammadi, n'a pu accéder au second tour puisqu'il n'a obtenu que 9,8% des suffrages.
Le Monde - Municipales : pas d'accord PS-PG à Toulouse
Malgré la menace pour la gauche de perdre Toulouse – durement acquise en 2008 avec seulement 1 209 voix d'avance, après plus de trente-sept ans de mandature de centre-droit –, Jean-Christophe Sellin, le candidat du Parti de gauche, a annoncé mardi en fin de matinée qu'il ne donnerait pas de consigne de vote pour le second tour. En cause : le refus du maire sortant Pierre Cohen (PS) de trouver un accord de fusion avec sa liste.
Le Monde - Municipales : pas d'accord entre le PS et les Verts à Grenoble
Le candidat PS à la mairie de Grenoble, Jérôme Safar, arrivé deuxième avec 25,31 % des voix derrière celui d'EELV et du Parti de gauche, Eric Piolle (29,41 %), a annoncé qu'il se maintenait au second tour pour « gagner », refusant de fusionner les listes.
Le Monde - Municipales : quadrangulaire au second tour à Montpellier
« Nous ne ferons d'accord avec personne, nous irons tout droit jusqu'à la victoire, sans soumission, sans concession, hasta la victoria ! » Mardi 25 mars, à quelques heures du dépôt des listes pour le second tour, le candidat dissident socialiste, Philippe Saurel, arrivé deuxième au premier tour a mis fin au suspens.
Le Huffington Post - Municipales: un remaniement gouvernemental attendu après le second tour
En mars 2008, Nicolas Sarkozy avait laissé passer deux jours après le second tour pour remanier à la marge son gouvernement. Six nouveaux entrants, peu de départs... Moins d'un an après la présidentielle, la droite encaissait à l'époque un premier désaveu lors des élections municipales, qui avaient vu Toulouse et Strasbourg basculer dans l'escarcelle d'un Parti socialiste revigoré
Les Echos - Municipales : au PS, le front de soutien à Jean-Marc Ayrault se fissure
Au gouvernement, on élude la question de l’éventuel départ du Premier ministre dans les semaines à venir. D’autres, au Parti socialiste, n’hésitent pas à affirmer que le départ de Jean-Marc Ayrault est inéluctable.
Le Nouvel Obs - Hollande : et s'il s’auto-remaniait ?
Le président doit se jeter dans la fosse aux lions du jeu médiatique, fendre l’armure, en finir avec sa sempiternelle stratégie de l’esquive.
Libé - Municipales : comment le PS a fait fuir les électeurs
Quelle est la véritable progression du FN ? Quelles sont les villes les plus abstentionnistes ? La droite a-t-elle gagné ? «Libération» décrypte les votes.
Rue 89 - Message à Hollande : le changement, c’est maintenant
Fort taux d’abstention, bons scores du Front national, débâcle du PS à Marseille... Le message envoyé par les Français lors de ce premier tour des municipales est clair : le gouvernement fait fausse route.
Le Progrès - Lyon: la liste Collomb fusionne avec EELV face à la «percée du FN»
La liste du maire PS de Lyon Gérard Collomb, en ballottage pour le second tour avec 35,76% des suffrages, a fusionné lundi avec celle d’EELV (8,90%) pour le second tour, notamment en raison de la percée du Front national, a annoncé son entourage.
Après le premier tour des municipales, place à la préparation du second. Les tractations ont commencé dès lundi matin pour négocier des accords et présenter des listes reconfigurées avant mardi 25 mars à 18 heures. Plusieurs cas se présentent avec des objectifs différents. Des fusions simples entre listes sont en cours de négociation, et des retraits de liste sont à attendre. Le porte-parole du PS, David Assouline, a notamment précisé que « les listes qui ne se retireraient pas en cas de menace FN n'auront pas l'investiture du PS » pour le second tour, sans plus de précisions.Le Monde - Municipales : les listes de gauche fusionnent à Avignon
Au terme d'une longue négociation, le PS et le Front de gauche sont parvenus, mardi 25 mars en fin de matinée, à un accord de fusion de leurs listes à Avignon pour le second tour des municipales. La nouvelle liste de gauche qui en est issue, et qui sera officiellement déposée dans l'après-midi, affrontera au second tour dans une triangulaire la liste du Rassemblement bleu Marine conduite par Philippe Lottiaux, arrivée en tête le 23 mars avec 29,63 % des suffrages exprimés – soit 27 voix d'avance sur la liste conduite par la socialiste Cécile Helle (29,54 %) –, ainsi que la liste conduite par l'UMP Bernard Chaussegros (20,91 %). Le Front de gauche, dont la liste dirigée par le communiste André Castelli avait obtenu 12,46 % au premier tour, était en capacité de se maintenir.
Le Monde- A Toulouse, le PS et EELV fusionnent pour faire barrage à la droite
En ce lendemain de premier tour, lundi 24 mars, le maire sortant de Toulouse, Pierre Cohen (PS), a affiché la sérénité et la détermination de ceux qui ont repris les choses en mains après avoir subi un revers douloureux. Hier soir encore, il encaissait le choc des six points d'avance de son challenger UMP Jean-Luc Moudenc – qui a totalisé 38,2 % des suffrages –, quand il s'attendait à être devancé de deux à trois points « maximum ».
Le Monde - Béziers : le candidat PS veut se maintenir face à Robert Ménard
A l'issue d'une réunion organisée lundi 24 mars avec une centaine de militants socialistes de Béziers, le candidat du parti Jean-Michel du Plaa, arrivé troisième dimanche au premier tour, a laissé clairement entendre qu'il maintiendrait sa candidature au second tour. Et ce malgré le risque de voir Robert Ménard, soutenu par le FN, l'emporter dimanche prochain dans cette ville de 70 000 habitants.
Le Monde - Face au FN, un front républicain s'ébauche à Fréjus
A Fréjus, d'âpres négociations sont en cours pour opposer un front républicain au candidat du FN, David Rachline, arrivé largement en tête (40,3 %) au premier tour des élections municipales. Ces discussions, confirmées au Monde par le maire sortant, Elie Brun (droite), visent à éviter une potentielle quadrangulaire en fusionnant la liste de ce dernier, arrivé 3e du scrutin avec 17,6 % des voix, et celle du candidat investi par l'UMP, Philippe Mougin, en deuxième place avec 18,8 %.
Libé - Grenoble se donne aux Verts par surprise
La liste conduite par Eric Piolle est arrivée en tête devant le PS et l'UMP.
Grenoble, laboratoire de la gauche non socialiste ? Eric Piolle, candidat EE-LV à la tête d’une liste d’alliance comprenant notamment le Parti de gauche, est arrivé en tête au premier tour des municipales ce dimanche, devant le socialiste Jérôme Safar, dauphin désigné du maire sortant Michel Destot, et l’UMP Matthieu Chamussy. Il a recueilli 29,41% des voix contre 25,31% pour Safar et 20,86% pour Chamussy. Avec 12,56% des voix, le FN peut se maintenir au second tour.
20 minutes - Grenoble: Pourquoi les Verts sont-ils numéro 1?
Jérôme Safar a vécu une sale soirée dimanche soir. Annoncé vainqueur dans les sondages, le candidat socialiste a été devancé de quatre points par son concurrent écologiste Eric Piolle. Le politologue Simon Labouret analyse ce retournement de situation pour 20Minutes…
Libé - A Grenoble, PS et Verts vont-ils enterrer la hache de guerre ?
La liste conduite par le candidat EE-LV Eric Piolle est arrivée devant celle du socialiste Jérôme Safar, dauphin de Michel Destot, le maire sortant. Des discussions pour faire liste commune au second tour sont en cours.
Rue 89 Lyon - Lyon 2014 : FN renforcé, gauche divisée, Gérard Collomb joue serré pour garder Lyon
Il est en tête dans six arrondissements sur neuf mais n’en remporte aucun au 1er tour. Pas le grand chelem rêvé. Gérard Collomb fait toutefois un bon score, dans une France où les socialistes n’ont pas eu la cote. Pour le second tour, il doit composer avec un Front national pour la première fois aussi important (soit 12,19% des voix), et surtout avec sa gauche est divisée. Jouera-t-il la carte du rassembleur ?
Lyon Capitale - Accord imminent entre les écolos et Collomb à Lyon
"Vous en saurez plus vers 15 heures. Les négociations avancent assez vite", nous a confié un socialiste qui participe aux discussions entre Gérard Collomb et les écologistes. Depuis dimanche soir tard dans la nuit, les deux listes de gauche ont entamé des tractations. Initialement, les représentants d'Europe-Écologie-Les Verts demandaient 20 conseillers d'arrondissements ainsi qu'une mairie d'arrondissement : le 1er pour Émeline Baume ou le 7e. Gérard Collomb les aurait ramener à plus de modestie.
Lyon Capitale - Pas d'accord PS/Front de Gauche à Lyon
Le maire, Gérard Collomb, ne signera pas un accord de second tour avec les listes Gram/Front de Gauche à Lyon. Le Front de Gauche a refusé de signer un accord sur seulement 8 arrondissements et s'est montré solidaire de Nathalie Perrin-Gilbert que Gérard Collomb voulait maintenir hors de l'accord.
Libé - Pour Hollande, la claque
Elu en voulant «apaiser» le pays, le Président assiste à une poussée historique du FN. Un désaveu.
C’est bien un scénario noir pour François Hollande qui est sorti des urnes de ce premier tour des municipales. La France a voté, et c’est une France en crise qui a voulu infliger un désaveu au gouvernement, à la gauche et à la politique en général.
Le Monde - Une abstention-sanction pour le Parti socialiste
Le PS en avait fait son espoir principal, celui qui était à même de masquer une éventuelle perte massive de villes moyennes. Sauf qu'à Marseille, rien ne s'est passé comme prévu au premier tour pour les socialistes. Selon nos premières estimations, Patrick Mennucci n'arrive qu'en troisième position avec 21,2%, derrière le maire sortant UMP Jean-Claude Gaudin (36,5%) et le candidat du FN Stéphane Ravier (22,5%). Une claque totalement inattendue pour le socialiste, qui pourrait notamment s'expliquer par les mauvais résultats de ses co-listiers Marie-Arlette Carlotti et Christophe Masse dans les 3e et 6e secteurs
24 mars
Le Monde - Un vote-sanction contre la politique de Hollande ?
Le Parti socialiste est en net recul lors de ce premier tour des élections municipales. S'agit-il d'un vote-sanction contre la politique du gouvernement ? Le « front républicain » sera-t-il la réponse de l'exécutif ? Les explications de David Revault-d'Allonnes, journaliste au service politique du Monde
Le Monde - Valls : le message de l'abstention, "tous les responsables politiques doivent l'entendre"
Le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, a estimé dans la nuit de dimanche à lundi que « tous les responsables politiques » devaient entendre le message de l'abstention « trop élevée » au premier tour des élections municipales.
Le Monde - A Lyon, Gérard Collomb (PS) résiste à la « vague bleue »
Le maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb, est en ballottage favorable, dimanche 23 mars, au soir du premier tour des élections municipales, dont il est sorti en tête avec 35,76 % des voix, devançant de 5 points son adversaire UMP, Michel Havard.
Le Monde - A Grenoble, le candidat écologiste crée la surprise
C'est un petit tremblement de terre politique qui vient de se produire à Grenoble. Après dix-neuf ans de domination socialiste, les écologistes sont en passe de s'emparer de la mairie. Arrivé en tête du premier tour dimanche 23 mars, Eric Piolle obtient 29,41 % des voix devant le socialiste Jérôme Safar (25,31 %) et l'UMP Matthieu Chamussy (20,86 %). Avec 12,56 % des voix, le FN parvient aussi à se qualifier.
Le Monde - A Lille, le Front national et la colère de Martine Aubry
Sans surprise à Lille, la maire sortante socialiste Martine Aubry est arrivée en tête avec 34,86 %, soit douze points de moins qu'en 2008. Mais pour la première fois, le PC est parti seul au premier tour avec la liste Front de gauche qui décroche 6,17 % des suffrages.
Le Monde - Roubaix : abstention record et gauche affaiblie au premier tour des municipales
Avec dix listes pour ce premier tour des municipales, la ville la plus pauvre de France se distingue par un taux d'abstention record : 61,58 % des électeurs roubaisiens ne se sont pas déplacés (contre 60,48 % en 2008).
Le Monde - Municipales : Ries, au coude à coude avec Keller à Strasbourg
Peu après 17 heures, dimanche 23 mars, un premier chiffre est venu inquiéter Roland Ries. Avec une participation près de six points inférieure à 2008, le maire de Strasbourg et son entourage se sont dit que cette soirée d'élection municipale n'allait pas être fameuse. La bataille, face à l'UMP Fabienne Keller, était annoncée très serré par les sondages.
Le Monde - Municipales : situation très compliquée pour le PS à Montpellier
A Montpellier, les résultats quasi définitifs tombés vers 22 heures dans la soirée de ce dimanche 23 mars ne permettent toujours pas d'y voir plus clair. Comme le prévoyaient les estimations, le candidat investi par le Parti socialiste, Jean-Pierre Moure, arriverait bien en tête avec 25,2 % des suffrages, devant le candidat socialiste dissident, Philippe Saurel, et l'UMP Jacques Domergue, qui se disputent âprement la place de deuxième, entre 22,9 % pour le premier et 22,5 % pour le second.
Selon un sondage OpinionWay pour « Le Figaro », les enjeux locaux ont primé auprès d’électeurs par ailleurs peu intéressés par la campagne des municipales.
Le Nouvel Obs - Claque, plébiscite ou ballotage : quid des ministres candidats ?
La liste de Fabius l'a largement emporté a Grand-Quevilly. Frédéric Cuvillier, qui l'avait emporté dès le premier tour au dernier scrutin, est mis en ballotage. Marie-Arlette Carlotti est défaite à Marseille.
Libé - Le Parti socialiste à la peine
Le Front national est en tête dans plusieurs villes comme Hénin-Beaumont ou Perpignan. Marine Le Pen parle d'un «cru exceptionnel».
Abstention en hausse, forte poussée du Front national, réélection de plusieurs personnalités dès le premier tour : les élections municipales livrent leurs premiers enseignements, les opérations de dépouillement étant achevées dans de nombreuses communes. Libération synthétise ici les principales informations sur le scrutin – et les actualisera au fil de la soirée.
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L'actualité des socialistes du 17 au 23 mars (mise à jour)
Dernière mise à jour jusqu'à dimanche soir pour cause de fin de campagne électorale. Une fin de semaine exclusivement consacrée aux réflexions.
A la une
Rue 89 - « De la difficulté d’être normal… » : Christiane Taubira répond à Nicolas Sarkozy
Et voilà que la France, cette vieille République qui a érigé l’égalité en passion nationale, a inventé pour y parvenir la fiction du citoyen sans origine, ni « race », ni religion. Et afin que nul ne l’ignore, elle l’a inscrit à l’article premier de sa Loi fondamentale, la Constitution.
Le Monde - François Hollande répond à la tribune de Nicolas Sarkozy
François Hollande a affirmé à Bruxelles que "toute comparaison avec des dictatures (était) forcément insupportable", en réponse à la tribune de Nicolas Sarkozy comparant les écoutes le visant aux méthodes de la Stasi.
21 mars
Challenges - L'exécutif français suspendu aux résultats des municipales
"Confiants mais prudents" : telle est la formule consacrée dans l'entourage du Premier ministre à quelques jours des élections municipales, premier test depuis le début d'un quinquennat de François Hollande entamé dans la douleur. Malgré leurs faibles cotes de popularité, chef de l'Etat et chef du gouvernement espèrent que les dégâts resteront limités pour les socialistes dans un scrutin aux enjeux locaux par définition
Libé - Municipales : la gauche a des rêves de Bourges
Après trois mandats, le maire sortant UDI, Serge Lepeltier, ne se représente pas. Du coup, la droite se divise et la gauche espère en profiter.
Dans la capitale berrichonne, la gauche se met à y croire. Après trois mandats consécutifs, Serge Lepeltier (UDI), maire de Bourges, jette l’éponge. Si la décision de cet ancien ministre de Jean-Pierre Raffarin, passé par le RPR et l’UMP, n’est pas une surprise, elle a tout de même fait imploser la droite locale, aucun des potentiels successeurs n’acceptant de céder la place de leader.
Europe 1 - Les municipales peuvent-elles faire basculer le Sénat ?
UN SCRUTIN EN CACHE UN AUTRE - En désignant les conseillers municipaux, les municipales vont indirectement impacter le Sénat. À quel point ?
Le Monde - Harlem Désir demande à Nicolas Sarkozy de «s'expliquer devant les français»
L'affaire des écoutes judiciaires de Nicolas Sarkozy marque les derniers jours de la campagne des élections municipales. Invité mercredi de l'émission Questions d'info sur LCP en partenariat avec Le Monde, France info et l'AFP, Harlem Désir s'est montré très offensif. Il demande à l'ancien président de la République de s'expliquer devant les Français.
20 mars
S’il y avait encore un doute, il vient d’être levé. Les écoutes judiciaires mises en place à l’encontre de Nicolas Sarkozy font désormais apparaître tous les éléments d’un scandale d’Etat que la droite elle-même ne pourra pas nier. Les révélations de Mediapart sur le contenu des enregistrements récupérés par les juges justifient pleinement l’enquête ouverte pour trafic d’influence et violation du secret de l’instruction.
Le blog de Françoise Fressoz - Municipales J – 4 : l’impossible job d’Harlem Désir
Dur métier que celui de premier secrétaire du PS. Harlem Désir incarne le national, il est celui que les maires socialistes n'ont pas envie de voir. Il en est conscient, ne s'impose pas, mise sur les petites villes plutôt que sur les grands meetings. Profil bas !
Libé - Ecoutes : Vallaud-Belkacem pointe la «gravité des soupçons»
Le contenu des écoutes de conversations entre Nicolas Sarkozy et son avocat, révélé par Mediapart, suscite de nombreuses réactions indignées à gauche, tandis que la droite insiste sur la présomption d'innocence.
Libé -Manuel Valls appelle à la «lucidité» face à l’antisémitisme
Le ministre de l'Intérieur s'exprimait lors d'un rassemblement à Paris, deux ans après la tuerie de Toulouse.
Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a appelé mercredi à «être lucide», à «réfléchir» et à «résister» face à l’antisémitisme, lors d’un rassemblement organisé à Paris deux ans après la tuerie de Toulouse.
Le Figaro - Montebourg et le remaniement : «J'attends de savoir qui est le premier ministre»
LE SCAN - Cité dans une enquête du journal Le Monde, le ministre du Redressement productif conditionne sa présence au gouvernement au choix du locataire de Matignon.
En vue d'un éventuel remaniement au lendemain des municipales, Arnaud Montebourg pose ses conditions. Selon les journaliste du Monde, il affirmerait en privé: «Je ne suis pas éternellement candidat à être dans un gouvernement. J'attends de savoir qui est le premier ministre, après on verra».
19 mars
Le blog de Françoise Fressoz - J – 6 Municipales : un scrutin très national
Tous les sondages l'indiquent : les municipales dont le premier tour a lieu dimanche 23 mars sont d'abord des élections locales. Une enquête LH2 réalisée pour la presse régionale et France bleue et dont les résultats ont été publiés le 14 mars fournit des chiffres éloquents : interrogés sur le critère déterminant de leur vote, 70 % des sondés répondent qu'il s'agit « du bilan de leur maire et de l'équipe municipale » et 69 % précisent qu'ils voteront « en fonction d'enjeux locaux en priorité ».
Les Décodeurs - Les approximations du PS sur le bilan du gouvernement
Fin février, le Parti socialiste diffusait sur Internet un tract vantant les 18 mois d'action du gouvernement, tant du point de vue du « progrès social » que du « redressement de la France ». Les Décodeurs ont passé au crible ce document, qui révèle un certain nombre d'imprécisions, ainsi que quelques erreurs factuelles. Pour les découvrir, passez votre curseur sur les pictogrammes qui s'affichent sur le document.
Le Figaro - Municipales : Bruno Le Roux ne croit pas à «une raclée» pour la gauche
Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale vante la «capacité de travail» et la «loyauté vis-à-vis du chef de l'État» de Jean-Marc Ayrault.
Le patron des députés socialistes ne ressent «pas d'agressivité» dans la campagne des municipales. «Il y a une espèce de suspension dans cette campagne, qui est plutôt agréable à vivre même si je suis plutôt dans le flou sur la mobilisation», explique Bruno Le Roux, candidat en troisième position sur la liste socialiste à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) contre la maire sortante Front de gauche Jacqueline Rouillon.
Les Echos - Bernard Cazeneuve, l’homme qui cherchait 50 milliards
Ce fabiusien discret qui s’était abstenu de choisir lors de la primaire socialiste est devenu un homme clef pour François Hollande. Armé d’un humour redoutable, le ministre délégué au Budget mène une mission périlleuse : mettre en œuvre la rigueur.
Le Monde - A Paris, vingt élections pour un seul maire
Si la gauche, en particulier à Paris, commence à se faire un sang d'encre en se demandant si l'abstention de ses électeurs ne va pas peser plus qu'attendu sur les municipales des 23 et 30 mars, tous les voyants sont cependant au vert depuis le début de la campagne pour le PS dans la capitale. Le mode de scrutin l'avantage et aucun sondage n'est venu sonner l'alerte. Rappel des données électorales et d'opinion à moins d'une semaine du premier tour.
Lyon Capitale - Belinga, soutenue par Collomb, mène ses troupes dans le 1er
Odile Belinga, candidate issue de la société civile, a profité de la venue de Gérard Collomb pour descendre les pentes de la Croix-Rousse en sa compagnie et dynamiser un peu sa campagne dans le 1er arrondissement.
Libé - Le bilan de Hollande vu et déformé par les infographistes de l'UMP
DÉSINTOX L'UMP dégaine une série de quatre chiffres accablants... Le jeu consiste à trouver celui qui est vrai. Pas simple.INTOX. A quelques jours du premier tour des municipales, l’UMP dégaine un nouvel argumentaire viral sous la forme d’une infographie censée dresser le bilan de l’action de François Hollande, et convaincre les électeurs de se servir des scrutins du 23 et du 30 mars pour «dire stop» au Président.
18 mars
Le Monde - Circulation alternée : les dessous d'un arbitrage politique
A une semaine du premier tour des élections municipales, le risque était sans doute trop grand de ne pas agir. Le gouvernement s'est résolu, samedi 15 mars, après cinq jours consécutifs d'une pollution aux particules particulièrement sévère, à mettre en place, lundi, la circulation alternée à Paris et dans les 22 communes de sa petite couronne. L'exécutif a beaucoup hésité, redoutant l'impopularité de la mesure.
Libé - Municipales : le PS dénonce le «pic de pollution du débat public» à droite
Le Parti socialiste appelle à «respecter le moment démocratique» des municipales et à la mobilisation dans les urnes.
Le PS a dénoncé lundi «le pic de pollution du débat public» atteint ces deux dernières semaines par «les affaires et les coups tordus de la droite», lançant un appel à la «mobilisation» pour que les citoyens se rendent «massivement» aux urnes lors des municipales.
Libé - A Lyon, Gérard Collomb à peine en campagne
A quelques jours du premier tour, le maire sortant mène une campagne d'une rare discrétion.
Pour la dernière semaine avant le premier tour des municipales, Gérard Collomb, le sénateur-maire de Lyon, candidat à sa réélection, n’a pas franchement le pied au plancher. Selon l’agence chargée de sa communication, il doit participer à «deux débats» organisés par France 3 et le Progrès. Quelques interviews sont également prévues.
INFO OBS. Sarkozy écouté : le cabinet de Taubira savait. Pas la ministre
"Je ne savais pas", a juré la ministre. Le pis, c’est que c’est vrai ! Sa directrice de cabinet était au courant mais n’a fait suivre l’information qu’à Matignon. Histoire d’un amateurisme coupable.
Le Monde - Ecoutes de Sarkozy : Taubira n'aurait pas été avertie par sa directrice de cabinet
Christiane Taubira avait affirmé, le 10 mars sur TF1, ne pas avoir été informée de la mise sur écoute de Nicolas Sarkozy et en avoir découvert l'existence dans les colonnes du Monde, trois jours avant. Le Nouvel Observateur affirme, lundi 17 mars, que sa directrice de cabinet, informée depuis le 26 février, n'a, en réalité, pas fait remonter l'information à sa ministre, mais seulement au cabinet du premier ministre.
Le Point - Baromètre Ipsos : sale temps pour Taubira !
Outre la garde des Sceaux, Duflot, Sarkozy, Copé et Valls chutent. C'est le mois de la fessée dans notre baromètre Ipsos. Ça sent le ras-le-bol !
Les décodeurs - Bus diesel : l'amnésie sélective d'Anne Hidalgo
Sur fond de pic de polution et de circulation alternée, Anne Hidalgo s'en est pris ce week-end à… un écologiste. La candidate PS a accusé, lors d'un point presse, le vice-président du Syndicat des transports d'Ile-de-France (STIF), Pierre Serne (Europe-Ecologie), d'avoir validé une commande de bus Diesel fin 2013.
Le Monde - François Hollande se veut le garant d'une justice « incontestable »
A la fin d'une semaine marquée par la polémique entre l'opposition et Christiane Taubira, François Hollande s'est exprimé pour la première fois publiquement, samedi 15 mars, sur l'affaire des écoutes visant Nicolas Sarkozy. « La justice passera et je dois faire en sorte qu'elle puisse être incontestable, parce qu'elle ne peut pas être contestée », a déclaré le chef de l'Etat au côté de Matteo Renzi, le nouveau président du conseil italien, lors d'un point de presse commun à l'Elysée.
17 mars
Le Temps.ch - L’autorité de Hollande, un enjeu derrière la bataille pour Paris
Les prochaines élections municipales en France s’annoncent difficiles pour la majorité socialiste. Le PS compte sur sa victoire à Paris pour atténuer les conséquences d’une défaite nationale. Cette victoire est-elle acquise, comme les sondages le suggèrent, interroge le journaliste Jean Bothorel
Le Nouvel Obs - Municipales: à Marseille, l'élection se joue dans 2 ou 3 secteurs
A Marseille, l'élection municipale pourrait se jouer à quelques centaines de voix dans deux ou trois secteurs sur les huit que compte la ville, notamment le 3e où la ministre Marie-Arlette Carlotti (PS) affronte le sortant Bruno Gilles (UMP) et le 6e où un candidat de droite dissident pourrait faire la différence.
BFM TV - Pascal Lamy: "ministre de l'Economie, c'est pas mon trip"
Invité de BFM Politique dimanche soir, l'ancien directeur de l'OMC a expliqué ne pas être intéressé par un éventuel poste au gouvernement.
Marianne - Yamina Benguigui, soutenue par personne
Malgré les allégations de son « entourage », la ministre de la Francophonie n’est soutenue ni par François Hollande, ni par Jean-Marc Ayrault ni par Anne Hidalgo. Ses explications sont jugées insuffisantes.
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L'actualité des socialistes du 10 au 16 mars (mise à jour)
A la une
Le Figaro - Le PS redoute abstention et vote sanction
L'État d'esprit des socialistes à une semaine des municipales? «Il n'y a pas de campagne», se désole un ministre, stupéfait du peu d'entrain autour du scrutin. Il y a encore deux semaines, chacun se rassurait au PS en claironnant «la cristallisation se joue maintenant». Pourtant, en dépit de leur campagne de terrain, les socialistes redoutent de voir se réaliser leur crainte la plus forte: une très importante abstention sur fond de multiplication des affaires à droite et de nouvelle crise gouvernementale à gauche.
15 et 16 mars
Le Monde - Municipales : la carte des sondages ville par ville
Les sondages se multiplient avant les élections municipales des 23 et 30 mars. Nous vous proposons de retrouver sur cette carte la dernière étude d'opinion réalisée pour chaque ville sondée.
Rue 89 - Transports gratuits ce week-end dans une Lyon polluée : argument de campagne ?
Des transports collectifs gratuits pour inciter à moins utiliser de voitures personnelles polluantes, Paris l’a fait ce jeudi, suivie de Caen, Rouen, Grenoble et Reims. Et, enfin, de Lyon. Les TCL seront donc gratuits ce week-end.
Le Monde - Christiane Taubira : « Je n'ai aucun sentiment de lâchage »
Le contenu des documents, très imprudemment brandis par Christiane Taubira lors de sa conférence de presse, mercredi 12 mars, est extrêmement embarrassant pour la ministre de la justice.
14 mars
Le Monde - Ecoutes de Sarkozy : Taubira admet s'être « trompée de dates »
La ministre de la justice, Christiane Taubira, a admis, jeudi 13 mars au soir, s'être « trompée de dates » en affirmant, dans un premier temps, n'avoir appris que par la presse le placement sur écoute de Nicolas Sarkozy.
Le Monde - Municipales J-10 : les enjeux à Paris, Aubry fait la course en tête
Libé - Contre la pollution, Lyon met le petit braquet
Pour diminuer la pollution de l'air, le maire propose pour seule mesure une heure gratuite de vélo en libre-service.
Les Lyonnais moins courageux que les Parisiens en matière de lutte contre la pollution ? Tandis que le président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, à la tête de l’autorité organisatrice des transports dans la région - le Stif -, a décrété que les transports en commun d’Ile-de-France seraient gratuits«pendant toute la durée de l’épisode de pollution», son homologue lyonnais, le Sytral n’envisage rien de tel.
Le Monde - Municipales : la carte des villes qui peuvent basculer
Le Monde - Dans les petites communes, l'obligation de déclarer une nuance politique passe mal
Une nouveauté électorale crée un émoi inédit dans les petites communes, à l'occasion du scrutin municipal des 23 et 30 mars : l'attribution de « nuances politiques » aux listes souhaitant se présenter sans étiquette. Mardi 11 mars, Jean Abiteboul, candidat sortant à La Houssaye-en-Brie (Seine-et-Marne) a découvert que, selon le fichier officiel des candidatures diffusé par le ministère de l'intérieur, il conduit une liste « divers droite ». Un comble pour celui qui se dit « de gauche » à titre personnel.
13 mars
Com' c'est bizarre - Tous des menteurs ?
Dans les équipes de football, les mauvaises défenses se reconnaissent à leur incapacité à remonter le ballon vers leurs attaquants. Elles le dégagent à l’aveugle et, de ce fait, redonnent l’initiative à l’adversaire qui le récupère. En communication politique, c’est un peu pareil. Le mauvais réflexe, lorsqu’on est mis en cause, est de choisir une argumentation automatique et fragile qui donne l’occasion au camp adverse de relancer l’offensive. Voilà précisément ce qui vient de se passer avec l’affaire des dénégations hasardeuses de ministres sur leur niveau de connaissance des écoutes concernant Nicolas Sarkozy.
Libé - Ecoutes : les courriers envoyés à Taubira révélés
«Le Monde» a dévoilé le contenu des documents brandis par la garde des Sceaux mercredi midi, à l'issue du Conseil des ministres.
Libé - Taubira prise en faute, pas la justice
BILLET En prétendant contre toute évidence avoir appris par la presse les soupçons de corruption pesant sur Nicolas Sarkozy, Christiane Taubira a commis une triple faute. Faute morale tout d’abord, car ses déclarations de lundi soir, démenties le lendemain par le Premier ministre, apparaissent au mieux comme une insigne maladresse, au pire comme un mensonge.
Le Monde - Les documents brandis par Taubira contredisent sa défense
« Non, je n'ai pas d'informations concernant la date, la durée, le contenu des interceptions judiciaires », a assuré Christiane Taubira, juste après le conseil des ministres du mercredi 12 mars. Accusée de mensonge par la droite dans l'affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy, la ministre de la justice a brandi deux lettres. L'une du procureur national financier, Eliane Houlette, adressée au procureur général de Paris, l'autre d'un représentant de ce dernier à la garde des sceaux. Sur les photos de ces documents, le contenu des lettres est facilement lisible, même si certains passages sont cachés par la main de Mme Taubira.
Le Monde - Les documents brandis par Taubira renforcent les soupçons contre Sarkozy
Le contenu des documents, très imprudemment brandis par Christiane Taubira lors de sa conférence de presse, mercredi 12 mars, est extrêmement embarrassant pour la ministre de la justice. Ces deux rapports émanant du procureur général de Paris et du procureur national financier (PNF) contredisent formellement les affirmations successives de la garde des sceaux.
Libé - A Montreuil, la gauche à la manœuvre
Micmac à Montreuil, suite. Dans la ville qui a vu sa maire sortante, Dominique Voynet (EE-LV), jeter l’éponge, la gauche est en pleines manœuvres avant même le premier tour. Un sondage Ipsos (réalisé pour France 3 les 7 et 8 mars auprès de 603 personnes) vient en effet confirmer à quel point la prise de la mairie reste indécise selon les alliances qui se noueront - ou pas - au second tour.
IPSOS - Jean Germain (PS) en position favorable
Maire de Tours depuis 1995, Jean Germain est en situation d'obtenir un troisième mandat. L'enquête d'intentions de vote Ipsos/Steria réalisée pour France 3 Centre à deux semaines du scrutin crédite sa liste au 1er tour de 38% d'intentions de vote, contre 35% à la liste UMP-UDI conduite par Serge Babary.
Le Monde - Ecoutes de Sarkozy : Ayrault confirme avoir été informé
Jean-Marc Ayrault et Christiane Taubira ont été informés de l'existence d'écoutes téléphoniques visant l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy, mais n'ont pas eu accès à leur contenu, a déclaré mardi 11 mars le premier ministre.
12 mars
France 3 - Municipales 2014. Sondage exclusif : Jérôme Safar (PS) en tête suivi d'Eric Piolle (EELV) et de Matthieu Chamussy (UMP) à Grenoble. Le FN éliminé.
Selon un sondage exclusif Ipsos-Stéria pour France 3 Alpes, le candidat socialiste est très largement en tête au premier tour avec 34% des voix. Il devance Eric Piolle (EELV, 26%) et Matthieu Chamussy (UMP/UDI, 22%). Le Front National ne semble pas en mesure de se maintenir au second tour.
Les décodeurs - Quand Montebourg exagère l'indépendance du parquet
Les diverses affaires qui ont éclaté à droite embarrassent aussi, par ricochet, la majorité. En cause : les écoutes de Nicolas Sarkozy par les juges d'instruction Serge Tournaire et Roger Le Loire. Plusieurs personnalités, de droite, des ténors du barreau ou encore des associations, se sont élevés contre cette pratique, qu'ils jugent abusive. Et certains à l'UMP n'ont pas manqué de voir, derrière l'enquête des juges, la main du pouvoir ; ils arguent que François Hollande était nécessairement au courant.
Le Monde - Jérôme Lambert quitte le groupe PS à l'Assemblée et rejoint les radicaux
Jérôme Lambert, député (PS) de la Charente, s'apprête à quitter le groupe socialiste de l'Assemblée nationale pour rallier le groupe Radical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP), présidé par le radical de gauche Roger-Gérard Schwartzenberg.
Libé - Pacte de responsabilité: les leviers de Hollande pour baisser le coût de travail
INFO LIBÉ L’Elysée a enfin tranché sur les 10 milliards d’euros supplémentaires consacrés à la baisse du coût du travail.L’Elysée a enfin tranché sur les 10 milliards d’euros supplémentaires consacrés à la baisse du coût du travail, annoncés mi janvier par François Hollande dans le cadre de son «pacte de responsabilité».
11 mars
Libé - Mines : comment Montebourg a imposé son filon
RÉCIT Le ministre du Redressement productif a accéléré l'annonce de la création de la Compagnie nationale des mines de France alors que Matignon n'avait pas rendu tous les arbitrages.
Le Figaro - Grèce : il faut "desserrer un peu l'étau" (Bel)
Le président (PS) du Sénat français Jean-Pierre Bel a estimé lundi à Athènes qu'il faudrait "desserrer un peu l'étau sur la Grèce", rappelant notamment qu'il y avait "des approches différentes" du règlement de la dette du pays.
Libé - Marseille, le scrutin que tout le monde scrute
À SUIVRE A moins de deux semaines du premier tour des municipales, le sort de Marseille reste incertain, et passionnant. La ville va-t-elle repartir pour un quatrième mandat avec Jean-Claude Gaudin, maire (UMP) depuis 1995, élu municipal depuis près d’un demi-siècle ? Ou basculera-t-elle à gauche, avec Patrick Mennucci (PS) ? Les derniers sondages donnent l’avantage au sortant, mais la ville est soumise à la «loi PLM». On vote par secteurs, ce qui permet parfois d’être minoritaire à l’échelle de la ville mais de gagner pourtant, en faisant basculer un secteur qui vous rend majoritaire en conseillers municipaux.
Lyon Capitale - Collomb ministre ? L'actuel maire "exclut" de partir à Paris
Interrogé ce dimanche 9 mars sur I>Télé, Gérard Collomb a répété que sa priorité restait Lyon et les Lyonnais.
Libé - Anne Hidalgo veut donner la main aux Parisiens sur le budget
MUNICIPALES La candidate PS à la mairie de Paris souhaite mettre en place un «budget participatif», équivalent à 5% du budget d'investissement de la ville, soit 71 millions d'euros par an
Rue 89 Lyon - «LBK», le gamin des Minguettes, peut-il devenir maire de Vénissieux?
Aux prochaines élections municipales, le PCF canal historique risque de perdre Vénissieux, un de ses derniers bastions. Pour la première fois depuis 80 ans, les communistes auront un socialiste sur leur chemin : Lotfi Ben Khelifa, rebaptisé « LBK » par les communicants du PS. Un cantonnier devenu syndicaliste qui a grandi aux Minguettes10 marsLe temps d'une semaine, François Hollande, Jean-Marc Ayrault, le gouvernement et le PS sont sortis du collimateur où la droite les a remplacés.Pas question d'avouer. Même à demi-mot, les socialistes se gardent bien de se réjouir des malheurs de la droite en général et de Nicolas Sarkozy en particulier. Pourtant, la dernière semaine s'est révélée plutôt fastueuse pour eux.LE PLUS. Le Pacte de responsabilité était un engagement du président Hollande et le projet est en bonne voie puisqu'un accord a été trouvé avec les partenaires sociaux mercredi 5 mars. Mais avec un peu plus de volonté, le gouvernement pourrait aller beaucoup plus loin selon le député PS du Morbihan, Philippe Noguès.
Libé - Téléphonie mobile : Montebourg pour un retour à trois opérateurs
Le ministre du Redressement productif se déclare favorable à un rachat de SFR par Bouygues, mais souhaite des «engagements clairs» en matière d'investissements.
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