Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Article du jour - Page 101

  • Le JDD - Dray, Carvounas, Le Foll… quel candidat pour piloter le Parti socialiste?

    Le retrait de Najat Vallaud-Belkacem de la course au poste de premier secrétaire du PS a rouvert le bal des ambitions. Après Emmanuel Maurel vendredi, Julien Dray a évoqué dimanche son envie d'y aller.

    Ils sont désormais deux candidats officiels au poste de premier secrétaire du Parti socialiste. Après Luc Carvounas, l'eurodéputé Emmanuel Maurel, pilier de l'aile gauche du parti, a déclaré vendredi soir sa volonté d'y aller. Dimanche, c'est au tour de Julien Dray d'indiquer, dans l'émission Questions politiques sur France Inter et France Info, qu'il y pensait. Ils sont désormais six hommes - aucune femme n'est intéressée à ce jour - à envisager l'affaire. Six mois après la vague de dégagisme électoral, tous ne cochent toutefois pas la case du renouvellement. Voici leurs profils.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le JDD - Congrès du PS : une trentaine de cadres du parti publient un manifeste dans le JDD

    Plusieurs cadres du PS publient une tribune dans le JDD à trois mois du Congrès du PS qui aura lieu à Aubervilliers.

    Au parti socialiste, cette rentrée est celle de toutes les ambitions. À l'initiative de Sébastien Vincini, patron de la fédération de Haute-Garonne, une trentaine de cadres du PS – dont la députée Valérie Rabault, les secrétaires nationaux Eduardo Rihan Cypel et Gabrielle Siry, les premiers fédéraux (de Paris et de l'Allier) Emmanuel Grégoire et Nicolas Brien – signent un "manifeste pour un progrès partagé". La première pierre, espèrent-ils, d'une motion à vocation majoritaire dans la perspective du congrès d'Aubervilliers. Nous publions cette tribune.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • L'Express - Emmanuel Maurel, un nouveau candidat pour prendre la tête du PS

    Le député européen, membre de l'aile gauche du parti, est le deuxième candidat déclaré, après le député du Val-de-Marne Luc Carvounas.

    Les candidats ne se bousculent pas pour prendre la tête du Parti socialiste. En se déclarant vendredi dans Le Point, Emmanuel Maurel, membre de l'aile gauche du parti, est devenu le deuxième candidat officiel pour l'élection du 29 mars, avant un congrès prévu les 7 et 8 avril.  

    Son nom circulait depuis plusieurs semaines, mais Emmanuel Maurel le confirme à l'hebdomadaire. "Évidemment que je serai candidat à la tête du PS", déclare-t-il, alors qu'il déposera le 27 janvier son texte d'orientation. En 2012, il avait déjà été candidat, sa motion récoltant 13% des voix, face à celle d'Harlem Désir.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Marianne - PS : vieille maison cherche tête nouvelle (ou pas)

    Alors que le Parti socialiste joue sa survie d'ici à son congrès prévu en avril à Aubervilliers, la course pour obtenir le poste de premier secrétaire fait très "ancien monde"…

    Un bras de fer persistant entre aile gauche, sociaux-démocrates et réformistes de tout poil. D’abscons appels d'apparatchiks étalés dans la presse. Et l'inoxydable figure de Julien Dray… L'ancien monde n'en finit plus de renaître au Parti socialiste, où rien ne semble avoir changé après sa descente aux enfers en 2017. L'horizon du congrès à venir, en avril à Aubervilliers, afin d'adouber le premier secrétaire qui sera élu le 29 mars, ressemble ainsi à s'y méprendre à la litanie de ceux qui ont précédé…

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Figaro - Le PS est «en état de mort clinique»

    L'ex-chef de file des «frondeurs», Christian Paul, juge le PS «en état de mort clinique», mais considère dans le JDD que l'urgence est de donner idées et visages à la prochaine gauche plutôt qu'à un congrès de «survie».

    Disant approuver la décision de Najat Vallaud-Belkacem de ne pas se porter candidate à la direction du parti, l'ancien député de la Nièvre juge qu'elle «a compris que l'avenir de la France et de la gauche ne se jouerait pas dans les boutiques obscures du Parti socialiste.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le JDD - Christian Paul : "Le PS ne peut pas faire l'économie du droit d'inventaire"

    Chef de file des frondeurs sous François Hollande, l'ancien député PS Christian Paul dresse le diagnostic de son parti.

    Frondeur sous François Hollande, Christian Paul réagit à la décision de Najat-Vallaud Belkacem de ne pas briguer la tête du PS : "Elle a compris que l'avenir de la France et de la gauche ne se jouerait pas dans les boutiques obscures du Parti socialiste. Elle a raison. Le PS, en état de coma clinique, est devenu une machine à broyer les idées, les femmes et les hommes. Mais elle ne jette pas l'éponge : elle pense, et moi aussi, que l'essentiel se passera ailleurs et autrement."

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Point - Emmanuel Maurel : « Évidemment que je serai candidat à la tête du PS »

    Le député européen, candidat face à Harlem Désir en 2012, se lance dans la course pour devenir premier secrétaire du Parti socialiste.

    Si doute il y avait, il est balayé d'emblée. « Évidemment que je serai candidat à la tête du PS », lâche, comme une évidence, Emmanuel Maurel alors que Najat Vallaud-Belkacem vient d'annoncer qu'elle ne briguerait pas le poste. Le député européen ne l'avait jamais exprimé aussi clairement. Pas par souci d'entretenir le suspense – « On n'est pas dans une primaire » –, mais parce qu'il rassemble ses soutiens et prépare son projet avant de déposer son texte d'orientation, le 27 janvier

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Parisien - Aulnay : zéro voiture brûlée pendant la patrouille des mamans

    Une association de mères de famille a passé la soirée à « patrouiller » dans la cité de l’Europe, avec l’objectif de prévenir les débordements de la nuit du nouvel an.

    23h59, ce dimanche 31 décembre, cité de l’Europe à Aulnay-sous-Bois : une clameur géante s’élève des immeubles. Des dizaines d’explosions de pétards déchirent le silence de la nuit. La cité, très calme jusque-là, se réveille d’un coup.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Monde Diplomatique - Une bonne nouvelle maquillée en catastrophe, Chômage, le mythe des emplois vacants

    Les mesures envisagées par le gouvernement pour renforcer le contrôle des chômeurs se précisent (lire « Les recettes du vieux monde en échec »). Le Canard enchaîné en détaille cette semaine quelques-unes, tirées d’une note confidentielle du ministère du travail, qui reprend à son compte les prescriptions du Mouvement des entreprises de France (Medef). Son président, M. Pierre Gattaz, suggérait en octobre dernier d’aller jusqu’à un contrôle quotidien des demandeurs d’emploi. « Les chômeurs veulent-ils vraiment travailler ? » : véritable obsession patronale (lire « Le rêve patronal en ordonnances »), cet argument s’appuie sur des statistiques hasardeuses…

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Slate - Emmanuel Macron peut-il gouverner sans oppositions?

    On évoque souvent la solitude du pouvoir en parlant des locataires de l'Élysée. Le nouveau président est plus seul que jamais, même ses opposants semblent l'avoir lâché.....

    De droite, de gauche et du centre... Le nouveau chef de l'État a réussi, en moins d'une année, une synthèse que d'aucun prédisait impossible. Issu lui-même de la gauche et défendant des thèses libérales chères à la droite, Macron cohabite avec lui-même, en sublimant ce clivage. Et il l'assume ouvertement. Il a créé cet «axe central», sorte de pierre philosophale, que tous les présidents de la République rêvent de constituer autour d'eux. Hors le général de Gaulle de 1958, aucun d'entre eux n'était parvenu à ses fins. Cette alchimie, cependant, a une contrepartie dangereuse car la médaille brille de mille feux mais elle a un revers: les oppositions deviennent fantomatiques. Mis à part que ce «trou noir» ouvre une brèche aux minorités violentes, il nuit gravement au débat démocratique. Il est temps que les oppositions se ressaisissent.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Direction du PS : après le renoncement de Vallaud-Belkacem, Olivier Faure candidat ?

    Après le renoncement de Najat Vallaud-Belkacem, les yeux se tournent au PS vers le président du groupe à l'Assemblée Olivier Faure, qui semble le mieux placé pour emporter la tête du parti et pourrait rapidement se déclarer "disponible".

    Après le renoncement de Najat Vallaud-Belkacem, les yeux se tournent au PS vers le président du groupe à l'Assemblée Olivier Faure, qui semble le mieux placé pour emporter la tête du parti et pourrait rapidement se déclarer "disponible".

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________