Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Article du jour - Page 104

  • Europe 1 - Le PS face à un problème existentiel : trouver des idées ou se choisir un chef ?

    Les socialistes tiendront samedi leur conseil national, afin de déterminer la date et les modalités de leur futur Congrès, a priori fixé pour avril prochain. 

    Les socialistes sont face à un sacré problème. Un problème vieux comme le monde, et que des siècles de philosophie ne sont pas parvenus à résoudre ! Le problème dit "de l’œuf ou de la poule". Par quoi commencer pour se relever : l’œuf, c'est à dire produire de nouvelles idées, mais comment faire si personne ne les incarne ? Ou la poule, soit se choisir un nouveau leader, mais pour porter quoi s’il n’a réfléchi à rien ?

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Le Point - Mélenchon prend le risque politique d'assumer ses colères

    La virulente sortie de Jean-Luc Mélenchon contre France 2 et sa volonté d'instaurer un "tribunal" des médias illustre sa conviction que des colères ciblées servent sa cause politique, au risque de compromettre ses chances d'élargir son électorat.

    La "hargne caractérielle" de Nathalie Saint-Cricq, les "liens familiaux et communautaires politiques" d'une Léa Salamé qui "glapit en pleine hystérie", "l'équipe d'arsouilles de France 2": dans sa longue note de blog lundi, le patron des députés de La France insoumise n'épargne aucun des intervenants de "l'Emission politique" à laquelle il a participé le 30 novembre.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • RTL - PS : un front anti-Carvounas semble poindre à l'approche du congrès

    CONFIDENTIELS RTL - Au Parti socialiste, il n'y a pour l'heure qu'un seul candidat déclaré pour prendre sa direction. Mais chacun fourbit ses armes.

    Pour l'instant, seul le député Luc Carvounas s'est officiellement déclaré candidat au poste de premier secrétaire du Parti socialiste. Mais quatre membres de la direction provisoire du PS - dont le bras droit de Jean-Christophe Cambadélis, Rachid Temal - tentent de récolter ces jours-ci des signatures pour lancer un appel à la "responsabilité" (selon leurs termes). Un appel qu'ils ont rédigé et envoyé aux premiers fédéraux du parti, c'est-à-dire à ses chefs de file départementaux.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Monde - « Jamais il ne faut minimiser l’emprise d’un adulte sur un enfant »

    La comédienne et danseuse Andréa Bescond témoigne des viols qu’elle a subis enfant, et explique comment son spectacle l’aide dans son combat pour la reconnaissance de l’amnésie traumatique.

    Andréa Bescond, comédienne et auteure de la pièce de théâtre Les Chatouilles ou la Danse de la colère, qui se joue depuis le début de 2016 et sera adaptée au cinéma pour la rentrée 2018, raconte les ravages des viols qu’elle a subis enfant. De l’amnésie traumatique à la descente aux enfers, elle a pourtant réussi à enclencher un processus de reconstruction, dont témoignent son spectacle et ses combats. Entretien.
     
    Lire la suite
    _____________________
    _____________________
  • France Info - Dussopt chez Macron : "C'est comme s'il venait nous cracher au visage", déplore Boris Vallaud

    Boris Vallaud, député Nouvelle gauche des Landes, invité de franceinfo lundi 4 décembre, a vivement réagi à l'entrée au gouvernement d'Olivier Dussopt, maintenant ex-député PS de l'Ardèche. "Je ne m’y attendais pas", a-t-il déclaré. "Nous sommes 30 dans le groupe à l'Assemblée nationale, à se serrer les coudes", a-t-il ajouté. "C'est comme s'il venait nous cracher individuellement au visage (...) Malheureusement je ne découvre pas qu’on est prêt à se vendre pour un plat de lentilles. La jouer perso, ce n’est pas trop correct vis-à-vis des collègues", a poursuivi Boris Vallaud.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Lab - Rachid Temal explique très sereinement que les socialistes qui rejoignent Génération.s ne sont plus membres du PS

    L'Ancien Monde est sur la défensive. À droite, le parti Les Républicains exclut ceux qui ont rejoint le gouvernement ou Agir (ex-les Constructifs). À gauche, le PS renvoie ceux qui rejoignent le gouvernement ou le mouvement de Benoît Hamon Génération.s.

    C'est du moins ce qu'annonce Rachid Temal ce dimanche 3 décembre sur Radio J. Sont évoqués les cas de deux socialistes : le député Régis Juanico, proche de Benoît Hamon, et le conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis Mathieu Hanotin, ancien co-directeur de la campagne du candidat à la présidentielle. Ce dernier était même présent samedi 2 décembre à la journée de fondation de Génération.s.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Pour Olivier Faure, "personne n'a envie d'accompagner" Benoît Hamon "dans son délire politique"

    Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale n'est pas convaincu par "Génération.s", le mouvement lancé par Benoît Hamon en juillet dernier, et renommé ce samedi.

  • Huffington Post - Pourquoi l'ombre de François Hollande planera forcément sur la refondation du Parti socialiste

    La candidature de Luc Carvounas lance la course pour la direction du PS. La figure de l'ancien président sera omniprésente.

    Arrivée prévue dans quatre mois. C'est en avril que le Parti socialiste aura un nouveau dirigeant, près d'un an après sa déroute historique à la présidentielle. On sera alors aussi dix-huit mois après une décision inédite: le renoncement de François Hollande à se présenter pour un second mandat. Contrairement à Nicolas Sarkozy, revenu deux ans après son départ de l'Elysée, l'ex-chef de l'Etat et ex-patron du PS n'a pas envie de se lancer dans la course, jure Michel Sapin ce jeudi 30 novembre. Sera-t-il pour autant absent du chantier de refondation? Non, mille fois non.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • LCP - Inra : "Pas de solution miracle sur le glyphosate, mais des solutions sont possibles..."

    Les agriculteurs pourraient baisser de 30% l'utilisation de produits phytopharmaceutiques tout en conservant le même rendement, assure Philippe Mauguin, auditionné mercredi par les députés. Au-delà du cas du glyphosate, le patron de Institut national de la recherche agronomique prône une réflexion globale sur l'agriculture moderne. Morceaux choisis.

    L'Inra ne recherche pas une nouvelle molécule pour remplacer celle du glyphosate. Mardi, devant les députés, le PDG de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) Philippe Mauguin a tenu à affirmer qu'il n'y avait pas de "solution miracle" pour réduire la "dépendance" des agriculteurs vis-à-vis des pesticides. Toutefois, a-t-il aussitôt ajouté, "des solutions sont possibles".

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Boursorama - Le Parti socialiste se cherche une ligne et un chef par Elizabeth Pineau

     PARIS (Reuters) - Toujours dans les cordes après les lourdes défaites électorales du printemps dernier et affaiblis par les défections en faveur de la majorité d'Emmanuel Macron, les socialistes se cherchent une ligne et un chef en vue de leur congrès d'avril 2018.

    Le départ d'Olivier Dussopt pour le gouvernement réduit provisoirement à 30 le groupe Nouvelle gauche de l'Assemblée, dix fois moins que pendant le quinquennat de François Hollande, en attendant l'arrivée, d'ici un mois, de Michèle Victory, la suppléante du nouveau secrétaire d'Etat à la Fonction publique.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Sondage: 74% des Français et 63% des sympathisants de gauche pronostiquent la disparition du Parti socialiste

    Le sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro, jeudi, est sans appel pour le PS : une courte majorité de sondés estime qu'il n'est pas "utile à la vie politique française".

    74% des Français interrogés et 63% des sympathisants de gauche estiment qu'il est possible que le Parti socialiste disparaisse du paysage politique français, révèle un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro, jeudi 30 novembre. Ce pronostic est même partagé par 48% des sympathisants socialistes. 23% des personnes interrogées pensent que cette disparition sera "définitive", la moitié qu'elle ne sera que "temporaire".

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________