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  • France Inter - Yascha Mounk : "La définition de cette idéologie, c'est de rejeter la règle de l'universalisme"

    18 déc. 2023

    À 8h20, le politologue Yascha Mounk, auteur de "Le piège de l'identité" (éditions de L'Observatoire), est l'invité du Grand Entretien. Il y dénonce ce que certains appellent le "wokisme", et qui aurait selon lui une influence désastreuse aux États-Unis

  • L'Europe et Uber : revue de presse

    Uber, Deliveroo… La loi sur le salariat des travailleurs des plateformes, bloquée à Bruxelles

    La France et plusieurs autres pays ont, fait rare à ce stade du processus législatif, affiché leur désaccord avec le texte de loi, fruit d'un accord politique des législateurs européens le 13 décembre. La présidence Belge de l'UE devra renégocier le texte.

    Coup de théâtre vendredi matin à Bruxelles : lors d'une réunion des ambassadeurs des Vingt-Sept, la France et d'autres pays ont affiché leur désaccord avec le texte final de loi destiné à renforcer les droits des travailleurs des plateformes numériques.

    Usine Digitale - Plusieurs pays européens bloquent le projet de directive sur le statut des travailleurs indépendants

    La présidence espagnole de l'UE n'a pas obtenu une majorité suffisante au sein du Conseil sur ce texte très critiqué par les entreprises du secteur. Des négociations vont donc devoir reprendre l'an prochain pour tenter de parvenir à un nouvel accord.

    Le Matin - Blocage de la loi sur les travailleurs d’Uber, Deliveroo…

    Plusieurs pays de l’UE ont rejeté, vendredi, la législation pour renforcer les droits des travailleurs des plateformes numériques négociée avec le Parlement européen. 

    Plusieurs pays de l’UE, dont la France et l’Italie, ont rejeté vendredi la législation pour renforcer les droits des travailleurs des plateformes numériques négociée avec le Parlement européen, neuf jours seulement après l’annonce d’un accord présenté comme une grande avancée sociale. La législation prévoyait de requalifier comme salariés de nombreuses personnes travaillant pour des applications comme Uber ou Deliveroo, aujourd’hui considérées comme des indépendants.

    PS - Travailleurs des plateformes : Emmanuel Macron fait échouer le progrès social en Europe

    L’Union Européenne avait la possibilité de concrétiser une grande avancée sociale pour plus de 4 millions de travailleurs européens ce matin. Mais le gouvernement d’Emmanuel Macron a tout fait capoter.

    Depuis deux ans, le sujet des droits sociaux des travailleurs des plateformes numériques de travail, les « ubérisés », est à l’agenda européen grâce à Nicolas Schmit, le commissaire européen socialiste luxembourgeois chargé de l’emploi, des affaires sociales et de l’intégration.

    PS, Place Publique - Le gouvernement français préfère Uber à l’Europe et à la lutte contre la précarité

    Les États membres et le Parlement européen sont parvenus, la semaine dernière, à un pré-accord sur la directive travailleurs des plateformes. Cet accord vise à reconnaitre les droits sociaux des 30 millions de travailleurs des plateformes. À lutter contre la précarité, contre l’ubérisation de notre économie qui s’étend toujours plus.

  • PS - Travailleurs des plateformes : Emmanuel Macron fait échouer le progrès social en Europe

    Travailleurs des plateformes : Emmanuel Macron fait échouer le progrès social en Europe

    Vendredi 22 décembre 2023

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Olivier Jacquin, sénateur de Meurthe-et-Moselle, secrétaire national aux Mobilités et aux Transports

    Nora Mebarek, députée européenne, cheffe de la délégation française socialiste et écologiste

    L’Union Européenne avait la possibilité de concrétiser une grande avancée sociale pour plus de 4 millions de travailleurs européens ce matin. Mais le gouvernement d’Emmanuel Macron a tout fait capoter.

    Depuis deux ans, le sujet des droits sociaux des travailleurs des plateformes numériques de travail, les « ubérisés », est à l’agenda européen grâce à Nicolas Schmit, le commissaire européen socialiste luxembourgeois chargé de l’emploi, des affaires sociales et de l’intégration.

    Son projet de directive s’inscrit dans la lignée de ce que les socialistes portent en France depuis plusieurs années, en relai de nombreuses revendications des travailleurs eux-mêmes : présomption de salariat, inversion de la charge de la preuve en matière de requalification (aux entreprises de prouver que les travailleurs sont des indépendants et non à ces derniers de faire valoir leurs droits), transparence des algorithmes des plateformes…

    Après d’âpres négociations, la députée européenne italienne, Elisabetta Gualmini, a réussi le 2 février dernier à faire adopter à une très large majorité un texte encore plus ambitieux actant la position du Parlement Européen et a trouvé un compromis avec les États membres grâce aux efforts du gouvernement socialiste espagnol qui occupe la présidence de l’Union Européenne depuis le 1er juillet et jusqu’au 31 décembre.

    Ce texte de compromis devait être adopté ce matin par le Conseil de l’UE, instance qui regroupe les 27 gouvernements. Sans surprise, Emmanuel Macron et son gouvernement ont pesé de tout leur poids pour empêcher l’adoption de ce texte. En agissant ainsi, ils empêchent la construction d’un socle de droits sociaux pour ces millions de travailleurs qui en sont dépourvus et les laissent en proie au capitalisme le plus vorace depuis Zola.

    A six mois des élections européennes, preuve est définitivement faite que le discours pro-européen d’Emmanuel Macron ne trouve son salut que dans le libéralisme. Il n’a que faire de la valeur du travail et préfère organiser la précarité des jeunes générations.

    Le Parti socialiste restera mobilisé pour contrer « la plateformisation » à outrance de notre économie. Ce sujet primordial sera au cœur de la campagne européenne des socialistes dont l’ambition est de faire basculer l’Europe du néolibéralisme vers le socialisme écologique. Nous nous battrons pour obtenir par les urnes ce que nous n’avons pas obtenu d'Emmanuel Macron.

     

     

     
     
     
     
     
     
     

     
  • Non Fiction - Se détoxifier du latourisme

    Dans leur entreprise critique des « penseurs du vivant », Vincent Rigoulet et Alexandra Bidet pointent certaines insuffisances et angles morts de ce prêt-à-penser à la mode.

    Que désigne-t-on par « les penseurs du vivant » ? Vincent Rigoulet et Alexandra Bidet prennent la précaution de délimiter et expliquer le concept choisi, anticipant les critiques faciles, d’absence d’unité ou de consensus sur les contours. Car en effet, évitons l’hypocrisie : les librairies sont bel et bien envahies de livres sur « le vivant », à tel point que les biologistes eux-mêmes commencent à s’adapter   , trouvant là une manière de se faire peut-être enfin entendre – comment leur en vouloir ? Et cette pensée du vivant emprunte à une seule source, dont le succès continue d’étonner : Bruno Latour et Philippe Descola.

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  • Les français musulmans, la laïcité et le conflit israélo-palestinien : 2 sondages (revue de presse)

    IFOP - Abayas, burqa, attentat d’Arras, … ENQUÊTE AUPRÈS DES MUSULMANS SUR LA LAÏCITÉ ET LA PLACE DES RELIGIONS À L’ECOLE ET DANS LA SOCIÉTÉ

    A l’occasion de la journée nationale de la laïcité (9 décembre 2023), Elmaniya.tv, la nouvelle chaîne laïque franco arabe, a commandé à l’Ifop une enquête permettant de mieux cerner la place que les Français musulmans accordent aujourd’hui à la religion, le sens qu’ils donnent à la laïcité mais aussi leur point de vue sur les récents événements (ex : interdiction des abayas le 3 septembre, assassinat d’Arras par un islamiste le 13 octobre…) ayant mis au premier plan la question de l’Islam à l’Ecole. Pour cela, l’Ifop a mis en place un dispositif d’étude permettant de mesurer la spécificité des musulmans de France sur ces sujets – à travers des indicateurs offrant des comparaisons avec le point de vue de l’ensemble des Français – mais aussi d’analyser certaines variables pouvant influencer leur rapport à la laïcité comme leur âge ou leur degré de religiosité. Au regard de cette étude menée auprès d’un échantillon représentatif de 1000 musulmans déclarés, la population musulmane apparaît imprégnée d’une vision très ouverte de la laïcité associée à un soutien massif aux manifestations de religiosité dans la société en général et à l’Ecole en particulier (ex : voile, abaya…)
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    Telos -  Les musulmans et la laïcité en France. À propos d’une enquête de l’IFOP, Olivier Galland, Gérard Grunberg - 18 décembre 2023

    « Au regard de ce que vous savez, diriez-vous qu’en France la laïcité, telle qu’elle est appliquée aujourd’hui par les pouvoirs publics, est discriminatoire envers les musulmans ? » À cette question posée récemment par l’IFOP à un échantillon de musulmans habitant en France, les réponses ont été les suivantes : très discriminatoires : 44%, assez : 34%, pas vraiment : 11% pas du tout : 11%[1]. Ainsi, 78% d’entre eux estiment que la laïcité est discriminatoire à leur égard.

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    Le Point - Une majorité de jeunes pense que la laïcité stigmatise les musulmans, selon deux études

    Près des deux tiers des jeunes estiment que « la défense de la laïcité est instrumentalisée pour dénigrer les musulmans », selon un récent sondage.

    La pratique de la laïcité s'avère-t-elle discriminatoire envers les musulmans ? C'est l'avis d'une majorité de jeunes et de musulmans, selon deux études publiées en amont de la Journée de la laïcité marquant samedi la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État. Selon un sondage Ifop publié vendredi et réalisé auprès de Français musulmans, 78 % d'entre eux estiment que « la laïcité telle qu'elle est appliquée aujourd'hui par les pouvoirs publics est discriminatoire envers les musulmans ».
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    IFOP - Quels regards portent les Français musulmans sur le conflit israélo-palestinien ?

    Alors que des affrontements de haute intensité ont actuellement lieu dans la bande de Gaza depuis le pogrom du 7 octobre, les polémiques politiques autour du conflit, ainsi que des manifestations et soutiens pro-Palestine ou pro-Israël se sont multipliés. Certains discours médiatiques, qui mettent en exergue les prises de positions pro-Hamas ou simplement « antisionistes » de musulmans en France, en particulier des jeunes, a également vu le jour. Mais quels regard les musulmans portent-ils vraiment sur Israël et le Hamas ? Et plus généralement sur les conséquences de ce conflit israélo-palestinien ? C’est ainsi que l’Ifop, en constituant un échantillon représentatif de 1000 musulmans français, est parti sonder cette catégorie de la population, concernant leurs opinions sur le conflit actuel. Cette enquête – exceptionnelle par la taille de l’échantillon – montre que la majorité des musulmans condamnent le Hamas et ses actions du 7 octobre, mais leur opinion autour du conflit diffère parfois d’une manière significative de celle de la population française, notamment autour du soutien accordé à Israël par l’Exécutif ou par rapport à l’objectivité du traitement médiatique du conflit.
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    Libé - Sondage sur les «Français musulmans» et le Hamas : comment plusieurs médias de droite se sont arrangés avec les résultats

    Plusieurs médias qui ont consacré des articles à l’enquête de l’Ifop ont omis de mentionner certaines données, notamment concernant la «sympathie» des Français musulmans à l’égard du groupe islamiste.

    C’était «le choc» annoncé. Vendredi 15 décembre, le zemmouriste Damien Rieu prédisait sur les réseaux sociaux «une déflagration» après la publication «des résultats du sondage Ifop […] sur le soutien des musulmans de France à l’attaque jihadiste du Hamas [du] 7 octobre». A l’arrivée, les résultats dévoilés lundi 18 décembre révèlent plutôt «un soutien à la cause palestinienne, pas au Hamas», écrivent les auteurs de l’enquête dans leur synthèse des enseignements qu’ils en tirent. François Kraus, qui dirige le pôle «Politique et actualité» au sein du département Opinion de l’Ifop, confie d’ailleurs à CheckNews regretter «le teasing mensonger de Damien Rieu» à propos de cette étude consacrée au regard des «Français musulmans sur le conflit israélo-palestinien».

  • Fondation Jean Jaurès - Quelles stratégies pour une mondialisation des territoires en commun ?

    Dans un contexte de remises en cause multiples du système néolibéral, Hervé Defalvard, maître de conférences en économie et responsable de la chaire ESS-UGE, montre dans cette note pour l’Observatoire de l’expérimentation et l’innovation locales de la Fondation Jean-Jaurès que les territoires sont les nouveaux lieux de la conflictualité sociale et des alternatives. Et c’est à partir de l’économie sociale et solidaire que les communs pourront être repensés en articulant local et mondial et que l’écologie politique pourra être portée.

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  • Elections européennes 2024 : les sondages

    Les Echos - Européennes 2024 : le risque de l'émiettement pour la gauche

    Les annonces de listes en vue des élections européennes du 9 juin prochain se multiplient. La gauche pourrait en pâtir, comme en 2019, lors de la répartition des sièges.

    Il y a quelques semaines, le président de la Fédération des chasseurs, Willy Schraen, a annoncé se lancer dans la bataille des européennes avec une liste composite, autoproclamée représentante de la « ruralité heureuse » . Une liste de plus, pourrait-on dire, alors que la gauche a annoncé partir en ordre dispersé et qu'il y aura, sans nul doute, une inflation de « petites » listes, des animalistes aux royalistes, en passant par les révolutionnaires d'extrême gauche.

    IFOP - Balise d’opinion #247 Les intentions de vote aux élections européennes de 2024

    A l’approche du scrutin européen, notre nouveau sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio révèle la dynamique suivante : la liste du Rassemblement National creuserait encore l’écart face à la majorité présidentielle et Marion Maréchal fait pour la première fois jeu égal avec la liste des Républicains.... A gauche, le Parti Socialiste conduit par Raphaël Glucksmann atteint les 10% d’intentions de vote et creuse l’écart avec la liste de la France Insoumise (7% d’intention de vote, moins deux points par rapport à octobre).

    France Info - Elections européennes 2024 : en hausse, le Rassemblement national est en tête des intentions de vote, selon un sondage

    A la deuxième place, la liste Renaissance affiche 20% d'intentions de vote, selon cette étude d'opinion publiée par "Le Monde".
    Un boulevard pour l'extrême droite ? Le Rassemblement national arriverait en tête avec 28% des intentions de votes aux élections européennes de 2024, selon un sondage réalisé par Ipsos et Sopra Steria en partenariat avec le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et Le Monde, publié samedi 16 décembre. Un chiffre en hausse de quatre points par rapport à juin.
     
     
    La nouvelle édition de cette enquête, réalisée du 29 novembre au 12 décembre auprès de 11 691 personnes, confirme que le Rassemblement National s’installe largement en tête des intentions de vote à six mois des élections européennes. Elle révèle par ailleurs que le conflit entre Israël et le Hamas génère avant tout chez les Français des sentiments de tristesse et d’inquiétude et qu’il provoque, pour la grande majorité d’entre eux, une montée de l’antisémitisme en France.... L’enquête fait ainsi apparaître la très grande singularité des électeurs de la France Insoumise, y compris au sein de l’espace des gauches, et combien les évènements du 7 octobre ont ajouté une fracture supplémentaire au sein d’une Nupes déjà amplement fragilisée.
     
     
    Le Rassemblement National en tête, haut la main. À six mois des élections européennes, le Rassemblement National serait largement plébiscité par les Français selon un sondage Ifop Fiducial pour Sud Radio que nous vous dévoilons ce vendredi 15 décembre. Une liste conduite par Jordan Bardella recueillerait, en juin prochain, 30% des suffrages.
  • Loi immigration, revue de presse

    Le Monde, éditorial - Loi « immigration » : les explications alambiquées d’Emmanuel Macron

    Invité sur France 5, le président de la République a tenté de circonscrire la crise politique et morale ouverte par l’adoption dans la douleur du projet de loi, largement amendé par la droite et finalement adoubé par Marine Le Pen.

    BFM - CFDT, Emmaüs, SOS Racisme... 45 organisations appellent Macron à ne pas promulguer la loi immigration

    Près d'une cinquantaine de syndicats et associations appellent à ne pas promulguer la controversée loi immigration.

    Ils dénoncent un "point de bascule" dans la "vie des personnes étrangères" en France. Dans un communiqué, 45 syndicats et associations appellent "à ne pas promulguer la loi Immigration et à continuer la mobilisation".

    France Inter - Dominique Seux x Thomas Porcher : "La loi immigration change-t-elle quelque chose à l'économie ?"

    22 déc. 2023 Dans le débat éco de ce vendredi, Dominique Seux et Thomas Porcher se demandent : "La loi immigration change-t-elle quelque chose à l'économie ?"

    France Inter - Boris Vallaud : "C'est le début d'une cohabitation avec la droite d'Éric Ciotti"

    Marianne - Loi immigration : tout comprendre à l'APA qui cristallise la "désobéissance" des départements de gauche

    Au lendemain du vote de la loi immigration par le parlement, les 32 départements gérés par la gauche ont annoncé dans un communiqué commun leur intention de continuer à verser, d’une manière ou d’une autre, l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) aux étrangers résidants chez eux.

    Public Sénat - Olivier Faure : Loi immigration : "J'appelle le président de la République à ne pas promulguer cette loi"

    France Info - Loi immigration : "C'est une défaite pour la République", s'insurge le député LFI François Ruffin

    Pour François Ruffin, invité de France Inter ce vendredi, le président de la République contribue à la division de la Nation en proposant "en permanence des sujets pour diviser".
     

    Reporterre - Loi immigration : après la consternation, la désobéissance

    Adoptée le 19 décembre, la loi immigration ébranle le pays. Une opposition se constitue parmi les élus locaux, médecins, syndicats, bien décidés à ne pas appliquer les nouvelles mesures.

    Un claquement de porte au cœur même du gouvernement. Mercredi 20 décembre, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a démissionné. « Cela touche aux murs porteurs.(…) Je constate cliniquement que ce n’est pas possible pour moi d’expliquer ce texte », a indiqué l’homme politique gardois. Il répondait ainsi à l’adoption définitive de la loi immigration par l’Assemblée nationale et le Sénat mardi 19 décembre.

    L'Obs - Loi immigration : on a comparé les propositions du texte avec celles du Rassemblement national

    Si la droite et Gérald Darmanin revendiquent une victoire de leurs idées et « sans les voix des députés RN », plusieurs mesures du texte sont défendues par Marine Le Pen. Et la préférence nationale, doctrine créée par l’extrême droite, est sanctuarisée.

    BFM - Loi immigration: 32 départements annoncent refuser d'appliquer certaines dispositions du texte

    32 départements de gauche n'appliqueront pas le durcissement des conditions de versement de l'allocation personnalisée d'autonomie prévu dans la loi immigration. Pas sûr pourtant qu'ils en aient le droit.

    L'Huma - « Ne promulguez pas la loi immigration ! » Ils ont signé l’appel lancé par l’Humanité

    À l’initiative de l’Humanité, des élus, des syndicalistes, des intellectuels et des artistes exhortent Emmanuel Macron à renoncer à une « loi de haine et de division ». Lancé mercredi 20 décembre à 20 heures, il a été depuis signé par plus de 2 000 citoyen.nes. Nous publions ici le nom de celles et ceux qui le souhaitent.

  • Le Monde - Pesticides : une commission d’enquête déplore l’« impuissance publique » à réduire leur usage

    Le rapport concluant les travaux de la commission d’enquête parlementaire, lancée en juillet, doit être publié le 21 décembre, au moment où un plan Ecophyto 2030 est soumis à la concertation.

    Dans une synthèse rendue publique jeudi 14 décembre, qui fait état de prémices à la remise de ses travaux, une commission d’enquête parlementaire constate « un échec collectif » à réduire l’usage des pesticides en France et déplore une « forme d’impuissance publique », malgré les répercussions de leur pollution sur la qualité de l’eau et la biodiversité.

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  • LVSL - Le cas Henry Kissinger

    À côté de la foule d’éloges qui a suivi le décès de Henry Kissinger, certaines voies timides ont rappelé les crimes dont sa carrière a été entachée – au Chili, au Laos ou au Cambodge – et les massacres commis par les alliés des États-Unis sous son secrétariat d’État – en Argentine ou au Timor-Oriental. Henry Kissinger n’a pourtant rien d’un monstre impérialiste. Il est une simple incarnation, sans faux semblants, de la politique étrangère américaine. Par René Rojas, Bhaskar Sunkara, Johan Walters, traduction et édition par Albane le Cabec [1].

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  • Loi immigration : bascule du quinquennat ? Avec Françoise Fressoz, Jérôme Jaffré et Thomas Piketty

    20 déc. 2023

    Notre débat du jour : la loi immigration sera-t-elle la bascule du quinquennat ? On en parle avec Françoise Fressoz, éditorialiste au Monde, le politologue Jérôme Jaffré, chercheur associé au CEVIPOF, et Thomas Piketty, économiste, co-auteur de « Une histoire du conflit politique » (Seuil).