Samedi 9 décembre, à partir de 17h00, suivez la deuxième table-ronde de l'événement de la convention « Le temps des femmes » en direct depuis Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : « Le point de vue de la société civile ». Animation : Laure Botella, secrétaire nationale adjointe à la Lutte contre les violences faites aux femmes et aux Politiques d’égalité, membre du comité de pilotage de la convention « Le temps des femmes » Avec : - Corinne Hirsch, experte de l’égalité profesionnelle ; - Céline Thiebault-Martinez, présidente de la CLEF (Coordination française pour le lobby européen des femmes) ; - Elsa Labouret, porte-parole d'Osez le Féminisme ; - Flora Bolter, codirectrice de l’Observatoire LGBTI+ à la Fondation Jean-Jaurès, membre de HES LGBTI+.
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PS - Table-ronde : le point de vue de la société civile
Diffusée en direct le 9 déc. 2023 -
L'union de la Gauche et des écologistes. Où en est-on ? (revue de presse mise à jour le 6 décembre)
Politis - De quoi le tweet de Jean-Luc Mélenchon contre Ruth Elkrief est-il le nom ?
Le patron des insoumis use des réseaux sociaux pour dominer le débat public. Une stratégie non sans risques pour sa crédibilité et celle de LFI.
Le serial-twitteur Jean-Luc Mélenchon a encore frappé. Le patron de LFI a déclenché une nouvelle tempête politico-médiatique dimanche en ciblant la journaliste Ruth Elkrief, la qualifiant de « fanatique » qui « méprise les musulmans », suite à un échange des plus vifs entre la journaliste et Manuel Bompard sur LCI. La petite phrase fait l’effet d’une bombe. LFI se retrouve à nouveau soupçonnée d’antisémitisme par toute l’éditocratie, d’Apolline de Malherbe (BFM) à Pascal Praud (News) ou encore Frédéric Haziza (Radio J), ce dernier allant jusqu’à le comparer à Jean-Marie Le Pen. Un réquisitoire qui ulcère le premier cercle de Jean-Luc Mélenchon : « Critiquer le travail d’une journaliste, c’est être antisémite, désormais ? Jean-Luc n’a jamais été condamné, contrairement à Jean-Marie Le Pen, c’est ignoble de faire ce lien », s’indigne son entourage, sollicité par Politis.
En pleine polémique sur les propos de Jean-Luc Mélenchon sur la journaliste Ruth Elkrief, des militants de gauche rencontrés lors d'un meeting affichent un certain embarras.La gauche veut avancer loin des posts de Jean-Luc Mélenchon. Plusieurs meetings contre le projet de loi immigration sont organisés en ce moment, avant l'arrivée du texte à l'Assemblée nationale, lundi 11 décembre, le premier avait lieu lundi soir à la Bellevilloise, à Paris. Et en pleine polémique sur les propos du leader insoumis sur la journaliste Ruth Elkrief, plusieurs militants le disent clairement : ils veulent parler d'autre chose.Terrain de jeu favori de Donald Trump pendant son mandat, Twitter - depuis renommé X - est devenu l’arme communicationnelle de prédilection du leader de La France insoumise (LFI). Avec quelque 2,7 millions d’abonnés sur le réseau social, Jean-Luc Mélenchon provoque invariablement une déflagration médiatique à chaque nouvelle publication. La dernière en date a pris la forme d’un dénigrement ad hominem de la journaliste Ruth Elkrief.Le leader de La France insoumise avait qualifié l’éditorialiste de LCI de « fanatique », l’accusant de mépriser les musulmans.
Un post qualifié de « cible dans le dos », et des conséquences concrètes. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, lundi 4 décembre, avoir mis sous protection policière la journaliste de LCI Ruth Elkrief, accusée dimanche par Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social X d’être une « fanatique » et de mépriser les musulmans.
«Ce n’est pas de mon fait» s’il n’y a plus de Nupes, s’est défendu le leader de La France Insoumise ce samedi sur France Inter. Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, LFI est vivement critiquée par le reste de l’alliance de gauche pour ses prises de position sur le conflit entre l’organisation terroriste et Israël.S’il a acté la fin de la NUPES, Jean-Luc Mélenchon estime qu’il n’en est point responsable. « Déni », lui répondent ses anciens alliés.
C’est celui qui le dit qui l’est. Le patron du PS Olivier Faure et la cheffe des écologistes Marine Tondelier ont répondu ce samedi 2 décembre au leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon qui leur a imputé, ainsi qu’au Parti communiste, la responsabilité de la fin de la NUPES.
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Conseil national du 5 décembre : discours du Premier secrétaire Olivier Faure
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EN DIRECT | Webinaire : RN à Fréjus, un système en faillite ?
Jeudi 23 novembre à 19h30, la commission nationale de lutte contre l'extrême droite organise une visioconférence avec Elsa Di Méo, ancienne conseillère municipale de Fréjus, intitulée : « RN à Fréjus : un système en faillite ? ». Sarah Kerrich et Ninuwé Descamps échangeront avec elle notamment autour de l'ouvrage de Camille Vigogne Le Coat : Les rapaces (Éditions les Arènes).
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L'avenir de la NUPES (revue de presse mise à jour le 1er décembre)
Le coordinateur de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard déplorait ce mercredi le « constat du blocage » de la Nupes en raison de « désaccords stratégiques profonds ». Dès le lendemain, lors d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), Jean-Luc Mélenchon a officiellement enterré la coalition en déclarant : «il n’y a plus de Nupes, alors on fait semblant qu’il y en a toujours une (...) Ce qu'on a construit est déjà détruit.» À peine un an après la conclusion de cet accord historique et à sept mois des Européennes, les relations entre Insoumis et les autres partis de gauche sont plus que jamais exécrables.
Après des mois passés à faire l'inventaire de ses points de désaccord, la NUPES vient de se trouver à nouveau un combat commun : le projet de loi de Gérald Darmanin sur l'immigration. « Une saloperie sans nom », nous lançait la semaine dernière Julien Bayou.
Le Point - Coup de théâtre à gauche : le PRG prépare une liste anti-Nupes aux européennes
Mécontent que le PS n’ait pas rompu avec Jean-Luc Mélenchon, le Parti radical de gauche entend monter sa propre liste, soutenue notamment par Bernard Cazeneuve.
Guillaume Lacroix avait prévenu lors du congrès du Parti radical de gauche (PRG), en mars : si le Parti socialiste (PS), avec lequel il s'était allié aux dernières élections européennes, ne rompait pas clairement avec la Nupes, le PRG présenterait une liste lors de ce scrutin. Réélu à la tête du PRG au congrès avec cette promesse, Guillaume Lacroix devrait mettre sa menace à exécution samedi 25 novembre, lors d'une convention du parti. La liste pourrait y être annoncée. « Nous y travaillons, les discussions vont bon train, confirme-t-il au Point. Les élections européennes sont le dernier scrutin national avant la présidentielle, nous serions irresponsables si la gauche n'était pas rassemblée. »
20 minutes - Au Parti socialiste, le grand brouillard après le « moratoire » sur la Nupes
IMPASSE Entrainés très rapidement, et sans vraiment le vouloir, dans une rupture avec les insoumis, les socialistes pourraient se retrouver dans leur position flottante d’avant 2022....
La question se pose alors : le Parti socialiste a-t-il les moyens de son moratoire ? « C’est une bonne question… », reconnaît le même. D’abord sur la forme : le Parti socialiste peut-il s’appliquer à lui-même ce qu’il réclame à la France insoumise, c’est-à-dire renoncer à sa liberté de parole comme parti et s’entendre d’abord sur chaque sujet avec ses partenaires ? Serait-il, par exemple, capable d’accepter sans broncher une coalition de gauche qui décide majoritairement de renoncer à l’autoroute Toulouse-Castres, pour laquelle la présidente PS de l’Occitanie, Carole Delga, se bat ? C’est très douteux.
Slate - Jean-Luc Mélenchon est devenu celui dont (presque) toute la gauche veut se débarrasser
Bâtie pour les législatives de 2022, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale devait être, en sous-main, un instrument au service du leader de La France insoumise. Las, la dislocation de ce cartel électoral met à mal cette stratégie.
C'est peu dire que la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) est très mal en point. Depuis des mois, Jean-Luc Mélenchon, qui en fut l'instigateur dans le cadre de la préparation des élections législatives de juin 2022, après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, n'a de cesse de donner des coups de boutoir à son cartel électoral.
Sud Radio (vidéo) - Marine Tondelier - "La Nupes est devenue une source de désespoir"
Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Dorian Dreuil, politologue, expert associé à la Fondation Jean Jaurès.
L'ancien chef de l'Etat a profité de la traditionnelle Fête de la Rose à Laguenne-sur-Avalouze (Corrèze) pour délivrer une violente charge à l'encontre de la Nupes et du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon.
À la Fête de la Rose, il y avait comme une épine dans le pied que François Hollande a tenté d'arracher : la Nupes, l'alliance des partis de gauche depuis les dernières élections législatives. Une coalition menée par les députés de la France Insoumise, majoritaires dans le groupe de gauche à l'Assemblée nationale.
"On me dit : il faut que le débat ait lieu à l'interne, on lave le linge sale en famille, raconte Alexis Corbière. Je cherche encore les lieux ou la pièce où ça se passe"."Je que - stionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie jeudi 16 novembre sur franceinfo, Alexis Corbière, député LFI de la Seine-Saint-Denis. "Je pense que parfois nous-mêmes, nous créons les conditions pour que ce rassemblement [de la gauche au sein de la Nupes] ne soit pas simple", estime l'insoumis.Si le divorce n’est pas encore prononcé, la rupture est officiellement actée. Après un mois et demi de turbulences au sein de la Nupes, à la faveur de la guerre en Israël et le Hamas, le Parti communiste a décidé de prendre ses distances avec La France Insoumise. Il faut dire que les prises de position ambiguës du parti mélenchoniste sur le conflit au Proche-Orient et à l’égard du Hamas l’ont isolé dans la classe politique et la Nupes. Invité de RTL mercredi soir, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a indiqué que son parti «avait définitivement rompu avec LFI». «Nous avons fait voter une déclaration en Conseil national, votée à 93%, qui a fait le constat que la Nupes était une impasse et qu’il est urgent de reconstruire une union, un rassemblement de la gauche capable de gouverner demain», a ainsi proposé l’ancien candidat à la présidentielle. La main est donc tendue.Europe 1 - L'alliance de la Nupes ne pourra «pas reprendre», estime Jérôme Guedj (PS)
Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne, a déclaré ce mercredi que le Parti Socialiste (PS) ne prendra plus part au travail de coordination de la Nupes. Une décision liée à la prise de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre opposant Israël et le Hamas.
"On ne pourra pas reprendre le travail de coordination" des partis de gauche au sein de la Nupes, a tranché mercredi le député socialiste Jérôme Guedj, enterrant définitivement une alliance mise à mal par les prises de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre entre Israël et le Hamas. Le Parti socialiste avait décidé de suspendre sa participation à l'alliance le 18 octobre.
Invité de RTL lundi pour la promotion de leur nouveau film Et la fête continue, le couple du cinéma a dénoncé le comportement des représentants de la gauche dont ils ne supportent plus les divisions.
BFM - Pour Clémentine Autain, "Jean-Luc Mélenchon n'est pas éternel"
Ni la Nupes, ni La France insoumise, ne se réduisent "aux seuls propos de Jean-Luc Mélenchon", souligne Clémentine Autain sur BFMTV-RMC."Frondeur"? Clémentine Autain n'aime pas trop ce terme auquel elle est associée au sein de La France insoumise, aux côtés d'autres députés comme François Ruffin, Raquel Garrido ou Alexis Corbière, non retenus, comme elle, dans la direction du mouvement en décembre 2022. Et auteurs de prises de distances régulières depuis.
L'Express - Marche contre l’antisémitisme : l’absence des insoumis, le malaise au sein de la Nupes
L’ensemble des partis politiques ont participé, dimanche 12 novembre, à la marche contre l’antisémitisme organisée par les deux présidents du Parlement. Tous, à l’exception de La France insoumise, qui provoque l’embarras au sein de l’alliance de gauche.
Il est de tradition de faire savoir aux absents qu’ils ont toujours tort. Mais, dimanche 12 novembre, ce sont eux qui fanfaronnent et montrent du doigt les participants à la marche contre l’antisémitisme, organisée à l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et de son homologue du Sénat, Gérard Larcher.
Fabien Roussel enterre définitivement sa participation au sein de la Nupes. L'alliance des partis de gauche, née avant les élections législatives 2022 de l'idée de Jean-Luc Mélenchon, est décidément largement remise en cause, notamment depuis le 7 octobre et le refus d'une partie de La France insoumise de qualifier le Hamas "d'organisation terroriste". Invité dans L'Événement du dimanche LCI, le député et secrétaire national du Parti communiste (PCF), Fabien Roussel, confirme qu'il quitte l'union.
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Fondation Jean Jaurès, Olivier Faure - Le capital républicain. Pour un droit universel à l’avenir
Crise après crise, la reproduction sociale opère un tri implacable entre ceux qui peuvent faire des études, ceux qui réussissent, et les autres. Comment remédier à cette injustice persistante en raison de l’origine sociale, à cette iniquité des chances à l’entrée de la vie active ? En créant, propose Olivier Faure, un « capital républicain », sous forme de dotation universelle à la naissance indexée sur les études suivies, qui permettra à tous de bénéficier d’un engagement équivalent de la part de la puissance publique. Et de croire de nouveau en la promesse républicaine.
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Olivier Faure : Qu'est-ce que le « capital républicain » ?
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Question au Gouvernement de Valérie Rabault - 21 novembre 2023
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Le Parti socialiste engagé dans la lutte contre les violences faites aux femmes
Le Parti socialiste engagé dans la lutte contre les violences faites aux femmes
– Jeudi 16 novembre 2023
Le Parti socialiste, porteur d'un engagement féministe historique, lance une campagne pour combattre les violences faites aux femmes. Cette initiative, déployée sur les réseaux sociaux et à travers des supports de campagne militante, s'appuie sur un tract et des visuels destinés aux médias sociaux, diffusés quotidiennement jusqu'au 25 novembre. À cette date, le Parti socialiste appelle à une mobilisation nationale contre les violences faites aux femmes.
Le tract met en lumière les propositions concrètes du Parti socialiste pour lutter contre ce fléau, fournissant également des numéros d'urgence essentiels pour les femmes victimes de violences (c.f. tract ci-dessous).
Le 25 novembre, avec les associations et la société civile, les socialistes appellent à descendre dans la rue à l'occasion de la journée internationale pour l'élimination des violences à l'égard des femmes.
Le Parti socialiste : premier parti féministe
Le 11 mai 2023, le Parti socialiste, avec Marie Le Vern, secrétaire nationale aux Droits des femmes, a lancé sa convention féministe intitulée « Le temps des femmes ! » avec pour objectif de hisser le Parti socialiste au rang de premier parti féministe. Les militantes et militants voteront sur le texte le 30 novembre 2023. Le document adopté sera présenté lors d'une Convention nationale prévue le 9 décembre 2023.
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Israël - Palestine : pour la paix et la justice, nous manifesterons samedi 18 novembre
Israël - Palestine : pour la paix et la justice, nous manifesterons samedi 18 novembre
– Jeudi 16 novembre 2023
Déclaration du PS, du PCF, des Écologistes, de Place publique, de la Gauche républicaine et socialiste, de l’Engagement, du MRC, de la Nouvelle gauche socialiste et des Radicaux de gauche
Les bombardements qui frappent et endeuillent la population civile de Gaza s’accompagnent d’une catastrophe humanitaire avec le déplacement forcé de la population, le manque d’eau, de nourriture et d’énergie du fait du blocus sans compter la destruction des infrastructures hospitalières et le manque de moyens médicaux pour porter secours aux blessés.
L’horreur des attaques terroristes du Hamas le 7 octobre dernier contre les civils israéliens a précipité la région dans le chaos. Le Hamas n’est en rien un mouvement de libération mais une organisation terroriste. Et la riposte décidée par le gouvernement d’extrême droite de Netanyahu, qui frappe indistinctement la population civile à Gaza, est devenue « une punition collective » comme l’a dénoncé Philippe Lazzarini, commissaire général de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). Certaines attaques pourraient même constituer des crimes de guerre.
Face à cette situation, nos organisations portent ensemble les propositions suivantes pour la paix et la justice en Israël – Palestine :
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La libération immédiate et sans condition de tous les otages.
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Un cessez-le-feu immédiat, comme l’ont demandé toutes les organisations humanitaires lors de la conférence du 9 novembre dernier.
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La levée du blocus de Gaza.
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La fin des violations des droits humains et de la colonisation en Cisjordanie.
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La relance du processus de paix pour la reconnaissance de l’État de Palestine aux côtés de l’État d’Israël permettant aux peuples palestiniens et israéliens de vivre côte à côte et en sécurité.
Et nous lançons un appel aux Françaises et aux Français, un appel à l’unité de la Nation. L’antisémitisme et le racisme sont des crimes contre la République toute entière. Combattons-les ensemble avec la plus grande fermeté !
Dimanche dernier, nous marchions ensemble contre l’antisémitisme et tous les fauteurs de haine et de racisme.
Aujourd’hui, nous appelons ensemble à ce que tous les Françaises et les Français qui souhaitent la paix se joignent en masse à la manifestation de samedi 18 novembre pour porter avec nous ces propositions et cette exigence d’unité du pays.
Nous appelons également à participer ce dimanche à la marche silencieuse initiée par le monde de la culture dans le respect des modalités annoncées par le collectif « Une autre voix ».
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Média des Idées | Épisode 6 : François Héran, démographe, « Immigration : le grand déni » ? PS - Parti socia
François Héran, démographe et auteur de « Immigration : le grand déni ».
Il échangera avec Didier Leschi, directeur général de l'Office français de l'immigration et de l'intégration, et Sylvie Guillaume, députée européenne et secrétaire nationale du Parti socialiste aux Migrations. Alors que l'examen du projet de loi immigration débute aujourd'hui au Sénat et suite au texte que nous avons publié il y a un mois, « Immigration, asile, inclusion : un cadre clair pour mieux accueillir », nous discuterons avec nos invité·e·s des différentes réalités que recouvre l'immigration et de comment nous pouvons agir.