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macron - Page 4

  • Libé - Cette gauche européenne intéressée par l'alliance proposée par Macron

    A l'image du Premier ministre portugais, António Costa, plusieurs responsables socio-démocrates se disent prêts à faire front commun contre les nationalistes et les conservateurs du PPE.

    Au centre droit en France, au centre gauche en Europe : dans la dernière ligne droite, Emmanuel Macron cultive des alliances à géométrie variable. Lundi soir, il recevait à l’Elysée le Premier ministre portugais, le socialiste António Costa. Au-delà de leurs différences de sensibilité, les deux hommes laissent voir qu’ils ont en commun une vision «progressiste» de l’Europe et une volonté commune de combattre les nationalistes.

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  • Plan de relance Macron : tout ça pour ça ? [Olivier Passet]

    Après le grand débat, et les grandes lignes d’action dressées par Emmanuel Macron, la balle est dans le camp de l’exécutif. Il est certes prématuré de faire un bilan d’un processus, qui va s’étirer dans le temps, qui peut se perdre en chemin, être rattrapé par la conjoncture, ou une actualité massive. [...]

  • France Culture - Emmanuel Macron, le grand manipulateur ?

    Comment devient-on président de la République sans avoir été jamais élu ni membre d’aucun parti ? C’est à cette question que tente de répondre Marc Endeweld dans son livre “Le grand manipulateur”, où il propose une cartographie des différents réseaux de pouvoir et d’influence qui ont participé à l'ascension d'Emmanuel Macron. Il est rejoint en seconde partie d'émission par Raphaëlle Bacqué, grande reporter au Monde.

  • Macron au détour de la grande fragilisation française [Olivier Passet]

    Macron aime les grandes réformes…. de par la taille, autrement dit les dispositifs programmatiques fleuves à multiples tiroirs. Le chantre de la simplicité n’a pas le sens de l’épure quand il s’agit de communiquer et de légiférer. L’homme du « et », et de droite et de gauche, maintient son cap ET écoute la vindicte, réduit la dépense publique ET renforce le maillage territorial des services publics, propose de travailler plus et de ne pas toucher aux 35h, aux jours de congé ou à l’âge légal de la retraite, revendique la disruption du modèle hexagonal et demeure dans l’incrémental, plaide pour la simplification et pense complexe. [...]

  • Conclure le grand débat : de la cacophonie au fiasco ? [Olivier Passet]

    Fonder le second temps de son quinquennat sur la ressource du grand débat, tout en restant fidèle à la ligne réformatrice engagée, c’est le pari et, l’on pourrait dire, l’injonction paradoxale adressée à Emmanuel Macron. [...]

  • Macron recalé à l’épreuve d’économie du Bac : parler de la « part des dépenses dans le PIB » est une ineptie !

    Bon d’accord, d’autres commentateurs vont aussi être recalés à cette épreuve, mais raison de plus pour les recadrer, eux et leur président. Je cite ce dernier : « Nous dépensons en fonctionnement et en investissement pour notre sphère publique plus de la moitié de ce que nous produisons chaque année. ». Je ne sais pas si Macron énonce délibérément une « fake news » pour enfumer ceux qui l’écoutent, ou s’il y croit vraiment. Mais le système de formation et de déformation des élites est tel qu’on ne peut même pas exclure qu’on lui ait enseigné cette ânerie à l’ENA et qu’il la répète en boucle en même temps que ses petites phrases sur « le pognon de dingue ».

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  • Thomas Porcher : « Macron a fait un chèque en blanc pour dire aux gilets jaunes de continuer. »

    Lendemain d’allocation présidentielle, en pleine crise des gilets jaunes, l’économiste et co-fondateur de Place Publique, Thomas Porcher nous livre son regard dans #LaMidinale.

  • Libé - Gérard Noiriel : «Pour Macron, les classes populaires n’existent pas»

    Spécialiste de l’histoire populaire, Gérard Noiriel voit dans le mouvement des «gilets jaunes» un retour de boomerang de la démocratie directe initiée par le Président lui-même. Où la question de la dignité est centrale.......Le mouvement pourrait prendre une autre tournure s’il était soutenu par des gens capables de proposer d’autres formes de spectacle que la violence. Je pense par exemple que les artistes, menacés par une remise en cause du statut des intermittents, pourraient se solidariser en renouant avec des formes anciennes de contestation populaire qu’on appelait, bien avant les mouvements ouvriers, les charivaris : l’humour permettait de contester le pouvoir en mobilisant le «rire carnavalesque». Aujourd’hui, il faut faire le spectacle pour exister dans l’espace public. Si les «gilets jaunes» utilisaient ces ressources, les lieux de blocage deviendraient des lieux de convivialité, ce mouvement deviendrait encore plus populaire. Un mouvement, on lui donne du sens. Si on laisse les forces violentes et l’extrême droite prendre le dessus, il ne faut pas s’étonner si ça dégénère.

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