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Actualités socialistes - Page 516

  • Novethic - Créer une sécurité sociale de l'alimentation alors qu'un Français sur cinq souffre d'insécurité alimentaire

    Plusieurs organisations dont Ingénieurs sans frontière et la Confédération paysanne militent pour étendre la sécurité sociale à l'alimentation. Cela permettrait à des millions de Français de se nourrir correctement et aux agriculteurs, conventionnés par cette Sécurité sociale selon des critères environnementaux, de s'assurer une clientèle. Un vrai levier de transition écologique et sociale...."En France, après la seconde guerre mondiale, la santé est devenue un droit avec un accès universel, c’est assez extraordinaire", constate Emmanuel Marie membre du comité national de la Confédération paysanne qui espère étendre ce principe à l’alimentation. "Il faut retrouver notre droit à l’alimentation", martèle-t-il. Le mécanisme étudié depuis plusieurs années par les associations, consiste à mettre en place une cotisation qui permettrait de distribuer à chaque personne 150 euros par mois. Ce budget serait matérialisé par une carte d’assurance alimentaire, calqué sur le modèle de la carte Vitale.

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  • Libé - Le revenu universel, panacée du monde d’après ?

    Pour accompagner les changements de société en cours, la Fondation Jean-Jaurès propose de créer un revenu «républicain», proche de la proposition phare de Benoît Hamon en 2017. Plus qu’une simple réponse à la crise du Covid-19, cet outil aurait vocation à durer et ainsi renforcer la protection sociale.

    Chassez-le par une élection, il revient par la crise. Le revenu universel, mesure phare de Benoît Hamon en 2017 et donc plus ou moins évacuée depuis sa cuisante défaite, connaît un regain d’intérêt à la faveur des réflexions sur le «monde d’après». En témoigne une note de la Fondation Jean-Jaurès, que Libération a pu découvrir en exclusivité, qui propose la création d’un revenu «républicain» de base. On y retrouve à peu près les mêmes ingrédients que dans le programme du candidat socialiste lors de la dernière présidentielle : le revenu serait inconditionnel (pas besoin de chercher activement un emploi ou de suivre une formation pour le toucher), automatique (à partir de 18 ans, sans démarche administrative à effectuer) et dégressif (il ne serait perçu qu’en dessous d’un certain seuil). Mais cette fois, les auteurs de la note avancent un montant précis, compris entre 725 et 1 000 euros par mois. Et soulignent l’actualité de cette proposition. La crise du Covid-19 a fait naître des aspirations à un changement de modèle de société : c’est le moment ou jamais.

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  • Aldebert - Corona Minus, la chanson des gestes barrières pour l'école (Clip officiel)

    Découvrez le clip officiel de "Corona Minus, la chanson des gestes barrières pour l'école" entièrement composé de vidéos tournées par les fans d’Aldebert ! Merci à toutes les famille pour leur participation.

  • Libé - A Lyon, «tout ce qui était impossible devient possible» avec le Covid

    Le clan Collomb, qui a pris une claque le 15 mars à la fois dans la ville-centre et dans la métropole, tente de se verdir face aux écologistes. Et fait des appels du pied aux dissidents LREM.

    Ce sont deux totems de l’écologie selon Gérard Collomb qui n’ont pas survécu à Lyon à la crise du Covid-19. Il y a d’abord eu l’annonce, le 4 mai, du retrait des bacs à fleurs de la rue Edouard-Herriot, obtenu par le président de la métropole, David Kimelfeld, candidat à sa réélection face à l’ex-ministre de l’Intérieur.

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  • Le Figaro - Municipales à Marseille : le candidat EELV se retire et rejoint le Printemps marseillais

    Le cartel de gauche, qui rassemble des socialistes, des communistes et des Insoumis derrière l'écologiste Michèle Rubirola, était arrivé en tête du premier tour le 15 mars dernier.

    La campagne reprend peu à peu ses droits... Et elle réserve son lot de surprises et de rebondissements. Alors que les municipales ont été suspendues au lendemain du premier tour face à l'ampleur de la crise du coronavirus, l'hypothèse d'un second tour au mois de juin circule de nouveau avec insistance. En attendant le rapport du Conseil scientifique - qui dévoilera cette semaine ses recommandations sur l'organisation du scrutin -, l'exécutif observe avec attention l'évolution de la situation sanitaire, qui semble continuer de s'améliorer jour après jour.

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  • Politis - La gauche au grand complet engage un travail commun sur le « monde d'après »

    Une visioconférence rassemblait le 20 mai les principaux partis et mouvements politiques de gauche, la CGT, Greenpeace, Attac et une quinzaine d'organisations écologiques et sociales. Une discussion « historique » qui révèle une volonté de travailler ensemble.

    Toutes les formations de gauche étaient là, ou presque. Mercredi 20 mai, à l'invitation d’une large palette de syndicats et organisations de la société civile (1) qui avaient initié le 27 mars l'appel commun « Plus jamais ça », EELV, France insoumise, NPA, PS, PCF et Place publique ont accepté de se mettre autour de la même table (virtuelle) pour envisager une initiative commune.

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  • La Vie des idées - Quand les citoyens écrivent la loi - La convention citoyenne pour le climat

    Les citoyens sont-ils capables de participer à l’élaboration de politiques publiques aussi complexes que la transition écologique, et par quels procédés ? Comprendre le détail de la conception de la convention citoyenne pour le climat et écouter les citoyen·ne·s tiré·e·s au sort permet d’apporter quelques réponses à ces questions.

    Au cours de la session 5, Emilie Frenkiel (maîtresse de conférences à l’Université Paris-Est Créteil) a interrogé deux membres du comité de gouvernance, Loïc Blondiaux (professeur à l’Université Paris 1) et Mathilde Imer (Gilets citoyens et Démocratie Ouverte) et des citoyen·ne·s tiré·e·s au sort : Nadine et Vita, Said et Sylvain.

  • Le Parisien - Une université de rentrée commune à la gauche, ça avance !

    Le leader écologiste Julien Bayou a réuni toute la gauche, sauf la France insoumise, mardi soir en visioconférence pour travailler au projet d’une rentrée politique commune après l’été.

    Lentement mais sûrement. Selon nos informations, Julien Bayou, le secrétaire national d'Europe Ecologie - Les Verts (EELV) a réussi à réunir, ce mardi soir, en visioconférence une cinquantaine de représentants de partis, d'associations, de « collectifs » et de « think tanks » en vue d'organiser, à la rentrée - en été ou à l'automne, selon l'évolution de la crise sanitaire — une université commune à la gauche. Un comité de pilotage sera mis en place dès la semaine prochaine.

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  • Jean-Marie Harribey - La preuve de la RTT par le chômage partiel

    Dans la dernière semaine du confinement, les forces patronales sont montées au créneau pour exprimer leur revendication essentielle de toujours : augmenter le temps de travail ; et en vouant aux gémonies leur cauchemar perpétuel : la réduction du temps de travail. Aux déclarations martiales du Medef et de l’Institut Montaigne [1] se sont ajoutées celles de la Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (iFRAP) encore plus précises : « Débloquer le temps de travail hebdomadaire, débloquer les heures supplémentaires, repousser l’âge de départ à la retraite. Tout simplement nous retrousser les manches pour reconstruire notre économie. Cela ne fera pas peur aux Français qui sont volontaires pour travailler si leurs syndicats ne leur mettent pas des bâtons dans les roues avec des demandes exorbitantes. En temps normal, la France perd plus de 100 milliards de valeur ajoutée en faisant travailler moins, et moins longtemps ses salariés. »[2] Pour que tout soit clair : « Le gros avantage [de l’allongement jusqu’à 60 heures de travail hebdomadaires prévu par le gouvernement] est que les entreprises des secteurs essentiels et leurs dirigeants pourront appliquer ces nouvelles règles sans accord collectif préalable et donc de manière unilatérale et immédiate. »[3]

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