Pierre JOXE - Rencontres de Marennes 2015 par agauchepourgagner
frondeurs - Page 2
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Pierre Joxe à Marennes 2015
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FDG Pierre Bénite - Pierre Joxe met la fessée à Gattaz, Macron et consorts...
Devant les frondeurs socialistes réunis à Marennes, Pierre Joxe a défendu avec vigueur le code du travail, « accumulation de conquêtes juridiques lentes », ironisant sur le patron du Medef Pierre Gattaz, Emmanuel Macron ou le secrétaire d'État vallsiste Jean-Marie Le Guen. « Si l'on veut entrer dans l'histoire, mieux vaut choisir la bonne porte. » Verbatim.
Pierre Joxe, avocat et plusieurs fois ministre de François Mitterrand et figure socialiste, a répondu à Emmanuel Macron et Pierre Gattaz sur le droit du travail, un sujet qui lui tient à cœur.
Nous publions ici un verbatim de son discours prononcé ce vendredi 28 août à Marennes (Charente-Maritime)
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France 3 : Les frondeurs réunis à Marennes en marge de l'université d'été du PS
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Université d'été du PS : les débats ont déjà commencé chez les frondeurs
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L'actualité des socialistes du 30 juin au 12 juillet (mise à jour)
A la une
Libé - Grèce : Tsípras a-t-il vraiment capitulé ?
Le Premier ministre grec a cédé à la plupart des exigences de Bruxelles et du FMI mais a sauvé sa tête et sans doute évité le «Grexit».
LCP - Hamon : "Je n’ai pas adhéré au PS pour plafonner les indemnités de licenciement"
Le plafonnement des indemnités de licenciement, adopté dans la loi Macron, irrite toujours l’ancien ministre de l’Éducation : "Je n’ai pas adhéré au Parti socialiste pour plafonner les indemnités des salariés quand ils sont victimes d’un licenciement abusif, en infraction avec la loi ! Cette loi n’est pas socialiste, c’est une évidence, le premier secrétaire du parti socialiste l’a dit lui-même.
11 et 12 juillet
Libé - François Hollande en coach politique
Depuis une semaine, le Président manœuvre pour éviter le Grexit, naviguant habilement entre Angela Merkel et Aléxis Tsípras. Une stratégie qui ravit sa majorité.
L'Obs - "Génération radicale" de Boutih : au placard "le rapport de droite" ?
"Caricature", "pas crédible"... Depuis sa publication, le rapport du député PS fait l'objet de critiques sur la forme comme sur le fond. Au point d'être rapidement enterré ?
Les Echos - Le PS unanime contre le «Grexit», moins sur les moyens de l’éviter
Un débat sans vote se tient mercredi à l’Assemblée. Les socialistes sont unis sur l’essentiel, même s’ils sont divisés sur la suite à donner au règlement de la crise.
Metro - PS du Nord : Bernard Roman accentue la division anti-Aubry
POLITIQUE - Ennemi politique de Martine Aubry depuis des années, Bernard Roman, député PS du Nord, a déclaré ne pas vouloir céder sa circonscription à François Lamy, candidat désigné par la maire de Lille pour lui succéder.
Le Figaro - PS : Macron en vedette de l'Université d'été des réformateurs
L'aile droite du parti se réunira le jeudi 27 août près de Bordeaux. La veille de l'Université d'été du PS, le ministre de l'Économie interviendra
En conseil des ministres François Hollande a ironisé sur la présence de deux frondeurs à Athènes le 5 juillet. Contacté par “Les Inrocks”, l’un des deux intéressés, Gérard Filoche, lui répond.
9 et 10 juillet
Bureau national du PS du lundi 6 juillet 2015 : Intervention de Gérard Filoche
Jean-Christophe, si tu suis les conseils de Didier et Karine et que tu appelles Martin Schultz (il faut « mettre fin à l’ère » Schultz et pas à celle de Syriza, il faut respecter la démocratie quand on se dit social-démocrate) et Sigmar Gabriel (qui exige un « gouvernement de technocrates » contre le gouvernement Syriza légitimement élu), pour leur dire le désaccord du PS français sur les propos qu’ils ont tenu contre les Grecs et Syriza, prends aussi ton téléphone pour appeler Emmanuel Macron, ministre de notre gouvernement pour lui dire notre opposition à ses propos « le FN, c’est une forme de Syriza à la française, d’extrême droite ».
Le Marin - Arnaud Leroy dépose une proposition de loi qui détone
Comme il l’avait promis, le député PS Arnaud Leroy a déposé ce 9 juillet à l’Assemblée nationale une proposition de loi sur l’économie bleue cosignée par les députés PS membres de la commission du développement durable dont le président du groupe socialiste Bruno Le Roux. Elle ouvre notamment le Rif à la grande pêche et aux lignes passagers internationales, propose de nouvelles exonérations de charges et va dans le sens des manutentionnaires pour créer un comité des investisseurs dans les ports.
France Info - Hamon : "si la Grèce sort de l'euro, c'est la désagrégation de l'Europe"
Invité de France Info ce mercredi, le député socialiste des Yvelines Benoît Hamon a comparé la sortie de la Grèce de la zone euro à un "grand vertige", un danger pour "l'avenir de l'Europe".
Benoît Hamon refuse de croire à la sortie de la Grèce de la zone euro, "car sinon c'est un grand vertige et (...) on ouvre grand la perspective d'une désagrégation de l'Europe". Pour l'ancien ministre socialiste, la position d'Alexis Tsipras et la victoire du "non" au référendum vont permettre de recentrer le débat et les négociations : "le gouvernement grec, de gauche, a réussi à remettre de la politique dans les discussions européennes, on ne parle plus seulement de comptes publics".
Du 4 au 8 juillet
Le Monde - Valls tacle Sarkozy sur ses « analyses trop rapides » de la situation grecque
Manuel Valls a critiqué mercredi à l’Assemblée nationale l’ex-président de la République, Nicolas Sarkozy, et ses « analyses trop rapides » sur la situation grecque.
L’ancien président de la République avait estimé que la Grèce s’était placée « de fait » hors de la zone euro.
Libé - Ile-de-France : Bartolone et les leçons du hollando-mitterrandisme
Pour les régionales de décembre, le candidat sait qu'il doit commencer par rassembler son parti. La composition de son équipe de campagne est donc un joli numéro de saupoudrage socialiste.
Libé - Malek Boutih dresse un tableau noir de la jeunesse
Le député de l'Essonne Malek Boutih vient de remettre un rapport sur le jihadisme, au Premier ministre Manuel Valls. Intitulé «Génération radicale», ce document caricature une jeunesse en soif de reconnaissance, radicalisée et qui banalise la violence.
L'Humanité - Réaction du Parti socialiste à l’arrêt éventuel des «Guignols de l’info»
Communiqué de Patrick Bloche, Conseiller chargé des Médias auprès du Premier secrétaireLe Parti socialiste s'inquiète de l'éventuelle disparition des "Guignols de l'info" tant la liberté d'expression et donc de dérision est un des fondements de la démocratie.
Le Figaro - Réferendum grec: des frondeurs PS à Athènes
Deux représentants de l'aile gauche du PS, ainsi qu'une délégation du MRC, seront à Athènes pour le référendum de dimanche, afin de soutenir la gauche radicale Syriza, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes. Le député PS Pascal Cherki et Gérard Filoche, membre du bureau national du Parti socialiste, ont décidé de faire le déplacement. Pascal Cherki doit prendre la parole ce soir lors d'un meeting de Syriza dans la capitale grecque.
3 juilletChallenges - Podemos, Syriza: pourquoi la gauche française n'y arrive pas
L'ombre des dynamiteros de Syriza et de Podemos plane sur la gauche française. Pas un seul jour ne passe sans que l'un ou l'autre de ses responsables ne salue leur action ou leur modèle à grands renforts de discours ou de proclamations. Frondeurs en tous genre, communistes de toutes obédiences, écolos de toute nature, radicaux de tous poils: les voilà pour une fois réunis autour d'un même combat qui, à leurs yeux, est le seul qui puisse remettre l'Europe dans le droit chemin qui est celui de la démocratie véritable et de la prospérité retrouvée.
Le Lab - Malgré son retour dans les sondages, les ex-strauss-kahniens ne croient pas à un DSK 2017
DSK2017 - Ils ont fait sa campagne pour les primaires internes au PS en 2006...attendu désespérément son retour en 2011 et se sont largement dispersés après l'affaire du Carlton. L'équipe du QG des Planches (du nom de la rue des planches à Paris) qui travaillait à la victoire de son champion en 2007 s'est éparpillée entre direction du PS/gouvernement/fronde et Union européenne. Alors qu'un sondage Viavoice pour Libération publié jeudi 2 juillet donne l'ex-patron du FMI 2ème personnalité de gauche préférée des Français pour la présidentielle après Manuel Valls, Le Lab a interrogé certains ex-soutiens de DSK. Pour eux, pas question de retour.
Le Figaro - Djihadisme : le cri d'alarme de Malek Boutih
Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaro s'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.
Les frondeurs du Parti Socialiste vont se retrouver à Marennes en Charente-Maritime les 27 et 28 août juste avant la traditionnelle Université d'Eté du PS à La Rochelle, le dernier week-end d'août.
2 juillet
Le Figaro - François Hollande ne décolle toujours pas
L'impopularité du chef de l'État, notamment dans son camp, ouvre un espace politique pour Dominique Strauss-Kahn, selon le baromètre TNS Sofres du mois de juillet pour le Figaro Magazine.
TF1 - Crise grecque : "Le référendum grec met l'Europe au pied de ses contradictions"
Invité de l'émission "Choisissez votre Camp" sur LCI, Alexis Buchelay, député PS des Hauts-de-Seine a déclaré : "Le référendum grec nous met au pied de nos contradictions."
Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a qualifié jeudi de "faute" le refus de l'Allemagne de reprendre les négociations avec les...Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a qualifié jeudi de "faute" le refus de l'Allemagne de reprendre les négociations avec les Grecs avant la tenue dimanche du référendum sur les demandes des créanciers du pays.
Le Monde - Les frondeurs du PS vont manifester à Athènes
Plusieurs élus du Parti socialiste, membres des « frondeurs » et de la motion B au congrès de Poitiers, ont décidé d’exprimer leur soutien au peuple grec avant le référendum prévu dimanche 5 juillet. Une délégation doit se rendre à Athènes ce week-end. Parmi les élus qui devraient faire le voyage : le député de Paris Pascal Cherki, les eurodéputés de l’aile gauche du PS Emmanuel Maurel et Isabelle Thomas.Lors de leur premier Bureau national après le congrès de Poitiers, les socialistes ont décidé lundi soir de créer trois groupes de travail.Ils étaient tous là rue de Solférino lundi soir. Les socialistes ont tenu pendant plus de deux heures leur premier Bureau national (BN) depuis le congrès de Poitiers. Cette instance dirigeante dont la composition a été répartie en fonction du score des motions a installé trois commissions de travail sur l'Europe, l'international et la préparation du prochain budget. Objectif: établir en amont la position du parti sur les principaux sujets.Le nouveau Bureau national du Parti socialiste, désigné à la suite du Conseil national du 20 juin, était réuni pour la première fois lundi 29 juinLe Bureau national du Parti socialiste a fait salle comble, « une demande importante du Premier secrétaire depuis le Congrès ». La nouvelle organisation du Bureau national et du Secrétariat national y a été présentée.
Ainis, le Bureau national se tiendra désormais la veille de la réunion des groupes parlementaires, afin que les lignes soient définies au sein du Parti socialiste.
Manuel Valls s'est dit prêt à fermer des mosquées et à dissoudre des associations quand elles se montrent suspectes de complicités avec l'islamisme radicalL’accélération des événements et l’incertitude sur l’avenir de la Grèce ne doivent pas occulter que les créanciers, pendant près de quatre années, ont eu les mains libres en Grèce à travers la tutelle qu’exerçait la « troïka » [Commission de Bruxelles, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international] de facto sur toutes les réformes, entre 2011 et 2014.Le bilan des mesures imposées à la Grèce est catastrophique sur tous les plans : loin de maîtriser la dette grecque, elles l’ont fait exploser ; loin de renouer avec la croissance, elles ont amputé le produit intérieur brut (PIB) du pays de près de 25 % ; enfin, loin de reconstruire des capacités administratives fortes, elles ont déstructuré les administrations sans s’attaquer clairement à la levée de l’impôt.
30 juinEn cette fin du mois de juin, Jean Daniel Lévy revient en exclusivité sur les derniers chiffres du baromètre Harris Interactive / Délits d’Opinion. Hollande et Valls stabilisent leur cote de confiance, dans un contexte général où les politiques voient plutôt leur cote baisser.Respectmag - Hamon (PS): l’utilisation du terme « guerre de civilisation » aura des « conséquences négatives »Le député (PS) des Yvelines Benoît Hamon a jugé lundi que l’utilisation du terme « guerre de civilisation » par Manuel Valls n’était « pas bonne » et pouvait « avoir des conséquences négatives », y compris sur « notre territoire ».
« Je ne suis pas du tout d’accord avec cette analyse du conflit », a déclaré l’ex-ministre dans une interview vidéo sur le site des Echos.fr, interrogé sur la formule utilisée par le Premier ministre après les attentats de vendredi.La situation en Grèce va être « le sujet d’urgence de la semaine », explique l’Elysée, avec l’organisation dimanche 5 juillet du référendum sur le plan d’aide européen. Si François Hollande ne s’est pas entretenu durant le week-end avec le premier ministre grec, Alexis Tsipras, le chef de l’Etat a surveillé de près le risque d’un « Grexit » et la sortie du pays de la zone euro. Une réunion de travail s’est tenue dimanche en fin de journée à l’Elysée, avant un conseil restreint extraordinaire lundi 29 juin au matin.Critiqué pour avoir utilisé l’expression « guerre de civilisation » face au « terrorisme » islamiste lors de l’émission « Le Grand Rendez-vous » d’Europe 1, Le Monde et iTélé, le premier ministre, Manuel Valls, a tenu à préciser ses propos, s’étonnant qu’on lui fasse « un procès sur ce sujet-là ». Beaucoup y ont vu en effet une allusion au Choc des civilisations décrit par le professeur américain Samuel Huntington et repris par les néoconservateurs américains et notamment George W. Bush pour justifier la guerre en Irak.
L'Obs - Une "guerre de civilisation" ? "Certainement pas", répond Martine Aubry à Manuel Valls
L'expression de Manuel Valls passe décidément bien mal. Ce lundi soir, c'est au tour de Martine Aubry de prendre ses distances. A la question de savoir si, comme le Premier ministre, elle aurait utilisé l'expression "guerre de civilisation" après les attentats de vendredi, la maire de Lille répond : "certainement pas".
Mensquare - Valls toujours le candidat PS préféré des français pour la présidentielle
François Hollande n’a pas exclu la possibilité de se représenter à la présidentielle de 2017, mais Manuel Valls est toujours le candidat PS préféré des français.
Un nouveau sondage BVA mis en ligne ce dimanche confirme une nouvelle fois que le premier Ministre est à ce jour le candidat préféré des Français au PS, très loin devant Martine Aubry, Ségolène Royal ou encore François Hollande.
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Slate, Gaël Brustier - La fin de la fronde
Alors que Pablo Iglesias affirme espérer dans L’Obs que la social-démocratie européenne acceptera la main que les gauches radicales du Sud de l’Europe lui tendent, la «Fronde» se dégonfle comme une baudruche. Autopsie d’une longue parade vers le vide, précipité de l’impasse de la gauche française par rapport à la crise européenne.
Dans un entretien à L’Obs, Pablo Iglesias, leader de Podemos, affirme espérer que la social-démocratie européenne acceptera la «main tendue» des gauches radicales du Sud de l’Europe. On sait la social-démocratie européenne confrontée à une très grave crise et, comme l’avaient bien montré Fabien Escalona et Mathieu Vieira, à quatre dilemmes: celui de l’unité de cette famille politique en Europe (Est et Ouest), celui de son électorat, de son projet et de son rapport à l’intégration européenne. Le destin de la gauche –qu’il s’agisse d’ailleurs de la gauche radicale ou de la social-démocratie européenne– ne peut se comprendre sans un retour sur le rapport entretenu avec la construction européenne, dimension très superficiellement abordée par les «Frondeurs», qui ont pourtant attiré l’essentiel de l’attention médiatique cette dernière année.
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Indemnités prud’homales plafonnées: Manuel Valls se brouille à nouveau avec les frondeurs
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Le Monde - Les frondeurs du PS doivent fonder une coalition avec les Verts et le Front de gauche
Par Liêm Hoang-Ngoc et Philippe Marlière
Le congrès de Poitiers était le congrès de la dernière chance pour réconcilier le peuple de gauche avec le Parti socialiste (PS). Il est un nouveau congrès pour rien.
La fronde, a échoué. Le PS restera contrôlé par ceux qui n’entendent pas remettre en cause le virage néolibéral imposé par le chef de l’Etat. Pour ses vainqueurs, le congrès de Poitiers n’aura pas été, pour autant, un congrès de clarification. La direction n’a pas assumé au grand jour la ligne sociale-libérale du gouvernement, dont tous les membres ont signé la motion portée par le premier secrétaire. Ce dernier a esquivé le débat, en plagiant les propositions économiques de l’opposition de gauche, afin de ratisser large. Pire, cette manœuvre de congrès de la direction, devenue classique depuis que le PS d’Epinay existe (« un congrès se gagne à gauche », disait-on), décrédibilise une nouvelle fois le discours politique dont se détournent désormais nos concitoyens.
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Arnaud Montebourg aux côtés des frondeurs
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Pouria Amirshahi,(PS): «Il y a une dérive libérale et sécuritaire»
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L'actualité des socialistes du 9 au 22 février (mise à jour)
A la une
Francetvinfo - Rechute de popularité pour Hollande et Valls
Après le bond spectaculaire du mois de janvier, le chef de l'Etat et son Premier ministre voient leur cote de popularité reculer en février, selon un sondage publié dans "Le journal du dimanche".
22 février
Slate - Le choc brutal des légitimités économique et démocratique
Sur la loi Macron comme en Grèce se joue un affrontement entre les engagements pris devant les électeurs et les contraintes extra-politiques, entre les promesses et le savoir économique.
Razzy Hammadi ne veut pas revivre le psychodrame de la loi Macron. Et pour cela, le député de Seine-Saint-Denis a une proposition simple: interdire aux députés PS de voter contre les textes du gouvernement. Une mesure que l'élu verrait bien être intégrée au "règlement du parti" lors du congrès de Poitiers, comme il le confiait au Figaro jeudi . Problème ? Cela n'est pas vraiment compatible avec la Constitution qui stipule dans son article 27 que "tout mandat impératif est nul" et que le "droit de vote des membres du Parlement est personnel." Vendredi 20 février, l'ancien président du MJS a donc été obligé de mettre un peu d'eau dans son vin.
Is it a plane ? Is it a bird ? No, it's Arnaud Montebourg. Qu'on se le dise : ce n'est pas un miroir, fut-il gigantesque, qui va empêcher l'ancien ministre de l'Économie de faire ce qu'il lui plait. Arnaud Montebourg sera donc bien à Princeton lundi 23 février pour donner une conférence. Ce qui n'était pas garanti.
Le Lab - Comment les socialistes ont essayé de gagner la voix de Thomas Thévenoud sur la loi Macron
Le gouvernement de Manuel Valls n'était pas prêt à tout pour faire voter la fameuse loi Macron. Pas question, par exemple de devoir l'adoption à un député centriste ou UMP. Mais l'exécutif se serait quand même bien accommodé de la voix de Thomas Thévenoud.
L'Obs - Six Français sur dix pensent que le PS va imploser après la loi Macron
Six Français sur dix pensent que le Parti socialiste va imploser, à la suite des divisions nées du débat sur la loi Macron, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi.
DNA - Élections départementales : de 30 à 40 départements pourraient basculer
Entre trente et quarante départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars.21 février
Libé - Frondeurs: ressentiment et interrogations chez les socialistes
Le coup d’éclat des «frondeurs» sur la loi Macron a laissé des traces profondes de ressentiment chez plusieurs socialistes qui, pour certains, vont jusqu’à prôner l’exclusion pure et simple de ces députés rebelles.
Cette solution radicale de l’exclusion n’a toutefois pas les faveurs d’importantes personnalités socialistes, qui reconnaissent cependant que le PS doit observer une plus stricte discipline majoritaire.
Europe 1 - Pour Valls, le 49-3 est la faute de… Cambadélis
L’exécutif veut tirer les leçons de "l'épisode 49.3". Et surtout comprendre comment il en est arrivé à être contraint d'utiliser cette arme constitutionnelle pour faire passer la loi Macron. Selon les informations d'Europe 1, un homme est particulièrement dans le viseur de Manuel Valls : Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du parti socialiste est clairement accusé de ne pas avoir fait son job.
Difficile de s'y retrouver dans la loi Macron, car il y a tout et n'importe quoi : libéralisation du transport de car, travail le dimanche, révision des modalités de licenciement, financement des entreprises, etc. Mais il y a un article de loi injustement méconnu : il s'agit de l'article 34 sur l'allègement de la fiscalité des actions gratuites.
LCP - Thierry Mandon : les frondeurs « ne peuvent pas avoir des responsabilités » au PS
Le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat et à la Simplification était l’invité de Parlement hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi. Interrogé sur les « frondeurs » du PS qui ont contraint Manuel Valls à avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour passer en force sur la loi Macron, il a appelé à une forme de sanction
Les Echos - "Loi Macron" : et maintenant ?
Le texte a été adopté en première lecture à l'Assemblée au prix d'un recours douloureux à l'article 49-3. Il doit maintenant être examiné par le Sénat avant de subir l'épreuve de la seconde lecture au Palais-Bourbon. Dans quelles conditions ?
20 minutes - Motion de censure: «L’UMP est dans une obsession de revanche»
INTERVIEW C'est ce qu'estime Pouria Amirshahi, député PS des Français établis à l'étranger, et frondeur qui ne votera pas la motion de censure ce jeudi...
20 février
LCP - Hamon (PS) ne votera "évidemment" pas la motion de censure
Un des porte-voix de l'aile gauche du PS, Benoît Hamon, a dit jeudi qu'il ne voterait "évidemment" pas la motion de censure dans l'après-midi, estimant toutefois que la politique économique et budgétaire du gouvernement "échoue".
Le Point - 49.3 : le fossé se creuse entre PS et frondeurs
Les députés frondeurs n'excluent plus un changement de Premier ministre, tandis que le président du groupe Bruno Le Roux les appelle à "se ressaisir".
Le président de l'Assemblée appelle au rassemblement des socialistes après le traumatisme causé par le recours à l'article 49-3.
Slate - Derrière le 49-3 se cache le congrès du PS
Les grandes déclarations des uns et des autres sur la question du travail le dimanche ne servent que d’éblouissement idéologique alors que les choses importantes se passent dans les sombres coulisses: combien de voix chaque «motion» récoltera en juin? Qui mettra la main sur Solferino?
Le Figaro - Michèle Delaunay : « Le gouvernement a cédé au lobby du tabac »
INTERVIEW - Pour la députée PS de la Gironde et cancérologue, l'adoption d'un nouveau mode de calcul de la taxe du tabac résulte de la pression des cigarettiers et des buralistes.DÉCRYPTAGE Anticipant une nouvelle vague UMP et la montée du FN, le PS craint également des alliances naissantes à sa gauche.L'Obs - "Tout cela va se payer" : les députés dans la zone de turbulences
Au PS, frondeurs et partisans du texte d'Emmanuel Macron ont, sans surprise, campé sur leur position ce mercredi. Du pain béni pour l'opposition.
Boursorama - La loi Macron creuse les divisions du PS avant son congrès par Elizabeth Pineau
PARIS, 18 février (Reuters) - Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce aussi orageux que les récents débats entre le gouvernement et une partie de sa majorité.
19 février
Malgré l'annonce du gouvernement de recourir à l'article 49.3 et le fait que la loi Macron sera donc -vraisemblablement- adoptée, tout ne semble pas perdu pour les députés PS frondeurs qui espèrent encore faire plier l'exécutif sur sa ligne économique. Quitte à ce que cela entraîne le départ de Manuel Valls. Le changement de Premier ministre? "C'est une option" confirme Christian Paul, invité sur LCI, mercredi 18 février.
Libé - Loi Macron, Aubry «regrette qu'on n'ait pas continué à discuter»
Les réactions politiques sont nombreuses au lendemain de la décision du Premier ministre d'avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer la loi Macron.
"Ce n'est pas un politique." "Il n'a pas encore tous les codes du milieu." Ces déclarations de ténors socialistes pour parler d'Emmanuel Macron avant le début de l'examen de sa loi prennent désormais un sens nouveau. Au lendemain de la décision de Manuel Valls de passer en force, via le 49.3, c'est bien de l'échec du jeune ministre de l'Economie dont il est question.
Le Monde - Après Macron et Valls, François Hollande justifie le recours au 49-3
Après Emmanuel Macron et Manuel Valls, c'est au tour de François Hollande de justifier le recours à l'article 49-3 pour le projet de loi Macron.Marianne - Loi Macron : mais pourquoi Valls a-t-il choisi le passage en force ?
Manuel Valls vient donc d'annoncer qu'il utilise le mécanisme du 49-3 pour faire passer la loi Macron. Une surprise puisque les pronostics sur les votes étaient plutôt positifs. Une mauvaise nouvelle pour l'exécutif s'il envisageait de jouer la carte du rassemblement...
Hufington Post - Emmanuel Macron n'a pas sa carte de membre du Parti socialiste
Il a poursuivi ce qui devait être le service après-vente de sa loi. Après le 20 heures de France 2 mardi soir, Emmanuel Macron était sur RMC et BFMV ce jeudi matin. Mais le ministre de l'Economie en est réduit dans les deux cas à justifier le passage en force du gouvernement pour faire adopter son texte. "C'est un acte de responsabilité, pas d'autorité", a-t-il tenté de faire croire.
FranceTVinfo - La fracture profonde de la majorité
Au lendemain du passage sans vote de la loi Macron à l'Assemblée, la division est bien marquée entre le gouvernement de Manuel Valls et les dissidents de gauche, notamment socialistes.
Huffington Post - Loi Macron : les députés frondeurs menacés d'exclusion du PS
Au lendemain du recours à l'article 49-3 de la Constitution, certains défenseurs de la loi Macron l'ont mauvaise. En témoignent les menaces formulées par Stéphane Le Foll ou encore Bruno Le Roux à l'encontre des frondeurs qui ont poussé l'exécutif à faire passer en force le texte d'Emmanuel Macron.
Huffington Post - Motion de censure: les frondeurs ont-ils réfléchi au coup d'après?
.... Pas question en effet pour un seul frondeur de joindre sa voix à celle de l'opposition, pas plus que pour les élus écologistes. "Ne perdez pas votre temps avec ça, il n'y aura aucun frondeur qui la votera, la motion de censure", éludait dès mercredi Laurent Baumel qui ne préfère pas réagir aux menaces d'exclusion de la part du gouvernement.
L'Humanité - Les députés de gauche cherchent une parade au 49-3
Après le coup de force de mardi, la tension n’est pas retombée et le fossé ouvert à gauche est loin d’être comblé entre les deux lignes qui mettent aux prises un gouvernement minoritaire et des députés cherchant à faire respecter le Parlement. Au cœur des débats, le vote sur la motion de censure, prévu cet après-midi.
Professeur à Sciences-Po, le politologue Pascal Perrineau tire les enseignements du recours au 49-3 sur la loi Macron, et met en garde la classe politique : « L’opinion est inquiète et même en colère ».
Le Monde, Les décodeurs - Pourquoi la motion de censure a très peu de chances de passer
Découlant logiquement de l'utilisation de l'alinéa 3 de l'article 49 de la Constitution, l'Assemblée votera, jeudi 19 février, une motion de censure contre le gouvernement. Déposée par l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et l'Union des démocrates et indépendants (UDI), celle-ci a très peu de chances de passer. La motion de censure, si elle est approuvée, entraîne la démission du gouvernement. Jamais cependant une motion de censure n'a été adoptée après l'utilisation du 49-3.Pour la première fois sous le quinquennat de François Hollande, le gouvernement a décidé, ce mardi 17 février, d'avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution sur la loi Macron. Cet article autorise le gouvernement à faire adopter un texte sans vote, le seul moyen de l’empêcher étant le vote d’une motion de censure par la majorité absolue des députés dans les 24 heures.
La Tribune - Loi Macron : Valls dégaine le "49-3" pour faire passer le texte en force
Inquiet de ne pas avoir de majorité, Manuel Valls a décidé d'utiliser l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron
18 fevrier
INFO LCI. La loi Macron sera-t-elle votée ? Conseil des ministres exceptionnel à l'Elysée
Le Premier ministre a déclaré mardi matin devant les députés socialistes qu'à ce stade, le projet de loi Macron "ne passe pas" le cap du vote de l'Assemblée, ont rapporté plusieurs parlementaires à l'AFP. Selon nos informations, un conseil des ministres exceptionnel doit avoir lieu à 14h30 à l'Elysée.
Le JDD - Manuel Valls craint un rejet de la loi Macron
A quelques heures du vote prévu à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Manuel Valls a affirmé mardi matin devant les députés PS qu'à ce stade, "la loi Macron ne (passait) pas". Une partie des frondeurs socialistes envisage en effet de voter contre le texte du ministre de l'Economie, de même qu'une grande majorité des députés écologistes et des élus Front de gauche.
15, 16 et 17 février
Libé - Benoît Hamon (PS) votera contre la loi Macron
L’ancien ministre et député socialiste Benoît Hamon a annoncé dimanche qu’il voterait «contre» la loi Macron, regrettant que le gouvernement n’ait pas introduit dans le texte un plancher minimum de compensations pour les travailleurs du dimanche.
Non, Arnaud Montebourg ne s'est pas rangé parmi les soutiens de la loi Macron, qui doit être votée ce mardi 17 février à l'Assemblée. Un écho du Parisien relayait des propos de l'ancien ministre appelant les députés socialistes à voter le texte. Auprès du Lab, l'ancien ministre dément cette déclaration. Ce qu'avait souligné ce matin Benoît Hamon sur France Inter.
RTL - Hamon tacle Cambadélis, Valls le recadre : un mini congrès PS avant l'heure
LE DÉCODEUR POLITIQUE - En 24 heures, les piques lancées entre Benoît Hamon et Manuel Valls ont donné un avant-goût du congrès socialiste qui se tiendra en juin
Le JDD - Loi Macron : Hamon et les frondeurs font de la résistance
L'ancien ministre Benoît Hamon comme plusieurs députés frondeurs devraient voter mardi contre la loi Macron. Une position qui agace au plus haut point l'exécutif.
Libé - Loi Macron : la pêche aux voix in extremis
Après des semaines de débat, l’adoption définitive du texte a lieu ce mardi. Le nombre de votes contre côté PS s’annonce inédit.
L'Obs - Valls "sous influence juive" : BHL dénonce une "phrase immonde"
Répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin, l'ancien ministre PS Roland Dumas a provoqué un tollé en affirmant que Manuel Valls était "probablement" sous "influence juive".
Le Monde - Départementales : les écologistes préfèrent s’allier au Front de gauche
Chez les écologistes, la constitution des listes pour les élections départementales a relevé du travail de dentelle. Dans ce parti décentralisé, chaque région, voire chaque département, a eu toute latitude pour décider de sa stratégie d’alliance et du nom de ses candidats. Dans de nombreux départements, les choix se sont même faits canton par canton, ce qui peut donner un résultat en apparence confus.Le député PS "frondeur" Laurent Baumel souhaite que le système politique français se rééquilibre au profit du parlement, ce qui permettrait, à ses yeux, la suppression du droit de dissolution et de l'article 49/3. Dans une interview à L'Obs publiée aujourd'hui, l'élu d'Indre-et-Loire parle de "monarchie républicaine sans contre-pouvoirs parlementaires". Il déplore une "relégation des parlementaires au profit des cabinets ministériels", ce qui "coupe le pouvoir des réalités sociales".
Challenges - Travail dominical: "un recul démocratique" selon Hidalgo
C'est la dernière ligne droite pour le projet de loi Macron à l'Assemblée Nationale. Le débat se focalise sur la réforme du travail dominical, contre laquelle la maire de Paris s'insurge
RTL -Travail le dimanche : Macron dit non aux frondeurs
Agitant la menace de ne pas voter la loi, les députés PS "frondeurs" ont appelé Emmanuel Macron au "compromis politique" ce samedi.
Libé - Travail dominical: les frondeurs appellent Macron au «compromis», celui-ci dit non
Les députés PS «frondeurs» ont appelé samedi Emmanuel Macron au «compromis politique» sur le travail le dimanche, menaçant de ne pas voter son projet de loi mardi, mais le ministre a rejeté tout «compromis de façade» pour «rallier des voix».
Libé - Loi Macron: match en vue sur le volet social
Tout le monde attend le match gouvernement-frondeurs qui devrait se jouer ce week-end sur les bancs de l’Assemblée nationale. En jeu, les discussions sur le volet social du projet de loi pour l’activité, la croissance et l’égalité des chances économiques du ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Réforme des licenciements collectifs, allégement des sanctions applicables en cas d’entrave au fonctionnement des institutions représentatives du personnel, réforme prud’homale et mise en place d’un barème des indemnités de licenciement: les sujets de désaccord s’annoncent nombreux avant le vote global, mardi après-midi. Sans oublier l’enjeu du travail dominical qui divise la majorité.
Libé - Loi Macron : les frondeurs réduits à suivre le mouvement
Malgré des interventions visant à attaquer le projet de loi, les députés PS contestataires pèseront peu dans la balance lors du vote.
Libé - La caution de deux «frondeurs» sur le travail dominical
Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux, les appelle ses «super-héros». Sa «carte maîtresse» pour emporter la pleine adhésion des socialistes lors du vote du projet de loi Macron le 17 février. C’est que Stéphane Travert et Denys Robiliard, rapporteurs thématiques des deux chapitres du texte les plus polémiques à gauche - l’ouverture des commerces le dimanche et la réforme du droit de licenciement économique -, sont étiquetés «frondeurs».
FranceTVinfo - Loi Macron : feu vert au travail du dimanche
En France, le texte sur le travail du dimanche va être assoupli et étendu. L'article du projet de loi Macron a été voté par les députés ce samedi 14 février.
Le Parisien - Les ministres bâillonnés pour le congrès du PS
Pour éviter les couacs, Matignon a donné l'ordre aux ministres de ne pas signer de contribution en vue du congrès du PS, en juin. Des consignes qui agacent.
Le Parisien - PS : le coup de force de Cambadélis
Jean-Christophe Cambadélis fait plus que jamais figure de favori pour garder la tête du PS. L'actuel patron des socialistes dévoile ce matin la liste de ses soutiens en vue du congrès prévu en juin à Poitiers (Vienne). Selon nos informations, pas moins de 270 parlementaires le rejoignent.
12, 13 et 14 février
Boursier.com - Les cotes de François Hollande et Manuel Valls retombent
Un mois après les attentats de Paris, François Hollande et Manuel Valls perdent respectivement 5 et 6 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.
L'Express - Le régime des intermittents introduit dans la loi au printemps
Paris, 11 fév 2015 - Le Premier ministre Manuel Valls a précisé mercredi que le régime spécifique des intermittents du spectacle serait inscrit dans la loi "rapidement, dès la mi-2015", probablement dans le projet de loi de modernisation du dialogue social présenté au printemps.
Le Lab - Quand Hollande, Moscovici et Pellerin faisaient l’école buissonnière à la Cour des comptes
La Cour des comptes dévoile ce mercredi 11 février son traditionnel rapport public annuel, diagnostic redouté de la gestion de la dépense publique en France. L’occasion de se pencher sur les jeunes années passées à la Cour des comptes par François Hollande et d’autres figures de la majorité issues de l’institution fondée par Napoléon Ier.
Les Echos - Départementales : dans les Bouches-du-Rhône, Guérini mène toujours le bal à gauche
L’ex-homme fort du Parti socialiste, qui n’a pas perdu son influence sur la gauche départementale, se présente à Marseille.RECONVERSION BIS - Selon l’AFP, l’ancien ministre de l’Economie et du Redressement productif va donner des cours de macroéconomie à Princeton, une prestigieuse université américaine du New Jersey du 16 au 26 février.Le Monde - Les députés ne pourront plus acheter leur permanence avec leur indemnité
Un pas de plus vers le contrôle. Mercredi 18 février, en recevant le rapport des députés-questeurs en charge des finances du Palais-Bourbon, le bureau de l’Assemblée nationale devrait prendre une décision radicale concernant l’IRFM, cette « indemnité représentative de frais de mandat » dont dispose chaque député. D’un montant de 5 770 euros bruts mensuels, elle s’ajoute à la rémunération nette des élus et est régulièrement l’objet de critiques et de polémiques car elle n’est soumise à aucun contrôle et non imposable. Plusieurs députés se sont déjà fait attraper la main dans le sac, utilisant cette somme normalement réservée à leurs frais professionnels pour des cadeaux ou des voyages personnels. Si le président (PS) de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a déjà fait baisser de 10 % cette indemnité dès le mois de juin 2012, des anomalies persistent dans son utilisation.L'Express - Congrès du PS: qui défiera vraiment Jean-Christophe Cambadélis?
Par la pluie de textes déposés en amont du Congrès du PS, les socialistes manifestent plus leur envie de débat que de changement de tête. Mais si les départementales se passaient mal, qui pourrait monter au créneau pour briguer le poste de premier secrétaire du parti?
11 février
Le Dauphiné Libéré - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a un risque d’éclatement du PS»
Dans une interview à paraître demain dans notre journal, Jean-Christophe Cambadélis n’exclut pas le risque d’éclatement du parti socialiste, dont il est le Premier secrétaire
Le JDD - Trois ministres se risquent aux départementales
Peu de membres du gouvernement mèneront campagne. Cinq d’entre eux ont un mandat départemental, mais seuls Patrick Kanner, André Vallini et Ségolène Neuville se représentent.
Le Figaro - À Marseille, Manuel Valls tourne la page des attentats
Le déplacement de deux jours du premier ministre dans la Cité phocéenne s'est déroulé dans une ambiance tendue, bien loin de l'état d'esprit des manifestations du 11 janvier.
L'Obs - Barbier devant les députés PS: "cette victoire est collective"
Le socialiste Frédéric Barbier, qui a remporté dimanche face au FN la législative partielle dans le Doubs, a salué mardi devant les députés de son groupe une "victoire collective", a constaté une journaliste de l'AFP.
L'Express - Congrès du PS: à quoi joue Martine Aubry avec sa contribution?
Martine Aubry n'a pas signé la contribution de Jean-Christophe Cambadélis, en amont du Congrès de Poitiers. Pire: la maire de Lille a déposé sa propre contribution. Mais elle n'en est pas encore à vouloir reprendre la tête du PS.Le JDD - Karine Berger : "La gauche a le devoir absolu de réhabiliter l'impôt citoyen"INTERVIEW – La députée socialiste, Karine Berger, se dit "choquée" par l'affaire des Swissleaks, qui met en lumière un vaste système de fraude fiscale via la banque HSBC. Membre de la commission des finances de l'Assemblée nationale et secrétaire national du PS à l'Economie, elle redoute les conséquences de ce nouveau scandale.
10 février
Le Figaro - Sondage : après l'embellie post-Charlie Hebdo, François Hollande replonge
La hausse spectaculaire du président de la République dans les sondages aura été de courte durée selon le baromètre Ipsos-Le Point.
Le Monde - Quand Jean-Christophe Cambadélis cible Bruno Le Maire
Bruno le Maire, l’homme le « plus dangereux » à l’UMP ? C’est en tout cas l’avis de Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS. Dimanche, sur Radio J, le premier secrétaire, au lendemain du conseil national de l’UMP, a également estimé que Nicolas Sarkozy « fait flop », Alain Juppé « fait toc ».C'est devenu un classique, à droite, pour justifier une défaite ou évoquer une bataille électorale impliquant le FN et le PS : les renvoyer dos à dos. C'est ce qu'a fait Brice Hortefeux, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, à propos de l'élection partielle du Doubs, remportée sur le fil par le PS.Le Monde - Travail le dimanche : Hidalgo conditionne son soutien aux nouvelles zones
La maire de Paris, Anne Hidalgo (PS), s'est dite ouverte, lundi 9 février, à la création de zones touristiques internationales à Paris, prévues par le volet sur le travail du dimanche de la loi Macron. L'édile a cependant conditionné ce soutien à la condition que le dernier mot revienne aux élus locaux plutôt qu'à l'Etat.Le Point - Législative dans le Doubs : le PS l'emporte d'une courte tête
Le socialiste Frédéric Barbier est élu : il obtient 51,43 % des voix contre 48,57 % à la candidate du Front national Sophie Montel.
Le Parisien - Législative dans le Doubs : Frédéric Barbier (PS), le discret laboureur
... Frédéric Barbier, 54 ans, cadre d'Electricité réseau distribution France (ERDF), est un homme de terroir d'un naturel prudent. Vice-président du conseil général du Doubs depuis 2011, cet enfant du pays (il est né à Audincourt et a grandi à Pont-de-Roide, dont il a été premier adjoint au maire) est propulsé au Palais-Bourbon en 2012 en tant que suppléant de Pierre Moscovici, nommé ministre de l'Economie.
9 février
Marianne - PS : à l'approche du congrès, alerte au tripatouillage !
Le PS réunit son Conseil national ce samedi. A cinq mois du prochain congrès, la tension monte d'un cran entre les différentes sensibilités du parti. En cause, le flou artistique qui règne autour du nombre exact d'adhérents ainsi que des suspicions de "ménages de printemps" qui seraient en cours au sein de certaines fédérations. Entre la direction et l'aile gauche, c'est désormais à couteaux tirés...L'Obs - Le Foll pointe une "radicalisation de droite" de la nouvelle génération UMP
Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, a pointé dimanche "une nouvelle génération" à l'UMP positionnée "sur une radicalisation de droite", citant Laurent Wauquiez et Bruno Le Maire.
Même s'il ne met pas "sur le même plan" l’État hébreu et Daech, Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS, a déploré dimanche 08 février que l'on assimile les juifs à Israël et les musulmans à l'organisation État islamique.
ÉCLAIRAGE - Le parti se lance dans une longue campagne afin que ses militants désignent leur prochain premier secrétaire.Pour le numéro un du PS, Nicolas Sarkozy "fait flop", Alain Juppé "fait toc", et le "plus dangereux" à l'UMP, c'est Bruno le Maire.