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macron - Page 12

  • Challenges - Elections sénatoriales: vers une première gifle électorale pour Emmanuel Macron?

    Sans majorité ni réseau d'élu, la République en Marche aborde les élections sénatoriales dans une situation de grande fragilité.

    Après deux succès éclatants à l'élection présidentielle et aux législatives, La République en Marche (LREM) s'apprête-t-elle à vivre sa première déconvenue électorale? Sans réseau d'élus locaux ni majorité sortante, le parti d'Emmanuel Macron devrait logiquement s'incliner aux élections sénatoriales dimanche 24 septembre. La République En Marche pourrait même se retrouver en troisième position derrière Les Républicains et le Parti socialiste, les deux forces majoritaires au Palais du Luxembourg. Dans les locaux de la rue Sainte-Anne (2e arrondissement de Paris) où le mouvement présidentiel vient tout juste de poser ses cartons, l'heure est à la résignation. " C'est une élection qu'on aurait dû enjamber mais on y est quand même allé, regrette la sénatrice LREM de Paris Bariza Khiari. C'est très difficile: on n'a pas de grands électeurs hormis les députés élus en juin, on part de zéro. "

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  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les primaires

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une seconde table ronde consacrée aux primaires, les intervenants sont Olivier Duhamel, professeur des universités à Sciences Po, président de la Fondation nationale des sciences politiques, Anne Levade, professeur à l’université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, présidente de la Haute autorité pour la primaire de la droite et du centre, et Flore Santisteban, doctorante au Cevipof, pour une discussion animée par François Bazin, journaliste.

     

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : introduction de Martial Foucault

    La Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde co-organisent un colloque intitulé « 2017 : la révolution de velours ? » qui se tient à la Maison de la Chimie, à Paris. Martial Foucault, professeur à Sciences Po et directeur du Cevipof, ouvre les travaux de la deuxième journée, le 7 septembre 2017, intitulée « Que s’est-il passé ? ».

  • L'Obs - Comment les Français voient Macron : "Il communique beaucoup mais est peu communicatif…

    D'où vient la chute du président de la République dans les sondages ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français. Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique."
     
    Une analyse d'Adrien Abecassis, expert associé à la fondation Jean-Jaurès, diplomate et ancien conseiller opinion de François Hollande à l'Elysée. Avec Adélaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA opinion.
     
    La rentrée politique en France est donc marquée par la chute de popularité la plus rapide jamais enregistrée pour un président de la République nouvellement élu. Dans le baromètre politique BVA pour Orange-"la Tribune" (réalisé les 28 et 29 août), Emmanuel Macron perd 11 points de popularité en un mois, à 43% d'opinions favorables. Les courbes se sont croisées : 55% des Français en ont désormais une mauvaise opinion.
     
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  • L'actualité des socialistes du 1er au 7 septembre

    CODE DU TRAVAIL

    Le Monde - « Banalité et radicalité d’une nouvelle destruction du droit du travail » Par Emmanuel Dockès, Professeur de droit à l’université Paris-Nanterre

    Dans une tribune au « Monde », le juriste Emmanuel Dockès considère que les ordonnances constituent une régression profonde ainsi qu’une nouvelle preuve de la dérive autoritaire de la société.

    Cela a été claironné pendant la campagne électorale et répété tout l’été. On était prévenu. Et pourtant, la présentation des projets d’ordonnances, jeudi 31 août, arrive encore à surprendre. Une communication lénifiante, une concertation assez vide mais globalement paisible, l’annonce de droits nouveaux… Un esprit de modération semblait à l’œuvre. C’est là qu’est la surprise.

    Francetvinfo - Code du travail : le PS soutient les mobilisations syndicales du 12 septembre

    Cette question de la participation ou non du PS à la manifestation du 12 septembre a suscité quelques remous ces derniers jours au sein même du parti.

    Le bureau national du Parti socialiste a pris sa décision. Le PS affichera son "soutien" à toutes les initiatives syndicales contre la réforme du code du travail, a affirmé lundi 4 septembre le numéro deux du parti Rachid Temal."Le PS, respectueux de l'indépendance syndicale, soutient toutes les initiatives syndicales contre la loi Pénicaud en appelant à des démarches unitaires", a-t-il précisé. "Le PS va éditer un tract national contre la loi Pénicaud et appelle ses fédérations à mener des actions de mobilisation."

    LA MISERE

    Observatoire des inégalités - La misère persiste en France, l’un des pays les plus riches au monde

    5 septembre 2017 - La France compte deux millions de personnes vivant avec moins de 672 euros par mois, 3,8 millions de mal-logés et 3,9 millions de bénéficiaires de l’aide alimentaire. La grande pauvreté persiste en France.

    Le seuil de pauvreté le plus utilisé en France vaut 1 000 euros mensuels. Sous ce seuil, on trouve à la fois de personnes qui vivent dans la misère, mais aussi des familles modestes qui disposent d’un logement et de conditions de vie décentes. Combien sont réellement les plus pauvres ? Plusieurs méthodes permettent de le savoir [1].

    En France, 2,3 millions de personnes vivent avec au mieux 672 euros par mois pour une personne seule, ce qui correspond au seuil à 40 % du niveau de vie médian, selon l’Insee (données 2014). Pour elles, il est quasiment impossible notamment de se loger dignement sans compter sur des compléments de revenus : l’aide de parents, d’amis, des petits boulots ou du travail non déclaré.

    SOCIALISME

    La Vie des Idées - Changer la sociologie, refaire de la politique

    À propos de : Bruno Karsenti, Cyril Lemieux, Socialisme et sociologie, EHESS

    Le socialisme est-il mort ? Voué à céder la place aux flux libéraux et aux reflux nationalistes ? Dans un petit livre stimulant, B. Karsenti et C. Lemieux suggèrent que son destin a partie liée avec la crise intellectuelle qui affecte les sciences sociales, et plaident pour une sociologie de combat.

    Bruno Karsenti, Cyril Lemieux, Socialisme et sociologie, Éditions EHESS, Paris, 2017, 192 p., 12 €.

    La sobriété du titre ne doit pas tromper. Socialisme et sociologie est un texte engagé, publié en pleine campagne présidentielle, dans lequel le philosophe Bruno Karsenti et le sociologue Cyril Lemieux assument leur volonté de « reprendre prise intellectuellement sur la situation » (p. 9) face à la crise politique que traverse l’Union européenne, et notamment face au regain des populismes.

    EX-DEPUTES

    Libé - Ex-députés : la voie étroite de la reconversion

    Défaite aux législatives oblige, l’heure est au plan B pour les anciens élus du Palais-Bourbon. Si certains ont facilement rebondi, beaucoup sont toujours hantés par leurs années à l’Assemblée. Le retour à la vie quotidienne n’est alors pas une mince affaire.

    HOLLANDE

    Le Monde - A la tête de La France s’engage, François Hollande veut revenir dans l’arène publique

    Il cachait de moins en moins son envie de peser dans la vie politique. François Hollande a officiellement pris, mardi 5 septembre, la présidence de la fondation La France s’engage. Près de quatre mois après avoir quitté l’Elysée, François Hollande a été élu dans la soirée par le conseil d’administration de la fondation. L’ancien président de la République a déclaré, dans un communiqué :

    « La France s’engage est un projet que j’ai lancé comme président de la République et qui se poursuit aujourd’hui dans le cadre d’une fondation.

    PS

    Europe 1 - La "verdisation" du PS ou comment l'art de la synthèse a bloqué le parti

    Les socialistes n'arrivent pas à trancher. Le communiqué final du bureau national est un modèle du genre : "le PS soutient les manifestations syndicales contre la loi Travail, mais n’appelle pas explicitement à manifester". La beauté d’une motion de synthèse en une seule phrase ! Le "soutien sans participation", ça vous rappelle quelque chose ? On est là au cœur des errances actuelles des socialistes : pas d'accord entre eux sur le mot d'ordre, les uns ayant déjà appelé à se joindre aux cortèges de la CGT le 12 septembre, d’autres n’excluant pas de défiler derrière Jean-Luc Mélenchon le 23 septembre, les derniers refusant catégoriquement de s’afficher à la remorque des uns ou des autres tant que l’unité n’a pas été trouvée, mais n’excluant pas de lancer leur propre journée de mobilisation.

  • Slate - Code du travail: comment Hollande a lancé la révolution Macron

    Sans la loi portée par Myriam El Khomri sous le quinquennat Hollande, la marche aurait été trop haute pour faire passer la réforme du code du Travail voulue par Emmanuel Macron.

    Les contempteurs de François Hollande qui soutiennent aujourd’hui la politique d’Emmanuel Macron ont vite oublié que, sans la loi portée par Myriam El Khomri dans le gouvernement de Manuel Valls, la réforme du code du travail à laquelle la ministre Muriel Pénicaud et le chef du gouvernement Edouard Philippe ont travaillé tout l’été n’aurait pas pu être menée. N’en déplaise aux laudateurs du président qui se complaisent encore dans le Hollande-bashing, la loi Travail de 2016 a ouvert la voie aux ordonnances qui doivent être adoptées le 22 septembre et introduiront cette réforme. Sans cette première étape, la marche aurait été trop haute pour que la concertation menée avec les syndicats eût pu être menée sans éviter le clash.

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  • France Inter - Thomas Piketty au micro de Léa Salamé

    Thomas Piketty s'exprime pour la première fois sur la politique économique du gouvernement Macron et la réforme du code du travail.

  • Fondation Jean Jaurès - La victoire d’Emmanuel Macron : stratégie

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la première soirée du 6 septembre est consacrée à l’analyse de la victoire d’Emmanuel Macron. Sur le thème de la « stratégie » d’Emmanuel Macron, les intervenants sont Alain Bergounioux, historien, administrateur de la Fondation Jean-Jaurès, Mercedes Erra, fondatrice de BETC, présidente exécutive d’Havas Worldwide, présidente du conseil d’administration de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, et Eric Fottorino, journaliste, co-fondateur de l’hebdomadaire Le 1, pour une discussion animée par Françoise Fressoz, éditorialiste au Monde.

  • Fondation Jean Jaurès - La victoire d’Emmanuel Macron : image

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la première soirée du 6 septembre est consacrée à l’analyse de la victoire d’Emmanuel Macron. Sur le thème de l’« image » d’Emmanuel Macron, les intervenants sont Brice Teinturier, directeur général délégué de l’institut Ipsos, Yann L’Hénoret, réalisation du documentaire « Emmanuel Macron : dans les coulisses d’une victoire », et Adrien Taquet, député des Hauts-de-Seine, pour une discussion animée par Solenn de Royer, grand reporter au service politique du Monde.

  • Fondation Jean Jaurès - La victoire d’Emmanuel Macron : électorat et synthèse

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la première soirée du 6 septembre est consacrée à l’analyse de la victoire d’Emmanuel Macron. Sur le thème de l’« électorat » d’Emmanuel Macron, les intervenants sont Martial Foucault, professeur à Sciences Po et directeur du Cevipof, et Chloé Morin, directrice de l’Observatoire de l’opinion de la Fondation Jean-Jaurès, pour une discussion animée par Gérard Courtois, directeur éditorial du Monde. Gilles Finchelstein, directeur de la Fondation Jean-Jaurès, termine cette séquence par une synthèse des travaux de la soirée.

  • «En direct de Mediapart»: La machinerie Macron

    Débat entre Mathieu Magnaudeix, journaliste à Mediapart, et Laurent Bigorgne, dirigeant de l’Institut Montaigne et soutien et conseiller d'Emmanuel Macron avant et durant la campagne présidentielle.