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  • Make BNP green again ! Le Moment Meurice

    Aujourd'hui, Guillaume était à l'assemblée générale de la BNP.

  • "On ne peut pas changer la société depuis le perron de l'Élysée", selon Christophe Robert

    Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, était l'invité du "8h30 franceinfo" dimanche 16 avril 2023. Il répondait aux questions de Neila Latrous et Lorrain Sénéchal.

  • Fondation Jean Jaurès - Les agents du service public et le télétravail

    Quel est l’impact du télétravail au sein des services publics ? Menée pour le Sens du service public par OpinionWay, une enquête permet de tirer des enseignements précieux sur l’évolution de cette pratique et sur la façon dont elle impacte les conditions du service rendu par les agents publics. Sarah Proust en analyse les principales conclusions.

    Une enquête menée pour Sens du service public par OpinionWay sur les agents du service public et le télétravail nous livre de nombreux enseignements dont deux principaux : l’un sur l’évolution de la pratique du télétravail1, l’autre relatif aux conséquences du télétravail et de la dématérialisation sur les conditions du service rendu par les agents publics. Ces enseignements apportent des éclairages nouveaux ou complémentaires à ceux de nos deux précédentes enquêtes sur les nouvelles organisations du travail en France et en Europe2.

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  • Non Fiction - L'enjeu du voile, des sociétés musulmanes aux sociétés occidentales

    La question du voile, avant de devenir une problématique occidentale, émerge dans les pays musulmans dès la fin du XIXe siècle.

    S’il est un vêtement susceptible de se parer de significations plurielles, c’est bien le voile, parfois appelé « foulard », autrement dit un vêtement souple qui couvre la partie la plus noble du corps humain : la tête. Que cet accessoire vestimentaire, héritage de l’antiquité païenne, se retrouve de nos jours, tant dans les pays occidentaux qu’en terre musulmane, au cœur de débats intenses et clivants, ne doit pas conduire à occulter sa dimension historique et géographique.

    C’est précisément dans cette perspective qu’Oissila Saaidia, historienne membre du LARHRA (CNRS) et de l’ISERL (Institut supérieur d’étude des religions et de la laïcité), se propose d’évoquer, dans son ouvrage intitulé Les voiles « islamiques » dans les sociétés musulmanes et européennes. Histoire d’un débat (XIXe-XXIe siècle), l’histoire de cet objet vestimentaire, à travers « une analyse qui repense à la fois la chronologie et la géographie ».

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  • La vidéo de la semaine : Clément Viktorovitch : Ultradroite, entre complaisances et fanfaronnades

    La manifestation d’ultra-droite qui a eu lieu à Paris le 6 mai dernier fait polémique. Le préfet de police, Laurent Nunez, avait expliqué qu’il n’y avait pas de motif pour l’interdire, avant que Gérald Darmanin annonce finalement demander l’interdiction de toutes les manifestations ultranationalistes. Ces deux positions ne seraient-elles pas aussi problématiques l’une que l’autre ?

  • L'article de la semaine - Observatoire des inégalités - Une pauvreté toujours aussi intense

    La moitié des personnes pauvres gagne moins de 752 euros, un niveau inférieur de 18 % au seuil de pauvreté. C’est ce que mesure l’intensité de la pauvreté. Cet indicateur s’est stabilisé à un niveau élevé depuis quinze ans.

    Entre le sans-abri qui vit à la rue et une famille modeste qui dispose d’un logement social, la pauvreté regroupe des conditions de vie très différentes. Le seuil de pauvreté que nous utilisons se situe à la moitié du niveau de vie médian, soit 918 euros par mois en 2019 pour une personne seule, après prestations sociales. C’est un montant maximum en dessous duquel se situent des personnes qui ont bien moins que cela.

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  • Communiqué PS : « Make Our Planet Great Again » Avec Emmanuel Macron, les promesses n’engagent décidément que ceux qui les croient

    Hier, lors de la présentation des grands axes du futur projet de loi « industrie verte » devant les acteurs de l’industrie française à l’Élysée, le Président de la République a appelé l’Union européenne à faire « une pause réglementaire » sur les normes environnementales. Interrogé sur ce sujet ce matin sur France Info, le ministre de l’industrie a quant à lui indiqué vouloir que cette « pause » dure 5 années. Une fois de plus, ces déclarations sont graves et dangereuses.

    Au-delà du diagnostic libéral habituel considérant l’effort de régulation comme une entrave au bon fonctionnement du marché, en opposant compétitivité et impératif écologique, Emmanuel Macron et Roland Lescure ont rappelé qu’ils portaient une vision résolument passéiste du développement économique et industriel. Déréguler ne protège ni les filières, ni les consommateurs, ni l’environnement. Bien au contraire. Le manque de clarté et d’homogénéité des normes environnementales et sociales en Europe organise le dumping – y compris intra-européen – et fausse la concurrence internationale. Les industriels sont par ailleurs demandeurs de règles claires pour créer les conditions d’une concurrence équitable.

    Ces déclarations sont d’autant plus graves qu’elles interviennent dans un moment d’importantes tensions autour de nos ressources – ressources essentielles pour notre tissu industriel. Il nous faut donc aujourd’hui intensifier nos efforts et non les mettre en pause : la bifurcation écologique du modèle de développement de notre industrie doit être engagée. Nous devons avoir une approche systémique sur l’ensemble de l’activité productive en gérant mieux les ressources et en protégeant davantage la biodiversité. L’Europe et la norme ont tout leur rôle à jouer pour relever ces défis.

    Rappelons enfin ce que le Président de la République avait lui-même affirmé au moment de l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle de 2022 : « Ce quinquennat sera écologique ou ne sera pas ». Indéniablement, Emmanuel Macron a définitivement fait son choix.

  • Le JDD - Manuel Bompard recadre des voix dissonantes de la France insoumise et rejette la création d’un « courant interne »

    Le coordinateur de la France insoumise a recadré les membres de l’organisation la Gauche Écosocialiste qui souhaitent constituer un « courant » au sein même du parti.

    ans une missive adressée aux membres de la Gauche Écosocialiste (GES), Manuel Bompard a recadré les velléités de certains membres de l’organisation qui souhaitent former « un courant en interne » au sein même de la France insoumise (LFI).

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    Le Parisien - « Il n’y a pas et il n’y aura pas de courant » : rififi à LFI, Manuel Bompard recadre des voix critiques

    INFO LE PARISIEN. Le coordinateur national de LFI s’est fendu d’une lettre, consultée par Le Parisien, aux dirigeants de la Gauche Ecosocialiste, un micro parti proche de Clémentine Autain, qui souhaitent former un « courant » au sein du mouvement « gazeux » de Jean-Luc Mélenchon.

  • Observatoire des inégalités - Les revenus des plus pauvres stagnent depuis 20 ans

    Les revenus des 10 % les plus pauvres n’augmentent plus depuis une vingtaine d’années. Ils ont même régressé, si l’on ne considère que les revenus du travail, avant redistribution.

    Le niveau de vie moyen des 10 % les plus pauvres a progressé de la fin des années 1990 jusqu’au début des années 2000. Depuis, il stagne. Entre 2002 et 2019, il a même perdu 10 euros mensuels en euros constants, c’est-à-dire après inflation. Le seuil des 5 % les plus pauvres (montant maximum que touche cette tranche de revenu) est de 785 euros, le même niveau qu’en 2007.

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