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  • L'actualité des socialistes du 22 au 28 février

    Les temps forts de la semaine : le sondage Cevipof/Le Monde/ Fondation Jean Jaurès confirme s'il en était besoin les prévisions catastrophiques pour la gauche aux Européennes ; Jean Gadrey propose une fiscalité plus juste en supprimant notamment le quotient familial et en rendant la CSG progressive ; Bruno Cautrès propose une analyse des fractures territoriales à partir du Baromètre des territoires.

    EUROPEENNES

    Fondation Jean Jaurès - Enquête électorale française 2019

    Quel intérêt ont les Français pour les élections européennes ? Quel est le dernier état du rapport de forces avec ces élections ? Quel regard portent les Français sur le bilan à mi-mandat d’Emmanuel Macron ? En partenariat avec le Cevipof, Le Monde et Ipsos Sopra Steria, la Fondation Jean-Jaurès présente le volet 2019 de l’« Enquête électorale française », riche d’enseignements grâce à son dispositif inédit et son échantillon de plus de 10 000 Français.

    Cette enquête laisse présager un faible niveau de participation et montre la très forte indécision des électeurs, à trois mois du scrutin du 26 mai. Les 10 002 personnes ont été interrogées sur différents sujets :

    • les élections européennes (intérêt ; participation ; intentions de vote ; sûreté du choix ; motivations du vote ; attachement à l’Union européenne) ; 
    • le mouvement des « gilets jaunes » et le référendum post-grand débat national ; 
    • le bilan d’Emmanuel Macron ; 
    • leur état d’esprit.

    Public Sénat - A trois mois des européennes, l'union en panne à gauche

    Chacun dans son couloir, pour le meilleur et pour le pire: à trois mois des européennes, plus grand monde ne semble croire à une...

    Chacun dans son couloir, pour le meilleur et pour le pire: à trois mois des européennes, plus grand monde ne semble croire à une union des forces de la gauche non-mélenchoniste, même si le PS se laisse jusqu'au 16 mars pour trancher.

    Benoît Hamon, fondateur de Générations, avait lancé le 8 février l'idée d'une "votation citoyenne" permettant d'unir les formations politiques se partageant cet espace, laissant jusqu'au 22 février aux partis pour lui répondre.

    Las, pour l'ancien candidat PS à la présidentielle, l'idée a fait long feu, seuls Nouvelle Donne, les Radicaux de gauche et le MDP se montrant intéressés.

    GILETS JAUNES

    Fondation Jean Jaurès - Les Français face aux gilets jaunes : état des lieux

    En dépit d’un quatorzième samedi de mobilisation des « gilets jaunes » entaché par les insultes antisémites proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut en marge du cortège parisien, les opinions positives à l’égard du mouvement débuté en novembre 2018 semblent ne connaître qu’une très faible décrue. David Nguyen, directeur conseil au pôle « Opinion et stratégies d’entreprise » à l’Ifop, livre son analyse.

    Interrogés les 18 et 19 février 2019, les Français sont 23 % à « soutenir » les « gilets jaunes » (-1 point depuis le 14 février) et 27 % à « avoir de la sympathie » (+1 point). Au total, les opinions positives restent parfaitement stables et continuent de concerner un Français sur deux. Le total soutien/sympathie reste particulièrement prononcé parmi les sympathisants de La France insoumise (77 %) et du Rassemblement national (74 %), contrairement aux Français proches du Parti socialiste (54 %) et surtout des Républicains (35 %) et de La République en marche (9 %). Dans le même temps, la part de Français souhaitant la fin de la mobilisation des « gilets jaunes » progresse de 2 points en quelques jours pour atteindre 54 % de la population.

    Fondation Jean Jaurès - La « playlist » des gilets jaunes : l’univers culturel fragmenté de la France populaire

    Plusieurs analyses ont rendu compte très tôt de l’homogénéité culturelle de la population qui participe aux manifestations et aux blocages des « gilets jaunes ». Jean-Laurent Cassely et Jérôme Fourquet nous plongent dans la « playlist » musicale, cinématographique et humoristique des « gilets jaunes », qui fait référence à la « France qui galère », éloignée de la culture dite « légitime ». 

    FISCALITE

    Observatoire des inégalités - Que serait une fiscalité (plus) juste dès 2019 ?

    Des niches fiscales à la taxe carbone en passant par la fiscalité des revenus et du patrimoine, quelles sont les mesures concrètes qui pourraient rendre la fiscalité plus juste ? Les propositions de Jean Gadrey, professeur honoraire d’économie à l’Université de Lille.

    Commençons par un rappel. La redistribution publique des revenus et d’autres ressources consiste à prélever des montants d’argent à certains (recettes fiscales) pour ensuite les dépenser (dépenses publiques). Ces deux volets influent sur les inégalités. D’abord, les « prélèvements » sont-ils justes, tiennent-ils compte des « capacités contributives », prélève-t-on proportionnellement plus sur les plus riches (c’est ce qu’on appelle alors la progressivité), suffisamment sur les entreprises par rapport aux ménages, etc. ? Ensuite, les dépenses publiques ont-elles un effet de réduction des inégalités, qu’il s’agisse des services publics (qui ont joué dans le passé un rôle positif majeur) ou des dépenses sociales (minima sociaux, allocations diverses, dépenses pour le chômage, etc.) ? Dans ce texte, on ne parlera de justice fiscale que pour le premier volet : celui des prélèvements, essentiellement les impôts et les cotisations sociales. Mais c’est dans le domaine des impôts bien plus que dans celui des cotisations sociales que des injustices sont généralement dénoncées.

    SERVICES PUBLICS

    La Vie des idées - Le crépuscule des services publics

    La détérioration des services publics suit partout un même protocole : la Poste, la SNCF, la RATP, les hôpitaux justifient les réformes en cours de la même manière, avec les mêmes effets ravageurs. En pistant les étapes de ces procédures, cet essai s’interroge sur un autre aiguillage.

    Les Gilets jaunes réclament à la fois un allègement fiscal et le maintien de leurs services publics. Emmanuel Macron dans ses questions aux Français n’a pas manqué de souligner le paradoxe : « Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? À l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ? » Les services publics sont variés (transport SNCF, écoles, bureaux de poste, hôpitaux) et habituellement analysés de manière séparée par les chercheurs, mais il vaut la peine de les étudier comme un ensemble car la dégradation des services publics dont se plaignent les usagers suit un mécanisme relativement similaire d’un monde à l’autre.

    DIVIDENDES

    La Tribune - Dividendes : record au niveau mondial à 1.370 milliards de dollars

    Les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint un record en 2018 à 1.211 milliards d'euros, selon l’étude annuelle de la société de gestion américano-britannique Janus Henderson. La hausse devrait être moins forte cette année et atteindre 3,3% à 1.414 milliards de dollars, dans un contexte de ralentissement économique mondial.

    GENERAL ELECTRIC

    Le Vent se lève - Alstom – General Electric, une affaire d’État ?

    Le 17 janvier 2019, le député LR Olivier Marleix a saisi le parquet de Paris sur l’affaire Alstom – Generel Electric (GE), au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale. Cet article oblige toute autorité constituée ou tout fonctionnaire à informer la justice d’un crime ou d’un délit porté à sa connaissance. Mais le député d’Eure-et-Loir, ancien président de la commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’État en matière de politique industrielle, va plus loin et vise directement Emmanuel Macron dans ce dossier, alors secrétaire général adjoint à la présidence de la République. Entretien avec David Gendreau et Alexandre Leraître, réalisateurs du documentaire « Guerre fantôme, la vente d’Alstom à General Electric ». 

    INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Les 10 % les plus aisés captent près du quart des revenus

    Les 10 % des Français les plus riches captent près d’un quart de la masse globale des revenus après impôts et prestations sociales. C’est presque sept fois plus que les 10 % les plus pauvres.

    Si l’on découpe la population en dix tranches égales de 10 %, le dixième le plus riche récupère près du quart (23,8 %) de la masse des revenus des ménages de l’année 2016, après impôts et prestations sociales, selon l’Insee. Dit autrement il reçoit à peu près 2,4 fois plus que ce qu’ils devraient obtenir si la répartition était équitable (23,8 % divisés par 10 %). À l’autre extrémité de l’échelle des revenus, les 10 % les plus pauvres perçoivent 2,9 % de l’ensemble des revenus, soit trois fois moins que leur part dans la population. Le « gâteau des revenus » est loin d’être tranché de façon équitable. Sauf pour les trois tranches situées entre les 50 % et les 80 % qui reçoivent en revenus environ ce qu’ils pèsent dans la population.

    TERRITOIRES

    The Conversation (Bruno Cautrès) Fractures territoriales et sociales : portrait d’une France en morceaux

    .... En croisant entre elles des données portant sur le lien social, le sentiment de justice sociale, l’évaluation de sa vie personnelle, de son cadre de vie, de son habitat et de son accès aux infrastructures, etc., le Baromètre des Territoires interroge le rapport des Français à leur territoire. La France d’aujourd’hui est-elle une mosaïque de territoires qui s’opposent ou est-elle composée d’une pluralité de situations socio-économiques qui transcendent d’éventuelles fractures territoriales ? Quel jugement portent les Français sur le territoire où ils vivent ? Est-il un lieu où l’on peut réaliser son projet de vie ou, au contraire, un lieu où l’on est assigné à résidence ?

    LE PEUPLE

    Le Vent se lève - Quel modèle de souveraineté populaire pour une politique d’émancipation ?

    Tout le monde parle aujourd’hui de « souveraineté du peuple ». Du Rassemblement National à la France Insoumise, chacun invoque le retour au peuple souverain comme remède aux crises politiques que traversent les nations européennes. Marine le Pen avait pour slogan « au nom du peuple » et Jean-Luc Mélenchon « la force du peuple ». Tandis que le populisme de droite se veut être « le cri des peuples européens qui ne veulent pas mourir » et se constitue de manière identitaire et xénophobe, le populisme de gauche construit sa frontière en faisant jouer le « peuple » contre les « élites » et en revendiquant les principes démocratiques d’égalité et de souveraineté du peuple.

    PS

    Composer un équipage de jeunes et de seniors, d’hommes et de femmes, avec ou sans handicap et participer à des courses de voile contre des équipes professionnelles, quelle drôle d’idée ! Une équipe de David peut-elle affronter sans se ridiculiser des équipes de Goliath ?

    Le sport de haut niveau est synonyme de performance. Il est souvent pris dans les séminaires de team building comme une source d’inspiration pour la cohésion d’une équipe. Mais on oublie souvent que ces équipes, taillées pour la performance, sont le fruit d’un processus très sélectif conduisant généralement à une grande homogénéité des profils. L’homogénéité des équipes est la voie royale pour atteindre la performance, mais une équipe hétéroclite n’a-t-elle vraiment aucune chance de faire bonne figure ?

    USA

    Le Vent se lève - Qui sont les socialistes démocrates d’Amérique ?

    Les élections de mi-mandat sont une victoire pour « l’aile gauche » du parti démocrate, dont douze membres sont élus à la chambre des représentants. Derrière celles et ceux qui incarnent cette victoire, se trouve une organisation politique dénommée Democratic Socialists of America, un mouvement qui prend de l’ampleur au sein d’une société dont les esprits furent durablement marqués par le maccarthysme.

    Le 7 novembre 2018, la commission nationale politique des socialistes démocrates d’Amérique (DSA) se félicitait des résultats des élections de mi-mandat dans les termes suivants : « Hier, les socialistes démocratiques ont combattu et gagné des campagnes électorales inspirantes à travers le pays, représentant la renaissance du mouvement socialiste américain après des générations en retraite. »

  • Stylo à quatre couleurs et voitures - Le billet de Nicole Ferroni

    Nicole Ferroni se sent ralentie, car elle manque de vitesse et de vie. Bientôt sans encre et sans débit.

  • La Vie des idées - Peut-on ne pas vouloir être libre ? À propos de : Manon Garcia, On ne naît pas soumise, on le devient, Flammarion

    Comment expliquer en féministe que certaines femmes acceptent la domination masculine ? Ce n’est pas un choix, mais un « consentement actif », selon Manon Garcia qui se place dans la lignée de Simone de Beauvoir.

    La philosophe Manon Garcia tente avec son premier ouvrage un véritable numéro d’équilibre. Poser la question de la soumission féminine depuis une perspective féministe relève d’un travail exigeant, puisqu’à tout moment se profile la menace d’une double récupération : l’une antiféministe – les femmes, par nature, aiment être soumises – l’autre colonialiste et orientaliste – les femmes de « là-bas » sont soumises, celles de « chez nous » sont libres et émancipées.

    On ne naît pas soumise, on le devient accomplit le tour de force qui consiste à ne prêter le flanc à aucune des deux. Pour faire cela, l’autrice choisit de travailler à partir de la pensée de Simone de Beauvoir. L’ouvrage propose ainsi une forme d’exégèse appliquée de l’œuvre de la philosophe : Manon Garcia détaille de manière à la fois limpide et précise la pensée beauvoirienne à partir de la problématique du consentement à la soumission.

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  • Fondation Jean Jaurès - Pour révolutionner notre façon de voter, place au jugement majoritaire ! en direct le 7 mars à 18h30

    Et si la solution à la crise démocratique passait par la mise en place du « jugement majoritaire » ? Ce mode de scrutin, inventé en 2002 par deux chercheurs du CNRS, amène l’électeur à évaluer chaque candidat à une élection en leur attribuant des mentions, de « à rejeter » jusqu’à « très bien », en passant par « bien », « assez bien » ou « passable ».

    La Fondation Jean-Jaurès en débat avec Loïc Blondiaux, professeur de science politique à la Sorbonne, spécialiste de la démocratie participative, et Chloé Ridel, haute fonctionnaire, membre du Groupe d’études géopolitiques de l’ENS, tous deux membres du Conseil d’administration du collectif Mieux voter.

  • Cécile Untermaier alerte le gouvernement sur la situation des surveillants de prison

  • Le JDD - Raphaël Glucksmann et Place publique dans une impasse

    Après le refus d'EELV, du PCF et de Benoît Hamon, seul le PS est encore disponible pour une alliance. Un tête‑à-tête dont Place publique ne veut pas.

    Depuis le week-end dernier et la réunion à huis clos de Place publique à Metz, Raphaël Glucksmann n'avait rien dit. Est-ce le signe que son mouvement, lancé avec l'économiste Thomas Porcher et l'écologiste Claire Nouvian pour créer en vue des européennes un large rassemblement d'une gauche écologiste, se trouve dans une impasse? Beaucoup le pensent, au PS, chez Benoît Hamon ou à Europe Écologie-Les Verts (EELV). "Je ne dirais pas que nous sommes dans une impasse, mais il y a un problème, c'est sûr", reconnaît Glucksmann.…

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  • Le pacte social et écologique de Nicolas Hulot, Laurent Berger.....

    Francetvinfo - Nicolas Hulot, la CFDT et 17 organisations lancent "un appel pour un pacte social et écologique"

    Des organisations, associations et syndicats lancent mardi un appel pour "donner à chacun le pouvoir de vivre".

    La CFDT, la Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre et 16 autres organisations* lancent "un appel pour un pacte social et écologique", un "pacte du pouvoir de vivre" comprenant 66 propositions, que franceinfo dévoile en exclusivité mardi 5 mars.

    "Le premier message, c'est de dire qu'il faut changer de modèle de développement et dire qu'il faut remettre la question sociale et écologique au cœur de notre modèle de société", a expliqué Laurent Berger, le patron de la CFDT mardi sur franceinfo. "Le second, c'est vous ne ferez pas sans nous."

    Le Monde, éditorial - Laurent Berger et Nicolas Hulot esquissent un projet de société alternatif

    Le secrétaire général de la CFDT et l’ancien ministre de la transition écologique ont présenté, le 5 mars, 66 propositions dessinant un nouveau « pacte social et écologique », à rebours des choix du gouvernement.

    Représentant une alliance de dix-neuf organisations issues de la protection de l’environnement et du mouvement social, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Nicolas Hulot, ancien ministre de la transition écologique, qui a démissionné de son poste en août 2018, aujourd’hui président de la fondation qui porte son nom, présentent un projet « pour donner à chacun le pouvoir de vivre ». Celui-ci rompt avec la politique du gouvernement, sur fond de crise des « gilets jaunes » et de mobilisations pour le climat.

    20 minutes - Nicolas Hulot et Laurent Berger réclament un «big bang fiscal» pour un pacte social et écologique

    PROJET Les 19 organisations environnementales, de solidarité et d’éducation, mutuelles et syndicats veulent « rendre définitivement indissociable l’enjeu écologique et l’enjeu social »

    Un « big bang fiscal », c’est ce qu’ont réclamé, ce mardi, Nicolas Hulot et Laurent Berger, dans le cadre d’un pacte social et écologique, porté par dix-neuf organisations, dont la CFDT et la Fondation Nicolas Hulot, qui comporte 66 propositions.

    « Cette coalition » de 19 organisations environnementales, de solidarité et d’éducation, mutuelles et syndicats « veut rendre définitivement indissociable l’enjeu écologique et l’enjeu social », a déclaré l'ancien ministre de la Transition écologique et solidaire d'Emmanuel Macron dans une interview au Monde, conjointe avec le numéro un de la CFDT.

  • Le Monde - Toute la chaîne alimentaire mondiale pèse pour un tiers des émissions de CO2

    La conclusion de l’étude additionne l’impact carbone de toutes les étapes, de la production jusqu’à la consommation, et y compris le gaspillage.

    Une pizza faite maison, achetée surgelée ou consommée au restaurant n’aura pas la même saveur. Et pas le même impact carbone. Pour la première, il faudra tenir compte de l’empreinte carbone de chaque ingrédient et de leur mode de préparation et de cuisson. Pour la deuxième seront intégrés le procédé de fabrication en usine, le transport et la conservation. Pour la dernière devra entrer en considération l’énergie consommée par l’établissement.

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  • Observatoire des inégalités - Comment évoluent les revenus des riches, des pauvres et des classes moyennes ?

    Analyses 28 février 2019

    En vingt ans, les niveaux de vie des classes moyennes et des 10 % les plus pauvres ont faiblement progressé. Les 10 % les plus aisés se sont enrichis, malgré une stagnation de leurs revenus moyens sur ces dix dernières années. Une analyse extraite du Centre d’observation de la société.

    Comment évolue le niveau de vie des catégories aisées, des classes moyennes et des plus pauvres ? Ces vingt dernières années ont été très bénéfiques pour les plus riches, mais la progression n’a pas été linéaire, loin de là. Le jugement que l’on peut porter sur l’évolution dépend beaucoup de la période de temps que l’on choisit.

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