SOS Racisme "très satisfait" de l'éviction d... by lemondefr
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Blog Libé : L'économie - UberPop, Airbnb, l’économie collaborative et les inégalités au XXIème siècle Par Guillaume Allègre
L’économie dite collaborative peut-elle nous sortir de la crise ? Elle est en tout cas parée de toutes les vertus : elle serait bénéfique à la croissance et réduirait les inégalités en s’attaquant à la rente (des taxis, des hôtels…). La grève des taxis contre Uberpop, une plateforme internet de transport entre particuliers, et la décision d’interdire le site au premier janvier peut alors être interprétée comme une victoire du lobbying contre l’innovation (voir aussi cet ancien billet sur la guerre des taxis et des VTC). La bataille juridique fait également rage pour interdire Airbnb, une plateforme de location ou de sous-location courte-durée de logements entre particuliers. Que doit-on en penser d’un point de vue économique ?
Prenons l’exemple des sous-locations d’appartement. Les grandes villes touristiques comme Paris ou New-York sont caractérisées par une offre relativement faible de chambres d’hôtel, comparée au nombre de personnes qui désirent visiter la ville. L’offre, relativement peu flexible, a du mal à suivre la demande croissante, notamment liée à l’afflux de nouveaux touristes des grands pays émergents. Ceci crée une rente pour les propriétaires d’hôtels bien placés au centre de ces villes. En proposant de mettre en relation des particuliers, les plateformes de partage permettent de réduire et de partager cette rente, ce qui bénéficie à la fois aux touristes, à la plateforme et aux loueurs particuliers, au détriment des propriétaires d’hôtels[1].
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Alain Duhamel : "L'année politique de François Hollande a été horrible, mais il est resté imperturbable" rtl.fr
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Thierry Pech : pour le cannabis, "le tout répressif est un échec"
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OFCE : Austérité et pouvoir d’achat en France par Mathieu Plane
18 décembre 2014
La France mène-t-elle une politique d’austérité ? Comment la mesurer ? Cette question qui alimente régulièrement le débat public ne semble pas avoir été tranchée. Pour de nombreux observateurs, la relative bonne tenue de la dynamique salariale révèlerait que la France n’a pas pratiqué une politique d’austérité, contrairement à certains voisins du Sud de l’Europe, notamment l’Espagne et la Grèce où les coûts salariaux nominaux ont reculé. Pour d’autres, la France ne peut avoir pratiqué de politique d’austérité puisque les dépenses publiques ont continué à augmenter depuis le début de la crise[1]. Les 50 milliards d’économies sur la période 2015-17 annoncées par le gouvernement seraient donc le début seulement du tournant de la rigueur.
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Pierre Joxe : « La gauche n’a pas été élue pour faire cette politique »
Ancien ministre, Pierre Joxe a exploré en tant qu'avocat les différentes juridictions sociales (dont les prud'hommes) pour en dresser un état des lieux accablant. Il n'est pas plus tendre avec la politique menée actuellement par le gouvernement, à commencer par la loi Macron.
Pierre Joxe : « La gauche n’a pas été élue pour... by Mediapart -
La crise de l’Union européenne : une épreuve pour les relations franco-allemandes ? Fondation Jean-Jaurès
La crise de l’Union européenne : une épreuve... by fondationjeanjaures -
Laurent Baumel - Le billet politique de la semaine (n°9 - 19 décembre 2014) - Travail du dimanche : un débat sérieux
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Les matins - Baisse du cours du pétrole : quelles conséquences géopolitiques ?
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L'actualité des socialistes du 15 au 21 décembre (mise à jour)
A la une
Le Monde - Anne Hidalgo demande la régularisation de 500 sans-papiers à Paris
La lettre a été postée au lendemain du discours de François Hollande au Musée de l’histoire de l’immigration. Mais l’entourage de la maire de Paris Anne Hidalgo assure que la coïncidence est fortuite. Mardi 16 décembre, la maire PS de Paris a adressé au ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, un courrier appelant le gouvernement à régulariser la situation d’« environ 500 personnes » afin de « stopper l’embolie de l’hébergement » d’urgence.21 décembre
Le JDD - Baromètre JDD : l'inversion de la courbe pour Hollande?
Le baromètre mensuel Ifop-JDD confirme le rebond de popularité pour François Hollande : bien que toujours très bas, le Président gagne quatre points (17% de satisfaits) et retrouve le niveau qu'il avait en août dernier. Manuel Valls est pour sa part en baisse de deux points, à 35%
Invitée de Samedi Politique sur France 3 Paris, Marie-Pierre de La Gontrie a déclaré qu'elle était candidate pour conduire les listes PS aux régionales en Ile-de-France. Elle est donc prête à affronter Jean-Paul Huchon, lors d'une éventuelle primaire parmi les militants socialistes franciliens.
L'ancien ministre de l'Economie est en plein doute, après son éviction du gouvernement. Celui qui n'est plus que conseiller général tente de se reconstruire, personnellement et politiquement, pour revenir sur le devant de la scène. Récit d'une délicate reconversion.20 décembre
Le Figaro - Primaire 2017 : la majorité toujours partagée
Des responsables de la majorité ont de nouveau étalé leurs divergences sur la marche à suivre en vue de l'élection présidentielle de 2017, Bruno Le Roux doutant de l'opportunité d'une primaire quand Thierry Mandon l'a de nouveau jugée "indispensable".
Europe 1 - Valls-Hollande, le couple qui a décidé de s'entendre
JE T’AIME, MOI NON PLUS - Après quelques tensions, le Premier ministre et le président semblent vouloir jouer l’entente.
Depuis son arrivée à Matignon le 31 mars dernier, Manuel Valls a pu parfois irriter le chef de l’Etat. Sur le rythme des réformes notamment ou sur l’omniprésence médiatique du Premier ministre, les deux hommes ont connu quelques tensions. Mais selon les informations d’Europe 1, tout serait rentré dans l’ordre. Explications.
FranceTVinfo - Sapin appelle les entreprises à ne pas augmenter les salaires trop vite
"C'est la responsabilité de chaque chef d'entreprise de faire en sorte que les salaires n'augmentent pas considérablement plus que la productivité de cette entreprise", a-t-il déclaré devant des responsables de groupes étrangers et le président du Medef.
Europe 1 - Les frondeurs préparent une "contre-loi" Macron
Le gouvernement a, certes, remis sèchement Martine Aubry à sa place sur le travail le dimanche, mais il n'en a pas pour autant fini avec la contestation. Selon les informations d'Europe 1, certains, au sein du groupe socialistes, sont en effet en train d'organiser la suite de la riposte à la Loi Macron.
19 décembre
C'est sans conteste l'un des mots de l'année. Rien ne dit qu'elle ne se fera pas entendre en 2015, mais la "fronde" socialiste aura marqué 2014. Ces élus de l'aile gauche du PS ont, ce jeudi 18 novembre, une dernière occasion de marquer leur distance avec le gouvernement pour cette année.
FranceTVinfo - Pour Bruno Le Roux, la loi Macron a de « profonds marqueurs de gauche »
Alors que François Hollande recevait des parlementaires socialistes mercredi, le président du groupe socialiste à l’Assemblée, Bruno Leroux, a voulu marquer une différence avec le prédécesseur du Président de la République. « On n’est pas dans la convocation », il s’agissait pour François Hollande de « discuter » sur ce que veulent les Français. « Ce rapport direct, il est important entre le Président de la République et nos concitoyens. »
Outre-Atlantique, les rares présidents qui ont été menacés lors d'une primaire interne ont été battus lors de l'élection qui ont suivi, et cette procédure est presque devenue purement formelle pour un président sortant.
Soumettre ou ne pas soumettre François Hollande à une primaire ouverte en 2016? Le dilemme shakespearo-cornélien a déjà été tranché par le socialiste Thierry Mandon. Pour convaincre ses camarades, le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat invoque l’exemple des Etats-Unis, où, d’après lui, «le président sortant a besoin de ce ressourcement pour être revitalisé».
18 décembre
L'Obs - Retraites, chômeurs... François Rebsamen, ministre des bourdes ?
La déclaration du ministre du Travail sur l’allongement de la durée des cotisations irrite la majorité. D’autant qu'il n’en est pas à son premier couac.
Le Parisien - Hollande reçoit une dizaine de parlementaires et citoyens à dîner mercredi à l'Elysée
François Hollande va se joindre mercredi soir au dîner d'une dizaine de députés socialistes, accompagnés d'autant d'invités personnels, qui va finalement se tenir à l'Elysée, a-t-on appris auprès de la présidence, confirmant une information de France Info.
Le Figaro - Autoroutes : le double jeu de l'État
À quoi joue le gouvernement sur le dossier des autoroutes? Côté pile, il cloue les sociétés d'autoroutes au pilori, les accusant d'augmenter les péages de façon indécente et de dégager de superprofits sur le dos des automobilistes. Dans cette logique, la ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, souhaiterait geler les péages en 2015 alors qu'une augmentation de 0,57 % au 1er février était prévue.
Alors que le président de la République a réaffirmé sa volonté d'accorder le droit de voter aux étrangers aux élections locales, Laurent Bouvet revient sur cette promesse maintes fois réitérée par la gauche, mais jamais tenue.
Pour la gauche française, le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales (aux municipales, en fait) tient à la fois du serpent de mer et du sparadrap du Capitaine Haddock, entre éternel retour sur le devant de la scène politique et impossibilité de s'en défaire.
FranceTVinfo - Des frondeurs à la position du PS : la scission créée par la loi Macron
Pour "Mots croisés", Alice Gauvin et Céline Marchand sont allées à la rencontre des députés du PS opposés à la loi Macron. Des frondeurs de "Vive la gauche" aux députés qui n'avaient pas cette étiquette, tour d'horizon de la problématique pour le Parti.
17 décembre
Le Lab - Un député européen PS scandalisé par le voyage de Moscovici en Grèce
Depuis sa nomination comme commissaire européen aux Affaires économiques le 1er novembre, Pierre Moscovici est une des cibles de prédilection de la droite. Comment l’ex-patron de Bercy, impuissant face aux déficits français, peut-il avoir la charge des finances de l’Union européenne ? Voilà un des sarcasmes les plus couramment répandus sur les réseaux sociaux ou les plateaux télé par l’UMP.
Le Monde - Ségolène Royal dénonce les « postures » de Martine Aubry sur la loi Macron
Ségolène Royal a dénoncé mardi 16 décembre sur BFMTV-RMC les « postures » de Martine Aubry à propos du projet de loi sur la croissance et l’activité, que la maire de Lille s’est engagée à « combattre » pour s’opposer à l’extension du travail le dimanche. « Il faut éviter les postures, c’est facile quand on n’est pas aux responsabilités de dire “y a qu’à”, “faut qu’on”. La loi Macron va dans la bonne direction, je la soutiens », a déclaré la ministre de l’écologie.Le Figaro - Hollande ne «comprend pas» le combat de Martine Aubry sur le travail du dimanche
Selon le Canard enchaîné, le président de la République comme son premier ministre ne comprennent pas les sorties de Martine Aubry.
Le Monde - Retraites : Rebsamen sème la confusion en évoquant une rallonge de la durée de cotisation
Cafouillage autour de l'épineux dossier des retraites. Interrogé sur France 3, mardi 16 décembre, le ministre du travail, François Rebsamen, a assuré que la durée de cotisation serait, si nécessaire, « allongée ». Une déclaration qui a surpris au moment où la pérennité du système des retraites de base semble mieux assurée à court terme.France 3 - Philippe Martin : adieu la Région ?!
Petit meurtre entre camarades. Philippe Martin « poignardé » par les instances nationales du PS. C’est le cri de colère des soutiens de l’ancien ministre. La rue de Solferino fixe, par une circulaire, les dates concernant les prochaines régionales. Pour des responsables socialistes, c’est une « circulaire anti-Martin ». Elle lui barre la route de l’Hôtel de Région.
Libé - Rétrospective: les dix mots qui se sont imposés dans l’actualité en 2014
FRONDEURS
Nés au printemps, dans le sillage de la débâcle des municipales, les socialistes critiques de la ligne économique du gouvernement n’ont pas choisi leur surnom, surgi dans les médias. Mais l’adjectif, inspiré par la révolte d’une partie de la noblesse contre le pouvoir monarchique pendant l’enfance de Louis XIV, a fait florès, jusqu’au sein du gouvernement Valls, à mesure que grandissait leur contestation d’une politique jugée trop favorable aux entreprises. Ce collectif hétérogène - une quarantaine de parlementaires allant de membres de l’aile gauche, à d’anciens strauss-kahniens en passant par des aubrystes- , renforcé ces derniers mois par les anciens ministres Benoît Hamon ou Aurélie Filippetti, n’a, pour l’instant, pas été jusqu’à la rupture et une mise en minorité du gouvernement
16 décembre
Le Monde - Lutte contre le chômage : Valls douche les ambitions des régions
Manuel Valls a rappelé, lundi 15 décembre, que la politique de l’emploi restait dans le giron de l’Etat, recadrant ainsi le secrétaire d’Etat chargé de la réforme territoriale, André Vallini, proche de François Hollande, qui s’était dit ouvert à un transfert.......« Toutes ces mesures, c’est de la diversion, balaie Emmanuel Maurel, le patron de l’aile gauche du parti. C’est secondaire, totalement en décalage avec la réalité de ce que vivent les Français. Il y a quelque chose d’irréel à parler de nous, de notre identité, comme si on n’avait pas actuellement des camarades au pouvoir en train de faire une politique pour laquelle ils n’ont pas été élus. »Libé - «La Plateforme», nouvel outil du chantier de la gauche
De jeunes militants socialistes, écologistes ou proches de la gauche radicale veulent «trouver une nouvelle voie» pour sortir la gauche de sa déprime.
François Hollande et Manuel Valls remontent de 3 points dans les sondages, tandis que Nicolas Sarkozy chute de 16 points.
Lextimes - Jospin défavorable à un bouleversement du Conseil constitutionnel
Lionel Jospin, pressenti pour siéger au Conseil constitutionnel, se montre défavorable à des changements qui rapprocheraient le fonctionnement de cette institution de celui de la Cour suprême américaine ou de la Cour européenne des droits de l'Homme, dans un document transmis lundi aux députés.
L'Obs - Ce qu'il faut retenir du discours de Hollande sur l'immigration
Le chef de l'Etat a officiellement inauguré le musée de l'immigration ce lundi. Il en a profité pour fustiger les discours de la peur entretenus par ceux "qui rêvent d'une France en petit".
Le JDD - Hamon sur la loi Macron : "Je ne vois pas les bienfaits"
Dans une interview à paraître dimanche dans nos colonnes, l'ancien ministre Benoît Hamon critique la loi Macron et, plus généralement, la ligne choisie par le gouvernement Valls depuis son départ. Extraits.
15 décembre
Libé - Cambadélis met en garde contre l'«autoélimination» de la gauche
Le chef du PS a interpellé devant la presse les écologistes et les communistes et réclamé des alliances de premier tour aux départementales de mars.
Le Monde - Travail du dimanche : Cambadélis répond à Hamon et pose «trois conditions»
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, s'est déclaré favorable à un « compromis » sur la loi Macron, notamment sur ses propositions en matière de travail dominical.
Interrogé dans le « 12/13 Dimanche » sur France 3, il a posé trois conditions au feu vert du PS, la première étant que « le repos dominical doit rester la règle, et il faudra que ceci soit dit ».
Le Huffington Post - Travail du dimanche: Benoît Hamon rejoint Martine Aubry et affiche ses ambitions à la tête du PSAprès Martine Aubry, Benoît Hamon. L'ancien ministre annonce dans le Journal du dimanche, le 14 décembre, qu'il votera contre l'extension du travail dominical, tout en affichant ses ambitions pour le prochain congrès du PS.
Benoît Hamon joint sa voix aux nombreuses critiques de la gauche, y compris des socialistes parmi lesquels la maire de Lille Martine Aubry, contre le projet du ministre de l'Economie Emmanuel Macron prévoyant d'étendre jusqu'à 12 le nombre de dimanches travaillés par an.
Bien Public - Le Parti socialiste et ses « nuances de rose »
Pour Thierry Pech, directeur de la Fondation Terra Nova, boîte à idées de la gauche, il n’y a pas de fossé insurmontable entre les frondeurs et la majorité gouvernementale. Avec les premiers résultats économiques, ça ira mieux.
Le Parti socialiste réunissait hier son conseil national (le « parlement ») dans un environnement politique qui ne prête guère à l’euphorie. La cote de popularité du président de la République ne décolle pas, la gauche est divisée sur les choix économiques, le PS s’est fait éliminer du 2e tour de la législative partielle de l’Aube qui verra s’affronter demain l’UMP et le FN. Nous avons demandé à Thierry Pech, directeur de la fondation Terra Nova, le « think tank » de la gauche, s’il est possible de retrouver une dynamique.
Libé - Le PS sous le choc du ménage à Troyes
Eliminé dès le premier tour de la législative partielle au profit d’un duel UMP-FN, le candidat socialiste s’alarme d’une défiance inédite.
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Vers la légalisation du cannabis ? i>TELE