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ps - Page 17

  • PS - 12 ans après la note TerraNova, la gauche a-t-elle abandonné volontairement les classes populaires ?

  • Réaction du Parti socialiste à l'attaque terroriste d'Arras

    Réaction du Parti socialiste à l'attaque terroriste d'Arras

    – Vendredi 13 octobre 2023

    Le Parti socialiste exprime son effroi à la suite de l’attaque terroriste islamiste qui s’est déroulée ce 13 octobre à la cité scolaire Gambetta-Carnot à Arras faisant un mort et deux blessés.

    Le parti apporte son plein soutien à la famille de Dominique Bernard, le professeur décédé, à celle des blessés, ainsi qu’à l’ensemble des élèves et du personnel du lycée. Trois ans après l’assassinat de Samuel Paty, le Parti socialiste réaffirme son total soutien à l’ensemble de la communauté éducative qui est à nouveau prise pour cible dans l’exercice de ses fonctions pourtant indispensables à notre République et notre vivre ensemble.

    Dans cette période de forte tension, le Parti socialiste appelle les Françaises et les Français à faire preuve de la plus grande vigilance et l’ensemble des pouvoirs publics à prendre des mesures de protection rapides pour l’ensemble des lieux sensibles dont les écoles et les lieux de cultes.

    Une fois de trop le fanatisme endeuille notre pays. Notre résolution à le combattre est totale.

  • PS - Crise du logement : refusons la précarisation massive des Français

     

    – Jeudi 5 octobre 2023

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Iñaki Echaniz, secrétaire national au Logement et à la Qualité de l’habitat

    C’est dans un contexte de crise du logement inédite depuis la seconde guerre mondiale, que s’est tenu le Congrès HLM cette semaine à Nantes. Rarement les professionnels du secteur, de l’Union sociale pour l’habitat (USH) à la FNAIM, les élus locaux et les associations n’auront été aussi unanimes : l’heure est grave et il y urgence pour le gouvernement à réagir.

    Les voyants de la construction sont au rouge. Le nombre de constructions neuves autorisé a chuté de 23 % sur un an, pour s’établir à moins de 400 000 logements, quand on estime à plus d’1/2 million par an le besoin de nouveaux logements dans notre pays. Parmi eux, 85 000 logements sociaux seulement ont été autorisés en 2023, quand il en faudrait près de 200 000 selon l’USH ; et la baisse devrait inexorablement se poursuivre selon une étude de la Banque des territoires, entre nécessaire rénovation du patrimoine existant et dette grandissante des bailleurs.

    Il y a surtout la réalité sociale, massive et violente, que vivent de plus en plus de Français. 15 millions souffrent du mal logement. 2,5 millions sont en attente d’un logement social et les délais s’allongent, jusqu’à 8 ans parfois. La hausse continue du taux d’effort des ménages, atteignant 1/3 du revenu dans les secteurs en tension et même jusqu’à 50 % dans le parc privé, participe d’une précarisation grandissante des Français, qui se traduit concrètement dans la hausse des impayés de loyers ou encore des plans d’apurement à la Banque de France.

    Emmanuel Macron a fait du secteur du logement le principal contributeur aux économies de l’État dès son entrée en fonction. L’effort pour le logement n’a jamais été aussi bas (1,4 % du PIB). L’annonce du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires en ouverture du Congrès HLM, d’une décentralisation des politiques de logement, si elle peut être une réponse à la crise et à un pilotage au plus près des besoins de nos concitoyens, ne peut pas être le moyen, pour le Gouvernement, de se débarrasser d’un fardeau. Le transfert de compétences aux collectivités territoriales devra nécessairement être accompagné d’un transfert pérenne de moyens.

    Alors que le logement est le premier poste de dépenses des ménages, depuis 2017, une succession de mesures a largement entamé le pouvoir d’achat des plus modestes : réforme du mode de calcul et baisse du montant des APL dont le niveau est équivalent à celui de 2017 sans tenir compte de l’inflation ; suppression de l’APL accession; inadaptation et insuffisance des mesures de rénovation énergétique…

    D’autres mesures comme la hausse de la TVA sur la construction de logements sociaux ont fragilisé le secteur, en obérant dangereusement les capacités de production de logements sociaux, tout comme celles d’entretien du patrimoine des bailleurs. Avec la réduction du loyer de solidarité (RLS) mise en œuvre dans la loi de finances pour 2018, le Gouvernement a fait porter l’essentiel de l’effort d’économie des APL sur les bailleurs sociaux, les privant ainsi de 6 milliards d’euros entre 2018 et 2022. C’est un véritable impôt sur les HLM qu’Emmanuel Macron a levé.

    La crise de la production est amplifiée par une réduction de l’offre locative classique au profit des meublés de tourisme. Le nombre de logements proposés sur les plateformes comme Airbnb a explosé ces dix dernières années pour dépasser, dans certaines grandes villes, celui des biens mis en location classique. Cette situation trouve son origine dans un régime fiscal avantageux qu’il est urgent de réformer.

    Face à la crise, il est essentiel de construire plus et mieux, de rénover et de réguler le marché, par l’encadrement des loyers, celui des prix du foncier ou en renforçant la loi SRU. Dans le cadre du PLF 2024, les socialistes formuleront des propositions fiscales pour le logement : outils et moyens pour nos maires, mesures de soutien aux bailleurs sociaux, propositions en faveur de la rénovation, de la production écologique et de l’habitat permanent.

    Le Parti socialiste défend plus globalement la mise en place d’un bouclier logement, une nouvelle protection sociale qui permette de limiter à 25 % la part du logement (loyer chargé) dans le revenu des ménages. Toute la stratégie de la politique du logement doit être orientée vers cet objectif : permettre aux Français de vivre dignement. 

  • Communiqué du Parti socialiste suite à l’attaque terroriste du Hamas contre Israël

    Communiqué du Parti socialiste suite à l’attaque terroriste du Hamas contre Israël

    – Dimanche 8 octobre 2023

    Le Parti socialiste condamne sans réserve l’attaque terroriste du Hamas contre Israël. Il adresse son soutien à la population israélienne qui subit les tirs de roquettes, les meurtres de masse et les prises d’otage de civils (hommes, femmes, enfants, personnes âgées), les mises en scène odieuses de meurtres ou de détention. Le Parti socialiste adresse ses pensées aux victimes de cette attaque sans précédent et sa solidarité à l’ensemble de la population israélienne.

    La politique du gouvernement israélien peut et doit être critiquée. Elle déconstruit l’État de droit. Elle poursuit l’installation de colonies illégales dans les territoires palestiniens. Elle renvoie la jeunesse palestinienne à une radicalité qui sert de prétexte à l’extrême droite israélienne pour intensifier sa politique d’annexion.

    Mais la politique du gouvernement Netanyahu ne saurait être mise en avant pour relativiser l’agression terroriste dont est aujourd’hui la cible la population israélienne. Rien, jamais ne saurait justifier des actes terroristes. Il n’y a pas de circonstances atténuantes qui soient entendables, et nul ne devrait renvoyer dos à dos Israël et l’organisation terroriste Hamas. Le Hamas ne recherche en aucune façon la paix. Son projet politique et militaire demeure la destruction de l’État d’Israël. Le Hamas instrumentalise la détresse du peuple palestinien. Ses combattants ne sont pas une force armée de Résistance.

    Le Parti socialiste réitère sa position historique rappelée lors de son Bureau national du 3 mai 2023 : la seule solution à ce conflit consiste en la reconnaissance de deux États souverains vivant côte-à-côte en sécurité. Il apporte son soutien aux forces progressistes, qui en Israël ou en Palestine, continuent courageusement à défendre une solution de paix durable.

    Nous appelons dans l’immédiat les autorités françaises et l’Union européenne à prendre une initiative diplomatique pour un cessez-le-feu afin d’éviter un embrasement du conflit et la multiplication de victimes civiles israéliennes comme palestiniennes. Et à plus long terme, l’ONU à convoquer un sommet international avec les 2 parties pour une solution pacifique et politique.

    Eu égard à l’immense émotion, le PS appelle à participer aux rassemblements de solidarité avec les Israéliens. 

  • Olivier Faure - « Nous avons choisi d’avancer pour défendre une Europe sociale et écologique. »

    Suite au vote des militantes et des militantes socialistes du 5 octobre sur le programme et la stratégie pour les élections européennes, Olivier Faure était l'invité de Sud Radio. Un entretien à retrouver en intégralité !

  • Média des Idées | Épisode 4 : Quelle liberté d'informer à l'heure de la concentration des médias ?

    #CamPuS23 #MédiaDesIdées

    Rendez-vous dimanche 27 août à partir de 11h00 pour suivre en direct depuis notre #CamPuS23 à Blois un épisode exceptionnel du #MédiaDesIdées sur le thème de la concentration des médias.

    Animation : Luc Broussy et Sarah Proust, Le Média des Idées

    Intervenant·e·s : - Jean-Pierre Canet, cofondateur de Cash investigation ; - Caroline Fontaine, ex-présidente de la société des journalistes de Paris-Match ; - Emmanuelle Souffi, rédactrice en chef du service société du Journal du Dimanche ; - Fabrice Arfi, journaliste, co-responsable du pôle « enquêtes » de Mediapart ; - Antoine Bernard, directeur du plaidoyer et de l'assistance de Reporters sans frontières (RSF), directeur de master à Sciences Po ; - Patrick Cohen, journaliste, chroniqueur sur France 5 dans l'émission C à vous, ex-journaliste à Europe 1.

  • « Madame la Première Ministre, votre départ, tous les Français me le demandent tous les week-ends »

    2 oct. 2023 #NUPES #DirectAN #MotionDeCensure Vendredi 29 septembre, au nom de l'intergroupe de la #NUPES, Philippe Brun défendait la censure du gouvernement d’Élisabeth Borne.

  • Le PS lance un groupe de travail sur les quartiers populaires et la politique de la ville

    Le PS lance un groupe de travail sur les quartiers populaires et la politique de la ville

    – Vendredi 29 septembre 2023

    Le jeudi 28 septembre 2023, le Parti socialiste lançait un groupe de travail dédié aux quartiers populaires et à la politique de la ville. Cette initiative, qui intervient dans le sillage des événements de cet été, a pour objectif de repenser les réponses prioritaires à apporter aux préoccupations et aux besoins des habitants de nos quartiers, en mettant l'accent sur des solutions alternatives à l'approche uniquement sécuritaire.

    La mort de Nahel à Nanterre le 27 juin 2023, a entraîné un mouvement de révolte au sein de nos quartiers. Face à cette réalité, le Parti socialiste souhaite tirer parti de l'expertise de ses élus de terrain, des professionnels et associations de la politique de la ville et des habitants des quartiers populaires, pour élaborer des propositions.

    Mené par la députée de Seine-Saint-Denis et secrétaire nationale en charge de la politique de la ville, Fatiha Keloua Hachi, ce groupe rassemble des secrétaires nationaux du parti, des parlementaires, des élus locaux et deux anciens ministres de la ville. Selon la députée séquano-dionysienne, « ce groupe de travail a un objectif, celui d’agréger les expertises et trouver des solutions en faveur de la mixité sociale, de l’éducation et du vivre-ensemble au sein de nos quartiers populaires ».

    Le groupe de travail rendra ses conclusions d’ici le début de l’année 2024.

  • Le Point - La ligne anti-Nupes l’emporte chez les sénateurs PS

    La réélection de Patrick Kanner à la présidence du groupe socialiste du Sénat marque une défaite pour les pro-Nupes, au premier rang desquels Olivier Faure.

    Mardi 26 septembre, dans les beaux salons du Sénat qui font office de restaurant, une dizaine de sénateurs socialistes proches d'Olivier Faure déjeunaient ensemble. Ils voulaient partager un premier repas après l'élection de certains d'entre eux, comme la numéro deux du PS Corinne Narassiguin. Mais d'autres y ont vu un autre symbole : « Ils sont venus à dix d'Ivry [siège du Parti socialiste, NDLR] pour prendre possession symboliquement du lieu. C'était la phalange ! » rigole un sénateur socialiste habitué des arcanes du palais du Luxembourg. La démonstration de force a raté : Patrick Kanner, opposant à Olivier Faure, a été réélu à la tête du groupe PS. Le sénateur du Nord a battu son rival des Landes Éric Kerrouche, proche du premier secrétaire.

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