Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

macron - Page 11

  • Challenges - Hollande, Macron, Montebourg… Cambadélis dézingue ses anciens camarades dans un livre

    EXCLUSIF Jean-Christophe Cambadélis publie mercredi "Chronique d'une débâcle", un essai "coup de poing" sur le quinquennat de François Hollande, dans lequel chacun en prend pour son grade. Un sommet dans la perfidie.

    Jean-Christophe Cambadélis ne va pas se faire beaucoup d'amis avec son livre " Chronique d'une débâcle ". Sorti de son droit de réserve, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste signe mercredi un essai "coup de poing" sur le quinquennat raté de François Hollande aux éditions L'Archipel. L'ex-député de Paris, emporté par la vague macroniste au mois de juin, y règle ses comptes avec les ténors du Parti socialiste, responsables selon lui du "plus grand revers électoral de l'histoire du PS". Benoît Hamon, Manuel Valls, Arnaud Montebourg et surtout François Hollande -  président impuissant et incapable de dire non - passent sur le grill de l'ancien locataire de Solférino, qui ne se montre pas plus enthousiaste face à l'élection d'Emmanuel Macron, " l'homme qui vient de la gauche et qui convient à la droite ". Morceaux choisis.

    Lire la suite
    __________________
    _________________

  • La Gazette des communes - Face à Emmanuel Macron, le PS veut redevenir le parti de la décentralisation

    Le Parti socialiste tire à boulet rouge sur la « casse territoriale ». Une manière pour le PS de se refaire une virginité girondine à la veille d’un scrutin sénatorial du 24 septembre prochain.

    Le PS bouge encore. Lors d’une conférence de presse, le 21 septembre 2017, il a dit tout le mal que lui inspirait la politique du nouveau pouvoir en matière territoriale. Le patron de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains François Rebsamen, maire de Dijon et deux cadres du parti montés en graine ces dernières semaines, les conseillers régionaux Rachid Temal et Nadège Azzaz ont fustigé pêle-mêle « la baisse des contrats aidés », « la suppression de la taxe d’habitation » et l’effort financier supplémentaire de trois milliards d’euros au regard des engagements du candidat Macron…

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • PS - Budget 2018, un objectif d’économies revu à la baisse : le président Macron découvre la réalité du terrain

    19 septembre 2017

    Alors que le candidat aux élections présidentielles, Emmanuel Macron, promettait une réduction drastique des dépenses publiques, le président élu ne semble pas totalement respecter ses engagements.

    Le gouvernement a en effet annoncé que le plan d’économie prévu dans le projet de loi finances 2018 ne serait pas de 20 milliards, comme initialement attendu, mais de 16 milliards d’euros. La dépense publique baissera de 0,7 point de PIB en 2018 et non de 0,9 point, alors que tous les membres du gouvernement avaient communiqué sur cet objectif durant l’été.

    La dépense publique sert la croissance et l’emploi et, comme indiqué dans un rapport de l’OFCE, agit comme « un multiplicateur de relance en période de crise ». La réduire de manière trop importante serait préjudiciable à la bonne santé conjoncturelle du pays.

    La République En Marche et ses partenaires découvrent ainsi la réalité économique et admettent ainsi la réalité des comptes publics. Les annonces d’Edouard Philippe sur un soi-disant dérapage sont oubliées, jetant le doute sur le bien-fondé de sa communication estivale : la politique ne doit jamais l’emporter sur les faits.

  • Fondation Jean Jaurès - Clôture du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » : le discours de Gilles Finchelstein

    Le directeur de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, conclut les travaux du colloque « 2017, une révolution de velours ? » qui se tient les 6 et 7 septembre 2017 en partenariat avec Ipsos, le Cevipof et Le Monde.

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : clôture par Pierre Rosanvallon

    Pierre Rosanvallon, professeur au Collège de France, directeur d’études à l’EHESS, clôt les travaux de la deuxième journée, intitulée « Que s’est-il passé ? », du colloque « 2017 : la révolution de velours ? », co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde à la Maison de la Chimie à Paris les 6 et 7 septembre 2017.

  • Fondation Lean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : quel est l’état de la démocratie française ?

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une première table ronde consacrée à l’analyse de l’état de la démocratie, les intervenants sont Brice Teinturier, directeur général délégué de l’institut Ipsos, Karine Tuil, écrivain, Myriam Revault d’Allonnes, professeure des universités à l’EPHE, chercheure associée au Cevipof, et Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’université de Versailles-St-Quentin-en-Yvelines, pour une discussion animée par Gérard Courtois, directeur éditorial du Monde.

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : second tour et stratégie des candidats

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une cinquième table ronde consacrée au second tour et à la stratégie des candidats qualifiés, les intervenants sont Sylvain Crépon, maître de conférences en science politique à l’université de Tours, membre de l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès, et Philippe Guibert, ancien directeur du Service d’information du gouvernement, pour une discussion animée par Françoise Fressoz, éditorialiste au Monde.

  • Fondation Retour sur les élections de 2017 : les clivages du premier tour

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une quatrième table ronde consacrée aux clivages du premier tour, les intervenants sont Martial Foucault, directeur du Cevipof, Claudia Senik, professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris, Pascal Perrineau, professeur des universités à Sciences Po, chercheur au Cevipof, Bruno Cautrès, chercheur CNRS au Cevipof, et Hervé Le Bras, directeur d’études à l’EHESS et directeur de recherches émérite à l’Ined, pour une discussion animée par Daniel Cohen, professeur d’économie à l’Ecole normale supérieure et l’université Paris-1, président du Conseil d’orientation scientifique de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les législatives

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une sixième table ronde consacrée aux élections législatives, les intervenants sont Jérôme Jaffré, directeur du Centre d’études et de connaissance sur l’opinion publique (Cecop), chercheur associé au Cevipof, et Anne Muxel, directrice de recherches CNRS au Cevipof, pour une discussion animée par Patrick Roger, journaliste au Monde.

  • L'Hetairie - L'exercice du pouvoir selon Emmanuel Macron : la défaite du politique face à un présidentialisme technocratique

    Plus qu’aucun de ses prédécesseurs au cours des trois dernières décennies, et sans doute édifié par leurs errements, Emmanuel Macron a pensé l’exercice du pouvoir et institué cette réflexion en préalable de son action.

    Au-delà de la symbolique accumulation de signes extérieurs de « présidentialité », il a méthodiquement posé les jalons d’un présidentialisme absolu qui se préoccupe du détail et du quotidien. En connaisseur des rouages essentiels de l’Etat, il a en effet créé les conditions pour exercer une autorité sans bornes, loin des rodomontades de Nicolas Sarkozy.

    Dans cette perspective, le nouveau chef de l’Etat peut bien sûr compter sur une majorité inexpérimentée et disciplinée (d’aucuns diraient docile), mais il a surtout servi sa volonté en offrant une extraordinaire délégation de pouvoir à une technocratie désormais affranchie de toute contrainte. Le pouvoir est donc exercé sans la nécessaire contrepartie d’une responsabilité politique tant par le Président de la République que par ceux qu’il considère comme ses féaux, les directeurs d’administration centrale.

    Lire la suite
    _________________
    _________________