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  • Le Parisien - Quelle opposition à Macron ? Au PS, on veut laisser du temps au temps

    Critiquée en interne, la nouvelle direction socialiste, incarnée par Olivier Faure, mise sur la durée pour proposer autre chose que le projet présidentiel.

    Parti socialiste, es-tu là ? Un an après une défaite historique à la présidentielle et deux mois après l’élection d’Olivier Faure, nouveau premier secrétaire du PS, beaucoup jugent - déjà - trop timide la « renaissance » tant attendue du parti à la rose. Les socialistes en sont pourtant persuadés, avec un Macron positionné plus à droite que prévu, ils ont un espace à occuper. Mais encore faut-il y parvenir…

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  • Patrimoine économique et social: la question d'actualité au Gouvernement de Valérie Rabault

    Valérie Rabault interpelle le Premier Ministre sur la privatisation annoncée du groupe ADP et les déclarations d’Emmanuel Macron sur les aides sociales. « Mon groupe vous le demande solennellement. Il vous demande de respecter le patrimoine des Français, renoncez aux privatisations annoncées hier et à la découpe de notre socle social ».

  • Terra Nova - Droit d'asile européen : retrouver une solidarité

    Terra Nova et l'Institut Montaigne ont décidé de joindre leurs forces pour formuler ensemble des propositions pour un nouveau droit d'asile européen d'ici l'automne, dont la gestion a révélé, ces dernières années, un grave défaut d'efficacité et de solidarité au sein de l'Union européenne. Mais ils ont souhaité s'exprimer publiquement, sans attendre, sur quelques aspects particulièrement urgents, à la veille du sommet européen des 28 et 29 juin 2018.

    Synthèse

    La gestion du droit d’asile a révélé, ces dernières années, un grave défaut d'efficacité et de solidarité au sein de l'Union européenne. Les règles édictées il y a près de trente ans et inscrites aujourd’hui dans le règlement de Dublin ont démontré leur insuffisance. Prétendre laisser aux seuls pays de première entrée dans l’Union la charge d'examiner les dossiers des demandeurs d’asile, c’est abandonner aux "États frontières" de l’UE (Italie, Grèce, Hongrie…) la responsabilité politique, administrative et opérationnelle de flux croissants au rythme de crises humanitaires et géopolitiques multiples. Une telle croissance du nombre de demandeurs n'avait pas été anticipée lorsque furent jetées les bases des procédures européennes actuelles. Résultat, lorsque les demandes d’asile ont explosé, les pays de "première ligne" ont été largement abandonnés à leur sort, y compris par la France qui s’est même permise de fermer la frontière franco-italienne.

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  • Fondation Jean Jaurès - Migrations et développement : comment construire une politique pour une mobilité transnationale ?

    Les migrations de l’Afrique vers l’Europe constituent une réalité historique, en raison du fossé grandissant d’opportunités qui sépare les deux continents. D’où la nécessité de construire une politique pour organiser une mobilité transnationale : c’est en effet la mobilité, et non la migration, qui est, pour le géographe et diplomate Michel Foucher, le concept clé car c’est en la facilitant que les flux seront mieux gérés et les catastrophes et l’exploitation humaine évitées. Il propose ainsi un changement de paradigme – de la migration à la mobilité – pour mettre en place une politique efficace d’interaction des deux côtés de l’espace sahélo-méditerranéen, de la part de l’Union européenne, des États membres qui en auraient la volonté et des pays africains, en lien avec les ONG.

    I - Développement et mobilité africaine : quelles interactions ?

    La politique des États européens à l’égard des États africains est fondée sur le principe qu’une aide plus importante au développement dans les pays de départ serait un facteur de limitation des migrations. Ce postulat part d’une analyse insistant sur la situation de pauvreté comme cause première de départ, hors crises graves avec violences de type Soudan du Sud. Or l’examen des pays d’origine et les entretiens avec les migrants ne confirment pas ce raisonnement.

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  • Observatoire des inégalités - La pauvreté en Europe

    17 % des Européens vivent sous le seuil de pauvreté de leur pays (à 60 % du revenu médian). Cette proportion varie du simple au double, de 12 % de la population aux Pays-Bas à 25 % en Roumanie.

    17,3 % des Européens, soit 87 millions de personnes, vivaient sous le seuil de pauvreté en 2014 selon Eurostat [1], si on prend en compte le seuil à 60 % du revenu médian national (voir encadré ci-dessous). Les Pays-Bas (11,6 %), la Norvège (11,9 %) et le Danemark (12,2 %) font partie des pays où le taux de pauvreté est le plus faible. Avec un taux à 13,6 %, le niveau de la pauvreté en France est également parmi les plus bas d’Europe. Il est même le plus faible des pays les plus peuplés.

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  • Le Monde - Benoît Hamon retisse le lien avec le Parti socialiste

    Alors que l’accord avec EELV est au point mort pour les européennes, l’ex-candidat à la présidentielle a téléphoné, il y a une quinzaine de jours, à Olivier Faure, premier secrétaire du PS.

    Avec le temps va, tout s’en va. Même l’acrimonie des brouilles politiques. Près d’un an après avoir quitté le Parti socialiste, Benoît Hamon renoue le dialogue avec la « vieille maison ». Cela a commencé par un coup de téléphone, il y a une quinzaine de jours, à son ancien colocataire Olivier Faure, devenu au mois d’avril premier secrétaire du PS.

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  • L'Express - Olivier Faure (PS) prône "un droit d'asile européen"

    Paris - Le premier secrétaire du Parti Socialiste Olivier Faure a plaidé mardi pour un "droit d'asile européen" qui prendrait en compte "la culture", "la langue", "la profession" des migrants, pour mieux les répartir selon "leurs besoins" et ceux des pays européens.

    "Je prône un droit d'asile européen qui permette à ceux qui demandent l'asile de le faire en lien avec leur culture, leur langue, leur famille qui est peut-être déjà installée dans un pays européen, et (leur) profession", a-t-il déclaré sur LCP.  

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  • Observatoire des inégalités - Les inégalités de niveau de vie continuent d’augmenter

    Depuis une vingtaine d’années, les inégalités de revenus augmentent. Les plus aisés s’enrichissent alors que le niveau de vie des plus pauvres stagne.

    Si l’on prend comme point de comparaison le début des années 1970, les inégalités de revenus ont baissé. Depuis une vingtaine d’années, changement de cap : les inégalités repartent à la hausse. Dans un premier temps, les niveaux de vie des très riches se sont envolés. Puis, à partir de la fin des années 2000 les revenus des plus pauvres ont baissé. Le jugement que l’on peut porter sur l’évolution des inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise.

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  • Politis - L’État vole au secours d’Uber et de Deliveroo

    Alors que le parquet de Paris ouvre la voie à des sanctions pour travail dissimulé, le gouvernement trouve un moyen de pérenniser le système.

    Il était temps ! Le parquet de Paris a confié à l’Office central de lutte contre le travail illégal une enquête préliminaire sur Deliveroo, la plateforme de livraison à vélo, ouvrant la voie à des sanctions pour travail dissimulé, selon une information de Mediapart. L’inspection du travail avait saisi la justice en février, emboîtant le pas aux syndicats et aux collectifs d’auto-entrepreneurs qui réclament les mêmes droits que des salariés.

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  • Le Figaro - Jean-Christophe Cambadélis lance sa fondation

    L'ancien premier secrétaire du Parti socialiste veut aider le monde associatif, «dernier lieu de solidarité face au marché».

    Il y a un an, Jean-Christophe Cambadélis était battu aux élections législatives, dès le premier tour. Avec moins de 10% des voix, il décidait dans le même temps de quitter son poste de premier secrétaire du Parti socialiste, qu'il occupait depuis 2014. Ce qui ne l'empêche pas de rester encore aujourd'hui très actif. «J'observe, je consulte, je réfléchis et j'interviens sur LCI», note Jean-Christophe Cambadélis.

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