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ps - Page 23

  • Le Monde - Au Parti socialiste, Olivier Faure concurrencé par Hélène Geoffroy et Nicolas Mayer-Rossignol

    Le premier secrétaire, partisan farouche de la Nupes, met son poste en jeu au congrès de janvier. Lors d’un conseil national, samedi, ses concurrents ont prôné davantage de distance avec La France insoumise.

    Les fameux courants du Parti socialiste (PS) refont surface, et avec eux les débats internes. Deux candidats au poste de premier secrétaire, Nicolas Mayer-Rossignol et Hélène Geoffroy, affronteront Olivier Faure au prochain congrès du parti en janvier 2023, pour tenter de lui ravir son poste. Le premier tour du vote des adhérents aura lieu le 12 janvier, et un deuxième vote départagera les deux candidats restants le 19 janvier, avant le congrès, le 25, à Marseille.

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  • Le Point - Parti socialiste : petit meurtre en famille

    Dans « Autopsie du cadavre », le journaliste Olivier Pérou enquête sur les raisons de la débâcle du PS à la présidentielle. Et cherche le coupable.

    es meurtres en politique ont toujours fasciné. Il y a les meurtres réussis, comme celui de Chaban-Delmas par Chirac en 1974 ou celui de Giscard par le même Chirac, décidément tueur en série ; il y a les meurtres ratés, comme celui de Le Pen par Mégret en 1998 ou de Chirac par Séguin et Pasqua en 1990. Et il y a ceux qui passent complètement inaperçus. Olivier Pérou s'intéresse à l'un d'eux dans Autopsie d'un cadavre (Fayard). Le journaliste de L'Express se transforme en enquêteur dans un récit à la Agatha Christie avec la précision d'un procès-verbal. La victime : le Parti socialiste, tombé le 10 avril 2022 avec le pire score de son histoire (1,7 %). Les suspects : ils sont sept et ont tous de bons mobiles pour avoir tué une institution qui a structuré depuis 50 ans la politique française. « Il ne reste plus grand monde pour pleurer, ni électeurs à l'évidence, ni vieille garde non plus, ni ex-présidents, ni militant », constate l'auteur.

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  • La revue de presse du 18 novembre

    A LA UNE

    Le meilleur de la semaine : La Dédiabolisation - Les Goguettes (en trio mais à quatre)

    Le meilleur de la semaine : Mona Ozouf : "La devise républicaine est quelque chose de mystérieux"

    Fondation Jean Jaurès - Au-delà de la réforme de l’assurance-chômage, l’aspiration à un travail choisi

    Le choix du terme de « grande démission » pour caractériser une vague de démissions assez forte aux États-Unis a permis de mettre en évidence un nouveau phénomène : dans tous les pays où le chômage a reculé, les entreprises rencontrent des difficultés pour recruter, notamment lorsqu’il y a conjonction de bas salaires et de conditions de travail difficiles. En France, le patronat et le gouvernement Borne insistent sur une nécessaire réforme de l’assurance-chômage pour remédier à cette situation et pousser les individus à accepter les offres d’emploi disponibles. Or l’aspiration à un travail choisi reste malgré tout un horizon de progrès.

    Le terme de « grande démission » est apparu aux États-Unis (Big Quit) pour caractériser une vague de démissions massives qui est apparue à partir de juillet 2020 à la suite de la pandémie de Covid. L’emploi du singulier pour caractériser ce phénomène laisse entendre que, du jour au lendemain, une majorité de salariés

    Télérama - Affaire Hanouna-Boyard : “On n’est pas loin d’une forme de totalitarisme populaire”

    Après les insultes jeudi, dans “Touche pas à mon poste !”, de Cyril Hanouna contre le député Louis Boyard – qui a porté plainte ce lundi –, Stéphane Encel, auteur d’un ouvrage nourri sur ses émissions, décrypte la polémique et les effets délétères de sa politique-spectacle.

    Enseignant et docteur en histoire des religions, Stéphane Encel a été un téléspectateur minutieux des émissions de Cyril Hanouna. Son ouvrage critique Ce n’est pas que d’la télé ! Ce que le système Hanouna dit de la France, paru il y a un an (éd. David Reinharc), va être réédité en version augmentée. Pour lui, l’animateur de C8 – sous le feu des critiques après avoir insulté jeudi soir le député Louis Boyard (LFI), qui venait de dénoncer l’action en Afrique du propriétaire de la chaîne, Vincent Bolloré – « s’est rendu incontournable parce qu’on l’a rendu incontournable ».

    ENERGIES/CLIMAT

    Reporterre - Justice climatique : à la COP27, les Occidentaux tergiversent

    La question de la solidarité climatique, soit l’aide financière accordée par les pays occidentaux aux moins riches, est au cœur des débats.

    La solidarité attendra. Devant les dirigeants réunis en ouverture de la COP27 qui se tient à Charm-El-Cheikh jusqu’au 18 novembre, le chef de l’ONU Antonio Guterres a pourtant été clair : « L’humanité a le choix : coopérer ou périr. Il s’agit soit d’un pacte de solidarité climatique, soit d’un pacte de suicide collectif ». Mais à mi-parcours, « les négociations ont peu avancé », a résumé la directrice du programme climat de l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri) Lola Vallejo, lors d’un point presse le 13 novembre.

    IDDRI, le 3 novembre - Partenariats pour une transition énergétique juste : peuvent-ils vraiment faire la différence, et comment ?

    A l'approche de la COP27, l'annonce potentielle de plusieurs accords financiers spécifiques à certains pays, appelés "partenariats pour une transition énergétique juste" (JETP en anglais), suscite de fortes attentes quant à leur capacité à rétablir la confiance dans les négociations climatiques et à débloquer des actions, principalement dans les économies émergentes dépendantes du charbon. Ces annonces potentielles s'inscriront dans le sillage de l'accord conclu l'année dernière à la COP 26 avec l'Afrique du Sud et répondront à l'engagement pris par le G7 en juin 2022 de reproduire un tel accord dans des pays comme l'Inde, l'Indonésie, le Sénégal et le Vietnam. Cependant, l'issue de tels accords apparaît aujourd'hui très incertaine. Dans quelles conditions les JETP pourraient-ils tenir leurs promesses ? 

    LVSL - Neutralité carbone : objectif louable ou chimère ?

    Alors que démarre la COP27, à Charm el-Cheikh, en Égypte, avec pour mission de rappeler les pays et les entreprises à leurs engagements en terme de neutralité carbone, cette dernière est devenue en quelques années l’une des solutions principales avancées face à la crise environnementale. Pourtant, ne nous enferme-t-elle pas dans des logiques dépassées ? 

    Dès 2017, la France a rejoint le prestigieux groupe des 110 pays ayant affiché comme ambition d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. D’autres ont privilégié une date plus lointaine, à l’instar de la Chine ou de l’Inde. Mais les États ne sont pas les seuls à avoir de tels desseins : de nombreuses entreprises, à l’instar de Google ou de Microsoft, ont manifesté de semblables envies.

    Alternatives Economiques - Entretien  « La sobriété énergétique est incontournable »

    D’un côté, notre approvisionnement en énergie est menacé pour cet hiver. De l’autre, notre système énergétique provoque un réchauffement climatique dont les effets sont de plus en plus catastrophiques. Sommes-nous pris en étau ?

    Pas forcément, selon l’économiste Philippe Quirion, car la sobriété et le développement des énergies renouvelables peuvent nous sortir de ces deux crises, moyennant une véritable volonté politique.

    Pourquoi y a-t-il des craintes sur l’approvisionnement énergétique de la France et de l’Europe cet hiver ?

    Philippe Quirion : Pour deux raisons principales. La première, c’est l’agression de l’Ukraine par la Russie et le fait que, pour sanctionner les pays européens qui aident Kiev, Vladimir Poutine réduit les livraisons de gaz et peut potentiellement les couper.

    A GAUCHE

    L'Obs - Au boulot, la gauche !

    François Ruffin voudrait changer de registre et d’ambition, désormais il veut relever l’étendard de la social-démocratie, à l’œuvre partout où la gauche est au pouvoir en Europe.

    Comment sortir de la culture d’opposition ? La question se pose plus que jamais à la gauche. Attendre qu’un hypothétique soulèvement social abatte le gouvernement, lancer des appels incantatoires en faveur d’un Front populaire imaginaire et multiplier les motions de censure pour additionner les mécontents ne mène nulle part, nous explique en substance le député François Ruffin, dans un entretien qui, espérons-le, ouvrira un débat. « L’objectif de la gauche, c’est de bâtir sa propre force. Qu’a-t-on à dire aux gens. Ce n’est pas une question de tactique politique au jour le jour », estime le député insoumis.

    HANOUNA/BOLLORE

    L'Obs - Boyard-Hanouna : derrière la polémique, le débat confisqué, Najat Vallaud-Belkacem, Directrice France de One

    Il est temps « d’ouvrir le débat sur la réalité des pratiques économiques prédatrices de certaines entreprises peu scrupuleuses sur le continent africain », estime Najat Vallaud-Belkacem, directrice France de l’ONG One.

    Cyril Hanouna a ainsi une nouvelle fois offert lors de son émission Touche pas à mon poste un spectacle affligeant de vulgarité en insultant violemment le député LFI Louis Boyard qui avait osé pointer la responsabilité des activités industrielles du groupe de Vincent Bolloré, propriétaire de la chaîne C8 hébergeant son émission, dans la déforestation et l’appauvrissement de certains pays d’Afrique. Derrière les indignations à peu de frais sur les réseaux sociaux, ce n’est pas seulement l’ARCOM que le député Boyard et son groupe devraient saisir, mais le procureur de la République, sauf à banaliser les injures et les outrages contre les élus, qui sont punis par des peines pouvant aller jusqu’à un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende.

    EUROPE

    Alternatives Economiques - Europe, Pacte de stabilité : pas de révolution en vue,

    Le nouveau cadre budgétaire européen, présenté par la Commission le 9 novembre, se veut plus simple, plus souple, étendu et mieux respecté. Mais il ne marque pas de rupture avec l’esprit des anciennes règles.

    Les crises se suivent et ne se ressemblent pas : crise financière il y a quinze ans, crise sanitaire il y a trois ans, et crise protéiforme depuis l’année dernière, mêlant augmentation des prix (de l’énergie et des biens alimentaires) et fortes tensions géopolitiques.

    En dépit de leurs différences, ces crises ont toutes produit des hausses des dépenses et des dettes publiques qui, chaque fois, ravivent les débats sur la solvabilité des Etats et sur leurs marges de manœuvre pour faire face à la prochaine crise.

    LES CRISES

    Le Grand Continent - Cartographier la guerre écologique : énergie, climat, géopolitique

    Toujours plus de tension : comment notre système énergétique va-t-il passer l’hiver ? Pour comprendre la macrocrise qui se prépare, il faut identifier les bons indicateurs. Chaque vendredi à 11h, grâce au travail d’analyse et de synthèse du Groupe d’études géopolitiques, nous publierons 5 points, 12 graphiques et 6 cartes avec les indicateurs clefs à suivre.

    a crise climatique bouleverse la structure même des rivalités : avec la guerre en Ukraine, l’énergie est au cœur de l’affrontement géopolitique. Depuis le mois de mars, l’Union et ses États-membres manœuvrent pour réduire leur consommation tout en cherchant des alternatives d’approvisionnement — une nécessité qui devient de plus en plus pressante à mesure que l’hiver approche.

    Afin de porter un regard éclairé sur la crise énergétique que nous traversons, avec le Groupe d’études géopolitiques nous vous proposons cinq points pour répondre à toutes les questions que vous vous posez, en centralisant les indicateurs qu’il faut absolument suivre, à l’échelle pertinente.

    À partir de cette semaine, chaque vendredi à 11h, l’Observatoire de la guerre écologique1 sera mis à jour. Dernière mise à jour : 11 novembre 11h00.

    Le Grand Continent - « Il faudra s’habituer à gérer plusieurs crises à la fois », une conversation avec Gayle Smith

    Alors que l’invasion de l’Ukraine par la Russie a provoqué un choc mondial et révélé les fractures entre pays riches et les pays en voie de développement, la présidente de l’ONG ONE plaide dans cet entretien exclusif pour une transformation des organisations de coopération en forums stratégiques.

    Quel est l’impact de la guerre en Ukraine sur la coopération internationale ?

    Il est énorme. Il met notamment en évidence l’une des principales difficultés de la coopération internationale : les ressources destinées au développement sont limitées, les fonds militaires ne le sont pas.

    Le montant total des fonds alloués à la coopération économique est fixe et, par conséquent, une grande partie de l’aide va à l’Ukraine – à juste titre –, mais la taille du gâteau n’augmente pas. Il s’agit donc de prendre une quantité limitée de ressources, déjà mises à rude épreuve, et de les étirer encore davantage.

  • Congrès du PS :Olivier Faure - "François Hollande s'évertue à fronder à l'extérieur du parti"

    15 nov. 2022

    Congrès du PS : "Il ne faudrait pas que chacun considère le PS comme leur propre patrimoine. Il y a une règle majoritaire, puis il y a les frondeurs. François Hollande s'évertue à fronder à l'extérieur du parti" déclare Olivier Faure

  • La revue de presse du 11 novembre

    Observatoire des inégalités - La pauvreté paradoxale

    Analyse 2 novembre 2022

    Une partie des pauvres ne sont pas ceux que l’on attend. Cette pauvreté paradoxale frappe des travailleurs, des retraités, des propriétaires et des cadres, autant de catégories a priori protégées. Reste que si tout le monde peut être concerné par la pauvreté, ce n’est pas avec la même probabilité. Une analyse de Louis Maurin, extraite de Constructif.

    L'Express - Boris Vallaud : "Il ne faut jamais arrêter de dire que Marine Le Pen est d'extrême droite"

    Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.

    Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser". 

    Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino ·

    Le JDD - Rénovation thermique des logements : l’Assemblée vote 12 milliards d’euros en plus, contre le gouvernement

    Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.

    Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.

    Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles

    Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.

    LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège

    Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…

    Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États. 

    LVSL - Grèce : la tragédie qui n’en finit pas

    En 2009, la crise de la dette grecque débutait. Depuis, de nombreux plans de « sauvetage » comprenant des « réformes » sous la tutelle de la « Troïka » (FMI, BCE et Commission européenne) se sont succédés. Si les banques ont effectivement été sauvées, le bilan social d’un tel programme est catastrophique. Fortement appauvrie, la Grèce est devenue un Club Med géant où les infrastructures stratégiques ont été privatisées et où les services publics ont été bradés. La population, elle, se résigne ou quitte le pays.

    Le 20 août dernier, la Grèce est sortie de la surveillance économique renforcée de la Commission européenne. Un jour qualifié d’« historique » par le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, tandis que la Présidente de la Commission Européenne vantait la « résilience » de la Grèce et l’enjoignait à « envisager l’avenir avec confiance ». Le bilan des « réformes » et de ce programme d’« aides » est pourtant peu reluisant, pour ne pas dire catastrophique.

    Le JDD - TRIBUNE. Congrès du PS : plus de 1 000 élus et militants socialistes apportent leur soutien à Hélène Geoffroy

    Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.

  • Le JDD - TRIBUNE. Congrès du PS : plus de 1 000 élus et militants socialistes apportent leur soutien à Hélène Geoffroy

    Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.

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  • «Jérôme Guedj : Le Rassemblement national prétend rassembler la nation mais ne sait que la diviser par la haine »

    Vendredi 4 novembre, Jérôme Guedj intervenait à la tribune de l'Assemblée nationale dans le cadre de la discussion et du vote de la #MotionDeCensure déposée par La France insoumise après un quatrième recours à l'article 49-3 par le gouvernement, cette fois-ci pour adopter l'ensemble du projet de loi finances en première lecture. Découvrez son discours en intégralité

  • Le Point - Parti socialiste : petit meurtre en famille

    Dans « Autopsie du cadavre », le journaliste Olivier Pérou enquête sur les raisons de la débâcle du PS à la présidentielle. Et cherche le coupable.

    Les meurtres en politique ont toujours fasciné. Il y a les meurtres réussis, comme celui de Chaban-Delmas par Chirac en 1974 ou celui de Giscard par le même Chirac, décidément tueur en série ; il y a les meurtres ratés, comme celui de Le Pen par Mégret en 1998 ou de Chirac par Séguin et Pasqua en 1990. Et il y a ceux qui passent complètement inaperçus. Olivier Pérou s'intéresse à l'un d'eux dans Autopsie d'un cadavre (Fayard). Le journaliste de L'Express se transforme en enquêteur dans un récit à la Agatha Christie avec la précision d'un procès-verbal. La victime : le Parti socialiste, tombé le 10 avril 2022 avec le pire score de son histoire (1,7 %). Les suspects : ils sont sept et ont tous de bons mobiles pour avoir tué une institution qui a structuré depuis 50 ans la politique française. « Il ne reste plus grand monde pour pleurer, ni électeurs à l'évidence, ni vieille garde non plus, ni ex-présidents, ni militant », constate l'auteur.

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