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  • Métropolitiques - Dépasser le modèle métropolitain

    Pour des politiques d’aménagement attentives à l’histoire et aux particularités des territoires

    Après avoir démontré que les concentrations métropolitaines ne génèrent ni plus de croissance ni plus d’emploi, Olivier Bouba-Olga invite à imaginer une politique d’aménagement qui s’émancipe des modèles génériques de développement pour mieux prendre en compte les spécificités territoriales.

    Vos travaux ont contribué ces dernières années à mettre en doute le bien-fondé des politiques de (soutien à la) métropolisation. Pouvez-vous nous en exposer les principaux résultats ?

    L’hypothèse clé que j’ai voulu vérifier, avec mon collègue Michel Grossetti, est celle de l’existence d’un prétendu « effet taille », au profit de quelques très grandes villes (les métropoles), en matière de performance économique : la croissance de l’emploi, par exemple, serait d’autant plus forte que la population ou l’emploi initial du territoire serait grand.

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  • The Conversation - Chroniques d’Ukraine : un chercheur sur le terrain pour documenter la guerre

    Maitre de conférences en sciences de la communication, Chercheur au PREFICS (Plurilinguismes, Représentations, Expressions Francophones, Information, Communication, Sociolinguistique), Université Rennes 2

    15 avril 2022. Voyage en direction de l’Ukraine. J’y resterai un mois. Une question simple anime mon séjour de recherche : avons-nous quelques idées de comment l’on se tient face à l’écroulement du monde ? On lui résiste par les armes, l’entre-aide, l’organisation des secours et de l’humanitaire. On l’observe avec incrédulité. On le fuit. On fait quelque chose.

    Pendant ce mois, je tenterai de documenter le vécu quotidien de la guerre à partir des paroles des civils qui réagissent à l’histoire qui les accable.

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  • Observatoire des inégalités - « Le travailleur de la logistique, ouvrier des temps modernes », entretien avec David Gaborieau

    Entretiens 21 avril 2022

    Un quart des ouvriers travaillent dans la logistique et le transport. Par rapport aux ouvriers de l’industrie, ces métiers sont moins syndiqués, moins bien payés et soumis à un contrôle permanent. Entretien avec le sociologue David Gaborieau, extrait du magazine Alternatives Économiques.

    Combien de travailleurs représente l’économie de la livraison ?

    Il y a deux grands types de travailleurs dans cette économie : ceux de la logistique et ceux du transport. La logistique, c’est la manipulation des colis, leur tri, leur étiquetage, leur expédition, dans des entrepôts plus ou moins grands. Cela représente plus de 800 000 ouvriers. Les travailleurs du transport, eux, font aussi un métier d’ouvrier mais pas un métier d’usine. Ils travaillent souvent seuls, mais avec beaucoup de contrôle, notamment par GPS. Parmi eux, on compte les transporteurs classiques (les chauffeurs routiers) et, depuis ces dernières années les métiers de la livraison, en véhicule motorisé ou à vélo. Si on cumule la logistique et le transport, cela représente 1,5 million d’ouvriers, soit un quart du monde ouvrier en France, et leur nombre augmente depuis les années 1980.

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  • Jérôme Guedj (PS) : « Je trouverais irresponsable de ne pas saisir la main tendue de Mélenchon »

    À l'occasion d'un conseil national du Parti socialiste, Olivier Faure a reçu le mandat de discuter avec l'ensemble de la gauche et des écologistes, insoumis compris, pour trouver un accord aux législatives. Jérôme Guedj, secrétaire national du PS, conseiller régional d'Ile-de-France, est l'invité de #LaMidinale.

  • Instagram et les autres : le fléau de la dictature des images [Ghislain Deslandes]

    Si vous aviez quatre-vingt années à dépenser sur Instagram, vous n’auriez que le temps de voir l’ensemble des post déposés sur ce réseau depuis sept minutes. Cet exemple pour dire à quel point l’effervescence continuelle de la création d’images mises à notre disposition atteint des proportions inimaginables. [...]

  • Fondation Jean Jaurès - Comment transformer la défense française ? L'exemple de la garde nationale aux États-Unis

    La réserve dans les armées est un enjeu important. Depuis la fin de la conscription et de la Guerre froide, nous sommes passés à un modèle d'armées professionnalisées et réduites. Les attentats terroristes en 2015 ou encore la situation dans le Sahel ont montré que les armées pouvaient être mobilisées aussi bien dans des missions de sécurité intérieure et extérieure. Ce modèle en tension pose la question d'autres modèles alternatifs, comme celui de la garde nationale aux États-Unis que Thibault Delamare, chercheur résident à l'Université d'Aix-Marseille et à l'IRSEM en relations civilo-militaires, nous présente. Il est interrogé par Renaud Bellais, co-directeur de l'Observatoire de la défense – Orion de la Fondation Jean-Jaurès.

  • France Culture - Élection présidentielle 2022 : la France en pleine crise existentielle ?

    Comment analyser la France à l’aune de l’élection du Président(e) de la République ? La France est-elle en conflit contre elle-même ? Pour tenter de répondre à ces questions, nos invités : - Richard Werly, correspondant permanent à Paris du quotidien suisse Le Temps, auteur de "La France contre elle-même. De la démarcation de 1940 aux fractures d’aujourd’hui", aux éditions Grasset. - Laetitia Strauch-Bonart, éditorialiste et rédactrice en chef au magazine Le Point, auteure de "La France. Ce pays que l’on croyait connaître", aux Editions Perrin-Presses de la Cité. - Julien Bisson, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Le 1 qui publie mercredi 20 avril 2022, un numéro baigné dans l'élection présidentielle : "Le choc de deux France".

  • Reporterre - Marine Le Pen, à l’extrême opposé de l’écologie

    La candidate d’extrême-droite, chantre d’une écologie «  enracinée  », tente de verdir son programme nationaliste. Mais les prises de positions des élus du parti et les mesures productivistes qu’elle défend trahissent son opportunisme teinté de déni sur les enjeux environnementaux.

    Écolo, Marine Le Pen ? La candidate d’extrême droite aimerait le faire croire. Sur son site, entre les dizaines de pages consacrées à la sécurité et à l’immigration, son équipe de campagne a glissé un livret sur l’environnement. La candidate y vante une écologie « positive », placée « au cœur du projet de renouveau national » et permettant à chacun de profiter d’une nature « belle, vivante et protégée ». De la poudre aux yeux, selon chercheurs et associatifs. Derrière son apologie d’une écologie « enracinée », la candidate défend un programme destructeur pour le vivant.

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