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L'actualité des socialistes du 28 avril au 11 mai (mise à jour)

Jusqu'au 11 mai, pour cause de vacances, l'actualité sera suivie beaucoup plus irrégulièrement. Chaque jour des vidéos ou des documents de réflexion seront toutefois proposés sur ce blog.
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9, 10 et 11 mai 

Le Figaro - Manuel Valls cajole les députés socialistes et garde un œil sur les frondeurs

Opération «câlinothérapie». Après le vote serré sur le programme de stabilité et à quelques semaines de la présentation des textes très sensibles rectifiant les budgets de l'État et de la Sécurité sociale pour 2014, Manuel Valls souhaite recoller les morceaux avec le groupe PS de l'Assemblée «en déshérence depuis deux ans», selon les mots d'un proche.

Le Monde - Européennes : la lettre ouverte de Cambadélis à Marine Le Pen

Pour l'instant, ils ne débattent pas physiquement l'un contre l'autre mais par médias interposés. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a envoyé, jeudi 8 mai, une lettre ouverte à la présidente du Front national, Marine Le Pen.

L'Express - France 2: Cambadélis boude des Paroles et des Actes

Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, a décidé de ne pas participer à l'émission Des Paroles et des Actes consacrée aux élections européennes. Il propose d'être remplacé par Martin Schulz. Une initiative qui fait mauvais effet.

Le Parisien - Européennes: Cambadélis propose à Le Pen un débat «où elle veut, quand elle veut»

«Mais puisque vous y tenez, je vous propose donc un débat Madame, où vous voulez et quand vous voulez». Voilà donc le premier secrétaire du , Jean-Christophe Cambadélis bien décidé à en découdre avec , devant les caméras.

Le Monde - Françoise Castex, eurodéputée assidue et débarquée

« Réussir à retourner une majorité électorale, dans une vie d'eurodéputée, ça ne s'oublie pas », sourit Françoise Castex, avec une pointe de nostalgie. L'épisode auquel l'élue fait référence est le rejet par le Parlement européen de l'accord commercial anticontrefaçon (ACTA), en juillet 2012, alors que, « au début, on était une toute petite poignée à s'y opposer ». Confortablement installée dans le Thalys qui la conduit au Parlement de Bruxelles depuis dix ans maintenant, la quinquagénaire égrène les sujets sur lesquels elle a ferraillé durant ses deux mandats. Pêle-mêle : le renforcement de la protection des données personnelles, le vote du Parlement sur la neutralité du Net début avril et le lancement d'une contestation du traité transatlantique. Difficile d'imaginer qu'elle devra faire ses cartons dans quelques semaines. Le 27 juin au plus tard, son bureau devra être libéré.

Le Monde - Réforme territoriale : un président de région PS dénonce le « mépris » de Valls

Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée) de 1977 à 2004, Jacques Auxiette est président socialiste de la région Pays de la Loire. Il ne se présentera pas pour sa propre succession.

Le Nouvel Obs - Européennes : comment Cambadélis force Le Pen à débattre avec Schulz

Le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe a fait savoir son souhait de laisser sa place à Martin Schulz, candidat social-démocrate, dans un débat entre les chefs de parti sur l'Europe.

7 et 8 mai

Le Monde - Régions, vie privée, économie, Alstom : ce qu'a dit Hollande

Deux ans jour pour jour après son élection, François Hollande s'est livré, mardi 6 mai, à un exercice médiatique inédit pour un président de la République : une interview avec un journaliste au style réputé très direct, suivie d'un face-à-face avec les auditeurs de BFM-TV et de RMC pendant plus d'une demi-heure.

Le Nouvel Obs, Laurent Jofrin - Hollande, 2 ans après : le temps des noyaux

Pour Hollande, tout est perdu ? Pas tout à fait. Le scénario du redressement peut encore prendre corps. Mais pour profiter de cette embellie, il ne suffira pas de proclamer qu'on l'avait bien dit.

Le Nouvel Obs + - Hollande face à Bourdin sur RMC : le président contre la France des beaufs et des réacs ?

LE PLUS. François Hollande était l'invité de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFM-TV, mardi 6 mai. Pour notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, avec cet exercice, il a pu mesurer le gouffre qui le sépare d'une certaine France, beauf et réac, qui demande au président de résoudre des petits problèmes qui n'ont rien à voir avec la fonction présidentielle. A-t-il fait le bon choix avec cette émission ?

Libé - Comment Hollande embarque Valls dans sa galère

RETOUR SUR L'interview de mardi matin a permis au chef de l'Etat de construire la solidarité du couple exécutif.

Comme un petit jeu de la barbichette présidentielle. Avec son engagement de ne pas se représenter en 2017 si le chômage n’a pas baissé à cette date, François Hollande fait peut-être un pari macro-économique risqué.

Le Monde - A Villiers-le-Bel, Hollande tente de raviver ses promesses pour la jeunesse

Le bain de foule n'était pas prévu au programme. Mais lorsqu'il est sorti de l'Institut des métiers et de l'artisanat de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), où il avait passé une partie de la matinée à s'entretenir avec des apprentis et des jeunes créateurs d'entreprises, François Hollande n'a pas résisté à ce qui était encore, il y a un peu plus de deux ans, une joie de candidat en campagne.

Libé - Report des élections régionales : «Se donner un an de plus pour la réflexion»

INTERVIEW Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, se réjouit de l'annonce de François Hollande, qui permettrait d'éviter «un vote pour rien en 2015».

Le Nouvel Obs - Hollande pour le big bang territorial et retarder les Régionales

François Hollande et son gouvernement envisagent désormais de faire la réforme territoriale -suppression des départements et réduction drastique du nombre des régions- avant les nouvelles élections régionales et cantonales, ce qui implique de reporter ces scrutins de 2015 à 2016.

Huffington Post - François Hollande tient sa permanence de député de la France

On pouvait assister à un spectacle bien étrange ce matin au réveil sur RMC-BFM TV:
François Hollande soumis aux injonctions de l'inquisiteur Bourdin d'expier ses pêchés, de confesser ses fautes devant la nation.

Face à un Jean-Jacques Bourdin qui ne voulait rater pour rien au monde l'occasion de dévorer tout cru un président, François Hollande peinait à trouver ses mots, se perdait en bafouillements, tentant vainement de se donner une allure de combattant.

Le Monde -  Le chef de l'Etat veut restaurer son lien avec la majorité

Et maintenant, les parlementaires ? Après s'être adressé en direct aux Français au micro de RMC, mardi 6 mai au matin, le président de la République est désormais pressé par les ténors socialistes de venir s'exprimer devant ceux qu'il a en partie contribué à faire élire en juin 2012. Après le remaniement du cabinet à l'Elysée et du gouvernement, « la réinstallation du lien avec la majorité doit être l'épisode suivant », conseille le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone pour qui une rencontre prochaine est « inéluctable ».

Huffington Post - Interview de Hollande: un mea culpa télévisé pour passer "du regret au rebond"

INTERVIEW FRANÇOIS HOLLANDE - Pour son deuxième anniversaire à l'Elysée, François Hollande n'a eu droit à aucun cadeau ce mardi matin sur BFMTV et RMC. Bousculé par Jean-Jacques Bourdin et ses auditeurs qui ne l'ont pas ménagé, le président de la République a fait acte de contrition pendant près d'une heure tout en tachant de relancer un quinquennat à la dérive. "Bien sûr que j'ai des regrets", a-t-il reconnu à plusieurs reprises tout en battant sa coulpe sur le rythme des réformes et la faiblesse des résultats constatés.

Le Figaro - Hollande prié de soigner les députés PS

«Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Élysée.» L'anaphore de François Hollande prononcée le 2 mai 2012 vient de nouveau de recevoir du plomb dans l'aile. Et c'est le député Bruno Le Roux, patron des députés socialistes qui a lancé la salve, à deux jours du deuxième anniversaire de l'arrivée de Hollande à la tête de l'État.

Ouest France - François Hollande le dos au mur

Personne ne sait ce que donnera, dans trois ans, voire dans trois mois, l'opération reconquête que le Président, privé d'un effet Valls, entame ce matin à la radio et à la télévision.

D'abord, pour des raisons politiques. Il n'est pas écrit que la majorité restera majoritaire. Le pacte de stabilité a été voté, la semaine dernière, avec moins de la moitié des députés. Quand les chevènementistes votent contre, quand 41 socialistes s'abstiennent, quand les écologistes prennent leurs distances, on devine que chaque texte sera un combat.

Le Monde - Un « mandat d'éducation » pour faciliter la vie quotidienne

Légiférer sur les beaux-parents n'est pas chose aisée. Beaucoup d'encre a coulé sur le sujet, des projets ont été rédigés… en vain. Dans leur proposition de loi « relative à l'autorité parentale et à l'intérêt de l'enfant », qui doit être débattue par la commission des lois de l'Assemblée nationale mardi 6 mai, les députés PS Erwann Binet (Isère) et Marie-Anne Chapdelaine (Ille-et-Vilaine) ont joué la prudence.

Le Nouvel Obs - Geneviève Fioraso affronte une inquiétante cabale

Une violente fronde anti Geneviève Fioraso a éclaté lors du changement de gouvernement et continue d'empoisonner l'atmosphère universitaire, avec des attaques un peu hystériques.

Huffington Post - L'opportune mission de Moscovici qui permet à Hollande de sécuriser sa majorité à l'Assemblée

Retour de courte durée pour Pierre Moscovici. Comme neuf autres de ses anciens collègues au gouvernement, l'ex-ministre de l'Economie est redevenu député samedi 3 mai, un mois après la démission de l'équipe Ayrault.

Mais l'élu du Doubs ne va pas s'attarder au Palais Bourbon. Il vient en effet d'être chargé d'une mission sur l'Europe par le président de la République et le premier ministre. Il en avait lui-même fait l'annonce, lundi ce qui a été confirmé à la lecture du journal officiel du mardi 6 mai.

Le Figaro - Les socialistes angoissent déjà pour la prochaine présidentielle en 2017

«2017 c'est encore loin même si l'heure est au pessimisme», confie Yann Galut au Parisien mardi. Le député PS du Cher n'hésite pourtant pas à évoquer une primaire socialiste en 2017, tant la reconduction de François Hollande lui semble compliquée: «Il n'y a rien de scandaleux à dire que le sortant doit se soumettre à des primaires ça peut être pour Hollande un moyen de renouer avec les français».

Europe 1 - "Plan social" au PS après la gifle des municipales

CRISE - Après la déroute de nombreux maires socialistes, le parti peine à recaser les collaborateurs sur le carreau.

L'envolée du chômage frappe aussi les rangs du PS. Alors que François Hollande annonce pour bientôt un "retournement économique", certains socialistes se voient contraints de pointer à Pôle emploi. Et pour Caroline Roux, éditorialiste d'Europe1, c'est "le sujet tabou au PS, après les élections municipales". Car ce n'est rien de moins qu'un "plan social" qui est en cours.

6 mai

Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Hollande

Impopularité, retournement, réforme territoriale... Retrouvez tous les grands thèmes sur lesquels le chef de l'Etat s'est exprimé à l'antenne de BFM et RMC.

Le Nouvel Obs - Offensive médiatique de Hollande, élu il y a tout juste deux ans

Deux ans jour pour jour après son élection à l'Elysée, François Hollande sera l'invité mardi matin de BFMTV et RMC Radio, l'occasion pour lui d'en dire plus sur le "retournement économique" qu'il voit venir, sans convaincre à ce stade la classe politique.

BFM - Hidalgo: "Un retournement économique? Non, un frémissement"

La maire PS de Paris s'est exprimée sur BFMTV sur la politique menée par François Hollande et Manuel Valls. Si elle reconnaît un "frémissement" dans l'économie, elle met en garde contre une politique centrée sur la réduction des déficits.

Libé - Des anciens ministres de retour à l'Assemblée nationale

Jean-Marc Ayrault, François Lamy, Cécile Duflot, Alain Vidalies, Michèle Delaunay, Marie-Arlette Carlotti ou encore Guillaume Garot ont retrouvé leur mandat de député, après leur éviction du gouvernement lors du dernier remaniement.

Le Parisien - Déficit : la France ne parviendra pas à passer sous les 3% du PIB

Le retournement , et d'une toujours, la Commission européenne maintient toujours sa pression sur le français. «Des fondations solides sont en place pour que la reprise économique se poursuive», s'est félicité Siim Kallas, commissaire européen en charge de ce dossier.

Libé - Des féministes enterrent «le courage du gouvernement» sur la PMA

Une trentaine de militantes d'une association de défense des personnes lesbiennes, bi et trans ont organisé ce lundi devant le ministère de la Famille une action de protestation contre l'abandon de la promesse de rendre accessible la procréation médicalement assistée aux homosexuelles.

3, 4 et 5 mai

Libé - Cambadélis: Hollande «a stoppé le déclin»

Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, a déclaré dimanche que François Hollande «a stoppé le déclin» français.

Le député était interrogé dans le Grand Rendez-vous (Europe 1, i-TELE, Le Monde) à propos d’une formule du chef de l’Etat citée en Une par le Journal du Dimanche: «Le retournement arrive».

Le lab - Au Parti Socialiste, 1 000 personnes se retrouvent au chômage après la débâcle aux municipales

SAUVE QUI PEUT - C'est le sujet tabou au sein du Parti Socialiste. Et une des conséquences inattendue de la débâcle aux élections municipales. Selon Caroline Roux, journaliste au service politique d'Europe 1, 1 000 personnes se retrouvent au chômage dans les mairies tenues par le Parti Socialiste après la défaite électorale de mars:

Le Pariisien - Déficit : Michel Sapin à Bruxelles pour convaincre la Commission européenne

Alors que la commission européenne publier ce lundi à 11 heures, ses prévisions économiques (croissance, , ) des 28 pays de l'UE, Michel Sapin, le ministre des Finances, se rend à Bruxelles pour tenter de convaincre ses homologues de la zone sur la politique économique entreprise pour ramener le déficit de la France à 3% du PIB l'an prochain

Le Monde - Amirshahi (PS) : « L'orientation économique de Hollande et Valls ne marche pas »

Pouria Amirshahi fait partie des 41 députés socialistes qui se sont abstenus lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros défendu par le premier ministre Manuel Valls. Il explique pourquoi il s'est joint aux syndicats lors de la manifestation du 1er mai et ce qu'il attend de François Hollande et Manuel Valls dans les semaines à venir sur les scènes nationale et européenne. La pratique du pouvoir autant que les orientations de l'exécutif posent problème, explique le député des Français de l'étranger.

2 mai

Libé - Quel avenir pour les «abstentionnistes» du PS ?

Les 41 députés socialistes qui n'ont pas voté le plan de relance continueront de se réunir, mais sans se structurer davantage.

Ils sont quarante et un à avoir refusé mardi de voter en faveur du plan d’économies proposé par le gouvernement. Quarante et un à n’avoir pas voté en faveur du programme de stabilité budgétaire. Ce n’est qu’après de longues discussions qu’ils ont su concilier leurs divergences sur la manière d’exprimer leur désaccord. Leur solution: l’abstention. Mais s’ils estiment que l’effort demandé aux Français est trop important, ils ne se sont pas tous abstenus pour les mêmes raisons.

Libé - Défilés anti-austérité dans toute la France pour le 1er mai

Près de 100 000 manifestants se sont rassemblés à travers le pays, selon le ministère de l'Intérieur. Comme l'an dernier, les syndicats sont partis divisés.

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans toute la France jeudi à l’occasion du 1er mai pour dire leur colère contre l'«austérité» mise en oeuvre par le gouvernement et exprimer leur mécontentement face au bilan de François Hollande, deux ans après son élection.

Le Figaro - 1er Mai : Jean-Christophe Cambadélis en appelle à Léon Blum

«Léon Blum? C'est lui qui a fait la révolution du travail…» Alexandre, 8 ans, a retenu une leçon entendue à l'école, mais aussi celle de sa mère, Sandrine Mazetier. La députée PS de Paris l'a emmené mercredi à l'hommage à Léon Blum voulu par Jean-Christophe Cambadélis

BFM - Exclusif-Baromètre BVA-BFM: Valls redonne plus confiance à droite qu'à gauche

Le dernier baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys, publié ce mercredi 30 avril, montre une légère amélioration de la confiance des Français proches de l'opposition dans l'économie depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon. Mais sept sondés sur dix se déclarent toujours pessimistes.

1er mai

Interview dans Le Monde: Cambadélis aux députés PS : « Calmons-nous ! » par Jean-Christophe Cambadélis · 29 avril 2014

Un mois après le séisme des élections municipales, le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste publie le 30 avril L'Europe sous la menace national-populiste. Un cri d'alarme : Jean-Christophe Cambadélis décrit la France comme « le maillon faible » et pronostique une course à trois PS-UMP-FN pour le second tour de la présidentielle de 2017.

Le Nouvel Obs - Plan de stabilité : qui sont les 41 députés PS abstentionnistes ?

Une quarantaine de députés de la majorité n'a pas voté mardi le programme de stabilité présenté par le gouvernement. Décryptage.

L'Express - Le jour d'après à l'Assemblée, les projets des 41 abstentionnistes PS

Paris - Les 41 députés PS qui se sont abstenus mardi sur le plan d'économies refusent la pilule "social-démocrate" prescrite par le duo Hollande-Valls et se retrouvent en position de force pour peser dans les débats à venir, avec le soutien d'autres membres du groupe socialiste.

L'Express - PS: 41 abstentions et puis s'en vont?

L'abstention de 41 députés socialistes lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros mardi a frappé les esprits. Ces parlementaires veulent maintenant transformer l'essai.

Le Point - PS : qui sont les 41 lâcheurs ?

Derrière les abstentionnistes socialistes qui ont refusé de voter le pacte de stabilité de Manuel Valls, il ne semble pas y avoir de tête de réseau. Analyse.

Le Monde - Le coup de semonce du PS à Valls et à Hollande

Quelle majorité, aujourd'hui, pour Manuel Valls et François Hollande ? Pendant les deux premières années du quinquennat, nombre de socialistes estimaient que le chef de l'Etat n'avait pas tout à fait la majorité pour mener sa politique. Le vote de l'Assemblée sur le « programme de stabilité budgétaire », mardi 29 avril, le souligne avec une lumière crue : depuis le départ de Jean-Marc Ayrault, l'équation politique s'avère plus délicate que jamais.

Le Figaro - Européennes : Peillon reconnaît que «la campagne sera très difficile»

À moins d'un mois des élections européennes, trois têtes de listes pour la région Sud-Est, l'ancien ministre PS Vincent Peillon, l'ex-secrétaire d'Etat UMP aux Affaires étrangères Renaud Muselier et le président d'honneur du FN Jean-Marie Le Pen ont croisé le fer mercredi lors d'un débat organisé par Europe 1, LCI et Le Figaro. L'enquête Ifop publiée la veille sonne comme un avertissement pour le PS: l'UMP arrive en tête des intentions de vote dans cette région (28%), devant le FN (23%) et loin devant la liste conduite par Vincent Peillon (13 %).

Le Lab - Arnaud Montebourg et Laurent Fabius s’écharpent en plein conseil des ministres

D’après Arnaud Montebourg, le conseil des ministres version Manuel Valls, "ça a de la gueule". Ça tire la gueule également, à en croire une information publiée ce mardi 29 avril par Le Canard Enchaîné.

30 avril

L'Expansion - Paul (PS): "On n'est pas condamnés au bras de fer" avec le gouvernement

Paris - Christian Paul, un des députés socialistes frondeurs, a estimé que le nombre important d'abstentionnistes au PS sur le programme de stabilité ne condamnait pas à un "bras de fer" avec le gouvernement.

Le Nouvel Obs- Plan d'économies : "Manuel Valls a gagné sur le fil"

Les éditorialistes estiment que le Premier ministre a franchi de justesse une première étape à l'Assemblée nationale lors du vote du plan de stabilité.

Le blog de Françoise Fressoz - La majorité rétrécie de Manuel Valls

41 députés socialistes ont fait le choix de s'abstenir, mardi 29 avril, lors du vote sur le programme de stabilité budgétaire. Pour Manuel Valls, ce n'est pas un désastre : le premier ministre dispose d'une majorité pour gouverner. Mais c'est un sérieux avertissement. Pour mener le redressement, phase cruciale du quinquennat, il ne dispose d'aucun blanc-seing. Sa majorité est rétrécie, sa majorité est rebelle. Sa majorité va lui donner du fil à retordre.

Libé - A l'Assemblée, Valls décroche un vote sans passion... et des abstentions

Le Premier ministre a obtenu la majorité à l'Assemblée sur le plan d'économies mais 41 députés socialistes de sont abstenus.

A l'issue d'une journée de débat dans l'hémicyle et de petites phrases dans les couloirs de l'Assemblée, Manuel Valls a obtenu un vote favorable sur son plan d'économies (265 pour et 232 contre), mais avec 41 abstentions dans les rangs socialistes.

Le Parisien - Plan d'économies : 41 députés PS se sont abstenus

Dans quelle mesure Manuel Valls allait-il être suivi par sa majorité ? C'était le principal enjeu du vote consultatif sur le plan d'économies du organisé à l'Assemblée. La réponse est tombée ce mardi soir, en même temps que les résultats de ce scrutin à haut risque pour l'exécutif.

Le Nouvel Obs - Manuel Valls, ses 50 milliards, et les 41 "frondeurs" socialistes

Le plan d'économies de Manuel Valls a bien été adopté, mais sans les voix d'une quarantaine de députés socialistes. Récit d'un vote électrique pour la gauche à l'Assemblée.

Le Figaro - Manuel Valls sous surveillance de la gauche

Jusqu'au bout, Manuel Valls aura tenté de convaincre la majorité de se rassembler autour du programme de stabilité. Les députés ont voté. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le résultat n'est pas à la hauteur de l'énergie déployée et de ce «dialogue nourri, exigeant et fructueux avec les groupes de la majorité» que vantait le premier ministre, mardi après-midi, dans l'hémicycle.

Regards - Vote du Pacte de stabilité : les prémisses d’un bouleversement politique

Le "Pacte de stabilité" a été adopté par l’Assemblée ce mardi 29 avril. Si l’issue du vote ne faisait aucun doute, la composition de la majorité pour entériner ce pacte était, elle, très attendue. La décomposition du PS l’est-elle désormais ?

Le Monde - Comment Valls fait accepter la rigueur au PS

L'épisode aura été rugueux mais, au bout du compte, il pourrait constituer l'acte fondateur de l'ère Valls. Confronté à une contestation dans les rangs d'un PS traumatisé par la déroute des municipales, qui dépassait largement l'aile gauche du parti, Manuel Valls a étrenné ses habits de chef de la majorité et rodé sa « méthode » avant le vote sur le plan de rigueur par l'Assemblée nationale, mardi 29 avril.

Le Figaro - Européennes : sanction en vue pour le PS dans le Sud-Est

UMP 28 %, FN 23 %, PS/PRG 13 %. Ce sondage réalisé dans le Sud-Est annonce-t-il une nouvelle sanction électorale pour le Parti socialiste aux européennes? À vingt-six jours du scrutin, l'enquête Ifop pour Le Figaro, Europe 1 et LCI est alarmante pour la majorité. La liste régionale conduite par Vincent Peillon ne recueillerait que 13 % des voix sur une circonscription de plus 6,2 millions d'électeurs couvrant Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse et Rhône-Alpes.

29 avril

Le Parisien - Un bureau national du PS divisé adopte le plan d'économies de Valls

A la veille d'un vote à l'Assemblée sur le programme de stabilité, le bureau national du a adopté à 31 voix pour, contre 15 «contre» et une «abstention», une résolution de soutien au dispositif, a annoncé lundi le porte-parole du parti, Olivier Faure. Alors que, dans une lettre aux députés PS, Manuel Valls a demandé la voix de tous, le bureau national du parti apparaît divisé.

Le Figaro - Malgré la grogne, le PS apporte son soutien au plan Valls

Les propositions de Manuel Valls répondent aux attentes du PS… Jean-Christophe Cambadélis l'a affirmé en substance lundi en fin de journée, lors d'un bureau national (BN) extraordinaire du PS consacré au vote à l'Assemblée, mardi, du programme de stabilité du gouvernement. Ce BN «conclusif» a voté le plan de 50 milliards d'économies présenté par le premier ministre par 31 voix pour, 15 voix contre et une abstention. «Un vote extrêmement clair de soutien à Manuel Valls», selon le porte-parole du parti Olivier Faure.

RTL - Le bureau national du PS adopte la résolution "de soutien" du programme de stabilité

Le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 "contre" et une "abstention", une résolution de soutien au programme de stabilité, à la veille d'un vote crucial au Parlement sur ce sujet, a annoncé lundi 28 avril le porte-parole du parti, Olivier Faure.

Le Figaro - Manuel Valls à l'épreuve de sa majorité

Montrer que l'on est à l'offensive, que l'on mène un combat. Alors que le pacte de responsabilité, sur lequel mise François Hollande pour redonner de la compétitivité aux entreprises et créer de l'emploi, reste contesté par une partie de la majorité, les deux têtes de l'exécutif ont sonné la «mobilisation générale» pour la «bataille de l'emploi». Lundi, à l'occasion d'une «grand-messe» à la Maison de la chimie (sur le modèle de celles qu'organisait jadis Nicolas Sarkozy), où étaient convoqués préfets, sous-préfets, directeurs d'administrations, Valls et Hollande ont défendu pied à pied le pacte et mis en scène le volontarisme du gouvernement dans la lutte contre le chômage.

Le Monde - Parti par parti, qui votera le pacte de stabilité présenté par Manuel Valls ?

Le nouveau premier ministre Manuel Valls a obtenu – plutôt confortablement – la confiance des députés après son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Mais qu'en sera-t-il le 29 avril quand ces mêmes députés devront se prononcer sur le pacte de stabilité ?

Libé - Retraites, pauvreté, fonctionnaires : les annonces du gouvernement

Pour convaincre sa majorité de voter les mesures d'austérité budgétaire qu'il a présentées, le Premier ministre a fait quelques concessions.

Pressé par sa majorité, le Premier ministre Manuel Valls a lâché du lest lundi sur plusieurs mesures du plan de rigueur, dont le gel des retraites, la revalorisation du RSA et confirmé la hausse des salaires des fonctionnaires les moins bien rémunérés. Voici le détails des annonces.

Le Monde - Manuel Valls mobilisé pour défendre le pacte de responsabilité

A la veille du vote sur le programme de stabilité à l'Assemblée nationale, Manuel Valls a défendu, lundi 28 avril, le « pacte » de responsabilité, « nécessaire et indispensable » selon lui. Devant un parterre de préfets, sous-préfets et de directeurs d'administrations, il a tenu à afficher sa vigilance sur l'usage que feront les entreprises des allégements de cotisations, prévues dans le cadre du plan d'économies de 50 milliards d'euros.

Libé - Démission de l'une des nouvelles porte-parole du PS

Rafika Rezgui, arrivée dans les instances du parti avec le nouveau premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, se voit reprocher une situation de conflit d'intérêts.

28 avril

Libé - Légitimité

EDITORIAL Avec des amis comme ça pas besoin d’ennemis… A quelques heures d’un vote au Parlement, voici donc Manuel Valls dans l’inconfortable position de devoir compter les voix… parmi les siens. Rarement fronde aura été plus médiatisée que celle qui agite les socialistes sur le programme de stabilité présenté par le Premier ministre. Depuis début avril, les mécontents sont montés au créneau pour dire leur refus d’un plan d’économies de 50 milliards sans contreparties sociales plus affirmées. Personne n’a encore publiquement assumé un vote «contre» le texte, mais la menace de plusieurs dizaines d’abstentions est réelle. Et la majorité du nouveau Premier ministre n’est pas garantie.

Le Nouvel Obs - Pacte de stabilité : 36h pour convaincre les députés PS frondeurs

Hollande et Valls vont défendre leurs grandes orientations économiques lors d'une réunion avec tous les acteurs de l'Etat ce lundi.

Libé - Valls «confiant» sur le vote du programme de stabilité mardi

Le premier ministre veut être optimiste en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.

Le Premier ministre Manuel Valls s’est déclaré «confiant» dimanche sur le vote du programme de stabilité mardi à l’Assemblée, en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.

Le Monde - Plan d'économies : Manuel Valls aux prises avec sa majorité

Existe-t-il une majorité alternative pour appuyer le plan d'économies et le pacte de responsabilité et de solidarité mis en oeuvre par le gouvernement de Manuel Valls, qui sera soumis au vote consultatif des députés mardi 29 avril ? Le premier ministre devra-t-il aller chercher dans l'opposition les voix qui lui feront défaut dans la majorité ? A-t-il fait le choix d'aller à l'épreuve de force avec une partie, même, des députés socialistes ?

Le Nouvel Obs - Programme de stabilité : Hollande et Valls, 36h pour convaincre

Les tractations se poursuivent pour tenter d'amadouer les députés PS qui menacent de ne pas voter mardi le programme de stabilité.

Le Nouvel Obs - Cambadelis : "Il faut savoir terminer une fronde"

Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis s'adressait aux députés de son camp qui refusent de voter le programme de stabilité mardi.

Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis a déclaré dimanche 27 avril  qu'il fallait savoir "terminer une fronde", à l'adresse des députés socialistes qui refusent de voter le programme de stabilité mardi à l'Assemblée. "Si c'est une fronde il faut savoir terminer une fronde", a déclaré sur Radio J Jean-Christophe Cambadelis.

Le Figaro - Au PS, l'agacement des députés «légitimistes» contre les «frondeurs»

Christophe Caresche dénonce «l'immaturité politique» des primo-députés qui s'opposent au plan de Manuel Valls. Son collègue Jean-Louis Gagnaire demande la démission de Laurence Dumont, députée frondeuse, de son potse de vice-présidente de l'Assemblée.

Le Monde - Alstom : Arnaud Montebourg exprime sa « vigilance patriotique »

Le dossier s'annonce ravageur pour le jeune gouvernement Valls. L'américain General Electric (GE) s'intéresse bien à Alstom, le spécialiste tricolore des infrastructures d'énergie et de transport, comme l'a révélé l'agence Bloomberg, jeudi 24 avril. Il convoite ses activités dans l'énergie, soit plus de 73 % de l'activité d'Alstom. Un prix autour de 10 milliards d'euros pour ces actifs est évoqué, non compris les 2 milliards d'euros de trésorerie logée dans Alstom Power.

Le Monde (blog) - Manuel Valls: petites leçons d’Italie

Le premier ministre français n'est pas venu à Rome  pour assister seulement, en costume et cravate noirs de rigueur, à la messe de canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Arrivé samedi, il en a profité pour dîner en compagnie de Matteo Renzi, le nouveau président du conseil auquel on le compare volontiers.

Libé - Le gouvernement souhaite créer «une douzaine de régions», selon Vallini

Le secrétaire d’Etat en charge de la réforme territoriale précise que l'objectif est que ces nouvelles grandes régions soient «mieux armées, en visibilité aussi, dans la compétition économique internationale».

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