karine berger - Page 3
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Karine Berger : "le PS doit s'exprimer sur les textes du gouvernement
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Karine Berger : "L'ensemble de la gauche n'avait pas voté tous les articles" de la Loi Macron
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Comment Karine Berger (PS) botte en touche sur le passé judiciaire de Jean-Christophe Cambadélis
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Le Monde - Dans « socialiste », il y a « social » et le PS l’a oublié !
Par Karine Berger, députée ; Nicolas Brien, député-suppléant ; Dominique Bertinotti, ancienne ministre ; Yann Galut, député ; Madeleine Ngombet, vice-présidente région Poitou-Charentes
La sanction est là, sans appel : la gauche perd 28 départements. Le Front national (FN) est arrivé en tête au premier tour dans les anciens cantons de Pierre Mauroy, de Pierre Bérégovoy ou de Léon Blum. Il s’implante sur les terres de Jean Jaurès, progresse encore chez les électeurs de la classe ouvrière et améliore sa présence chez les seniors des zones rurales.
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L'actualité des socialistes du 30 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le JDD - L'aile gauche partira groupée au congrès du PS
Malgré la rivalité entre Emmanuel Maurel et Benoît Hamon, un dirigeant assure que les "frondeurs" iraient unis au congrès du PS en juin.
Libé - Congrès PS: vers un rassemblement des plus à gauche
A une semaine du dépôt des motions pour le congrès de Poitiers, les sensibilités socialistes en désaccord avec la politique économique du gouvernement se rapprochent.
5 avril
Challenges - Les Français soutiennent la ligne social-libérale de Valls !
Le Premier ministre peut se féliciter du sondage publié par Le Journal du Dimanche, mais il démontre toute la difficulté du moment: rassembler la gauche sans changer de cap économique ...
Le Point - Hamon (PS): une "parole collective" monte à gauche
L'ex-ministre PS Benoît Hamon a affirmé jeudi qu'une "parole collective" montait à gauche, à l'approche du Congrès du PS, pour réclamer des "changements" dans la politique du gouvernement.
"Il y a beaucoup de gens qui disent la même chose. Quand on écoute aujourd'hui le diagnostic posé par Martine Aubry, Arnaud Montebourg, Aurélie Filippetti, Christiane Taubira dans un autre registre (...) il y a des constats qui sont les mêmes et qui sont assez simples, sauf à être totalement dans le déni et à vouloir plonger bien profond la tête dans le sable", a déclaré Benoît Hamon sur LCI et Radio Classique.
Le Monde - PS : première motion déposée avant le congrès de Poitiers
La compétition au PS est déjà sur les rails. Le courant « cohérence socialiste », mené par les quatre députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay, a décidé de déposer sa propre motion pour le congrès de Poitiers du 5 au 7 juin. Ils font alliance pour l'occasion avec trois autres premiers signataires de contributions générales, Dominique Bertinotti, l'ancienne ministre de la famille, Nicolas Brien et Madeleine Ngombet.4 avril
Libé - François Hollande fait un petit pas vers sa gauche dans l'Oise
Ce vendredi, le Président a annoncé la création d'un compte personnel d'activité. Une mesure sociale censée rassurer sa majorité avant le congrès du PS en juin, sans toutefois toucher à ses mesures phares.
Le Point - Le "compte personnel d'activité" : le geste de Hollande sur sa gauche
Le Parti socialiste a salué "une avancée importante dans le processus de sécurisation des parcours professionnels", demandé par les fidèles de Martine Aubry.
Le Monde - Hollande annonce des mesures pour favoriser l’investissement dans les PME
Après l’usine PSA de Trémery (Moselle) la semaine précédente, le président continuait inlassablement son tour de « la France qui gagne », vendredi 3 avril, dans une forge de Trie-Château (Oise). Mais en plus des traditionnelles assurances sur l’imminence d’une reprise, égrenées avec insistance depuis un mois, François Hollande y a apporté dans sa besace des annonces : des mesures destinées à favoriser l’investissement industriel dans les PME.Le gouvernement préfère ne pas mettre sur la table les questions de simplification du contrat de travail et de la durée du travail. Et ce pour ne pas attiser les frictions au sein du parti socialiste en pleine préparation de son congrès.
France Bleu - Régionales : Jean-Jack Queyranne annonce sa candidature
L'actuel président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, a annoncé officiellement sa candidature à l'investiture PS pour la présidence de la future région Rhône-Alpes Auvergne. Le président en a également profité pour répondre aux attaques de la droite, concernant notamment le financement de l'autoroute A45.
Le Monde - Pour Sapin, la reprise dépend désormais des entrepreneurs
Le ministre de l’économie Michel Sapin a déclaré, vendredi 3 avril sur RTL, qu’il est désormais de la « responsabilité du monde économique » de transformer en « décisions » et en « investissements » les « marges » qu’elles ont dégagées dans un contexte de « petite reprise » de la croissance. Jeudi, l’Insee a légèrement revu à la hausse ses prévisions et s’attend à une progression de 0,4 % du PIB au premier trimestre puis 0,3 % au deuxième.S'il n'est pas tout à fait frondeur, Jean-Marc Germain, député socialiste des Hauts-de-Seine, ne désavoue pas, pour autant, le courant hostile à Manuel Valls. Sans dévoiler les intentions de celle pour qui il roule, ce proche de Martine Aubry et époux, à la ville, d'Anne Hidalgo, tire les conséquences de la déroute des socialistes.Après Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et même la garde des sceaux Christiane Taubira, Benoît Hamon a apporté sa contribution, jeudi 2 avril, au flot de critiques venues de gauche qui accablent le gouvernement après sa cuisante défaite aux élections départementales. « Il est temps que le quinquennat soit associé à une amélioration de la vie des Français », a déclaré sur Radio Classique et LCI l’ex-ministre de l’éducation, membre de l’aile gauche du Parti socialiste, qui a quitté le gouvernement en août 2014 sur un désaccord avec la politique menée par Manuel Valls.Après la défaite de la gauche aux départementales, l’ex-ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique sort de son silence dans «Les Echos».3 avrilSeulement huit femmes figurent parmi les 98 présidents de conseils départementaux élus jeudi. Elles n'étaient que quatre auparavant.L'Humanité - Face à la ligne Valls, Martine Aubry passe à l’offensive
Deux jours après la déroute du PS aux élections départementales, la maire de Lille passe à la vitesse supérieure.
Les Echos - Le dilemme de Martine Aubry
La maire de Lille a huit jours pour décider si elle dépose ou non une motion au congrès du PS. En clair, si elle compose ou entre en guerre avec François Hollande.
La claque des départementales à peine digérée, le coup de sifflet du sprint du congrès est sifflé. Le calendrier est serré puisque le 11 avril, le Conseil national du PS entérinera les différentes motions qui feront l’objet d’un vote des militants. Un congrès prévu pour début juin qui pourrait, en cas de victoire de la ligne critique au gouvernement, obliger François Hollande à infléchir sa politique économique.LCP - Baumel (PS) demande à Hollande des "inflexions politiques" sans "se renier"
Le député frondeur espère que le chef de l’État acceptera d’apporter des "équilibres un peu différents" après la défaite socialiste lors des élections départementales."Il y a un petit paradoxe à nationaliser une élection locale et ensuite, en l’ayant perdue, à dire ’je continue la même politique, je ne change pas de cap’." Laurent Baumel, le député socialiste frondeur d’Indre-et-Loire, a demandé à l’exécutif, mercredi sur le plateau de Politique Matin, "d’apporter des inflexions" à sa politique afin de la rendre plus "équilibrée", après la défaite de la gauche aux élections départementales.
Le JDD - Martine Aubry attend "des signes forts et non des vaguelettes"
Lors d'une réunion avec ses soutiens,à laquelle se sont joints une partie des frondeurs, mardi soir, la maire socialiste de Lille Martine Aubry a fortement critiqué la ligne Valls. Avec le prochain congrès du PS en ligne de mire.
Regards - Emmanuel Maurel : « Notre électorat est plus unitaire que nous »
Le frondeur Emmanuel Maurel s’attriste de voir l’exécutif mener le Parti socialiste de revers électoral en revers électoral. Mais espère lui faire changer son cap social-libéral grâce à une entente entre les différentes forces de gauche... rangées derrière le PS.
2 avril
INFO RTL - La maire de Lille a réuni une centaine de ses proches, au lendemain de la défaite socialiste aux départementales et a obtenu des garanties de la part du Président.Le Figaro - Devant ses troupes, Martine Aubry lâche ses coups contre Manuel Valls
Lors d'une réunion avec ses soutiens mardi soir à l'Assemblée, la maire de Lille a fustigé la stratégie du premier ministre pour les départementales. Elle pourrait déposer sa propre motion pour le congrès du parti.
Le lab - Martine Aubry laisse planer le doute quant à sa candidature au congrès du PS
LA GRANDE INCONNUE - Ce n'est pas encore aujourd'hui que l'on connaîtra avec précision les intentions de Martine Aubry. Mais à défaut de dévoiler son jeu, la maire de Lille entretient savamment le doute. Devant ses soutiens à l'Assemblée nationale, mardi 31 mars, l'ancienne Première secrétaire du PS a en tous cas laissé planer l'éventualité d'une candidature de sa part au congrès du parti, qui se tiendra à Poitiers début juin.
France 3 - Réunion d'une centaine de parlementaires et d'élus locaux autour de Martine Aubry
La maire de Lille, Martine Aubry, a réuni mardi soir à l'Assemblée nationale ses soutiens parlementaires, ainsi que des élus locaux, pour faire le point après les départementales et avant le dépôt des motions en vue du congrès du PS, en juin à Poitiers.
Le JDD - Comment Valls a tenté de remobiliser les socialistes
Manuel Valls, qui considère avoir le soutien des Français pour rester à son poste de Premier ministre un an pile après sa nomination, s'est adressé mardi aux députés socialistes pour les convaincre d'"approfondir les réformes" sans changement de cap vers la gauche.
Le Monde - Scrutin après scrutin, Hollande perd ce qu’il a gagné
Le premier secrétaire avait tout gagné. Le président est en passe de tout perdre. Après des municipales dévastatrices, qui avaient laissé la gauche délestée de quelque 150 villes de plus de 9 000 habitants en mars 2014, le second tour des élections départementales, avec 28 départements perdus, dimanche 29 mars, a aggravé la saignée, annonçant un scrutin régional du même acabit. En décembre, François Hollande pourrait bien avoir liquidé la majeure partie des positions de pouvoir tenues par la gauche dans les collectivités territoriales. C’est sur la conquête de celles-ci qu’il avait édifié onze ans durant, à la tête du PS, la rampe de lancement de ses ambitions présidentielles.1er avrilAlors que le Front national se targuait d'être « le premier parti de France » après les élections municipales et les européennes de 2014, la droite républicaine et ses alliés sont sortis largement victorieux des élections départementales, dont le second tour se déroulait dimanche 29 mars. A l'issue de ce scrutin local, qui peut revendiquer le titre de premier parti de France ?
Trois jours après la défaite du Parti socialiste aux élections départementales, Manuel Valls ne dévie pas de sa ligne politique : il faut rassembler la gauche, mais pas question de revenir sur les grandes orientations économiques décidées par son gouvernement.Libé - Valls s'essaye à la manière pas forte
S'exprimant devant le groupe PS de l'Assemblée, deux jours après la défaite départementale, le Premier ministre n'a rien concédé sur le fond mais sans en rajouter sur la forme.
Le Monde - Départementales : la coûteuse défaite du PS
La sévère défaite de la gauche aux élections départementales risque de coûter cher au Parti socialiste. Un an après l'échec aux municipales, ce nouveau revers, dimanche 29 mars, est une nouvelle fois synonyme pour le parti au pouvoir d'un recul sur le plan local.Au Parti socialiste, la défaite n'est pas seulement politique. Elle est aussi financière et humaine. Tous les conseillers départementaux du PS sont tenus de reverser à la fédération de leur département entre 5 % et 10 % de leur indemnité. «Entre 1400 et 2000 euros de cotisation annuelle par conseiller départemental», indique le trésorier de la Rue de Solferino, Jean-François Debat. Face au reflux, celui-ci envisage la fermeture de certaines permanences locales.Candidat malheureux à la réélection dans son canton de Lons-Le-Saunier, l'ancien président socialiste du département du Jura a annoncé son retrait de la vie politique. Invité sur l’antenne de France info, Christophe Perny n’a pas mâché ses mots pour critiquer la politique de Manuel Vall
31 marsDans une société travaillée par les aspirations individualistes et les pulsions de repli identitaire, le vote FN ouvre une nouvelle ère politique.
Au lendemain du second tour des élections départementales, c’est Benoit Hamon qui a été l’un des premiers appelés à poser des mots sur les plaies, dans les différentes émissions matinales du lundi 30 mars. « C’est une défaite » a sobrement estimé l’ancien porte-parole du parti socialiste lundi matin sur RTL. « Pas besoin », pour lui, d’aller puiser dans un vocabulaire plus chargé en superlatifs. « C’est une défaite, incontestable », a juste répété Benoit Hamon, préférant sans tarder en analyser les raisons. Pour le député des Yvelines, l’explication tient dans « la division de la gauche » d’un côté, et de l’autre dans « des résultats qui se font attendre sur les questions essentielles, le pouvoir d’achat, la situation des petits retraités, l’emploi évidemment… ».
Emmanuel Maurel, député européen et conseiller régional d’Ile-de-France, réagit vivement aux résultats du second tour des élections départementales et à la déclaration de Manuel Valls. Pour lui, « il faut faire preuve de lucidité et avoir l’intelligence de changer de politique ».30 marsLes socialistes subissent une lourde défaite, ne conservant qu’une trentaine de départements. Face à la vague bleue, le Premier ministre promet de garder le cap.
L’alternance politique n’est pas qu’une abstraction. Parfois, elle se ressent physiquement. Il est 23 heures, dimanche 29 mars, dans le hall de la préfecture d’Evry. Le président sortant du conseil général, le socialiste Jérôme Guedj, arrive avec quelques proches, tandis que Georges Tron et les nouveaux élus UMP répondent aux médias et profitent du buffet. Perdants et gagnants se frôlent et se toisent. Sans un mot. « Voilà le nouveau visage de l’Essonne… », lâche un conseiller de M. Guedj en observant les nouvelles têtes et leurs sourires.Mardi, à l'Assemblée nationale les proches de l'ex-première secrétaire du PS, doivent se retrouver pour faire un bilan du scrutin de dimanche et préparer le congrès PS.Le Monde - Suivez en direct les résultats du second tour des départementalesLa droite pourrait conquérir 20 à 40 départements à l'issue du second tour, tandis que le score du FN sera guetté. A 17 heures, la participation s'élevait à 41,94 %.
Libé - Canton par canton, retrouvez tous les résultats à partir de 20 heuresL'aile gauche du PS profite de la déroute de son parti aux élections départementales pour lancer un nouvel appel. Les frondeurs veulent un "contrat de rassemblement" avec l'ensemble de la gauche. Une manière de mettre la pression sur le gouvernement de Manuel Valls.Ce dimanche soir, chaque parti pourra peut-être avancer, avec plus ou moins de bonne foi, des motifs de satisfaction.... Le PS a «gagné» si…Il sauve plus de vingt-cinq départementsDans ce département à gauche depuis 1976, le second tour s'annonce très serré entre les socialistes et l'UMP. -
Karine Berger: «Il est urgent que l’UE lance une politique contre la déflation»
Karine Berger: «Il est urgent que l’UE lance... by rfiHier, jeudi 18 décembre, l’Insee a revu légèrement à la hausse ses prévisions de croissance pour la France, cela devrait être 0,3 % au premier et au deuxième trimestre 2015. Une légère augmentation qui s’explique en grande partie par la baisse de l’euro et par la baisse des cours du pétrole. « La question n’est pas forcément de savoir comment conjoncturellement les choses fluctuent. Le problème c’est que la France et l’Europe sont entrées dans une phase déflationniste. C’est-à-dire que c’est ce qu’il y a de pire en économie… C’est une baisse des prix, c’est surtout une baisse de la valeur, une disparition de la valeur. Et dans la note de conjoncture que l’Insee écrit, il y a ce phénomène terrible qui est, au fond, que l’investissement est en baisse parce que la valeur disparaît.»
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Conférence de presse de Karine Berger sur le «projet de loi pour la croissance et l'activité» Parti socialiste
Conférence de presse de Karine Berger sur le... by PartiSocialiste -
Karine Berger : «Ce sont souvent les élus locaux qui ont la bonne analyse» par Lefigaro.fr
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Karine Berger "les demandes du groupe socialiste ont amené une profonde modification du plan d'économies" par Groupe SRC
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L'actualité des socialistes du 22 au 27 avril (mise à jour)
A la une
L'Humanité - Extension du domaine du doute au Parti socialiste
Pacte de responsabilité, plan d’économies… Les raisons de se méfier du cap suivi par François Hollande s’allongent chez les militants. Reportage à Lyon, chez les adhérents de la Croix-Rousse, où l’on débriefait après les municipales.
27 avril
Slate - La première courbe à infléchir pour Manuel Valls est celle de la défiance
Pour Manuel Valls, le principal danger n'est pas la fronde des députés socialistes, mais le risque de voir échouer son plan de relance de l'économie. Dans ce domaine, il va devoir affronter trois écueils: la finance, la macroéconomie et la confiance.
Le JDD - Les soutiens de Valls s'organisent
TRIBUNE - Après l'"Appel des 100" frondeurs socialistes paru dans le JDD début avril, voici l'"Appel des 20" députés soutenant le plan d'économies de Manuel Valls.
« Pourquoi nous ne voterons pas le programme de stabilité » Tribune publiée dans Libération
Par Laurence Dumont, Jean-Marc Germain et Christian Paul, députés PS Le 29 avril, nous ne voterons pas le pacte de stabilité de François Hollande. Pour la première fois depuis juin 2012, nous n’apporterons pas notre suffrage au gouvernement issu de la majorité à laquelle nous appartenons. Le redressement dans la justice, l’engagement clé du Président et de chacun d’entre nous, n’a pas été abandonné après 2012. Mais notre conviction s’est faite, et rien n’est venu la démentir : le nouveau plan qui nous est soumis n’atteindra pas ces deux objectifs majeurs.
26 avril
Le Nouvel Obs - Valls au Vatican : la gauche n'en rajoute pas
Le Premier ministre sera présent dimanche pour la canonisation de Jean-Paul II. Après avoir critiqué la présence de François Fillon en 2011 pour la béatification, le camp du gouvernement se fait beaucoup plus discret.
Le Parisien - Laurent Fabius : «Nous avons besoin de l'Europe»
Élections. A un mois d'un scrutin où le PS risque encore une mémorable claque, Laurent Fabius défend l'Union européenne, mais l'exhorte à changer.
Le Nouvel Obs - François Hollande "pas assez à gauche"?
Une majorité de sympathisants de gauche juge que François Hollande n'est "pas assez à gauche" (56%), soit 16 points de plus qu'en novembre 2012, selon un sondage BVA pour iTélé, CQFD et "Le Parisien/Aujourd'hui" en France publié samedi.
Le Parisien - Plan d'économies : plusieurs députés PS ne voteront pas le texte
Bras de fer au sein de la majorité. Alors que les grandes manoeuvres se poursuivent en vue du vote du programme de stabilité à l'Assemblée mardi prochain, plusieurs députés PS clament haut et fort qu'ils ne voteront pas le texte du gouvernement
Le Monde - Plan Valls : Cambadélis annonce une séance extraordinaire du bureau national du PS
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, se dit « confiant » en « l'issue » du débat qui agite les socialistes sur le plan de réduction des dépenses publiques présenté par le premier ministre, Manuel Valls. Cette confiance, M. Cambadelis l'a justifiée, jeudi 24 avril, dans un propos liminaire lors d'une conférence de presse consacrée aux élections européennes, en estimant que ce débat interne est mené sur « une idée simple : amender sans détricoter » le projet du gouvernement.
25 avril
Libé - Plan d'économies : Laurent Baumel accuse le gouvernement de «despotisme éclairé»
Le député socialiste d'Indre-et-Loire ne votera pas en faveur du plan d'économies annoncé par le gouvernement.
Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics, présentait ce mercredi en conseil des ministres le programme de stabilité 2014-2017. Ce plan, dont le but est d’économiser 50 milliards d’euros d’ici à 2017, fait l’objet d’un rejet de la part de nombreux députés de la majorité. Laurent Baumel, député PS d’Indre-et-Loire, dénonce le manque de flexibilité du gouvernement.
Le Monde - Matignon peine à calmer la grogne des députés PS
Une valse à deux temps. Premier temps. Mercredi 23 avril, 12 heures, salle Lamartine, à l'Assemblée nationale, les députés membres de la commission des finances attendent le ministre des finances, Michel Sapin, et le secrétaire d'Etat chargé du budget, Christian Eckert, qui vont présenter le programme de stabilité 2014-2017. Au moment où les deux ministres entrent dans la salle, les députés découvrent sur leurs tablettes ou leurs smartphones la « une » du Monde : « Sapin douche les attentes du PS ».
BFM - Pacte de stabilité: la fronde des députés PS
Réunis à l’Assemblée nationale mercredi, plus de 40 députés socialistes ont élaboré des alternatives au plan d’économie de 50 milliards d’euros présenté par le gouvernement.
Le Nouvel Obs - Valls confirme une prochaine "mesure forte" en faveur des retraités modestes
Manuel Valls a confirmé jeudi, lors d'une visite d'usine à Saint-Lubin-des-Joncherets (Eure-et-Loir), qu'une "mesure forte" serait prochainement prise en faveur des retraités modestes, en dépit du plan d'économies gouvernemental de 50 milliards d'euros.
Libé - Le PS souhaite un «coup de tonnerre» progressiste pour «réorienter l’Europe»
Le Parti socialiste a présenté jeudi son argumentaire de la campagne des européennes du 25 mai pour «réorienter l’Europe» vers une «nouvelle croissance», Jean-Christophe Cambadélis considérant que l’arrivée d’une majorité «progressiste» au Parlement de Strasbourg serait un «coup de tonnerre».
Libé - Sapin : un geste en faveur des petites retraites est «sur la table»
Le ministre des Finances a reconnu que la non-revalorisation des retraites, prévue par le plan d'économies, pourrait mettre en difficulté les bénéficiaires de petites pensions.
Le Monde - Juppé et Rocard refusent de travailler sous la tutelle de Montebourg
Alain Juppé et Michel Rocard ont décidé de démissionner de leur rôle de supervision du programme d'investissements d'avenir (PIA) après que ce dernier a été placé sous l'autorité du nouveau ministre de l'économie, Arnaud Montebourg
Politis - Ils ont quitté le secrétariat national du PS et s’expliquent…
Leur prise de distance a fait moins de bruit que le départ de Caroline de Haas ou de l’eurodéputée Françoise Castex, qui ont toutes deux récemment quitté le PS (voir ici et là).
Reste que la démission du secrétariat national du PS d’une petite dizaine de socialistes du courant Un monde d’avance (« l’aile gauche » du PS) en dit long sur le malaise qui grandit au sein de la majorité. « Nous avons pris collectivement la décision de quitter la direction du PS et de sortir du Secrétariat national, alors que nos représentants étaient parmi les plus actifs et les plus utiles », ont-ils écrit à l’intention des militants de leur courant au lendemain du conseil national qui a entériné l’arrivée de Jean-Christophe Cambadélis à la tête du Parti.24 avril
Le Nouvel Obs - Laurent Baumel : "Pourquoi je ne voterai pas le plan de 50 milliards"
Laurent Baumel ne cache pas son amertume. Ce mercredi 23 avril, alors que Michel Sapin, ministre des Finances, et Christian Eckert, secrétaire d'Etat au Budget, étaient auditionnés par la Commission des Finances pour présenter le pacte de stabilité, le député socialiste d'Indre-et-Loire a tweeté qu'il ne voterait pas le plan d'économies de 50 milliards en l'état
Le Monde - Hollande hué dans la ville de Jaurès
Voilà deux ans que François Hollande n'avait pas mis les pieds à Carmaux. C'était le 16 avril 2012, six jours avant le premier tour de l'élection présidentielle. Ce soir-là, une estrade avait été installée sur la place Jean-Jaurès, au pied de la statue du grand homme, et celui qui n'était encore que le candidat du PS y avait prononcé un discours vibrant, devant une foule chaleureuse qui souhaitait ardemment sa victoire.
Ambiance au parti socialiste. Alors que la commission des Finances de l'Assemblée nationale auditionnait Michel Sapin sur le pacte de stabilité, des voix se sont élevées à gauche pour dénoncer les décisions du gouvernement. "Les grands équilibres ne seront pas modifiés", a résumé dans Le Monde, le ministre des Finances.
Le Monde - Michel Sapin : « Les grands équilibres ne seront pas modifiés »
Le ministre des finances et des comptes publics, Michel Sapin, présentait en conseil des ministres, mercredi 23 avril, le programme de stabilité 2014-2017. Ce document fixe la trajectoire des finances publiques de la France pour les trois ans à venir. Il sera débattu et voté à l'Assemblée nationale le 29 avril, avant d'être transmis à la Commission européenne le 7 mai.
Politis - Austérité : les surprises du programme de stabilité 2014-2017
La présentation en conseil des ministres, le 23 avril, du programme de stabilité pour 2014-2017, a donné lieu à quelques mises au point et surprises.
Le Nouvel Obs - Croissance : Hollande est-il trop... optimiste?
Réduire les déficits publics, relancer la croissance et créer des centaines de milliers d'emplois. La feuille de route du gouvernement serait-elle un peu "optimiste" ?
Politis - Thomas Piketty : l’économiste "frenchie" nouvelle star aux Etats-Unis ?
Parti faire une « tournée » américaine de présentation de son dernier livre, Le capital au XXIe siècle, l’économiste Thomas Piketty est en train de devenir une quasi star outre-Atlantique. Ironie du sort, ce proche du parti socialiste en France mais qui trouve François Hollande « assez nul », a séduit les démocrates et a été reçu en grande pompe à la Maison Blanche par les conseillers d’Obama et le secrétaire américain au Trésor
Le Monde - Un nouvel homme à la communication de l'Elysée
L'Elysée a annoncé, mercredi 23 avril au soir, la nomination de Gaspard Gantzer au poste de « chargé des relations presses, chef du pôle communication ». Un poste qu'occupait, entre autres, jusqu'à vendredi dernier, Aquilino Morelle, démissionnaire après les révélations de soupçons de conflit d'intérêts pesant sur lui.
Libé - Plan d'économies : «Nous ne sommes pas des députés godillots»
INTERVIEW Le député PS Yann Galut explique pourquoi plusieurs de ses collègues proposent des scénarios alternatifs à celui du gouvernement pour réaliser 50 milliards d'euros d'économies d'ici 2017.
23 avril
Libé - Plan d'économies : les députés PS «pensent avoir été entendus»
Plusieurs d'entre eux ont été reçus à Matignon ce mardi, où ils ont présenté une alternative au plan d'économies de 50 milliards d'euros, qui modifie la répartition de l'effort.
Le Monde - Plan d'économies : les 3 scénarios alternatifs des élus PS
Le Parti socialiste, après la débâcle des élections municipales, le remaniement précipité à tous les étages du pouvoir et la désastreuse affaire Aquilino Morelle, est à bout de nerfs. Nul, aujourd'hui, n'est en mesure de garantir que le programme de stabilité, qui fixe les prévisions financières de la France et doit être voté le 29 avril à l'Assemblée nationale, recueille une majorité.
Le Monde - Des députés PS attendent les « bons signaux » de Manuel Valls
Alors que Manuel Valls doit recevoir mardi 22 avril après-midi des députés socialistes qui souhaitent voir modifié le pacte de responsabilité, le député Alexis Bachelay attend du premier ministre « les bons signaux » susceptibles de « protéger le pouvoir d'achat » des plus modestes et de « ressouder la majorité ».
Huffington Post - Les petites retraites préservées du plan d'économies de 50 milliards?
Dans quelle mesure, le plan de 50 milliards d'euros d'économies annoncé le 16 avril par Manuel Valls peut-il être amendé? Alors que l'aile gauche du PS aimerait le limiter à 35 milliards, une partie des députés socialistes présente au gouvernement un plan alternatif.
Ce mardi 22 avril, Manuel Valls s'entretient avec une douzaine d'entre eux, dont leur président Bruno Le Roux et la rapporteur générale du Budget, Valérie Rabault pour recevoir leurs propositions.
France Culture - Invité du journal, le député social Laurent Baumel. Il répond aux questions d'Antoine Mercier, dont la première : les députés socialistes qui rencontrent manuel Valls cet après midi ne sont-il pas en "service commandé" Autrement dit l'opération adoucissante est-elle gérée en accord avec Matignon ?
Le Nouvel Obs - Les députés PS "pensent avoir été entendus" par Valls
Aucune décision n'a été prise lors de leur réunion à Matignon, mais les députés PS à l'origine du scénario alternatif indiquent que "le dialogue se poursuit" sur les 50 milliards d'économies.
Le Nouvel Obs - Députés frondeurs : "La politique, c'est aussi l'art du compromis"
Les scénarios "alternatifs" imaginés par la députée PS Karine Berger sont défendus cet après-midi face à Manuel Valls. Le "frondeur" Pierre-Alain Muet y voit l'occasion d'un compromis.
23 avril
Mediapart - Sommes-nous « morts pour rien » ? Ou pourquoi les députés socialistes se mobilisent
Laurent Baumel, député socialiste d’Indre-et-Loire, co-animateur de la Gauche populaire et signataire de l’Appel des 100 députés pour une inflexion de la politique économique du gouvernement, s'explique sur le refus de « s’accommoder à l’idée que nous serions définitivement condamnés à vivre nos vies de députés majoritaires dans une sorte de monarchie républicaine »
Le Monde - 50 milliards d'économies : les trois scénarios alternatifs des députés PS
Le Parti socialiste, après la débâcle des élections municipales, le remaniement précipité à tous les étages du pouvoir et la désastreuse affaire Aquilino Morelle, est à bout de nerfs. Nul, aujourd'hui, n'est en mesure de garantir que le programme de stabilité, qui fixe les prévisions financières de la France et doit être voté le 29 avril à l'Assemblée nationale, recueille une majorité.
Le Monde - Des députés PS proposent un autre plan d'économies que celui de Valls
« Je sais les attentes, je sais les doutes », avait commenté Manuel Valls, le 16 avril, en présentant son plan pour réduire les dépenses publiques de 50 milliards d'euros entre 2015 et 2017. Probablement ne mesurait-il pas encore l'ampleur des doutes dans les rangs de sa majorité.
22 avril
Le Nouvel Obs - Des députés PS proposent des plans d'économies alternatifs
PARIS (Reuters) - Plusieurs députés PS ont élaboré au cours du week-end trois scénarios alternatifs au plan d'économies de 50 milliards d'euros de Manuel Valls pour tenter de rassembler la majorité avant le vote du programme de stabilité à l'Assemblée nationale.
Le Nouvel Obs - 50 milliards d'euros d'économies : les 3 alternatives de députés PS
Sous l'impulsion de Karine Berger, ils proposent à Manuel Valls trois scénarios permettant de tenir les objectifs sans geler les prestations sociales.
Le Nouvel Obs - Comment Hollande et Royal ont enterré la hache de guerre
Ils se sont aimés, séparés et déchirés sous le regard des Français. Valérie partie, revoilà Ségolène : histoire secrète d'un retour qui est aussi un grand pardon.
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L'actualité des socialistes du 24 au 30 juin (mise à jour)
A la une
Le Point - Didier Migaud, l'homme qui désespère Solférino
Lorsqu'il était président de la commission des Finances de l'Assemblée et qu'il pourfendait la politique fiscale de Nicolas Sarkozy, Didier Migaud faisait l'unanimité au sein du Parti socialiste. Mais les choses ont bien changé depuis que le député "le plus interventionniste de l'hémicycle" a pris la tête de la Cour des comptes en 2010, qu'il a dû rendre sa carte du PS et relaie des recommandations à l'encontre de la politique de son ancien parti désormais aux manettes de l'État. Car pour tenir l'engagement de baisse des dépenses, les sages de la Rue Cambon n'ont pas hésité à remettre en cause la gestion de secteurs jusque-là verrouillés par le gouvernement : ils étrillent celle du "mammouth", l'Éducation nationale, rare rescapée de la politique de rigueur instaurée par le président de la République, préconisent une diminution des revalorisations des prestations sociales, une révision des avantages familiaux de retraite, pointent du doigt le nombre de fonctionnaires et leurs conditions de travail avantageuses, et vont même jusqu'à dicter la marche à suivre à l'exécutif en lui proposant, par exemple, de supprimer 10 000 postes par an dans la fonction publique.
28, 29, 30 juin
Le Figaro - Le PS veut toujours le droit de vote des étrangers
Les réformes de la Constitution promises par François Hollande semblent reportées sine die. Mais les socialistes ne l'entendent pas de cette oreille notamment sur une promesse datant de François Mitterrand.
Libé - Ayrault : «Malheureusement, la Cour des comptes dit vrai»
Dans un rapport publié jeudi, l'Institution prévoit un dérapage du déficit public supérieur aux prévisions, qui pourrait dépasser les 3,7% du PIB en 2013. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a déclaré jeudi que, «malheureusement, du fait de l’absence de croissance», la Cour des comptes avait raison de craindre un dérapage du déficit public en 2013 par rapport aux prévisions.
L'Express - Trois mandats et puis s'en va? Les députés sont divisés
Un amendement déposé par une trentaine de députés PS a été adopté lors du passage en commission du projet de loi sur le non-cumul des mandats. Il propose, au grand dam d'une majorité d'élus, de limiter le nombre de mandats successifs à trois.
Libé - Une sénatrice PS souhaite la transparence sur la réserve parlementaire
Laurence Rossignol souhaite un amendement étendant à cette enveloppe la loi sur la transparence de la vie politique. La sénatrice PS Laurence Rossignol va déposer un amendement sur la transparence des réserves parlementaires, une somme mise à la disposition des députés et sénateurs pour financer des projets dans leurs circonscriptions.
Le Monde - Le gouvernement soutient "sur le fond" la charge de Montebourg contre Barroso
Le gouvernement français partage "sur le fond" les propos du ministre Arnaud Montebourg qui a accusé le président de la Commission européenne d'être "le carburant du Front national", a assuré mercredi 26 juin la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.
27 juin
Libé - PS français et SPD allemand prêts à la bagarre
Récit Merkel la «paresseuse», Barroso l'«archaïque»... Invité à Paris, le patron des sociaux-démocrates allemands a rencontré le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, pour parapher une déclaration commune... et lancer quelques piques.
Le Point - Le Qatar met Hollande en colère !
Ce n'est pas le genre à piquer des colères, mais François Hollande a fait connaître son mécontentement à ses conseillers à propos de sa visite officielle au Qatar. "On a affaire à une équipe d'amateurs", soutient un visiteur du soir du président de la République. Il est en effet pour le moins étonnant d'effectuer un voyage officiel à Doha la veille de l'abdication de l'émir. Hollande a rencontré des gens qui ne sont plus au pouvoir aujourd'hui !
Le Monde (abonnés) - Le PS préfère repousser les débats sur la montée du FN
L'un se dit "atterré", l'autre, "effondré", le troisième, "sidéré". S'il est fréquent d'entendre des responsables socialistes s'affliger de l'état d'atonie dans lequel est plongé leur parti, certains sentiments exprimés mardi 25 juin ont néanmoins de quoi surprendre par la profondeur du malaise qu'ils dénotent. En cause : l'absence quasi totale de discussion collective après la débâcle essuyée par le PS à l'occasion de l'élection législative partielle organisée les 16 et 23 juin dans la 3e circonscription du Lot-et-Garonne.
Le Monde (abonnés) - Cumul des mandats : la majorité veut limiter les débats
Cette fois, la jouer discret, rapide et sans trop de vagues. Pas question que le texte sur le non-cumul, examiné mardi 25 et mercredi 26 juin en commission de l'Assemblée nationale, connaisse les mêmes péripéties que celui sur la transparence de la vie publique, adopté mardi après deux mois de tergiversations.
L'Usine Nouvelle - Christian Eckert, député PS, tire à vue sur le crédit compétitivité
Dans un billet de blog, le rapporteur du budget de l’Assemblée nationale déplore un Crédit impôt compétitivité emploi qui loupe sa cible. Le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) ne fait pas l’unanimité dans les rangs de la majorité. Christian Eckert, député PS de Meurthe-et-Moselle et rapporteur du budget de l’Assemblée nationale, ne ménage pas le gouvernement dans un billet de blog intitulé "Le budget, ça compte… le reste aussi !"
Le Nouvel Obs - EXCLUSIF. Hollande réplique à Cahuzac
Dans un livre à paraître le 4 juillet, dont "le Nouvel Obs" publie des extraits, le chef de l'Etat répond pour la première fois aux attaques de son ancien ministre du Budget.
Slate - Villeneuve-sur-Lot: 20% des électeurs PS auraient voté FN au second tour
«Aucun électeur de gauche n’a voté pour le Front national au second tour.» C’est ce qu’a dit le chef du groupe socialiste à l’Assemblée, Bruno Le Roux, au lendemain de l’élection du candidat UMP Jean-Louis Costes (53,76%) contre Etienne Bousquet-Cassagne (FN, 46,24%) dans l’ancienne circonscription de Jérôme Cahuzac.
Les Inrocks - Montée du FN à Villeneuve-sur-Lot : au PS, on se divise
Passé de mode, le front républicain ? Le haut résultat du candidat du FN, dimanche soir, à Villeneuve-sur-Lot, ne cesse de déclencher des remous à gauche comme à droite.
Le Parisien - Claude Bartolone : « Je considère M. Barroso comme un homme dépassé»
L'ambiance entre la gauche et José Manuel Barroso, le président portugais de la Commission européenne, est toujours aussi tendue.
Après Villeneuve-sur-Lot, François Hollande veut une véritable union de la gauche en 2014. Panique à bord chez les socialistes. Comment limiter les dégâts en vue des municipales de 2014 ? La question hante le PS, après l'élimination du candidat socialiste au premier tour de la législative partielle à Villeneuve-sur-Lot, suivie au second tour, par un score honorable du Front national.
Le Monde - Transparence et fraude fiscale : l'Assemblée vote une batterie de mesures
Promis au lendemain des aveux de Jérôme Cahuzac concernant la détention d'un compte bancaire en Suisse, les projets de loi sur la transparence de la vie publique et sur la lutte contre la fraude fiscale ont été adoptés mardi 25 juin en première lecture par les députés. Les textes ont fait l'objet de nombreuses tractations et certaines mesures voulues par l'exécutif ont été aménagées ou retoquées par les députés. Le Monde.fr fait le point sur le contenu des projets de loi.
Le Monde - Villeneuve-sur-Lot : "Il faut une stratégie collective contre le FN"
Matthias Fekl, 35 ans, est député de la 2e circonscription du Lot-et-Garonne, premier secrétaire de la fédération socialiste du département et conseiller régional d'Aquitaine.
25 juin
Libé - Moscovici accuse l'opposition de «mensonge» sur le déficit
Dans un rapport révélé lundi, les députés UMP et UDI ont calculé que le déficit de l'Etat devrait dépasser les 80 milliards d'euros fin 2013, au lieu des 61,6 milliards prévus par la loi de finances
Le Nouvel Obs - Vidalies: il était nécessaire de répondre à la commission européenne
Alain Vidalies (PS), ministre délégué aux Relations avec le Parlement, a assuré mardi qu'il était "nécessaire" de répondre à la Commission européenne après ses critiques contre la politique française, qu'elle n'a pas pour rôle de "définir". Le responsable socialiste était interrogé par LCI sur la virulente polémique entre le président de la Commission José Manuel Barroso et le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg.
Ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg était l'invité, dimanche 23 juin, de "Tous politiques", une émission de France Inter dont Le Monde et l'AFP sont partenaires. Comme chaque semaine – et pour la dernière fois cette année –, nous avons passé au crible ses propos.
Le Figaro - Après Villeneuve-sur-Lot, Hollande veut rejouer l'union de la gauche
Huit législatives partielles et huit échecs pour le PS. L'élimination du candidat PS la semaine dernière à Villeneuve-sur-Lot, suivie du score important obtenu par le candidat FN au second tour, a semé le doute, au sommet de l'État. «L'inquiétude monte», admet un ministre. Signe que l'heure est grave, on reconnaît même à l'Élysée que «quelques électeurs socialistes» ont voté pour le FN dimanche.
Libé - Villeneuve : Désir appelle à répondre au «fond des inquiétudes»
Réactions Après la défaite socialiste lors des législatives partielles dans le Lot-et-Garonne, le Premier secrétaire du PS estime qu'il faut «intensifier» la lutte pour l'emploi.
Libé (abonnés) - Bousculé, le PS hésite sur une stratégie
Décryptage Les socialistes les plus jeunes voudraient balayer les vieux réflexes anti-FN, qui ne fonctionnent plus. Par LILIAN ALEMAGNA
Les socialistes ont croisé un fantôme à Villeneuve-sur-Lot. Celui du 21 avril 2002. Le FN au second tour, la gauche éliminée dès le premier et cette équation à laquelle le PS ne trouve pas la solution : comment contrer le Front national sans le diaboliser - ça n’a pas marché - ni participer à sa banalisation ?Le Monde (abonnés) - Villeneuve-sur-Lot : le symptôme d'une crise profonde au PS
C'est la sénatrice socialiste de l'Oise, Laurence Rossignol, qui posait récemment la question entre la poire et le fromage : "Quelle est la bonne longueur de corde entre le parti et le gouvernement ? Jusqu'où peut-on la tendre ?", s'interrogeait la porte-parole du PS. Plus d'un an après l'élection de François Hollande à l'Elysée et huit mois après la désignation d'Harlem Désir comme premier secrétaire du PS, aucun socialiste n'a encore trouvé la réponse.
Libé (abonnés) - Hollande, l’envers du discours
Grand angle Lui Président, il tient à réécrire chacun de ses discours, à la différence de son prédécesseur. Lui Président, il ne délègue pas sa parole, pour le meilleur et pour le pire. Comment les plumes de l’Elysée s’accommodent-elles de cette tutelle ? Petit tour en coulisses.
Tribune de Lyon - PS. Collomb veut se faire entendre
Cette fois, Gérard Collomb semble décidé à faire entendre ses idées. Voilà des années que le maire de Lyon plaide en faveur d’une ligne sociale-réformiste et qu’il tente de convaincre les socialistes de la pertinence de son “modèle lyonnais”, inspiré de Saint Simon, qui donne la priorité aux entreprises
Le Monde - Les associations de banlieue réclament "du concret" à Hollande
Deux mois séparent les deux déjeuners avec le président de la République et c'est toujours le même espoir. Lundi 24 juin, pour la deuxième fois, François Hollande avait convié les représentants d'associations de banlieue. Le 26 avril, il les avait reçus, écoutés, avait acquiescé à leur état des lieux alarmant des quartiers populaires, pour finalement leur demander de lui apporter des propositions concrètes.
La Commission européenne a réagi avec virulence, lundi 24 juin, aux dernières attaques contre son président, en assimilant une partie de la gauche française à l'extrême droite, en pleine polémique en France sur une nouvelle poussée du Front national.
Les Echos - UE: Montebourg dénonce le "fétichisme des 3%" pour les déficits publics
Le ministre français du Redressement productif Arnaud Montebourg a dénoncé vendredi le "fétichisme des 3%" de déficit public maximum fixé par le Pacte de stabilité et estimé que la croissance en Europe était étouffée par "l'obsession des comptes publics" et les plans d'austérité.
24 juin
Dans une interview désormais culte au journal La Provence, la députée PS Karine Berger se considère comme « l’un des députés les plus visibles ». C’est certainement le cas depuis la publication de cette interview qui a déclenché l’hilarité générale, notamment sur les réseaux sociaux.
Le Figaro - Laurent Bouvet : «Le front républicain ne prend plus électoralement»
INTERVIEW - Selon le politologue, une partie de l'électorat n'a plus envie de voter pour des candidats dont il n'attend plus rien et auxquels il ne fait plus confiance. C'est parmi les abstentionistes que le FN recrute ses nouveaux électeurs.
Le Monde - Nouvelle chute de popularité de François Hollande
La cote de popularité de François Hollande a connu une rechute en juin, après une brève embellie le mois précédent, selon le baromètre mensuel de l'Ifop pour le Journal du dimanche. Le président français ne bénéficie que de 26 % d'opinions favorables (contre 29 % auparavant), son premier ministre Jean-Marc Ayrault perdant deux points à 31 %.
Non, Stéphane Le Foll ne consacre pas moins de temps aux agriculteurs qu'au PS. C'est le message martelé par le ministère de l'Agriculture après les critiques du président de la FNSEA, Xavier Beulin.
Le Monde - A Villeneuve-sur-Lot, le front républicain en lambeaux
Au soir du premier tour de l'élection législative partielle dans la 3e circonscription du Lot-et-Garonne, dimanche 16 juin, le candidat socialiste, Bernard Barral, éliminé, avait appelé à "faire barrage" au FN. Appel relayé par les responsables locaux et nationaux du PS. Le candidat de l'UMP, Jean-Louis Costes, avait mollement saisi la main tendue par son rival, tandis que Jean-François Copé et François Fillon appelaient les électeurs à se mobiliser derrière lui "afin de sanctionner la politique conduite par François Hollande".
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