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actualité - Page 141

  • Le Parisien - François Hollande, patron du PS malgré lui

    Du 4e étage du 242, rue de Rivoli, avec vue lumineuse sur les jardins des Tuileries, à Paris, l'ex-président François Hollande surveille le PS pour contrôler ce qu'il s'y passe. 

    «C'est bordélique, comme toujours !» Tous ceux qui sont passés dans les bureaux de François Hollande décrivent un capharnaüm de papiers et journaux, au milieu de cartons entassés. Au point que Michel Sapin, détaché du Conseil d'Etat depuis le 1er  octobre pour le conseiller, ne trouve pas de place pour s'installer. De l'Elysée, l'ex-président a ramené un casque à crinière des cavaliers de la garde républicaine, des voitures miniatures Dinky Toys dont il fait collection, et de nombreuses photos.

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  • Le JDD - Quand les salariés du PS racontent leur Solférino

    La mise en vente de Solférino, le siège du Parti socialiste, fait remonter souvenirs et anecdotes dans les esprits des anciens salariés du PS. Ils racontent au JDD.

    A peine les mots "vos années à Solférino" sont-ils prononcés que les souvenirs fusent. "Solfé, c'est l'Histoire et plein de petites histoires", sourit Valerio Motta, passé par différents postes à la communication du Parti socialiste (PS) pendant 10 ans. Pour tous ces salariés, chargés de la communication, permanents de fédération, directeurs de cabinet… le 10, rue de Solférino est un morceau de vie, dont il est difficile de se séparer, malgré l'officialisation mi-septembre de la mise en vente du siège de la formation.

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  • Le JDD - La nouvelle génération à l'assaut du PS

    Officiellement, personne n'est candidat à la tête du Parti socialiste. Mais certains y pensent comme Luc Carvounas, Olivier Faure ou, plus inattendu, Carole Delga.

    Si La France insoumise, La République en marche et Les Républicains vont changer leurs structures ou leur direction entre novembre et décembre, les socialistes, encore groggy, se réveillent peu à peu. La date exacte de leur congrès – fin février ou début mars – n'est toujours pas connue. Personne encore ne vise officiellement le poste de premier secrétaire mais certains font davantage qu'y penser, à l'instar des députés Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Luc Carvounas. Les hypothèses Matthias Fekl et Najat Vallaud-Belkacem s'éloignent. Dans ce brouillard, un autre nom émerge, plus inattendu, celui de Carole Delga.

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  • Pour le gouvernement, supprimer l’ISF oui ! Sauver les politiques de solidarité, on verra…

    Le Parti socialiste déplore que le Gouvernement d’Edouard Philippe, si prompt à donner des gages aux plus riches en supprimant l’ISF, ne soit pas aussi efficace quand il s’agit de sauver le bouclier social français dont nos concitoyens les plus fragiles ont besoin.

    Devant les présidentes et présidents des départements de France réunis en Congrès à Marseille, le Premier ministre a esquivé le sujet du financement pérenne des Allocations Individuelles de Solidarités (RSA, APA, PCH), renvoyant à des groupes de travail ou des missions. Seule l’annonce d’un fonds d’urgence, au périmètre indéfini et au montant inconnu, peut faire office de lueur dans l’avenir sombre que le Gouvernement impose aux solidarités.

    Le Parti Socialiste rappelle que ces allocations individuelles, garantes du pacte républicain et de la cohésion sociale, doivent être financées par la solidarité nationale et ne pas reposer sur la fiscalité locale. Il faut arrêter de faire payer les moins favorisés pour les plus fragiles !

    Seul point positif, le Gouvernement s’inscrit dans la continuité des actions engagées par les précédents Gouvernements concernant l’accueil des mineurs non accompagnés (MNA). La prise en charge de la mise à l’abri et l’évaluation de la minorité est en effet nécessaire. Mais ici aussi, des solutions claires devront être formulées.

    Le Gouvernement sait pourtant être très clair quand il réaffirme sa volonté de réduire les dépenses publiques. Il veut imposer aux collectivités des contrats avec un taux directeur de dépense publique reniant ainsi le principe fondamental de libre administration des collectivités territoriales et l’essence même de la décentralisation. Et il l’a fait à Marseille, ville de Gaston Defferre, qui porta la grande loi de 1982.

  • Un peu d'histoire : Lorient : interview de Jean Yves Le Drian du Parti socialiste

    Interview de Jean-Yves LE DRIAN après son élection de député de la cinquième circonscription du Morbihan.

  • Un peu d'histoire - 25 ans de municipalité socialiste à Saint Brieuc (INA, 1987)

    Michel ROCARD est venu à Saint Brieuc fêter les 25 ans de gestion socialiste de cette ville dont le premier maire PS fut Antoine MAZIER élu en août 1962. Discours de Michel ROCARD ou il attaque le libéralisme.

  • Un peu d'histoire : Marie Noëlle Lienemann et le parti socialiste

    Thierry ARDISSON reçoit Marie-Noëlle LIENEMANN, ancienne minsitre du logement dans le gouvernement Jospin. Elle publie "Ma part d'inventaire" qui a provoqué quelques remous à l'Université d'été du PS car l'ex candidat à la présidentielle est devenu sa "tête de turc" suite à son retrait de la vie politique après le premier tour de 'élection.

  • Le Parti socialiste soutient les acteurs du logement social

    A l’issue de la manifestation organisée ce jour à l’appel de 40 organismes HLM, à laquelle ont pris part des élus et militants socialistes, le Parti socialiste réitère son opposition à la stratégie logement du gouvernement, encore défendue dimanche dernier par le Président de la République.
     
    Alors que s’ouvre l’examen du projet de loi de finances 2018 à l’Assemblée nationale, son article 52 prévoit une baisse de l’APL et une réduction de loyer de solidarité (RLS). Si ces mesures permettraient à l’Etat d’économiser 1.7 milliard d’euros sur le montant des aides au logement, elles auraient des conséquences désastreuses pour le logement social.
     
    Le Parti socialiste rappelle que les premières victimes de cette politique du logement « low cost » seraient les locataires, car les bailleurs, privés de ces moyens financiers, devraient renoncer à réaliser des programmes de réhabilitation et d’entretien du patrimoine. Elle porterait aussi un coup d’arrêt brutal à la construction de logements neufs, rendant impossible les parcours résidentiels et la satisfaction des milliers de demandeurs de logement.
     
    Le Parti socialiste veut insister sur le rôle quotidien des équipes des bailleurs dans l’accompagnement des locataires les plus fragiles et dans l’animation de quartiers populaires que cette baisse massive de moyens pourrait remettre en cause en altérant le lien social et la cohésion territoriale.
     
    C’est pourquoi, le Parti socialiste demande au gouvernement d’abroger l’article 52 du PLF 2018, de convoquer une Conférence nationale sur le logement social pour réfléchir aux meilleurs moyens de gagner la bataille du « logement pour Tous ».  

  • Carine Petit : "Anne Hidalgo n'a pas applaudi des deux mains mais a compris mon choix de liberté"

    Après 22 ans de militantisme au parti socialiste, l’actuelle maire du 14e arrondissement de Paris vient de rendre sa carte pour rejoindre le mouvement de Benoît Hamon, le M1717. Quel(s) impact(s) sur la majorité parisienne ? Anne Hidalgo est-elle fragilisée par les divisions de la gauche et l’adhésion de certains socialistes au mouvement d’Emmanuel Macron ? Enfin, quel avenir pour le mouvement de Benoît Hamon ? Carine Petit est l’invitée de La Midinale.