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macron - Page 4

  • Macron au détour de la grande fragilisation française [Olivier Passet]

    Macron aime les grandes réformes…. de par la taille, autrement dit les dispositifs programmatiques fleuves à multiples tiroirs. Le chantre de la simplicité n’a pas le sens de l’épure quand il s’agit de communiquer et de légiférer. L’homme du « et », et de droite et de gauche, maintient son cap ET écoute la vindicte, réduit la dépense publique ET renforce le maillage territorial des services publics, propose de travailler plus et de ne pas toucher aux 35h, aux jours de congé ou à l’âge légal de la retraite, revendique la disruption du modèle hexagonal et demeure dans l’incrémental, plaide pour la simplification et pense complexe. [...]

  • Conclure le grand débat : de la cacophonie au fiasco ? [Olivier Passet]

    Fonder le second temps de son quinquennat sur la ressource du grand débat, tout en restant fidèle à la ligne réformatrice engagée, c’est le pari et, l’on pourrait dire, l’injonction paradoxale adressée à Emmanuel Macron. [...]

  • Macron recalé à l’épreuve d’économie du Bac : parler de la « part des dépenses dans le PIB » est une ineptie !

    Bon d’accord, d’autres commentateurs vont aussi être recalés à cette épreuve, mais raison de plus pour les recadrer, eux et leur président. Je cite ce dernier : « Nous dépensons en fonctionnement et en investissement pour notre sphère publique plus de la moitié de ce que nous produisons chaque année. ». Je ne sais pas si Macron énonce délibérément une « fake news » pour enfumer ceux qui l’écoutent, ou s’il y croit vraiment. Mais le système de formation et de déformation des élites est tel qu’on ne peut même pas exclure qu’on lui ait enseigné cette ânerie à l’ENA et qu’il la répète en boucle en même temps que ses petites phrases sur « le pognon de dingue ».

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  • Thomas Porcher : « Macron a fait un chèque en blanc pour dire aux gilets jaunes de continuer. »

    Lendemain d’allocation présidentielle, en pleine crise des gilets jaunes, l’économiste et co-fondateur de Place Publique, Thomas Porcher nous livre son regard dans #LaMidinale.

  • Libé - Gérard Noiriel : «Pour Macron, les classes populaires n’existent pas»

    Spécialiste de l’histoire populaire, Gérard Noiriel voit dans le mouvement des «gilets jaunes» un retour de boomerang de la démocratie directe initiée par le Président lui-même. Où la question de la dignité est centrale.......Le mouvement pourrait prendre une autre tournure s’il était soutenu par des gens capables de proposer d’autres formes de spectacle que la violence. Je pense par exemple que les artistes, menacés par une remise en cause du statut des intermittents, pourraient se solidariser en renouant avec des formes anciennes de contestation populaire qu’on appelait, bien avant les mouvements ouvriers, les charivaris : l’humour permettait de contester le pouvoir en mobilisant le «rire carnavalesque». Aujourd’hui, il faut faire le spectacle pour exister dans l’espace public. Si les «gilets jaunes» utilisaient ces ressources, les lieux de blocage deviendraient des lieux de convivialité, ce mouvement deviendrait encore plus populaire. Un mouvement, on lui donne du sens. Si on laisse les forces violentes et l’extrême droite prendre le dessus, il ne faut pas s’étonner si ça dégénère.

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  • Marianne - Les Économistes Atterrés Macron, un mauvais tournant, un budget de classe

    Conférence-débat, de 19h30 à 21h30, le jeudi 11 octobre 2018, Maison des Sciences Économiques, salle 117 112 boulevard de l’Hôpital, 75 013 Paris, M° Campo-Formio

    Le projet d’Emmanuel Macron est d’imposer à la société française un tournant vers une soumission accrue au capitalisme financier. Ce projet est une impasse comme le montrent les Économistes atterrés dans leur dernier livre, Macron, un mauvais tournant, (à paraître le 10 octobre aux Liens qui Libèrent).

    Arrivé miraculeusement au pouvoir à la suite de la déception provoquée par le quinquennat de François Hollande, qui a capitulé devant le Medef et la technocratie européenne, bénéficiant de l’affaiblissement politique des classes populaires, Emmanuel Macron a su rassembler toutes les forces libérales pour mettre en œuvre le programme que le patronat et l’oligarchie financière prônent depuis longtemps. Sa stratégie s’inscrit ainsi dans celle des institutions européennes.

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  • Collomb : le clan Macron implose de l’Intérieur !

    02 octobre 2018

    Le Bureau national du Parti socialiste constate avec consternation la crise qui s’installe au sommet de l’État. Après l’affaire Benalla en juillet, la démission du numéro 2 du gouvernement en septembre, le départ de la ministre des Sports, c’est maintenant un autre pilier du gouvernement, ministre d’État, ministre de l’Intérieur, qui décide de déserter. Nous assistons à une véritable débandade.

    Là où le président de la République vantait le retour à une certaine verticalité du pouvoir, les Français assistent médusés à une crise de l’autorité au sommet de l’État mettant en péril son efficacité.

    Alors que ce matin encore, les forces de police et de sécurité intervenaient pour faire face à la menace terroriste, le ministre de l’Intérieur a présenté pour la seconde fois sa démission au président de la République. La sécurité intérieure n’est pas une option. Elle est un impératif qui ne suppose aucune improvisation ni faille.

    Ce soir, les Français sont en droit de s’interroger. La maison France n’est plus tenue.