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actualité - Page 139

  • Le Parti socialiste est-il mort ? - Un monde en docs (29/10/2017)

    6 % à la dernière présidentielle, le score de Benoît Hamon constitue une défaite historique pour le Patri socialiste. Une déroute que le parti n’avait pas connue depuis les 5% du candidat socialiste en 1969. Alors faut-il, comme à l’époque, un nouveau Congrès d’Epinay ? Aujourd’hui pris en étau entre les macronistes et la France Insoumise, quelle place peut encore occuper le Parti socialiste sur l’échiquier politique ? Est-ce la fin de PS ?
    Avec :
    Juliette MÉADEL : Ancienne porte-parole du Parti socialiste (2014-2016) et ancienne secrétaire d’É,
    Henri WEBER : Directeur des études européennes du Parti socialiste,
    Emmanuel MAUREL : Député européen, membre de la direction collégiale du Parti socialiste,
    Rachid TEMAL : Coordinateur du Parti socialiste, Sénateur du Val d'Oise,
    Serge MOATI : Coréalisateur du documentaire "Gauche, année zéro ?".
    Présenté par Nora HAMADI.

  • L'actualité des socialistes du 20 au 26 octobre

    Libé, Joffrin - Jacques Sauvageot, le discret de Mai

    A la tête de l’Unef lors des révoltes de 68, cet homme peu ambitieux et cultivé est devenu presque par hasard un des leaders du mouvement. Il est mort samedi à 74 ans des suites d’un accident de la circulation.

    Dans le trio des leaders de Mai 68, il était le jeune premier, candide et incisif. A côté de Daniel Cohn-Bendit, Till l’espiègle aux yeux bleus, orateur né, anar imprévisible, et d’Alain Geismar, plus rond et plus âgé, Jacques Sauvageot était un vice-président de l’Unef au visage d’ange, entre Saint-Just et Dorian Gray.

    Un peu d'histoire, les vidéos de la semaine : Mai 68 et Jacques Sauvageot

    A LA UNE

    Libé - Budget : les 100 plus riches gagneront 1,5 million d'euros par an chacun

    Après l'appel lancé dans «Libération», le président de la commission des finances a obtenu des réponses de Bercy sur les bénéficiaires de la fin de l'ISF et d'une flat tax de 30% sur les revenus du capital.

    Un cadeau moyen de 1,5 million d’euros pour chacune des cent plus grandes fortunes de France. C’est un des chiffres récupérés à Bercy par le nouveau président de la commission des finances du Sénat, le socialiste Vincent Eblé, communiqués cet après-midi à la presse et consultés par Libération.

    Le Figaro - Congrès PS : la nouvelle génération s'agace des manœuvres de Hollande

    «Ce n'est pas à François Hollande de décider qui sera le prochain premier secrétaire», assure le président des députés socialistes à l'Assemblée nationale Olivier Faure. Quant à l'ancienne ministre Delphine Batho, elle juge «qu'il n'y aura pas de retour au monde d'avant».

    Les quadra socialistes se rebellent. L'idée que François Hollande s'active de plus en plus en coulisses pour influencer le prochain congrès du PS hérisse nombre d'entre eux. Jeudi, c'est Olivier Faure, le patron des députés «Nouvelle gauche», qui prévient que «ce n'est pas à François Hollande de décider qui sera le prochain premier secrétaire» de la rue de Solférino.

    LA REVOLUTION D'OCTOBRE

    Libé - Centenaire d'octobre 2017 - 24-25 octobre : la nuit rouge, Par Laurent Joffrin

    Le 24 octobre 1917 au soir, à Petrograd, c’est un Lénine seul mais décidé qui saisit sa chance et part lever ses troupes pour s’emparer du pouvoir.

    Lénine est méconnaissable. Sur son crâne chauve, il a posé une perruque blondasse surmontée d’une casquette défraîchie et il s’est entouré le visage d’une vieille écharpe… Courbé sous le vent du Nord, emmitouflé dans un antique pardessus, il marche à pas pressés dans les rues de Vyborg, le quartier ouvrier de Petrograd, décidé à rejoindre le quartier général bolchevique coûte que coûte malgré la police qui le pourchasse. Depuis des jours, mis hors la loi par le gouvernement, il se cachait chez Fofanova, une militante bolchevique qui lui a prêté son appartement. Mais l’attente était insupportable. Aujourd’hui, 24 octobre, il le sait, il le sent, le pouvoir est à portée de main.

    La Vie des Idées - L’embarrassante mémoire de la Révolution russe

    Octobre 17 fut la référence politique et culturelle centrale de l’époque soviétique. Cent ans après, la société russe reste toujours profondément divisée face à son passé. Le centenaire de la révolution sera-t-il ce grand moment de réconciliation nationale souhaité par le pouvoir russe ?

    Présenté comme l’aboutissement de l’Histoire mais aussi comme le début d’une ère nouvelle, Octobre 17 fut la référence politique et culturelle centrale de l’époque soviétique. Seule la Victoire de la Seconde Guerre mondiale parvint non pas à détrôner la « Grande Révolution socialiste d’Octobre », mais à la concurrencer. Le 7 novembre, le jour où les bolcheviks prirent le pouvoir, resta néanmoins la plus importante fête officielle.

    MAI 68

    Le Point - L'Élysée envisage de commémorer Mai 68

    Selon "L'Opinion", Emmanuel Macron voudrait sortir des discours "maussades" sur Mai 68, événement qui a participé à la modernisation de la France..... « L'Élysée souhaite donner une dimension internationale à 68, car ce fut l'année du Printemps de Prague et de sa répression, des grandes manifestations aux États-Unis, du massacre à l'université de Mexico, des mouvements étudiants dans toute l'Europe... » explique L'Opinion, qui précise que Daniel Cohn-Bendit, figure de Mai 68 qui a soutenu Emmanuel Macron lors de la dernière présidentielle, sera visiblement associé à la réflexion.

    TAXATION DES REVENUS FINANCIERS

    Observatoire des inégalités - Taxation forfaitaire des revenus financiers : qui veut gagner des dizaines de milliers d’euros ?

    Le nouveau « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus financiers va faire gagner des dizaines de milliers d’euros aux plus aisés, selon notre évaluation. Une mesure lourde de sens politique. L’analyse de Noam Leandri et Louis Maurin, de l’Observatoire des inégalités.

    Selon nos estimations, un ménage qui touche 400 000 euros de revenus financiers annuels va bénéficier d’un cadeau fiscal de 96 000 euros sous forme de baisse de son impôt sur le revenu avec le vote du « prélèvement forfaitaire unique ». Les hauts revenus financiers (intérêts d’obligation [1], dividendes [2] ou plus-values des cessions d’actifs financiers [3]) seront imposés à un taux forfaitaire de 30 %, alors qu’ils pouvaient l’être à un niveau atteignant près de 60 % auparavant.

    HOLLANDE

    Le Parisien - François Hollande, patron du PS malgré lui

    Du 4e étage du 242, rue de Rivoli, avec vue lumineuse sur les jardins des Tuileries, à Paris, l'ex-président François Hollande surveille le PS pour contrôler ce qu'il s'y passe. 

    «C'est bordélique, comme toujours !» Tous ceux qui sont passés dans les bureaux de François Hollande décrivent un capharnaüm de papiers et journaux, au milieu de cartons entassés. Au point que Michel Sapin, détaché du Conseil d'Etat depuis le 1er  octobre pour le conseiller, ne trouve pas de place pour s'installer. De l'Elysée, l'ex-président a ramené un casque à crinière des cavaliers de la garde républicaine, des voitures miniatures Dinky Toys dont il fait collection, et de nombreuses photos.

    MACRON

    Atlantico - François Kalfon : "Emmanuel Macron prétendait augmenter le champ des possibles pour les Français : élu, il les précarise tout en confortant ses amis milliardaires"

    Pour François Kalfon, membre de la direction collégiale du Parti socialiste, l'habilité d'Emmanuel Macron a été de faire quoi au "ni droite, ni gauche", bien qu'il incarne "profondément une politique de droite" inspirée des cénacles qui ont pris le pouvoir en France depuis de longues années : les promotions de l'ENA et les conseils d'administration du CAC40.

    La Croix - Emmanuel Macron, le mystère s’épaissit

    Chaque jour le mystère Macron s’épaissit et prend de l’ampleur. Voilà un jeune homme sympathique, mal connu jusqu’alors, un peu lisse, dont une majorité de Français a cru qu’il allait changer la politique et faire passer la France de l’ombre des vieux systèmes à la lumière de la modernité alléchante et joyeuse.

    Six mois après, ceux-là mêmes qui avaient voté pour lui dès le premier tour sont désarçonnés, désemparés, déçus. Le gendre idéal a trahi leurs envies de modération et d’équité, le premier de la classe se moque des fainéants qui traînent au fond de la salle, près des radiateurs du RSA et du chômage indemnisé, le liseur insatiable n’a pas de mots trop prétentieux pour les largués de la culture. Le jeune homme doué se rit des incapables et des impotents qui semblent constituer à ses yeux l’essentiel de ceux qui s’opposent à lui.

    Libé - Il y a du Ricœur dans Macron, le socialisme en moins Par Jean-Claude Monod, Philosophe, directeur de recherche au CNRS

    Le philosophe appartenait certes à une gauche non dogmatique, mais il soulignait l’urgence d’une critique du capitalisme en tant que système.

    Paul Ricœur philosophe officiel du macronisme ? Je ne sais pas ce qu’en aurait pensé l’auteur de la Critique et la Conviction. Historien et biographe de Ricœur, qui a présenté le jeune Macron à celui-ci, François Dosse publie ces jours-ci un livre (1) qui entend montrer l’importance de cette rencontre pour l’actuel président de la République, pour sa compréhension de certains problèmes, pour son approche du politique.

    HAMON

    Le Point - Hamonistes : être ou ne pas être au PS

    Le mouvement de Hamon entend "refonder la gauche". Mais certains de ses proches espèrent toujours peser sur le PS, quand d'autres ont sauté le pas.

    Avec près de deux mois de retard, c'est la rentrée pour Benoît Hamon. À la radio, dans les journaux, dans les pureplayers, le candidat malheureux à la présidentielle est de retour sur la scène médiatique. Il revient sur sa défaite, sur «  l'échec de la social-démocratie partout en Europe  », sur la nécessité de s'adapter à un «  monde en transition  ». Et surtout, il présente son Mouvement du 1er juillet, qui revendique 30 000 adhérents.

    Le Point - M1717 : Benoît Hamon passe à la vitesse supérieure

    Le candidat malheureux à la présidentielle lance aujourd'hui une grande consultation sur Internet pour consolider les orientations de son Mouvement du 1er juillet.

    Après la première pierre posée le 1er juillet dernier sur la pelouse de Reuilly, après la création d'environ 500 comités locaux en France et à l'étranger, il est temps pour le M1717 de Benoît Hamon d'édifier et de cimenter ses fondations. Loquace et très critique envers les premiers pas d'Emmanuel Macron à l'Élysée, l'ex-candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle s'est montré, depuis la rentrée, beaucoup moins prolixe concernant la construction de son mouvement, qui peine à se financer par les dons de ses sympathisants et, par conséquent, ne dispose pas encore de QG officiel.

    ISLAMISME

    Medium - L’intersectionnalité dévoyée : le cheval de Troie des islamistes

    Comment des militant.e.s féministes et homosexuel.le.s se réclamant de la gauche pour qui l’égalité est une valeur fondamentale peuvent-ils faire cause commune avec des mouvements religieux fondamentalistes proches des islamistes dont l’idéologie sexiste et homophobe n’est plus à démontrer ? La réponse se trouve dans ce mot dont le sens a été dévoyé, intersectionnalité.

    PS

    BFMTV - Le plan social du PS concerne 67 salariés sur 97

    Selon des informations BFMTV, l'indemnité supra légale proposée aux salariés est de 5.000 euros, en plus du reste prévu par la loi. 

    Libé - PS: Batho dénonce «une génération qui veut toujours tirer les ficelles»

    La députée Nouvelle Gauche Delphine Batho, ex-ministre de l’Ecologie, a dénoncé jeudi «une génération qui veut toujours tirer les ficelles» au parti socialiste, pointant «notamment» François Hollande, «mais aussi un certain nombre d’anciens ministres».

    «Pour l’instant, tout est fait pour que rien n’émerge, il y a une espèce de léthargie organisée», a dit Mme Batho sur franceinfo, interrogée sur l’avenir du PS.

    La Croix - Le Parti socialiste s’engage dans une longue refondation

    Les socialistes ont lancé lundi 23 octobre une consultation en ligne sur le bilan du quinquennat et la reconstruction de la gauche, avant un congrès prévu en 2018.

    La République en marche, la France insoumise et Les Républicains sont en pleine phase de structuration ou de renouvellement de leur organisation. Et le Parti socialiste ? Essoré par les défaites électorales et les difficultés financières, contraint de se séparer de son siège historique, rue de Solférino à Paris, et de plus de la moitié de ses salariés, en panne d’idées, de figures de premier plan et de militants, celui-ci ouvre à peine le chantier de sa refondation.

    Le JDD - La nouvelle génération à l'assaut du PS

    Officiellement, personne n'est candidat à la tête du Parti socialiste. Mais certains y pensent comme Luc Carvounas, Olivier Faure ou, plus inattendu, Carole Delga.

    Si La France insoumise, La République en marche et Les Républicains vont changer leurs structures ou leur direction entre novembre et décembre, les socialistes, encore groggy, se réveillent peu à peu. La date exacte de leur congrès – fin février ou début mars – n'est toujours pas connue. Personne encore ne vise officiellement le poste de premier secrétaire mais certains font davantage qu'y penser, à l'instar des députés Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Luc Carvounas. Les hypothèses Matthias Fekl et Najat Vallaud-Belkacem s'éloignent. Dans ce brouillard, un autre nom émerge, plus inattendu, celui de Carole Delga.

    Le JDD - Quand les salariés du PS racontent leur Solférino

    La mise en vente de Solférino, le siège du Parti socialiste, fait remonter souvenirs et anecdotes dans les esprits des anciens salariés du PS. Ils racontent au JDD.

    A peine les mots "vos années à Solférino" sont-ils prononcés que les souvenirs fusent. "Solfé, c'est l'Histoire et plein de petites histoires", sourit Valerio Motta, passé par différents postes à la communication du Parti socialiste (PS) pendant 10 ans. Pour tous ces salariés, chargés de la communication, permanents de fédération, directeurs de cabinet… le 10, rue de Solférino est un morceau de vie, dont il est difficile de se séparer, malgré l'officialisation mi-septembre de la mise en vente du siège de la formation.

    LYON

    Lyon Capitale - Lyon : le Gram prend ses distances avec Nathalie Perrin-Gilbert

    Le 23 octobre dernier lors de l'assemblée générale extraordinaire du Groupe de Réflexion et d'Action Métropolitaine (Gram), le mouvement a élu une nouvelle équipe à sa tête, sans Nathalie Perrin-Gilbert, qui avait pourtant participé à sa création en 2011. 

    Dans un communiqué, le Gram a expliqué être "parti du constat que l'incarnation politique du GRAM s'est éloignée, ces derniers mois, de la raison même de ce mouvement avec une personnalisation du pouvoir, une confusion entre les priorités du collectif et un agenda électoral de court terme, des stratégies et des choix politiques discutables".

    LES DECODEURS/DESINTOX

    Libé - Désintox : Si, Thierry Solère, le gouvernement «fait des cadeaux aux plus aisés»
     
    Le député LR «constructif» affirme, à tort, qu'un Français gagnant 10 000 euros par mois ne verrait pas sa facture fiscale baisser grâce aux mesures du gouvernement..... En conclusion, le gouvernement fait objectivement «des cadeaux aux plus aisés dans ce budget», contrairement à ce qu’affirme Thierry Solère. Il ne s’en cache d’ailleurs pas. Emmanuel Macron l’a assumé en direct lors de son interview, dimanche 15 octobre sur TF1, en développant sa théorie du «premier de cordée» (les riches tirent l’ensemble de la société derrière eux), qui remplace désormais celle, historique, du ruissellement (on arrose les plus riches mais, par ruissellement, l’ensemble de la société en bénéficie).

    Le Monde - Ce que révèlent les déclarations d’intérêts des députés

    Inégalités hommes-femmes, renouveau parlementaire aisé, noyau dur de quinquas très fortunés : découvrez ce que révèlent les déclarations d’intérêts des députés.

     
     
    Un internaute nous a demandé combien de lois françaises provenaient directement de l'UE. Le chiffre est très difficile à estimer, mais est très loin des 80% régulièrement cités..... Malgré ces difficultés, certains chercheurs se sont tout de même essayés à faire une estimation. Et même si leurs résultats sont différents, ils arrivent en moyenne tous au même ordre de grandeur : 20%, et non 80% des lois seraient d’origine européenne. L’ensemble de ces études est d’ailleurs résumé dans cet article.
     

    Le système de protection sociale français est plutôt le fruit d’un consensus partagé par tous les partis politiques et l’opinion publique à la Libération, selon les historiens Bruno Valat et Fabrice Grenard.

    Chaque année, à l’automne, elle revient sur le devant de la scène, à l’occasion des débats sur le projet de loi de financement : la « Sécu », qui a fêté ses soixante-douze ans le 19 octobre, n’en finit pas de déchaîner les passions quant à ses prérogatives et à sa gestion. Pour Anne Bourdu, avocate et première vice-présidente du Parti libéral démocrate, la Sécurité sociale, qui assure le remboursement des soins de santé, mais aussi la gestion des retraites, des allocations familiales et des accidents du travail, « est un vestige communiste de 1945 ». Une allégation, prononcée le 23 octobre sur LCI, largement démentie par les faits historiques.

  • RTL - Parti socialiste : Vallaud-Belkacem, Faure... une nouvelle génération s'active pour prendre la main

    CONFIDENTIELS RTL - Une équipe qui ambitionne de redorer le blason du parti s'est créée au sein du PS, en mettant de côté la vieille génération.

    Quelques acteurs du Parti socialiste tentent de lui apporter un nouveau souffle. Les manigances, réelles ou supposées, de François Hollande et de certains de ses proches pour tirer les ficelles du prochain congrès, qui doit avoir lieu en février 2018, ne font que les conforter dans leur envie de prendre définitivement la suite. Le chef de file des députés socialistes à l’Assemblée, Olivier Faure, le dit même ouvertement. "Il faut laisser une nouvelle génération émerger et faire place au renouveau", répète-t-il depuis le week-end des 28 et 29 octobre.

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  • Eduardo Rihan Cypel - Retour de François Hollande: «Non, je souhaite du renouveau»

  • Prendre la tête du PS ? "Il n'en est pas question une minute assure Bernard Cazeneuve

    L'ancien Premier ministre a beau assurer que la direction du Parti socialiste ne l’intéresse pas, certains voient dans sa tournée de dédicace un test de popularité. Et si Bernard Cazeneuve était pour la gauche le recours idéal ?

  • Le Lab - Quand le chef de file des députés PS Olivier Faure demande très poliment à François Hollande de ne pas se "transformer en DRH du parti"

    D'ici quelques semaines, en février ou en mars 2018, le Parti socialiste va tenir son Congrès. Le but est de rassembler les troupes, de voir combien il reste de socialistes qui ne sont pas partis chez Macron, Hamon ou Mélenchon. Puis, il va falloir s'accorder sur ligne politique modernisée et élire un nouveau Premier secrétaire pour remplacer les 28 membres de la direction collégiale actuelle.

    En coulisses, François Hollande consulte. Il redoute une "synthèse molle" et, pour l'éviter, aimerait bien placer un de ses chouchous. Bernard Cazeneuve a déjà dit non, mais à parier sur plusieurs chevaux, il y en a bien un qui pourrait gagner. Et puis, François Hollande parle. Beaucoup.

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  • Slate - Macron et les «premiers de cordée»: une histoire politique de l'ascension par Gaël Brustier

     Le spectacle inquiétant de fonte des glaciers des Alpes comme les récits des grandes ascensions d’alpinistes rappellent que, depuis deux siècles, la montagne a contribué à façonner imaginaires et philosophies. Jusqu'à infuser le monde politique.

  • Le Figaro - Congrès PS : pressé par les hollandais, Cazeneuve adresse une fin de non-recevoir

    L'ancien premier ministre a indiqué jeudi soir qu'il «n'est pas question une minute» qu'il brigue la tête du Parti socialiste.

    C'est une fin de non-recevoir très nette. Au milieu des très nombreux lecteurs de son livre Chaque jour compte (Stock) venus jeudi soir se faire dédicacer l'ouvrage dans une librairie parisienne du boulevard Saint-Germain, l'ancien premier ministre a exclu de briguer des responsabilités au Parti socialiste à l'occasion du prochain congrès qui doit se tenir l'année prochaine. «Il n'en est pas question une minute. Je pense qu'il faut qu'il y ait une nouvelle génération», a-t-il lancé à la presse.

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  • Fondation Jean Jaurès : Élections en Allemagne : quelles sont les perspectives du SPD ? Analyse de Christian Petry

    Comment analyser les résultats du SPD à l’issue des élections fédérales en Allemagne, le 24 septembre 2017 ? Arrivé second avec un peu plus de 20% des voix, le SPD a atteint son plus bas score.

    Si les résultats sont décevants, Christian Petry, député SPD au Bundestag, porte-parole adjoint du groupe parlementaire, chargé des affaires européennes, y voit, néanmoins, l’occasion de saisir de cette opportunité pour incarner la principale force politique d’opposition.

    L'entretien est traduit en français par Isabelle Fagard.

  • PLFSS 2018 Intervention de Boris VALLAUD en Discussion Générale 24 10 17

    Discussion générale du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018. Intervention de Boris VALLAUD