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  • OFCE - À la mémoire de Jean-Paul Fitoussi

    L’économiste Jean-Paul Fitoussi nous a quittés le 15 avril à Paris.  Docteur d’État en sciences économiques et agrégé, il a commencé sa carrière comme professeur à l’Université de Strasbourg puis à l’Institut universitaire européen de Florence avant de rejoindre Sciences Po et de devenir président de l’Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE) de 1989 à 2010. Officier de la Légion d’honneur, docteur Honoris Causa de nombreuses universités, ses travaux ont été reconnus par de nombreux prix internationaux.  Il a contribué à de nombreuses institutions en France et en Italie où il enseignait également et où sa renommée était aussi très importante.

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  • France Culture - Populisme, autocratie et démocratie : les nouvelles formes du politique

    Qui de mieux placé qu’un homme qui a fréquenté le pouvoir pour commenter la très récente élection présidentielle ? Ancien conseiller de l’homme d’État italien Matteo Renzi, Giuliano Da Empoli pose son regard sur les récents changements dans l'exercice du pouvoir en France et en Europe. Entre populisme et autocratie, quelques démocraties semblent en effet vouloir s’inspirer des méthodes de Moscou. Dans son premier roman “Le mage du Kremlin” - une histoire presque réelle - Giuliano Da Empoli revient justement sur les méthodes d’un conseiller de l’ombre qui a longtemps dessiné la stratégie politique de Vladimir Poutine.

  • Fondation Jean Jaurès - Les vingt ans de l’euro : à l'épreuve de la guerre en Ukraine

    Alors que des transformations au sein de la gouvernance économique de l’Union européenne sont à l’œuvre et qu’une crise a éclaté entre l’Ukraine et la Russie, la Fondation Jean-Jaurès, la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS) et l’Initiative for Policy Dialogue reviennent, dans le cadre de la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE) et à l’occasion des vingt ans de l’euro, sur ce que la mise en place de la monnaie unique a produit au sein de la zone euro, sur les nouvelles règles budgétaires et sur les conséquences de cette crise géopolitique.

    L’objectif de ce débat autour de représentants institutionnels, politiques et universitaires de haut niveau est de mettre en avant les solutions et les recommandations existantes pour l’approfondissement de l’Union économique et monétaire. Ouverture : David Rinaldi, directeur du secteur Études et recherches de la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS)

    Présentation de l’étude sur « Les Européens et l’euro : la perception de la monnaie unique vingt ans après son adoption » : Théo Verdier, co-directeur de l’Observatoire Europe de la Fondation Jean-Jaurès, vice-président du Mouvement européen-France

    Discussion - Joseph E. Stiglitz, prix Nobel d’économie, Initiative for Policy Dialogue à l’Université de Columbia, - Pervenche Berès, co-directrice de l’Observatoire Europe de la Fondation Jean-Jaurès, ancienne présidente de la commission affaires économiques du Parlement européen, ancienne présidente de la délégation socialiste française au Parlement européen, - Adrienne Brotons, membre de l’Observatoire de l’économie de la Fondation Jean-Jaurès, - Xavier Ragot, président de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Modération : Ainara Bascuñana, directrice de la communication de la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS), et David Rinaldi, directeur du secteur Études et recherches de la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS).

  • Fondation Jean Jaurès - Troisième tour

    Dans sa contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille et auteur du blog La Constitution décodée, explique en quoi les élections législatives de juin prochain pourraient déboucher sur une Assemblée éclatée, non seulement sans aucune majorité absolue, mais aussi avec trois ou quatre camps entre lesquels une entente sera difficile.

    Il y aura bien un troisième tour législatif à cette élection présidentielle, comme on l’évoquait d’ailleurs dès le lendemain du premier tour. C’est de là que pourrait provenir la surprise qu’on retrouve à chaque élection présidentielle.

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  • Observatoire des inégalités - Les inégalités mondiales de revenus diminuent

    Données 26 avril 2022

    Depuis vingt ans, les inégalités de revenus reculent entre habitants de la planète. Un mouvement paradoxal alors que les inégalités tendent à s’accentuer au sein de nombreux pays. Une analyse d’Anne Brunner.

    Les inégalités de revenus au niveau mondial tendent à diminuer depuis les années 2000, selon les données du Word Inequality Database (WID) concernant la part du revenu global qui va au dixième le plus riche. En 2000, les 10 % les plus riches du monde recevaient à eux seuls une masse dix fois plus grande de revenus que l’ensemble des 50 % les plus pauvres. Ce rapport est descendu progressivement jusqu’à 7,7 en 2020. Cette baisse ramène l’inégalité des revenus à son niveau de 1960.

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  • Bruno Cautrès : "Jean-Luc Mélenchon Premier ministre, c’est une hypothèse très virtuelle"

    Les partis de gauche négocient pour monter une coalition en vue des élections législatives de juin. Le politologue Bruno Cautrès, chercheur au Cevipof, le centre de recherche de la vie politique, est l'invité du 6h20 de France Inter pour analyser les forces en présence, les enjeux et les points de blocage.

  • Communiqué de presse sur les discussions avec LFI

    Communiqué de presse

    – Vendredi 29 avril 2022

    Le 20 avril dernier, le Conseil national du Parti socialiste a donné mandat à sa direction pour engager des discussions sans exclusive avec ses partenaires dans le cadre des élections législatives des 12 et 19 juin : en premier lieu le Parti communiste, Europe Écologie-Les Verts et La France insoumise, à laquelle le résultat de l’élection présidentielle confère une responsabilité particulière dans la construction d’un rassemblement large de la gauche. 

    Nous sommes convaincus qu’un rassemblement peut se bâtir sur un programme partagé pour construire une alternative sociale et écologique globale à la politique néolibérale d’Emmanuel Macron.

    L'Union populaire a mis douze marqueurs en discussion en vue de parvenir à un accord. Dans un état d’esprit de dialogue constructif, nous avons fait le choix d’y répondre, en nous appuyant sur notre projet défendu pour l’essentiel par notre candidate. Nous avons également fait le choix d’ajouter à ces douze marqueurs nos propres propositions, celles que nous souhaitons inclure dans nos échanges.

    Le texte n’est en aucun cas un accord. Il valorise des convergences, sans cacher nos différences, notamment sur la question européenne. Il est une contribution aux discussions en vue de rassembler la gauche et les écologistes autour d’un socle de propositions. La discussion ne fait que réellement commencer.

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  • Les gauches vers les législatives du 22 au 28 avril

    Baromètre d’intentions de vote aux élections législatives de 2022 – Vague 45

    28 avril

    BFM - Législatives: socialistes et insoumis prévoient de se revoir jeudi ou vendredi pour poursuivre leurs discussions

    Des délégations du PS et de LFI se sont rencontrées ce mercredi au siège des insoumis, pour discuter d'un éventuel accord en vue des législatives.

    Les tractations sont entrées dans le vif à gauche pour négocier un éventuel accord en vue des législatives des 12 et 19 juin. Ce mercredi matin, socialistes et insoumis se sont rencontrés au siège de La France insoumise (LFI). Rencontre à l'issue de laquelle Manuel Bompard, négociateur en chef des insoumis, a déclaré qu'il n'y avait semble-t-il "pas de points insurmontables.

    Huffington Post - François Hollande étrille un accord LFI-PS mortifère et "inacceptable"

    Pour l'ancien président socialiste, un accord du PS avec la France Insoumise "met en cause des principes qui sont les fondements de l'engagement socialiste".

    France Info - Législatives : pour François Hollande, "l'accord inacceptable" entre le PS et LFI est promis à l'échec

    L'ancien président de la République, ex-premier secrétaire du Parti socialiste, estime sur franceinfo qu'un accord avec La France insoumise "met en cause des principes mêmes qui sont les fondements de l'engagement socialiste

    France Info - Jean-Pierre Chevènement lance un nouveau parti et se défend d'affaiblir le PS : "Il s'est tué tout seul"

    L'ancien ministre de gauche Jean-Pierre Chevènement a lancé mercredi un nouveau mouvement politique baptisé Refondation Républicaine, dans l’idée de soutenir Emmanuel Macron.

    Ouest France - Législatives. « Les gauches ne sont pas irréconciliables », estime Olivier Faure

    Dans un entretien au journal Le Figaro, le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure justifie sa volonté de rassemblement à gauche avec La France insoumise en vue des élections législatives, estimant que « les gauches ne sont pas irréconciliables ».

    Public Sénat - Législatives : Julien Bayou dénonce le « poker menteur » de LFI

    Les discussions entre EELV et LFI pour les législatives, d’abord bien parties, se tendent ces dernières heures. « Nous croyons qu’il est encore possible d’arriver à un accord », affirme cependant le numéro 1 d’EELV, Julien Bayou.

    Orange - Législatives: LFI ouvre des tractations historiques mais ardues avec le PS

    "Pas de points insurmontables": les tractations historiques entre La France insoumise et le Parti socialiste ont démarré mercredi par une rencontre "positive" selon les protagonistes, contrastant avec les tensions stratégiques et de fond qui continuent de perturber les discussions entre Insoumis et écologistes.

    "On n'avait pas l'impression de discuter avec le même PS qu'il y a deux, trois ans", a rapporté à la presse le négociateur en chef de LFI Manuel Bompard, qui a par ailleurs entamé d'autres discussions bilatérales depuis plus d'une semaine avec EELV, le PCF et le NPA.

    Le Monde - LFI et PS estiment qu’il n’y a « pas de points insurmontables » entre eux à l’issue de leur réunion, tensions avec EELV

    La France insoumise demande par ailleurs « de la clarté » à Europe Ecologie-Les Verts dans les négociations bilatérales, à l’approche des élections législatives.

    L’accord n’est pas atteint, mais les discussions commencent sous de bons auspices. Les tractations entre La France insoumise (LFI) et le Parti socialiste (PS) ont débuté mercredi 27 avril par une rencontre « positive », selon les protagonistes, contrastant avec les tensions stratégiques et de fond qui continuent de perturber les discussions entre « insoumis » et écologistes.

    Le Monde, Les décodeurs - Législatives 2022 : pourquoi Jean-Luc Mélenchon parle-t-il de « troisième tour » de la présidentielle ?

    Les partis d’opposition se concentrent sur la prochaine échéance électorale et s’activent pour dessiner leur stratégie. Quels sont les enjeux concrets des élections législatives ? Ce scrutin peut-il changer la donne politique ?

    Après l’élection présidentielle, place à la bataille des législatives. Depuis l’annonce de la victoire d’Emmanuel Macron (58,54 %) au second tour face à Marine Le Pen (41,46 %), dimanche 24 avril, les tractations se multiplient. A gauche, le candidat de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, arrivé en troisième position au premier tour, avec 21,95 % des voix, appelle au rassemblement autour de son programme pour le scrutin des élections législatives, les 12 et 19 juin.

    Huffington Post - Législatives: EELV ne veut pas du nom "Union Populaire" en cas d'accord avec LFI

    Désaccord sur le nom du front commun, craintes écologistes sur le nombre de circonscriptions... Julien Bayou a joué la "transparence" sur les négociations en cours avec la France Insoumise.

    - Tout reste à faire entre EELV et LFI, à commencer par trouver un nom qui fasse consensus. Écologistes et insoumis peinent à s’entendre sur un éventuel accord en vue des législatives, a-t-on compris à l’issue de la conférence de presse organisée ce mercredi 27 avril par Julien Bayou pour “faire transparence sur les négociations en cours”.

    Le Parisien Législatives : les négociations entre LFI et les écologistes au point mort

    Les discussions auraient bien avancé concernant les éléments programmatiques, mais elles sont bloquées par le peu de circonscriptions que les Insoumis veulent laisser aux Verts.

    Ce n’est pas un clash mais ça y ressemble. Pourtant engagées dès le 21 avril, les discussions entre la France insoumise et les écologistes sont au point mort. « Nous croyons possible d’arriver à un accord mais c’est à LFI de prendre l’initiative d’une reprise des discussions. Car être leader ne donne aucun droit mais que des devoirs », a lancé ce mercredi 27 avril Julien Bayou, qui dénonce la « volonté hégémonique » des Insoumis.

    Huffington Post - Législatives 2022: Bayou assume éviter des sujets de fond avec LFI

    Le patron d'EELV estime que “l’international n’est pas vraiment du domaine de l’Assemblée", à l'heure où son parti discute d'un accord pour les élections législatives avec la France insoumise. Mais il fixe une ligne rouge sur l'Europe.

    - “LFI continue de dire ça?” Julien Bayou n'est pas tout à fait au point sur le programme des Insoumis. Le secrétaire national d’Europe Écologie Les Verts explique, ce mercredi 27 avril, “prendre acte” des différences de vue avec la France insoumise sur les sujets internationaux. Quitte à en découvrir certaines en direct.

    Huffington Post - La première rencontre entre PS et LFI pour les législatives "constructive"

    Manuel Bompard, représentant LFI et le porte-parole du PS Pierre Jouvet ont salué des discussions "positives".

    Il n’existe “pas de points insurmontables” pour négocier un accord aux législatives de juin, ont salué, ce mercredi 27 avril, La France insoumise et le Parti socialiste à l’issue de leur première rencontre au siège du mouvement de Jean-Luc Mélenchon.

    “On n’avait pas l’impression de discuter avec le même PS qu’il y a deux-trois ans”, a rapporté à la presse le négociateur en chef de LFI Manuel Bompard, qui a par ailleurs entamé d’autres discussions bilatérales depuis plus d’une semaine avec EELV, le PCF et le NPA. 

    Le Parisien - Législatives : il n’existe «pas de points insurmontables» pour un accord, jugent le PS et LFI

    La France insoumise a démarré des tractations avec le Parti socialiste, pour les législatives de juin. « On n’avait pas l’impression de discuter avec le même PS qu’il y a deux-trois ans », a jugé le négociateur en chef de LFI Manuel Bompard,

    France Info - Législatives : "On nous propose pas une coalition" avec LFI, "on nous propose une reddition", dénonce Jean-Christophe Cambadélis

    Alors que le PS et La France insoumise entament des discussions dans la matinée en vue des élections législatives, Jean-Christophe Cambadélis, ancien Premier secrétaire du Parti socialiste, estime sur franceinfo que les gauches ne sont pas "fongibles".

     
    Si La France insoumise parvient à ses fins dans les négociations en vue des législatives, cela signerait la fin de la gauche europhile et libérale. Pas sûr que les électeurs qui ont voté pour le leader insoumis pour faire barrage à Le Pen s’y retrouvent.
     

    Les tractations en vue des Législatives vont bon train. Le Rassemblement national se laissera-t-il convaincre par Reconquête! ? La France insoumise fera-t-elle une place aux écologistes, aux communistes ou aux socialistes. Découvrez ce qu'auraient représenté les différentes coalitions si elles s'étaient faites avant le premier tour de la Présidentielle.

    27 avril

    Le Figaro - Critiqué sur un éventuel accord avec LFI, Faure répond à ses opposants: «Partez»

    Le premier secrétaire du PS Olivier Faure, critiqué mardi 26 avril au soir lors d'un bureau national par le courant minoritaire du parti, sur sa tentative d'union avec LFI pour les législatives, a invité ceux qui pensent «qu'il n'y a plus rien à faire» à partir, a-t-on appris de plusieurs sources. «Si vous pensez que le PS est mort, qu'il n'y a plus rien à faire, que vous n'appartenez plus à la gauche, alors partez. Rejoignez La République en marche. Sinon restez et battez-vous avec nous. Ça nous changera», a déclaré Olivier Faure, selon des propos rapportés confirmant une information du Figaro.

    Ouest-France - Insoumis, socialistes, Verts, communistes… L’union de la gauche est-elle possible aux législatives ?

    Elle n’a pas pu se faire avant le premier tour de la présidentielle. L’union de la gauche est-elle devenue envisageable pour les élections législatives ? Les Insoumis y sont ouverts mais posent leurs conditions. Les communistes sont partants. Chez le PS et les Verts, l’idée fait moins l’unanimité. Mais il n’y a plus trop le temps pour mégoter…

    20 minutes - Législatives 2022 : Les négociations se durcissent entre les différents partis de gauche

    (DES)UNION Les discussions entre LFI, EELV et le PCF patinent, alors que le PS entre dans la danse

    .... Second problème : la répartition des circonscriptions. EELV souhaite un « vrai » 20 %, Julien Bayou avançant que LFI ne propose que « 14,4 % des circonscriptions gagnables », ce que dément Manuel Bompard, qui assure offrir « 20 % des 165 circonscriptions de qualité ».

    Les Echos - Législatives : Yannick Jadot jette un froid sur les négociations avec Jean-Luc Mélenchon

    S'il se dit favorable à une coalition de gauche en vue des élections de juin, l'ancien candidat écologiste à l'Elysée a affirmé ce mardi qu'une telle alliance ne « marcherait pas » si elle était dominée par le leader de La France insoumise. Des propos qui compliquent les négociations déjà tendues entre Les Verts et les Insoumis.

    .... Outre les bisbilles programmatiques, le secrétaire général d'EELV, Julien Bayou, reproche aux Insoumis de ne leur céder que 14 % de circonscriptions considérées comme gagnables par la gauche, là où les écologistes en réclament 20 %.

    Le Monde - Yannick Jadot cherche un chemin pour l’écologie, entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon

    Le candidat d’EELV a dit que les écologistes soutiendront le président réélu s’il « décide enfin d’agir pour le climat ». Ce relatif apaisement contraste avec les fermes garanties qu’il demande à LFI, en pleines négociations avant les élections législatives.

    Désormais, il s’agit d’éviter la dilution. Fort de seulement 4,63 % des voix au premier tour de l’élection présidentielle, Yannick Jadot entend continuer à faire vivre les idées écologistes, un peu à l’étroit entre Emmanuel Macron, qu’il a critiqué vertement sur le sujet en janvier, et Jean-Luc Mélenchon, soucieux de fédérer les forces de gauche dans la perspective des élections législatives sans concéder grand-chose sur son programme.

    Le Progrès - Rififi au PS : Hélène Geoffroy torpille Olivier Faure

    À deux mois des législatives, les socialistes apparaissent une nouvelle fois divisés. Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin, a rédigé une lettre de reproches au premier secrétaire du parti Olivier Faure qui envisage un rassemblement avec La France Insoumise.

    Libé - Législatives: au contraire de Jadot, Rousseau estime que c’est à Mélenchon de «mener la coalition»

    Alors que les négociations avancent entre les différentes formations de gauche pour sceller un accord en vue des législatives, des désaccords apparaissent. Notamment chez les ténors écolos.

    France " - Après l'échec du PS à la Présidentielle, le parti socialiste "est mort, ce parti est fini", estime Stéphane Le Foll, ancien ministre et maire du Mans

    Stéphane Le Foll estime que le parti socialiste "est mort, ce parti est fini". Il invite tous ceux qui veulent le reconstruire à se retrouver le 16 juillet prochain.

    BFM - "Yannick a tenu bon sur nos valeurs": Bayou rétropédale après des critiques sur la campagne de Jadot

    Julien Bayou s'est voulu apaisant lundi soir auprès de BFMTV, après ses critiques acerbes contre la campagne présidentielle de Yannick Jadot publiées dans la presse dans la journée.

    Les dissensions nées au sein d'Europe Ecologie - Les Verts après une présidentielle décevante - et un faible 4,63% des suffrages exprimés pour Yannick Jadot - se sont étalées au grand jour ce lundi dans la presse, via une révélation de L'Express. Ce sont les critiques de Julien Bayou, secrétaire national du mouvement, à l'égard de la campagne et du candidat, qui ont fuité hors de la boucle de messagerie interne où elles avaient d'abord été formulées samedi.

    Lyon Mag - Législatives : Adrien Quatennens (LFI) veut investir Taha Bouhafs à Vénissieux mais n'est pas au courant de ses déboires judiciaires

    Ce mardi matin, Adrien Quatennens était invité d'Apolline de Malherbe sur le plateau de BFM-TV. Le député LFI a été notamment interrogé sur Taha Bouhafs, qui pourrait obtenir l'investiture du parti de Jean-Luc Mélenchon pour les prochaines législatives dans la 14e circonscription du Rhône, celle de Vénissieux notamment.

    "Je crois qu'il est prévu de l'investir, oui", dégaine Adrien Quatennens, avant d'être appelé à s'exprimer sur les déboires judiciaires du journaliste-militant originaire d'Echirolles en Isère.

    26 avril

    Huffington Post - Aux législatives, Jadot pense qu'une coalition derrière Mélenchon "ne marchera pas"

    Arrivé à la sixième place au premier tour de l'élection présidentielle, Yannick Jadot est sceptique sur le "troisième tour" proposé par Jean-Luc Mélenchon.

     L’union, oui. Derrière celui qui a fini largement en tête, non. Voilà en substance le message passé par Yannick Jadot ce mardi 26 avril sur France Inter, au sujet des élections législatives, sur lesquelles misent les forces de gauche. Le candidat écolo à l’élection présidentielle a d’abord indiqué qu’il était pour une coalition “très ouverte” qui inclurait toutes les sensibilités “autour d’un projet” qui porte l’écologie et le social.

    France Info - Législatives 2022 : La France Insoumise coordonne les tractations à gauche

    Au lendemain de l'élection présidentielle, lundi 25 avril, Jean-Luc Mélenchon pose ses pions en vue des législatives. Plusieurs échanges ont d'ores et déjà lieu entre les partis de gauche et d'extrême gauche. Décryptage, avec le journaliste Serge Cimino, en direct du siège de La France Insoumise.

    France Info - Présidentielle 2022 : quels seraient les pouvoirs de Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen si Emmanuel Macron devait nommer l'un d'eux Premier ministre ?

    Le candidat de La France insoumise et de l'Union populaire fait miroiter la possibilité d'une cohabitation avec Emmanuel Macron pour mobiliser avant les élections législatives de juin. Une échéance que le Rassemblement national voit comme un "troisième tour" de la présidentielle.

    Le Monde - La France insoumise et le Parti socialiste ont rendez-vous pour discuter du programme et des législatives

    Jusqu’à ces derniers jours, les dures attaques d’Anne Hidalgo et de Carole Delga contre Jean-Luc Mélenchon semblaient devoir empêcher une collaboration des deux forces de gauche.

    Mercredi 27 avril aura lieu un rendez-vous qu’à gauche plus personne n’attendait plus. La France insoumise et le Parti socialiste ont chacun confirmé auprès du Monde, lundi, qu’ils se retrouveraient ce jour-là pour discuter de leurs points d’accord et de désaccord quant au programme politique, mais aussi de la possibilité d’un rapprochement pour les législatives.

    Législatives 2022 : majorité absolue pour Macron et forte poussée du RN, selon une première projection

    Un sondage Harris Interactive pour Challenges donne une redistribution des rapports de force au détriment de LR, des communistes et des Verts.

    C'est une première tendance à prendre avec beaucoup de pincettes. Quelques minutes après l'annonce de la victoire d'Emmanuel Macron dimanche soir, la plupart des oppositions ont donné le coup d'envoi de la bataille qui animera la vie politique dans les prochaines semaines : celle des législatives. Dans une première projection réalisée par Harris Interactive pour Challenges entre dimanche soir et lundi, la nouvelle Assemblée nationale pourrait bien accorder à Emmanuel Macron une victoire absolue.

    France Inter - Valérie Rabault : "Il faut pouvoir s'entendre" avec LFI, "mais les socialistes ont un projet à défendre"

    .... Valérie Rabault regarde à présent vers les législatives. "Un combat s’engage". Elle croit "aux dynamiques" et ne veut pas parler de troisième tour concernant les élections de juin, comme le disent Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon. "On reproche au régime présidentiel d'être trop vertical et d'être articulé autour d'une personnalité qui emporterait tout. Les législatives, c'est la capacité à faire en sorte que toutes les nuances, opinions et territoires puissent être représentées", estime-t-elle. "Je souhaite qu’il puisse y avoir une majorité de gauche, écologiste, socialiste, vous l’appelez comme vous voulez, la plus forte possible."

    France Info - Présidentielle : "Si Marine Le Pen n'a pas gagné", c'est d'abord "parce qu'une majorité des électeurs de Jean-Luc Mélenchon" n'ont pas voté pour elle, assure Manuel Bompard

    Manuel Bompard, député européen, directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon, dit sur franceinfo ne "rien attendre" d'Emmanuel Macron, estimant que ses promesses n'engagent "que lui".

    Au lendemain de la réélection d'Emmanuel Macron à l'Elysée, Manuel Bompard, eurodéputé La France insoumise assure lundi 25 avril sur franceinfo que "si Marine Le Pen n'a pas gagné", c'est d'abord "parce qu'une majorité des électeurs de Jean-Luc Mélenchon" au premier tour n'a pas voté pour elle au second tour.

    25 avril

    L'Obs - Mélenchon après la réélection de Macron : « Le troisième tour commence ce soir »

    Troisième du premier tour de l’élection présidentielle, le leader des « insoumis » Jean-Luc Mélenchon s’est rapidement exprimé après la réélection d’Emmanuel Macron.

    « Le troisième tour commence ce soir », a réagi Jean-Luc Mélenchon ce dimanche 24 avril, dans une allocution après les résultats du second tour de l’élection présidentielle, qui a vu Emmanuel Macron être réélu avec 58,5 % des voix.

    Ouest France - Présidentielle 2022. « Le pire a été évité », pour Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Fabien Roussel

    Les trois candidats de gauche perdants au premier tour Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Fabien Roussel ont affirmé que « le pire » avait été évité avec la défaite de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle. Les trois ex-candidats appellent à l’union à gauche pour les législatives.

    Au soir du second tour de la présidentielle ayant vu Emmanuel Macron l’emporter, les anciens candidats de gauche Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Fabien Roussel ont tous trois affirmé que le « pire » avait été évité avec la défaite de Marine Le Pen et ont appelé à une union à gauche pour les législatives.

    Du 20 au 24 avril

    Le JDD - Au Parti socialiste, Olivier Faure sur un fil après la débâcle à la présidentielle 

    Malgré un résultat catastrophique à la présidentielle pour Anne Hidalgo, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure n’est pas véritablement remis en cause. Une paix qui semble aussi précaire que factice et qui ne devrait pas durer au-delà des législatives de juin.

    Jusqu’à quand ? Depuis le soir du premier tour, Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, bénéficie d’une sorte de microclimat. Alors que le PS et sa candidate, Anne Hidalgo , ont pris l’eau à la présidentielle, jusqu’à s’y noyer, lui ne semble pas être mouillé. Malgré une débâcle historique , au sein du parti, ceux qui demandent ouvertement sa tête restent très minoritaires. Certains rongent leurs freins. Car l’heure n’est pas aux règlements de compte mais au sauvetage de ce qui peut encore l’être.

    Reporterre - EELV : « Nous avons envie de proposer un accord à gauche »

    La défaite à peine avalée, les écologistes doivent déjà penser à l’avenir et aux législatives. Pour Alain Coulombel, porte-parole d’EELV, cette reconstruction implique une refonte de l’équipe dirigeante, et un accord avec LFI, le PC, voire le PS.

    Économiste et porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts (EELV), Alain Coulombel mène la frange du parti la plus à gauche, appelée Le Souffle [1]. Favorable à un rassemblement en vue de la présidentielle, il avait été écarté de la campagne au mois de décembre.

    BFM - Législatives: les écologistes de plus en plus nombreux à vouloir une alliance avec LFI et Mélenchon

    Plusieurs figures d'EELV veulent un accord avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon lors des élections législatives en juin 2022.

    Vers un renversement d'alliance? En 2017, dans de nombreuses circonscriptions, EELV était allié au Parti socialiste lors des élections législatives. En juin 2022, les écologistes pourraient plutôt se tourner vers La France insoumise et Jean-Luc Mélenchon, arrivé en troisième position lors du premier tour de l'élection présidentielle, loin devant Yannick Jadot et ses 4,6%.

    Libé - Jean-Luc Mélenchon remonte sur le ring: «Rien ne me remet plus d’aplomb que d’être dans la bataille»

    A la Maison de la Chimie à Paris, où il réunissait les siens jeudi soir, le leader insoumis est apparu requinqué et prêt à jeter ses forces dans «la nouvelle campagne qui commence». Celle des législatives, qu’il compte mener main dans la main avec les autres formations de gauche.

    Gare à ceux qui l’avaient enterré trop vite. Jean-Luc Mélenchon, plus «combatif» que jamais, a encore des choses à dire et à faire. Loin d’être abattu après son échec au premier tour de la présidentielle, il est déjà remonté sur le ring jeudi soir. A la Maison de la Chimie à Paris, la soirée n’était «pas un meeting» mais bien «une conférence» devant plusieurs centaines de personnes.

    Huffington Post - Législatives 2022: crispations au PS après la main tendue aux Insoumis

    Le conseil national du Parti socialiste a entériné mardi 19 avril l'ouverture des discussions avec LFI en vue des législatives. Une position qui fait débat et pourrait bien achever le parti.

    “Je n’ai jamais été sur la ligne de la direction et d’Olivier Faure. Ça ne va pas changer, a fortiori avec cette ligne qui consiste à dire qu’on va chercher un accord avec LFI”. Interrogé par Le HuffPost, Stéphane Le Foll, ancien ministre socialiste, est plus que critique sur éventuel accord stratégique entre le PS et LFI aux élections législatives de juin 2022.

    La veille, le Conseil national du PS avait pourtant acté l’ouverture des discussions avec les Insoumis. Et ces derniers sont en position d’ouverture: la France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon veulent peser sur les cinq années à venir. Le député des Bouches-du-Rhône se rêve Premier ministre, et ce, quel que soit le vainqueur de la présidentielle.

    Le Figaro - PS : Olivier Faure obtient une majorité interne pour un dialogue avec les Insoumis aux législatives

    Dans un discours aux cadres de son parti mardi soir, le premier secrétaire a appelé toute la gauche, Insoumis compris, à «plus de hauteur de vue».

    «La réalité, c'est quand on se cogne...» Ce mot de Jérôme Guedj, citant jacques Lacan, a pu illustrer mardi 19 avril au soir l'ambiance du Conseil national du PS. Durant plus de quatre heures, les cadres socialistes ont vidé leur sac après le score cataclysmique de leur candidate Anne Hidalgo le 10 avril (1,74%).

    Le Télégramme - Le Parti socialiste vote pour un rassemblement avec LFI aux législatives

    En vue des législatives, le conseil national du PS a adopté une résolution pour discuter avec toutes les formations de gauche, dont La France insoumise, arrivée en tête au premier tour de la présidentielle.

    Le conseil national du Parti socialiste, sorte de parlement du parti, a adopté mardi soir une résolution proposant de discuter avec l’ensemble des forces de gauche, dont La France insoumise, pour trouver un accord aux législatives, a-t-on appris de sources concordantes. Il s’agit pour le PS d’un tournant majeur dans sa stratégie que d’envisager un accord avec le parti de Jean-Luc Mélenchon, a précisé un participant, même si pour l’instant LFI a indiqué ne pas vouloir discuter avec le PS, trop critique vis-à-vis de leur candidat pendant la campagne.

  • La revue de presse du 15 au 22 avril

    A LA UNE

    Observatoire des inégalités - Ne pas voter Macron, c’est rester indifférent devant un déferlement de haine

    Points de vue 15 avril 2022

    Chaque voix en moins pour le président sortant augmentera le score de Marine Le Pen. S’abstenir revient à la soutenir. Le point de vue de Noam Leandri et de Louis Maurin, respectivement président et directeur de l’Observatoire des inégalités. Tribune extraite du journal Le Monde.

    Chers abstentionnistes, le 24 avril 2022, quand vous aurez profité de votre dimanche pour vous promener plutôt que d’aller voter pour Emmanuel Macron, ayez une pensée émue pour Aziza et Karim, comme pour toutes celles et ceux qui, du fait de votre indifférence, emprunteront le chemin vers la frontière, guidés par Marine Le Pen. La présidente vous devra un grand merci. Chaque voix en moins pour Emmanuel Macron augmentera d’autant le score de la candidate du Rassemblement national (RN), que vous aurez donc soutenue.

    UKRAINE

    Entretien avec Julia Grignon
     
    Depuis le début de la guerre en Ukraine, les accusations de crimes de guerre se multiplient, et le droit international est très souvent invoqué pour dénoncer les actions de l’armée russe. La juriste Julia Grignon revient sur les spécificités du droit international humanitaire.
     
    Julia Grignon est professeure agrégée de droit à l’Université Laval, spécialiste du droit des conflits armés. Elle est l’autrice de L’Applicabilité temporelle du droit international humanitaire (Schulthess/LGDJ, Genève, 2014) et de nombreux articles scientifiques. Depuis le début de la guerre en Ukraine, Julia Grignon et les membres de son programme de recherche « Osons le DIH », analysent régulièrement divers aspects du conflit ukrainien à la lumière du droit international humanitaire, sur le blogue Quid Justitiae.

    PRESIDENTIELLE

    Le Figaro - PS : Olivier Faure obtient une majorité interne pour un dialogue avec les Insoumis aux législatives

    Dans un discours aux cadres de son parti mardi soir, le premier secrétaire a appelé toute la gauche, Insoumis compris, à «plus de hauteur de vue».

    «La réalité, c'est quand on se cogne...» Ce mot de Jérôme Guedj, citant jacques Lacan, a pu illustrer mardi 19 avril au soir l'ambiance du Conseil national du PS. Durant plus de quatre heures, les cadres socialistes ont vidé leur sac après le score cataclysmique de leur candidate Anne Hidalgo le 10 avril (1,74%).

    Fondation Jean Jaurès - Marine Le Pen, une banalisation et une crédibilisation inachevées

    Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, revient sur les deux piliers de la stratégie de Marine Le Pen, grâce aux données de l’Enquête électorale française réalisée par Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et Le Monde dont la dixième vague vient de sortir.

    Crédibilisation et banalisation sont les deux piliers de la stratégie de Marine Le Pen. Cette stratégie, entamée dès avant 2017 mais fortement amplifiée depuis lors, nécessitait de neutraliser les questions politiques en faisant évoluer les propositions les plus clivantes pour mieux s’appuyer sur une image personnelle retravaillée.

    Le premier tour de l’élection présidentielle a constitué à l’évidence un succès électoral pour Marine Le Pen. Elle a résisté à l’irruption d’Éric Zemmour. Elle a progressé tout au long de la campagne – à la différence de 2012 et 2017. Elle a obtenu un score historique et bénéficie pour la première fois de réserves électorales.

    Slate - Deuxième tour: à quoi joue l'électorat de Jean-Luc Mélenchon? Gaël Brustier

    L'absence de choix est un choix, et comme tout choix il aura des effets. Les «insoumis» sont-ils en train de commettre une coûteuse erreur stratégique?

    «Pas une voix pour Madame Le Pen», scandé par Jean-Luc Mélenchon plusieurs fois et clairement: le mot d'ordre initial des «insoumis» répond-il totalement aux enjeux présents? Il valide seulement ce soir-là le rapide passage à une autre bataille, celle des législatives, et un «enjambement» bien curieux du second de l'élection présidentielle.

    Reporterre - Marine Le Pen, à l’extrême opposé de l’écologie

    La candidate d’extrême-droite, chantre d’une écologie «  enracinée  », tente de verdir son programme nationaliste. Mais les prises de positions des élus du parti et les mesures productivistes qu’elle défend trahissent son opportunisme teinté de déni sur les enjeux environnementaux.

    Écolo, Marine Le Pen ? La candidate d’extrême droite aimerait le faire croire. Sur son site, entre les dizaines de pages consacrées à la sécurité et à l’immigration, son équipe de campagne a glissé un livret sur l’environnement. La candidate y vante une écologie « positive », placée « au cœur du projet de renouveau national » et permettant à chacun de profiter d’une nature « belle, vivante et protégée ». De la poudre aux yeux, selon chercheurs et associatifs. Derrière son apologie d’une écologie « enracinée », la candidate défend un programme destructeur pour le vivant.

    PS

    Lyon Capitale - Législatives : le Parti socialiste n’abandonnera pas Villeurbanne

    Après le cuisant échec d’Anne Hidalgo au premier tour de la présidentielle 2022, le parti à la rose n’a franchement pas la carrure d’un meneur de négociations en vue des législatives.

    Le conseil national du Parti socialiste adoptait mardi soir une résolution proposant de discuter avec le reste de la gauche, dont la France Insoumise. Sauf que cette dernière boit du petit lait et refuse publiquement d’inclure le PS dans une éventuelle alliance, lui reprochant d’avoir été trop offensif et critique vis-à-vis de Jean-Luc Mélenchon durant la campagne.

    Huffington Post - Législatives 2022: crispations au PS après la main tendue aux Insoumis

    Le conseil national du Parti socialiste a entériné mardi 19 avril l'ouverture des discussions avec LFI en vue des législatives. Une position qui fait débat et pourrait bien achever le parti.

    “Je n’ai jamais été sur la ligne de la direction et d’Olivier Faure. Ça ne va pas changer, a fortiori avec cette ligne qui consiste à dire qu’on va chercher un accord avec LFI”. Interrogé par Le HuffPost, Stéphane Le Foll, ancien ministre socialiste, est plus que critique sur éventuel accord stratégique entre le PS et LFI aux élections législatives de juin 2022.

    La veille, le Conseil national du PS avait pourtant acté l’ouverture des discussions avec les Insoumis. Et ces derniers sont en position d’ouverture: la France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon veulent peser sur les cinq années à venir. Le député des Bouches-du-Rhône se rêve Premier ministre, et ce, quel que soit le vainqueur de la présidentielle.

    Le Vent se lève - Cette gauche qui n’en finit pas de mourir

    La sanction est tombée : Yannick Jadot n’a pas atteint le seuil des 5% de voix permettant le remboursement des frais de campagne et en est réduit à quémander des dons. Anne Hidalgo réussit l’exploit de diviser le score de Benoît Hamon par trois, à 1,74%, faisant découvrir au parti de François Hollande de nouveaux abysses. Il ne s’agit nullement d’un accident mais de l’aboutissement d’un processus de long terme. Pris en tenaille entre la radicalisation du bloc élitaire – qui s’est massivement tourné vers Emmanuel Macron – et la lassitude des classes populaires, ces deux partis ont peiné à exister ces derniers mois. Vestiges d’une époque où la polarisation de la société française n’avait pas atteint de tels degrés, le Parti socialiste (PS) et Europe Écologie Les Verts (EELV) semblent condamnés à se replier sur leurs bastions locaux et à abandonner toute ambition nationale.

    Le journal du centre - Pour Olivier Bianchi, maire de Clermont-Ferrand, "le PS du cycle d'Epinay est mort lors de cette élection"

    Ce mardi, le Parti socialiste réunit son conseil national à Ivry-sur-Seine pour tirer le bilan de l’élection présidentielle, lors de laquelle Anne Hidalgo est arrivée en dixième position (1,7 %). Entretien avec Olivier Bianchi, le maire socialiste de Clermont-Ferrand, à la veille de cette échéance.

    Cinq ans après avoir laissé le pouvoir avec le départ de François Hollande de l’Élysée, le PS n’est plus que l’ombre du parti qu’il a été. Pour Olivier Bianchi, qui a porté le projet culturel de la candidate socialiste durant la campagne, son parti doit engager un profond travail intellectuel de refondation.

    Le premier secrétaire du PS tend la main aux insoumis pour un «rassemblement» de la gauche en vue des législatives. Il critique aussi l’attitude récente de François Hollande, dont le rôle, selon lui, doit être celui d’un «passeur» et non d’un «empêcheur»

    Olivier Faure interroge souvent : «Vous avez l’impression que je m’amuse depuis quatre ans ?» Façon de dire qu’il ne veut pas rester à la tête du Parti socialiste (PS) par plaisir mais par devoir. En mars, sentant venir le pire score de l’histoire du PS, il nous disait : «Pour reconstruire, il faut une victoire ou un échec suffisamment fort pour se remettre en question. Après la présidentielle, quand on aura touché le fond, ce sera le moment de le faire. Je ferai tout pour, j’espère qu’on me laissera faire.»

    La Tribune,  Mathieu Fulla- Un effondrement socialiste qui vient de loin

    ANALYSE. Le premier tour de l’élection présidentielle 2022 marque l’effondrement de l’une des plus vieilles organisations partisanes de France. Par Mathieu Fulla, Sciences Po.

    Le score de 1,72 % de suffrages exprimés en faveur d'Anne Hidalgo, candidate du Parti socialiste, lors du premier tour de l'élection présidentielle 2022, marque sans ambiguïté l'effondrement de l'une des plus vieilles organisations partisanes de France, héritière de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) fondée en 1905 sous l'impulsion de Jean Jaurès et de Jules Guesde. [Refondé en 1969], le Parti socialiste a pris son essor à la suite du congrès d'Épinay de 1971 qui installe François Mitterrand à sa tête.

    Si son histoire a connu de nombreux rebondissements, la fin du quinquennat de François Hollande (2012-2017) ouvre des failles profondes qui ne sont toujours pas refermées.

    HISTOIRE

    Le Vent se lève - Éric Vuillard : « L’Histoire exige que nous prenions parti sur des faits »

    Qu’est-ce qu’une littérature à la hauteur de l’époque ? Éric Vuillard en donne un certain ton. Ses récits s’efforcent d’accomplir l’intransigeante formule de Victor Hugo : « Il serait temps que l’histoire entrât dans la voie des aveux. » À l’inverse des écritures complaisantes, la sienne est enfiévrée et se refuse à la neutralité de façade. La critique s’en inquiète parfois – c’est qu’il ne faudrait pas que soudain l’émeute déborde du livre. Dans La Guerre des Pauvres (2020), qui remue le passé des premiers soulèvements de l’égalité, Éric Vuillard s’est pourtant promis de « raconter une victoire ». Il n’est en effet pas impossible que les injustices du présent contribuent à lever la grève des événements. Pour l’heure, il importe d’en trouver la trace dans les silences embarrassés des puissants. Éric Vuillard a découvert comment les faire entendre : les cabinets feutrés ont aussi leurs archives, reste à les exhumer. Entretien réalisé par Laëtitia Riss.

    LES PRIMAIRES

    Dans une élection présidentielle où tous les candidats désignés à l’issue de primaires, partisanes ou populaire, sont ceux qui font les moins bons scores, la question de l’utilité de ce mécanisme est constamment reposée.

    Les primaires ont suscité une vague d’enthousiasme citoyen en renouvelant les processus de désignation des candidats à l’élection présidentielle et en régénérant les partis et la démocratie représentative. Elles s’imposent au croisement de l’efficacité électorale (régler l’épineuse question du leadership dans les partis) et de nouvelles exigences démocratiques (donner plus de pouvoir aux électeurs dans la définition de l’offre électorale). Ce processus de sélection apparaît dans les années 1990 en France, d’abord dans un format « fermé » (réservé aux adhérents) puis ouvert, aux sympathisants, dans un premier temps par les écologistes et les socialistes (2011-2012). La double victoire de François Hollande aux primaires puis à l’élection présidentielle constitue leur mythe fondateur. Sur la base de ce succès, la droite s’y rallie en 2016. Mais l’engouement fait rapidement place au désenchantement

    Les deux « partis à primaires » (le Parti Socialiste -PS- et les Républicains -LR) n’ont pas réussi à se qualifier pour le second tour de l’élection présidentielle. La représentation dominante de la procédure se retourne par là même : de martingale de la victoire, les primaires deviennent une machine à perdre et « à radicaliser » aux effets jugés incontrôlables. Conçu comme un outil de régulation de la conflictualité partisane, le dispositif conduit à l’exacerber. Mais comment se passer des primaires, dans le cadre d’un scrutin uninominal comme l’élection présidentielle, quand aucune candidature ne s’impose naturellement ou quand une famille politique est divisée ?
     
    LES RETRAITES

    Alternatives Economiques - Réformer les retraites, arme de destruction du travail, Jean-Marie Harribey le

    Juste quelques heures avant de connaître les résultats du premier tour de l'élection présidentielle, remettons une couche dans la critique du projet d'Emmanuel Macron de porter l'âge de la retraite à 65 ans. Avec mes amis Pierre Khalfa et Christiane Marty, nous avions publié dans Le Monde du 5 mars 2022 la tribune « Retraites : La réforme prévue tourne à nouveau le dos au progrès ». Nous avions présenté les éléments principaux qui permettent de comprendre l’acharnement du gouvernement et du patronat à vouloir réformer une fois de plus le système de retraites, cette fois-ci en reculant l’âge de la retraite à 65 ans avec une annulation de la décote à 67 ans. Je les rappelle rapidement avant de voir comment on pourrait faire autrement [1].

    L'ALTERNATIVE

    À propos de : Haud Guéguen et Laurent Jeanpierre, La perspective du possible. Comment penser ce qui peut nous arriver, et ce que nous pouvons faire, La Découverte

    Un autre monde est-il possible ? Répondre à la question suppose au préalable qu’on se demande ce que « possible » peut signifier. Un retour aux classiques s’impose : d’Aristote à Bourdieu, nombreux sont les auteurs qui nous aident à comprendre ce que peut être une alternative.

    « There Is No Alternative », avait coutume de dire Margaret Thatcher, clôturant ainsi d’un acronyme (TINA) l’horizon des possibles. La fin du socialisme réel et son corollaire apparent, la fin de la guerre froide, ont entretenu l’idée selon laquelle la notion d’émancipation ou, plus simplement, de changement volontaire suscité par l’action collective et orienté par un projet politique était devenue obsolète. La perspective d’un « capitalisme sans rival » selon la formule de Branko Milanovic a tendu à rendre difficilement concevable la notion même de transformation sociale. Le credo néolibéral a transformé les agents sociaux en entrepreneurs de soi-même, inattentifs au cours du monde et à la misère des autres.

    LA LUTTE DES CLASSES

    Hémisphère Gauche - Lecture – Le ménage à trois de la lutte des classes, classe moyenne salariée, prolétariat et capital, de Bruno Astarian et Robert Ferro1

    La lutte des classes est-elle obsolète ? Jusqu’au mouvement des Gilets jaunes plus grand monde ne la mobilisait explicitement. Pourtant, en 2013, une enquête de l’Ifop2 montrait que 64 % des personnes interrogées estimaient qu’elle était une réalité de la société française : 20 points de plus que par rapport à 1967. Récemment, dans Les luttes de classes en France au XXIème siècle Emmanuel Todd3 a défendu la thèse selon laquelle la lutte des classes permet de comprendre la tendance lourde de notre époque : « Par ailleurs, il apparaît clairement que nous sommes à la fin d’un cycle ouvert en 1968. Ce cycle de cinquante ans fut admirable. Parmis ses acquis, définitifs, l’émancipation des femmes et de l’homosexualité. Mais il est clair que le nouveau cycle qui s’ouvre sera dominé par des problèmes économiques et, donc, l’affrontement des classes. Dans un tel contexte, la référence et un retour partiel à une représentation marxiste s’imposent.4 »

    LES ALLIANCES

    La Vie des Idées - La recomposition des alliances au XXIe siècle

    Qu’est-ce qu’une alliance ? Pourquoi les pays s’allient-ils, quittent-ils des alliances, ou en fondent-ils de nouvelles ? Dans le contexte actuel de retour de la guerre et de compétition stratégique tant militaire qu’économique, l’analyse des mécanismes d’alliances n’a sans doute jamais été aussi cruciale.

    À l’automne 2021, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie annonçaient, en grande pompe, la création d’une nouvelle alliance tripartite, surnommée AUKUS. Le projet comprenait un volet industriel important, notamment l’achat par le gouvernement australien de sous-marins nucléaires d’attaque fournis par Washington ou Londres, rompant de facto l’engagement pris en 2016 d’acquérir auprès de la France des sous-marins conventionnels. Les réactions françaises furent vives, le Quai d’Orsay rappelant, pour la première fois de son histoire, les ambassadeurs français à Washington et en Australie. Pourtant, malgré l’ampleur de la déception, en particulier dans les milieux industriels de défense français, la coopération militaire avec les États-Unis ne semble pas affectée, la Marine Nationale signant par exemple en décembre 2021 avec l’US Navy un partenariat structurant, d’une durée de vingt ans, visant à améliorer leur interopérabilité, et les États-Unis renforçant leur engagement au profit des opérations militaires françaises au Sahel.

    LE CLIMAT

    IDDRI - Quelle gouvernance de la transition écologique dans le contexte d’un nouveau mandat présidentiel ?

    Présentation

    Il est utile, avant que le scrutin présidentiel ne livre son verdict, de mettre en avant de nouvelles propositions sur la future gouvernance de la transition écologique. Pascal Canfin et Thierry Pech s’étaient livrés à cet exercice dans une note publiée par Terra Nova en novembre 20211 ; l’Iddri propose ici sa propre approche. Il convient de formuler une vision du souhaitable en prenant en compte les réalités existantes en termes d’organisation de la puissance publique et des collectivités territoriales.

    Extrait

    Sous la Ve République telle qu’elle fonctionne désormais, une gouvernance, si bien conçue soit elle, ne peut qu’accompagner et soutenir une volonté politique au sommet ; elle ne peut ni la remplacer ni en tenir lieu. Pour conduire la transition, une volonté politique affirmée notamment dans la déclaration de politique générale du Premier ministre qui suit les élections législatives et rappelée de façon continue est une condition indispensable.

    « Si nous continuons comme ça, nous pouvons dire adieu à l’objectif de 1,5 °C. Celui de 2 °C pourrait aussi être hors d’atteinte »

    Ce cri d’alarme lancé par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, lors d’une conférence sur le développement durable organisée par The Economist à Londres le 21 mars 2022, ne peut que nous conforter dans le sentiment d’urgence qui a conduit l’Institut Rousseau à publier, il y a quelques jours, son rapport « 2 % pour 2°C ». Ce rapport montre que, pour la France, s’inscrire pleinement et de façon volontaire et irréprochable sur la trajectoire du respect des Accords de Paris est totalement réalisable.

    Reporterre - Enquête — Nucléaire Le nucléaire n’est pas bon pour le climat

    Portés par un puissant lobbying, les pronucléaires tentent de séduire l’opinion publique. « Le nucléaire n’émet pas de gaz carbonique », vraiment ? L’atome n’est ni anodin pour le climat, ni pour les citoyens. Enquête [1/5]

    [1/5 — Le nucléaire n’est pas bon pour le climat] Face aux lobbies qui présentent le nucléaire comme LA solution au défi climatique, Reporterre a mené l’enquête. Comment l’atome s’est-il imposé dans le débat public ? Un accident grave est-il possible en France ? La sobriété n’est-elle pas la meilleure solution à l’urgence climatique ?

    Reporterre - Enquête — Nucléaire Nucléaire : l’accident qui ne doit pas arriver

    Les accidents nucléaires ont des conséquences dramatiques, malgré les dénégations des pronucléaires. En termes de décès et de maladies, mais aussi sur le plan économique et en laissant des zones contaminées pour des décennies. Enquête [2/5]

    [2/5 — Le nucléaire n’est pas bon pour le climat] Face aux lobbies qui présentent le nucléaire comme LA solution au défi climatique, Reporterre a mené l’enquête. Comment l’atome s’est-il imposé dans le débat public ? Un accident grave est-il possible en France ? La sobriété n’est-elle pas la meilleure solution à l’urgence climatique ?

    Reporterre - Enquête — Nucléaire Un accident nucléaire peut-il se produire en France ?

    Guerres, cyberattaques, dérèglement climatique... Les causes possibles d’accidents graves sont nombreuses. Et en France, les réacteurs vieillissants gérés par EDF, en difficulté financière, soulèvent cette crainte. Enquête [3/5]

    [3/5 — Le nucléaire n’est pas bon pour le climat] Face aux lobbies qui présentent le nucléaire comme LA solution au défi climatique, Reporterre a mené l’enquête. Comment l’atome s’est-il imposé dans le débat public ? Un accident grave est-il possible en France ? La sobriété n’est-elle pas la meilleure solution à l’urgence climatique ?

    Reporterre - Enquête — Nucléaire Relancer le nucléaire ? Une mauvaise affaire pour le climat

    Dans le monde, le nucléaire est en déclin, largement supplanté par les énergies renouvelables. Pourtant, la France prévoit de relancer le nucléaire. Une relance qui se base sur des hypothèses fragiles et risque de nous coûter cher. Enquête [4/5]

    [4/5 — Le nucléaire n’est pas bon pour le climat] Face aux lobbies qui présentent le nucléaire comme LA solution au défi climatique, Reporterre a mené l’enquête. Comment l’atome s’est-il imposé dans le débat public ? Un accident grave est-il possible en France ? La sobriété n’est-elle pas la meilleure solution à l’urgence climatique ?

  • Rencontres LFI / PS / EELV : vers l'union de la Gauche ? | Ça vous regarde - 27/04/2022

    Grand témoin : Chloé Ridel, directrice adjointe de l'Institut Rousseau, co-fondatrice de l'association Mieux Voter

    LE GRAND DÉBAT / Rencontres LFI / PS / EELV : vers l'union de la Gauche ?

    Nouvel épisode dans la bataille des législatives ! Les insoumis et les socialistes se sont rencontrés pour la première fois ce mercredi en vue d'un accord pour le prochain scrutin. A l'issue de cette réunion, Manuel Bompard, le négociateur en chef pour La France Insoumise, a indiqué qu'il n'y avait "pas de points insurmontables" au niveau du programme entre les deux partis. Des pourparlers qui semblent plus compliqués du côté des écologistes. Mardi soir, La France Insoumise a publié un communiqué faisant état de "divisions et divergences" internes au sein des écologistes, ainsi que de désaccords sur la retraite à 60 ans, l'Union Européenne et le blocage des prix. Le même jour, le chef de file d'Europe Ecologie Les Verts, Yannick Jadot, affirmait au micro de France inter qu'une coalition de gauche derrière Jean-Luc Mélenchon ne marcherait pas. La gauche peut-elle l'emporter aux législatives ?

    Invités : - Sandrine Rousseau, écologiste, membre du parti Europe Ecologie Les Verts - Laurence Rossignol, sénatrice PS de l'Oise (Hauts-de-France) - Manon Aubry, présidente groupe de la gauche au Parlement européen, euro-député La France Insoumise - Chloé Ridel, directrice adjointe de l'Institut Rousseau, co-fondatrice de l'association Mieux Voter

  • Non Fiction - L’immigration peut-elle encore être un objet scientifique ?

    Une critique d'une certaine approche de l’immigration qui tombe elle-même dans les travers qu’elle entend dénoncer.

    Michèle Tribalat, démographe, a fait toute sa carrière à l’Ined où elle s'est spécialisée dans l'étude de l’immigration. Très critique de la manière dont ces mouvements migratoires sont aujourd’hui traités par l’Insee ou par l’Ined et dont la presse de gauche en rend compte, elle est régulièrement invitée pour cela par des médias qui promeuvent des politiques migratoires restrictives.

    Dans Immigration, idéologie et souci de la vérité, elle dénonce ce qu’elle considère comme une idéologie pro-immigration et anti-raciste, qui biaise, explique-t-elle, la recherche en démographie et la présentation de ses résultats.

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