Quelles leçons tirer de la présidence de François Hollande entre 2012 et 2017 ? Quelles réussites ? Quels échecs ? Dans le cadre du travail de la Fondation Jean-Jaurès sur l’inventaire du quinquennat, Gilles Finchelstein, Anne Muxel et Daniel Cohen et Alain Bergounioux ont interrogé l’ancien président de la République à la Maison de la Chimie.
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Sélection été : Fondation Jean Jaurès - Inventaire du quinquennat 2012-2017
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Slate - Macron fait la même erreur que Hollande: oublier l’individualisme
À moins de contraindre les entreprises à créer des emplois, les Français et Françaises préféreront rester au chômage.
Mardi 3 juillet, l’Insee publiait un rapport présentant les effets sur l’emploi des politiques économiques de François Hollande. Sur plus d’une centaine de pages, l’institut national de statistique revenait sur les mesures phares de l’ancien président socialiste –le CICE, la prime à l’embauche, le pacte de responsabilité, les baisses de cotisations patronales– et montrait en quoi celles-ci avaient participé, directement ou indirectement, à la réduction du chômage.
Et les conclusions devraient satisfaire bons nombres de défenseurs de la «Hollandie». «Les mesures économiques destinées, sous le précédent quinquennat, à inverser la courbe du chômage ont, de 2013 à 2017, directement enrichi la croissance d’environ 300.000 emplois.» Autrement dit, en quatre ans, 75.000 emplois nets ont été créés grâce aux actions, pourtant longtemps décriées, de François Hollande.
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Public Sénat - Hollande est-il un obstacle à la reconstruction du PS ? - On va plus loin (07/06/2018)
Avec : Yves DERAI : Rédacteur en chef du Parisien Week-End, Michaël DARMON : Editorialiste à Sud Radio, Gabrielle DEYDIER : Fondatrice du webzine culturel « Ginette le Mag », Floran VADILLO : Président du think tank l’Hétairie , Alexia GERMONT : Présidente-fondatrice du think tank France Audacieuse, Françoise DEGOIS : Présidente de l’Agence citoyenne, Stéphane VERNAY : Rédacteur en chef délégué et directeur de la rédaction Ouest France à Paris. Présenté par Rebecca FITOUSSI.
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"François Hollande dans la recherche effrénée de popularité", décrypte Alba Ventura
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Fondation Jean Jaurès - Inventaire du quinquennat 2012-2017
Quelles leçons tirer de la présidence de François Hollande entre 2012 et 2017 ? Quelles réussites ? Quels échecs ? Dans le cadre du travail de la Fondation Jean-Jaurès sur l’inventaire du quinquennat, Gilles Finchelstein, Anne Muxel et Daniel Cohen et Alain Bergounioux ont interrogé l’ancien président de la République à la Maison de la Chimie. Avec :
- François Hollande, ancien président de la République ;
- Daniel Cohen, président du Conseil d’orientation scientifique de la Fondation Jean-Jaurès ;
- Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès ;
- Anne Muxel, directrice de recherche CNRS en science politique au Cevipof, administratrice de la Fondation Jean-Jaurès ; Alain Bergounioux, historien, administrateur de la Fondation Jean-Jaurès, coordinateur du rapport de la Fondation « Inventaire du quinquennat ». -
La négociation selon Poutine : les révélations de François Hollande
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Hollande au JDD sur le congrès du PS : "Ni interférence, ni indifférence..."
Pour la première fois, l’ex-président François Hollande ne s’agite pas en coulisses dans la désignation du futur chef du PS.
Comme Ponce-Pilate, il s’en lave les mains. François Hollande, pour la première fois depuis longtemps, ne mettra pas les mains dans le cambouis du congrès du PS, les 7 et 8 avril prochains. L’ancien président, qui fut aussi pendant onze ans le premier secrétaire du parti (de 1997 à 2008), avait pendant plus de deux décennies allègrement tiré les ficelles de cette grand-messe socialiste. Cette fois, c’est bel et bien fini. "Il reste à distance et laisse tranquillement les choses se faire, indique son entourage. Il a son avis, mais ne le donnera pas publiquement.
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L'actualité des socialistes : revue de presse hebdomadaire du 26 janvier au 1er février
A LA UNE
Le Point - Parti socialiste : quatre hommes pour un destin
Faure, Le Foll, Carvounas et Maurel s'opposent pour prendre la tête du Parti socialiste. Tour d'horizon de leurs soutiens et de leurs propositions.
Ils sont finalement quatre sur la ligne de départ. Quatre hommes à avoir obtenu le nombre suffisant de parrainages lors du conseil national du 27 janvier pour se présenter à l'élection du douzième premier secrétaire du Parti socialiste : Olivier Faure, Stéphane Le Foll, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel. Textes d'orientation et listes des soutiens sous le bras, ils feront campagne au moins jusqu'au 15 mars dans la plupart des fédérations et sections du pays, date à laquelle les militants du parti à la rose (environ 40 000 espérés) voteront pour les départager et ainsi refonder les instances du parti.
MARK LILLA
Libé, Laurent Joffrin - Quand l’identité a fait sombrer la gauche américaine
Contempteur de la politique démocrate «versus» Clinton et Obama, l’historien Mark Lilla reproche aux progressistes d’avoir abandonné les classes populaires au profit des minorités. Un essai qui fait polémique outre-Atlantique.
Voilà un Américain de gauche (un «liberal», dit-on aux Etats-Unis) qui énerve autant la gauche que la droite. Mark Lilla est un professeur d’histoire des idées à l’université Columbia qui est soudain devenu le centre d’une furieuse polémique. Né à Detroit, habitant aujourd’hui Brooklyn, il écrit régulièrement dans la New York Review of Books et dans le New York Times. Son petit livre, The Once and Future Liberal («l’homme de gauche d’hier et de demain»), a suscité un tumulte du diable dans les cercles de la gauche américaine, universitaire ou militante.
L'historien américain des idées a accordé un entretien fleuve au FigaroVox. Pour le professeur de Colombia, l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche a mis en lumière les limites et les dangers de la politique des identités particulières.
Mark Lilla est un politiste, historien des idées et journaliste américain né en 1956. Professeur d'Humanités à l'Université de Colombia, spécialiste de l'héritage des Lumières, il vient de publier The Shipwrecked Mind (éd. New York Review Books, 2016).
LAICITE
Le Monde - Les signe religieux « ostensibles » interdits dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale
Le texte adopté recommande aux députés une tenue vestimentaire « neutre » et une « expression exclusivement orale ». Une mesure qui va contre la liberté d’expression pour certains élus.
De 1945 à 1951, l’abbé Pierre, député (apparenté MRP, c’est-à-dire démocrate-chrétien) de Meurthe-et-Moselle, siégeait en soutane dans l’hémicycle. Une telle situation ne pourra plus se reproduire. Le bureau de l’Assemblée nationale a adopté, mercredi 24 janvier, une mesure interdisant le port de signes religieux « ostensibles » et contraignant les députés à avoir une tenue vestimentaire « neutre ».
GAFA
Le monde de l’information traverse une période de mutations dont l’issue est incertaine. Face à l’influence déclinante des médias traditionnels, les réseaux sociaux s’imposent comme des plateformes incontournables ; longtemps considérés comme des îlots de liberté face aux médias officiels, ils sont pourtant investis par une logique de marchandisation et de contrôle de plus en plus étroit de la part des multinationales… Juan Branco est avocat de Wikileaks. Docteur en droit, il analyse les bouleversements auxquels est sujette l’information (et, plus largement, la politique) dans le monde de Facebook et Google.
TEMPS DE TRAVAIL
Libé - Temps de travail: France-Allemagne à fronts renversés
Malgré un chômage au plus bas, la réduction du temps de travail a le vent en poupe outre-Rhin, alors que dans l’Hexagone, pourtant en moins bonne posture, la question est passée de mode.
C’est le paradoxe France-Allemagne. Du moins en apparence. Alors qu’outre-Rhin, le taux de chômage est au plus bas depuis la réunification, provoquant, notamment dans l’industrie, des difficultés de recrutement, le mouvement syndical revendique une nouvelle baisse du temps de travail. Or qui dit RTT dit embauches supplémentaires, donc accroissement des difficultés de recrutement pour les employeurs. A l’inverse, dans l’Hexagone, où le chômage peine à descendre franchement en dessous des 10 %, plus personne ou presque n’évoque la question.
ALSTOM
Le Monde - Alstom-Siemens : une plainte pour « négligence » qui vise l’Etat
L’association anticorruption Anticor reproche au ministère de l’économie et des finances d’avoir renoncé à un gain financier d’au moins 350 millions d’euros lors de la prise de contrôle du français Alstom par l’allemand Siemens.
Dans le mariage du groupe ferroviaire français Alstom avec l’allemand Siemens, l’Etat a-t-il perdu 350 millions d’euros ? C’est la certitude de l’association anticorruption Anticor. Son président, Jean-Christophe Picard, a déposé au parquet national financier, mardi 30 janvier, une plainte « contre X » pour « négligence par personne dépositaire de l’autorité publique », confirmant une information du Canard enchaîné du mercredi 31 janvier. Elle réclame l’ouverture d’une enquête.REVENU UNIVERSEL
OFCE - L’expérimentation du revenu universel est-elle possible ?
Dans une tribune intitulée « Revenu universel, l’impossible expérimentation », je souligne les limites des expérimentations en cours et à venir du revenu universel[1] : échantillons trop petits et non représentatifs, limites inhérentes au tirage au sort (absence des effets d’équilibre sur le marché du travail ; absence d’« effets de pair »[2]). Clément Cayol a répondu à ma tribune sur le site du Mouvement Français pour un Revenu de Base (« M Allègre : les expérimentations de revenu de base sont un chemin possible vers l’instauration »). Il propose d’expérimenter le revenu universel sur des « sites de saturation » (par exemple un bassin d’emploi). L’idée serait de choisir certains bassins d’emploi comme groupe de traitement (par exemple Toulouse et Montbéliard) et d’utiliser des bassins d’emploi qui ont des caractéristiques proches comme groupe de contrôle (Bordeaux et Besançon ?). En comparant les différences de comportement entre les deux groupes (en termes d’emploi, de temps partiel, de salaires…), on pourrait connaitre l’impact du revenu universel. Une telle expérimentation a lieu dans un village kényan.
TRANSPORTS
Le Monde - Transport : les trois scénarios d’investissement de la commission Duron
Le rapport de l’ancien député socialiste et maire PS de Caen propose à l’exécutif d’investir de 48 milliards à 80 milliards d’euros dans les infrastructures de transport d’ici à 2037.
« Tout n’est donc pas possible. Il faut choisir. » Ainsi commence le rapport du Conseil d’orientation des infrastructures, soit 212 pages remises à la ministre des transports, Elisabeth Borne, jeudi 1er février par son président, Philippe Duron, ancien député socialiste, ex-maire PS de Caen et figure éminente du transport. Au bout de cinq mois de travail, le gouvernement dispose d’un outil censé lui permettre de décider quels grands travaux d’infrastructures – autoroutes, lignes à grande vitesse, canaux de grand gabarit, travaux ferroviaires d’envergure – seront possibles au cours des vingt prochaines années.LEGISLATIVES
DECODAGE
Le Monde - 35 heures contre CICE : les arguments réducteurs d’Adrien Quatennens
Une affirmation péremptoire du député du Nord fait ressurgir la question du chiffrage de l’efficacité des deux dispositifs en termes de créations d’emploi.
Invité de l’émission « Politiquement show » sur LCI, mardi 23 janvier, le député de La France insoumise Adrien Quatennens a commenté les dernières annonces de création et de suppression d’emplois en jugeant que « dans ce pays, on supprime plus d’emplois que l’on en crée avec les effets de la politique d’Emmanuel Macron ».
Le député du Nord a ensuite ajouté que la réforme des 35 heures avait été la mesure la plus créatrice d’emplois des dernières décennies, quand le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) n’aurait eu à l’inverse qu’« un impact très limité ». Sa sortie a provoqué de nombreuses réactions, notamment sur les réseaux sociaux.
HOLLANDE
Slate - Et si la politique de François Hollande avait finalement relancé l'économie française?
Il a fini à 4% d'opinions favorables. Et pourtant, son action est peut-être plus bénéfique pour le pays que sa cote de popularité ne le laisse penser.
Dans l’inconscient collectif, François Hollande restera l’un des –si ce n’est le– présidents le plus haï de la Ve République. Les sondages d’opinion publiés sur la toute fin de son mandat (2016-2017) faisaient état d’une cote de popularité de 4%, une détestation encore jamais vue dans l’histoire politique française.
Pour les observateurs, cette dégringolade était due à une absence totale de bilan, à un reniement du programme de gauche qui l’avait porté au pouvoir en 2012 et à une incapacité à faire consensus au sein de son propre camp.
PS
TV5monde - PS: Faure veut en finir avec la primaire ouverte
Olivier Faure entend, s'il prend la tête du PS, en finir avec la primaire ouverte pour désigner le candidat du parti à la présidentielle, en restreignant le corps électoral à ceux qui auront pris part à la construction du projet du PS d'ici-là.
"Je souhaite que le corps électoral, que ceux qui participent au vote des primaires, ce soit ceux qui pendant trois ans auront accompagné la reconstruction de la gauche", a affirmé dimanche à Pantin (Seine-Saint-Denis) le président du groupe PS à l'Assemblée, au lendemain du lancement de la campagne pour le poste de premier secrétaire.
Le Figaro - Les parlementaires PS éludent les résultats «calamiteux» des partielles
Une chape de plomb. Au Sénat comme à l'Assemblée, les parlementaires socialistes ne se sont pas étendus sur les très mauvais scores de leur parti lors des législatives partielles de dimanche. Le PS pourtant, dans le Val d'Oise comme dans le territoire de Belfort, a été relégué au rang de petit parti. En 6e position à Belfort, le PS n'a réuni que... 2,6% des voix. Un score à peine meilleur dans le Val d'Oise avec 6,88%.
Le Figaro - Congrès PS : Emmanuel Maurel, candidat favori... de la France Insoumise
Même s'ils ne sont - évidemment - pas invités à voter pour le futur Premier secrétaire du PS, les Insoumis ont déjà trouvé leur candidat. Sans surprise, il s'agit d'Emmanuel Maurel, seul représentant de l'aile gauche du parti dans la course. «S'il gagne, ça change l'orientation du PS et ça poserait la question d'un travail commun», a déclaré lundi Manuel Bompard, le coordinateur des campagnes de La France insoumise devant plusieurs journalistes et rapporté par l'AFP. Emmanuel Maurel «respecte et tient compte de la force politique que nous sommes», a-t-il également estimé.
Le JDD - Carvounas, Faure, Le Foll, Maurel… Qui sera le prochain patron du PS?
Quatre hommes - Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel - sont officiellement candidats au poste de premier secrétaire du PS, Julien Dray n'ayant finalement pas présenté de candidature et celle de Delphine Batho ayant été rejetée.
Le Monde - Congrès du PS : quatre hommes en lice, le texte de Delphine Batho recalé
Quatre hommes brigueront la tête du Parti socialiste lors du 78e congrès : Emmanuel Maurel, Luc Carvounas, Olivier Faure et Stéphane Le Foll.
Pas de surprise. Le Conseil national (CN) du Parti socialiste (PS), réuni à Paris samedi 27 janvier, a validé quatre textes d’orientation dans le cadre de son 78e congrès qui devra désigner le nouveau premier secrétaire. Il s’agit de ceux de Luc Carvounas (« Un progrès partagé pour faire gagner la gauche ») ; de Stéphane Le Foll (« Cher.e.s camarades ») ; d’Olivier Faure (« Socialistes, le chemin de la renaissance ») et celui d’Emmanuel Maurel (« L’Union et l’espoir »).Libé - Au PS, quatre hommes, un baron et un contre-congrès
Un samedi après-midi à deux ambiances. La première sans suspense : comme prévu, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Emmanuel Maurel postulent officiellement au poste de premier secrétaire du PS. Quatre hommes. Ils étaient présents lors du conseil national du parti à la Maison de la chimie, à Paris. La direction a validé leur dossier. Face à la presse, les uns et les autres ont étalé leurs forces. Une manière de se tester avant de partir en campagne, pour présenter leur programme aux militants, enfin ceux qui restent, à travers le pays.
Le Figaro - Quatre candidats pour diriger le Parti socialiste
Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, aura face à lui l'ex-ministre Stéphane Le Foll, le député Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, représentant de l'aile gauche.
Quatre hommes en lice pour un parti en miettes. Le Parti socialiste, rassemblé samedi pour un conseil national, a lancé le top départ de son congrès qui aboutira les 7 et 8 avril prochains par l'installation d'un nouveau premier secrétaire. Tous les postulants se sont rendus à la maison de la Chimie (VIIe arrondissement) pour y déposer leur texte d'orientation (ex-motion).
Libé - Quatre candidats pour prendre la tête d’un PS à la dérive
Quatre hommes -Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel- vont être déclarés officiellement candidats samedi pour briguer la tête du PS et tenter de lui redonner vie après les débâcles électorales de 2017....
En tout état de cause, l’aile gauche apparaît très divisée, entre Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, son représentant naturel.
Chantre de l’union de la gauche, l’un des rares députés à ne pas avoir voté la confiance au gouvernement en juillet, M. Carvounas a obtenu samedi matin le soutien des amis de Benoît Hamon restés au PS, selon le député Régis Juanico.
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Un peu d'histoire : La marche républicaine, plus d'un million de personnes à Paris (INA, 2015)
Reportage consacré à la marche républicaine en soutien aux familles des 17 victimes de l'attentat de Charlie Hebdo, de la prise d'otages du supermarché cacher et de la fusillade de Montrouge, et en faveur de la liberté d'expression. Cette manifestation a réuni plus d'un million de personnes à Paris. Commentaire sur des images factuelles et des inteviews de manifestants.Images du Président de la République François HOLLANDE réconfortant et prenant dans ses bras Patrick PELLOUX, médécin urgentiste et collaborateur au journal "Charlie Hebdo" et disant quelques mots aux familles des victimes de l'Hyper Cacher de la Porte de Vincennes. En alternance avec des images de la marche et des microtrottoirs d'anonymes, images de différents cortèges, celui de l'équipe de Charlie Hebdo avec Bernard BRIARD, Sigolène VINSON, Patrick PELLOUX, LUZ, Zineb El RHAZAOUI, le cortège des chefs d'Etats avec François HOLLANDE entouré d'Angela MERKEL, Chancelière allemande et de Ibrahim Boubacar KEITA, Président du Mali, Benyamin NETANYAHOU, Premier Ministre d'Israël et Mahmoud ABBAS, Président de l'Autorité Palestinienne, etc, et le cortège des responsables religieux avec Dalil BOUBAKEUR, Recteur de la Grande Mosquée de Paris. Image insolite un homme embrasse un CRS.
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RTL : "François Hollande ne veut pas revenir, il veut 'être'", décrypte Alba Ventura
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Huffington Post - Pour Hollande, le PS "a un avenir" et la gauche n'est pas incarnée par Mélenchon
La première grande interview de l'ancien président depuis son départ de l'Élysée.
François Hollande a estimé ce jeudi 14 décembre sur RTL que le Parti socialiste avait "un avenir", le chef de file de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon ne pouvant à ses yeux prétendre incarner la gauche.
"Le parti socialiste, s'il veut être une force de gouvernement, a un avenir. Après il verra les choix qu'il peut faire aux élections, mais il a un avenir, parce que la sociale-démocratie européenne a un avenir", a déclaré l'ancien chef de l'Etat, au cours de sa première grande interview depuis son départ de l'Elysée.
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