Thème du débat de ce soir à la salle "Wagram" : les fonctionnaires sont ils des privilégiés ? avec autour d'Arlette CHABOT et Alain DUHAMEL, Alain MADELIN, président de "démocratie libérale" et Jean Claude GAYSSOT, ministre PCF des transports, de l'equipement et du logement. Participent egalement au debat - Monique VUAILLAT, secrétaire général du "SNES-FSU", syndicat d'enseignants du second degré - Annick COUPÉ, syndicaliste a "SUD PTT" - Guillaume SARKOZY, vice président de l'Union des industries textiles - Michel GODET, economiste, professeur au Conservatoire des arts et metiers - et Philippe MANIÈRE, redacteur en chef au "Point". rop dur".
Actualités socialistes - Page 876
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Un peu d'histoire - Les fonctionnaires sont ils des privilégiés : plateau invités (INA, 1999)
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Le Point - Le MJS, nouveau frondeur du Parti socialiste
Après l'élection controversée de l'éco-socialiste Roxane Lundy à la tête du MJS, la menace d'un divorce avec l'organisation de jeunesse plane sur le PS.
Avis de tempête au MJS. La nouvelle présidente de l'organisation, Roxane Lundy, doit faire face à deux fronts. D'un côté, des divisions internes, qui menacent l'unité du mouvement au bord de l'implosion. De l'autre, des désaccords avec la direction du PS, qui remet en cause l'autonomie de l'organisation. Retour sur une situation explosive.
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Macron va-t-il sécuriser nos pensions de retraite ?
C'était une des promesses de campagne d'Emmanuel Macron. La réforme des retraites devrait être finalisée avant l'été 2019, c'est ce qu'a annoncé le chef de l'Etat devant la Cour des Comptes ce lundi. Cette réforme peut-elle vraiment remettre le système à l’équilibre ? L'analyse de Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE. Boursorama du 23 janvier présenté par David Jacquot sur boursorama.com
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Le JDD : Emmanuel Maurel préfère le François Hollande de 2012 plutôt que celui de 2017
Candidat au congrès du Parti socialiste, Emmanuel Maurel joue le jeu de l'interview du JDD qui ne lui laisse le choix qu'entre deux options.
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Telos - Le mythe des « deux France »
L’idée que la France est coupée en deux et que le clivage social se superpose à un clivage géographique, opposant la France des métropoles à la « France périphérique », est solidement ancrée dans l’opinion. C’est pourtant, à ce degré de généralité, une idée fausse.
Je l’avais déjà écrit dans Telos en rendant compte des ouvrages de Christophe Guilluy qui a popularisé ces thèses. Pour le faire je m’étais appuyé sur une série de travaux de géographes et d’économistes publiés dans la très bonne revue de l’Insee Economie et statistique, notamment un numéro consacré en 2008 aux « disparités territoriales ». Il se trouve que cette revue récidive, presque dix ans après, en publiant un numéro spécial consacré aux « Régions et territoires »
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Un peu d'histoire : 23 février 1848 : La promenade des cadavres
Le 23 février 1848, l'armée tire sur la foule boulevard des Capucines. Des cadavres déposés sur un chariot par les manifestants sont « promenés » à travers Paris, ce qui relance l'insurrection.
23 février 1848. La veille, la garde nationale a refusé de disperser les manifestants et le roi Louis-Philippe a fini par renvoyer le président du Conseil Guizot. Mais malgré cette victoire, les tensions restent vives.
Ce soir-là, un groupe d'émeutiers a décidé d'aller huer Guizot sous sa fenêtre. Boulevard des Capucines, la rue est barrée par le 14e régiment d'infanterie de ligne. Se croyant menacé, il ouvre le feu, avec un résultat tragique : 35 à 50 manifestants périssent sous les balles de la garde nationale.
Le Siècle du 24 février raconte en direct la confusion qui agite la capitale, dans un article écrit en pleine nuit
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Best Of Territoires d'Infos - Edouardo Rihan Cypel (20/02/18)
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Un peu d'histoire - Retronews, 22 février 1848 : le peuple parisien est dans la rue
Le 22 février, ignorant l'interdiction par le gouvernement d'un banquet réformiste, les Parisiens manifestent aux cris de « Vive la Réforme ! », bientôt rejoints par une partie de la Garde nationale.Février 1848. En ces temps d’épidémie, de choléra, de disette, de crise financière et de rivalités politiques, la Monarchie de juillet est dans une mauvaise passe. Dix-huit ans après les avancées de 1830, qui avaient fait accéder le peuple français à une monarchie constitutionnelle, la situation est difficile pour nombre de Français.
Sous des dehors « bonne poire », Louis-Philippe est un roi autoritaire. Son gouvernement a pris des mesures anti-ouvrières (interdictions du droit de grève et du droit d’association) et appuie essentiellement son pouvoir sur la haute bourgeoisie, dont les affaires se sont considérablement développées.
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Le JDLe JDD - Emmanuel Maurel : "Les militants du PS ont envie de tourner la page du hollando-vallsisme"
Candidat à la tête du Parti socialiste, Emmanuel Maurel, représentant de l'aile gauche, veut remettre l'opposition en ordre de bataille contre Emmanuel Macron et les "détenteurs du capital".
"Vous allez voir, la motion que je porte va créer la surprise." Emmanuel Maurel veut croire qu'il déjouera les pronostics au prochain congrès du PS. Face à Olivier Faure - le grand favori de la course pour prendre la tête du parti -, Stéphane Le Foll et Luc Carvounas, cet eurodéputé incarne l'aile gauche du parti. Un créneau qu'il est désormais seul à occuper depuis le départ de Benoît Hamon. Dans ce "congrès de survie", Emmanuel Maurel propose une "opposition claire" à Emmanuel Macron et tend la main à toutes les forces de gauche, de Jean-Luc Mélenchon aux radicaux. Il explique son projet au JDD.
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Alternatives Economiques - Somme-nous matraqués par les impôts ?
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Slate, Gaël Brustier - Le PS peut-il connaître un «moment Corbyn»?
Alors que le débat s’envenime entre les trois candidats héritiers de la ligne de François Hollande et Manuel Valls, l’hypothèse d’une victoire de l’aile critique du parti, menée par Emmanuel Maurel, n’est plus inenvisageable.
Jadis, il était de coutume que le Parti socialiste, à chaque congrès, débatte de «contributions» puis vote sur des «motions». Ces textes étaient rythmés par des concepts forgés par les différents «courants». Ainsi, chaque militant recevait un épais cahier de textes reliés, que certains annotaient religieusement. L’élection du premier secrétaire était le produit de l’alchimie du congrès et, évidemment, du jeu des rapports de forces entre fiefs, et zones d'influence des personnalités politiques......
En face, un seul candidat «d’opposition»: Emmanuel Maurel, un militant de longue date du Parti socialiste. Il en maîtrise la culture, en connaît les rouages et entretient avec les membres du courant majoritaire des rapports de camaraderie que n’altèrent pas des prises de position répétées en opposition aux choix politiques fondamentaux du quinquennat Hollande ou des menées idéologiques de Manuel Valls et des siens. En 2012, au Congrès de Toulouse, sa motion rassembla des représentants des «ailes gauches» successives du parti fondé en 1971. L’axe de sa campagne interne avait été d’expliquer que la non renégociation du TSCG, le pacte budgétaire européen, était la faute originelle du quinquennat.
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