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ps - Page 21

  • France Info - Parti Socialiste : quand les anti-Nupes tentent de montrer les muscles

    Ce week-end à Montpellier, la gauche anti-Mélenchon s’est réunie. Une poignée de socialistes qui cherchent toujours une solution en dehors de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot. 

    Il y avait sur scène, à Montpellier, tout ce que le PS compte de dissidents, tous ceux qui refusent toujours la stratégie portée par le patron des socialistes, Olivier Faure. Réunie au sein de Refondations, cette gauche anti-Mélenchon aimerait offrir une alternative à la Nupes

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  • BFM Pesticides: les députés socialistes vont créer une commission d'enquête

    Les députés socialistes s'apprêtent à créer une commission d'enquête parlementairesur "l'incapacité de la France à maîtriser les impacts" des pesticides

    Les députés socialistes ont annoncé vendredi qu'ils allaient créer une commission d'enquête parlementaire sur "l'incapacité de la France à maîtriser les impacts" des pesticides, accentuant la pression déjà exercée sur l'Etat par plusieurs ONG.

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  • PS - Lutte contre le changement climatique : à la recherche du plan perdu

    Lutte contre le changement climatique : à la recherche du plan perdu

    – Mardi 23 mai 2023

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Brice Gaillard, secrétaire national au Budget, à la Planification écologique
    et aux Nouveaux indicateurs de richesse

    Nathalie Sarrabezolles, secrétaire nationale à l’Environnement et aux Biens communs

    Bertrand Cavalerie, secrétaire national adjoint aux Biens communs

    Le Gouvernement cherche depuis 48 heures à faire oublier l’échec de sa politique en matière de lutte contre le réchauffement climatique en multipliant les opérations de communication sans aucun contenu tangible.

    Le Parti socialiste soutient toute démarche visant à réduire les gaz à effet de serre et à assurer la neutralité carbone et la soutenabilité de nos modes de production. Nous n’avons plus le luxe de tergiverser : la décarbonation n’est pas une option, mais une obligation. Cet enjeu est à la fois environnemental et social, car il faudra accompagner les populations les plus fragiles, celles qui souffrent le plus du dérèglement climatique. Sur ce point, rien de nouveau n’a été annoncé. Nous avons besoin d’une stratégie nationale d’adaptation claire, mais aussi de mener de pair une politique d’atténuation ambitieuse et de rompre avec un modèle de développement à bout de souffle. Encore faut-il s’en donner les moyens.

    Le Gouvernement a d’abord présenté une « consultation » publique sur l’hypothèse jugée « pessimiste » d’un réchauffement climatique de + 4°C en 2100 et sur ses conséquences. En réalité, il ne s’agit que d’un sondage en ligne, basé sur un scénario connu et médian. De plus, l’intérêt des politiques d’adaptation n’est pas de travailler sur une moyenne annuelle comme le fait le gouvernement, mais sur les pics estivaux, quand le mercure pourrait grimper à + 5,1°c. Si le format et les scénarios interpellent, l’intention politique, elle, ne fait aucun doute. Encore une fois le Gouvernement se lance dans une opération de « greenwashing » pour faire oublier que le président de la République s’est dédit en ne suivant pas les recommandations de la Convention nationale pour le climat ; la France ne respecte toujours pas ses engagements climatiques ; le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) n’est toujours pas présenté alors que le précédent est arrivé à échéance en 2022.

    C’est dès lors ce que nous attendions de la présentation par Elisabeth Borne du plan du Gouvernement visant à la réduction des gaz à effet de serre et du rapport remis le même jour par l’économiste Jean Pisani-Ferry et l’inspectrice générale des finances Selma Mahfouz, intitulé « les incidences économiques de l’action pour le climat ». Or, c’est encore l’histoire d’un rendez-vous manqué. Les annonces du gouvernement ne sont pas le signe d’un quelconque engagement de sa part mais la seule traduction du plan européen « Fit for 55 ».

    De plus, un élément supplémentaire inquiète particulièrement dans ce cadre : le projet de loi « industrie verte », présenté il y a quelques jours, fait le choix assumé de n’incorporer aucun financement public pour la transition environnementale mais se limite à créer des dispositifs de mobilisation de l’épargne des particuliers, ce qui ne se fera qu’au détriment d’autres formes d’épargne : on peut en particulier penser au logement social, une nouvelle fois oublié par ce Gouvernement.

    Dans ce contexte, nous déplorons qu’à nouveau, la communication gouvernementale soit en décalage avec toute ambition politique réelle. Les annonces formulées se bornent à annoncer un niveau de réduction des gaz à effet de serre à échéance 2030, tout en assortissant ce chiffre de sous-objectif par secteur. L’État, condamné il y a déjà deux ans pour inaction climatique, n’a pas pris réellement la mesure de l’urgence à agir. Aucune mesure forte n’est annoncée, aucun financement public n’est détaillé.

    Pourtant, de nombreuses propositions sont dans le débat public et le Parti socialiste en a déjà avancé de nombreuses : conditionner les aides publiques au respect de critères sociaux et environnementaux, inscrire dans la constitution la règle verte, engager la planification écologique en lien avec les collectivités et les acteurs associatifs, créer un défenseur des biens communs, une prime climat pour financer la rénovation thermique des logements... Nous n’avons plus de temps à perdre dans des clics, des sondages ou des « plans » sans moyens : seules comptent les actions engagées et financées.

    La proposition phare de l’ancien conseiller économique du président de la République, qui plaide désormais pour un prélèvement sur les ménages les plus aisés, reprend ainsi sans le dire l’idée d’une taxation sur le grand capital pour financer la transition écologique, d’un ISF climatique que nous portons depuis des années. Cette proposition a toujours été rejetée par Emmanuel Macron et ses gouvernements pour des raisons purement idéologiques, malgré l’avis de plus en plus unanime des économistes, même proches du Gouvernement. Jean Pisani-Ferry prône un «accroissement des prélèvements obligatoires» pour financer la transition environnementale, estimant dans son rapport que « le supplément de dépenses publiques induit par la transition climatique devrait être à l’horizon 2030 compris entre 25 et 34 milliards d’euros par an » : il met ainsi le gouvernement face à ses responsabilités et à son inaction.

    En définitive, à défaut d’un plan d’action et/ou de financement, le Gouvernement fait ce qu’il sait faire de mieux : un plan de communication qui n’aura que trop peu d’effets concrets.

  • Lionel Jospin : audition de l’ancien Premier ministre - Indépendance énergétique - 31/01/2023

    Un ancien premier ministre à l'Assemblée nationale. La commission d'enquête LR, mise sur pied pour faire la lumière sur les « causes de la perte d'indépendance et de souveraineté » de la France dans le domaine de l'énergie auditionne Lionel Jospin.

  • Victorin Lurel : Abolition de l'esclavage : "Il y a un déclassement symbolique et politique (...) C’est honteux"

    Une commémoration a minima de l’abolition de l’esclavage ? "Il y a un déclassement symbolique et politique, c’est une évidence. C’est honteux ! Le président a sombré dans ce que l’extrême-droite appelait la non-repentance", tacle Victorin Lurel, sénateur PS de la Guadeloupe.

  • Conférence de presse : présentation des conventions nationales

    Mercredi 10 mai à partir de 11h00, suivez en direct la conférence de presse de présentation des conventions nationales avec @MathieuKleinNancy, Christophe Clergeau, Nora Mebarek, @PhilippeBrun, Sarah Kerrich et Marie LeVern.

  • Lyon Mag - Lyon : une adjointe socialiste écartée par les Verts, le PS intervient pour conforter l'union

    L’alliance de la majorité écologiste avec les autres composantes de gauche est fragile à Lyon.

    Beaucoup d’observateurs attendent de savoir si les insoumis, les socialistes ou Nathalie Perrin-Gilbert arriveront à rester fidèles à Grégory Doucet jusqu’au bout. Et surtout, qui montera une liste indépendante au premier tour des municipales 2026.

    Avant les révélations de LyonMag sur son appartement, Sandrine Runel était l’un des noms qui revenaient avec insistance pour mener une fronde post-mandat. Depuis qu’elle a été soutenue ostensiblement par le maire, l’adjointe socialiste est rentrée dans le rang. Mieux, elle colmate la moindre brèche dans son camp pour maintenir à flot cette union, NUPES avant l’heure.

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