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  • Industrie : Quelle feuille de route pour le NFP ? Conclusion du colloque industrie par Lucie Castets

    Industrie : Quelle feuille de route pour le NFP ? Conclusion du colloque industrie par Lucie Castets

    15 oct. 2024

    Intervention de l'Etat et rôle des salariés pour une industrie écologique et sociale, conclusion de mon colloque sur l'industrie avec le NFP et Lucie Castets. Avec Charles Fournier (EELV), Alexandre Ouizille (PS), Fabien Gay (PCF) et Marina Mesure (LFI).

  • Alexandre Ouizille - Marché européen de l’électricité, Bruno Le Maire, prix de l’énergie - Bonjour chez vous !

    La question du pouvoir d’achat est la préoccupation majeure des Français, notamment les factures d'électricité qui restent élevées, malgré une forte baisse des prix sur les marchés. Interrogé par les sénateurs sur l'évolution des prix de l'électricité pour les consommateurs en 2035, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire est resté évasif. Mais y aura-t-il d'autres augmentations de l'électricité en 2024 en France ? Quel impact sur les factures d'électricité ? Alexandre Ouizille était l'invité de Public Sénat le 06 juin 2024.

  • Alexandre Ouizille détaille le chiffrage du programme du Nouveau Front Populaire

    22 juin 2024

    Le Front Populaire présente l’unique programme complet et financé. Nous sommes les seuls à chiffrer nos dépenses et à prévoir des recettes avec une trajectoire est sérieuse et équilibrée. Explications et justifications.

  • Alexandre Ouizille - Le bulletin économique et politique #6 : Le CETA, un traité de libre-échange absurde.

    9 avr. 2024 #BEPAO #BEP6

    Un bulletin économique et politique autour du CETA et de son récent rejet au Sénat ! Il faut une règle sociale et écologique dans la mondialisation. Il faut en finir avec la suprématie du « laisser passer les marchandises ». Nous devons changer la grammaire de la mondialisation. Ce 21 mars, j'ai voté contre le CETA, accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne. Retour sur la question dans ce nouveau bulletin.

  • Public Sénat, Alexandre Ouizille : SMIC : une épidémie française - Extrait Public Sénat

    5 mars 2024

    Il faut désmicardiser la France. (…)

    On ne peut accepter une France où beaucoup sont condamnés à rester proches du smic toute leur carrière » : lancée à la tribune de l’Assemblée nationale lors de sa déclaration de politique générale, le 30 janvier dernier, l’ambition de Gabriel Attal est-elle réalisable ? Avec 3,1 millions de salariés payés au smic, aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 17 % des salariés français qui touchent la rémunération minimum. Pourquoi le SMIC touche-t-il de plus en plus de monde ? Son indexation sur l’inflation permet-elle aux salariés de s’en sortir ? Et au fond pourquoi les patrons ont du mal à payer leurs employés au-delà ?

  • Alexandre Ouizille - L'inflation, phénomène antisocial

    21 janv. 2024

    L’inflation est la préoccupation principale des français. La hausse des prix à la consommation grignotte sérieusement leur pouvoir d’achat. Dans cette vidéo, je vous explique pourquoi les français ont évidemment raison d’en faire le sujet de préoccupation numéro un. L’inflation que nous connaissons est triplement anti-sociale. D’abord, l’inflation que nous connaissons, c’est l’inflation importée.

    C’est la hausse de l’énergie et des matières premières, qui augmente tous les prix mais les salaires ne sont pas indexés sur l’inflation. Ensuite, l’inflation est antisociale car elle est injuste : 10 % des français subissent 7 % d’inflation - les plus modestes - quant 10% des français - les plus riches - subissent seulement 3 % d’inflation de sa consommation effective. Troisiemement, l’inflation importée a donné lieu à une grande hausse de la dépense publique avec le bouclier tarifaire et au retour de la voracité des superprofits par les grands groupes.

    Or, le Gouvernement a refusé de taxer les superprofits pour payer la dette générée par ce dispositif de protection. C’est donc la hausse des prix dans le futur et la hausse des taxes - dont celle de 10% en 2024 sur les prix de l’électricité - qui vont servir à payer la dette publique générée par les superprofits et la boucle prix-profits. Face à ce choc, nous, socialistes, défendons une idée simple mise en place dans plusieurs pays européens dont l’Espagne : une taxe sur les superprofits.