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Aurélie Filippetti, porte-parole de Benoît Hamon, était l'invitée du 19h Ruth Elkrief sur BFMTV
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BFMTV - Qui figure dans le nouvel organigramme de campagne de Benoît Hamon?
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"Comment fait-on pour que l'Europe protège ses emplois et ses citoyens ?" Aurélie Filippetti (16/01/2017)
"Comment fait-on pour que l'Europe protège ses... par radioclassique -
"J'aurais aimé savoir comment Emmanuel Macron a payé son meeting à hauteur de 400 000 euros" A Filippetti (12/12/2016)
"J'aurais aimé savoir comment Emmanuel Macron a... par radioclassique -
Notre-Dame-des-Landes : la position ambiguë de Montebourg
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Aurélie Filippetti sur LCI : Mélenchon et Macron sont des "passagers clandestins"
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Aurélie Filippetti : "Face à une droite très dure, il faut une gauche forte"
Aurélie Filippetti : "Face à une droite très... par franceinter -
Tribune de Lyon - À Lyon, Montebourg veut "une refonte du politique par la culture"
Aurélie Filippetti, Arnaud Montebourg et Pierre-Alain Muet ont rencontré les acteurs culturels de la région ce jeudi à l’Espace 44 dans le 1er arrondissement de Lyon. Une rencontre qu’Arnaud Montebourg a un peu transformé en meeting de promotion de sa "6e république".
Ce jeudi en marge des Jeco, l'ancien ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti, les "Bonnie and Clyde de la politique", comme les a surnommé un spectateur et le député Pierre-Alain Muet ont rencontré les acteurs culturels de la région à l'Espace 44 dans le 3e arrondissement. Il faut dire qu'à l'heure des baisses de subventions de la part de toutes les collectivités territoriales, les acteurs culturels sont dans le brouillard, voire pire comme l'a signalé André Sanfratello, le boss de l'Espace 44 : "après 30 ans de vie, le théâtre va sûrement disparaître en juin prochain à cause de la baisse des subventions de la ville et de la région (45%) et du retrait de la Drac (22 000 euros) . Ça fait 20 ans que je tiens ce théâtre en résistance pour accueillir les jeunes compagnies qui ne trouvent pas de travail dans les grosses institutions. Et si personne ne nous soutient, on va mourir". Le ton est donné.
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L'actualité des socialistes du 10 au 16 juin (revue de presse hebdomadaire)
PRIMAIRESouvent raillé jusque dans son propre camp, présenté comme un pur produit de l'appareil socialiste, le premier secrétaire est en passe de se sortir du bourbier de la primaire.Le conseil national du parti socialiste a approuvé samedi 18 juin, à l’unanimité, l’organisation en janvier 2017 d’une primaire ouverte à « la gauche de gouvernement », après une proposition de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis. Ce dernier souhaite donner une suite à la « Belle Alliance populaire » créée en juin 2015 après le congrès socialiste de Poitiers. Celle-ci rassemble le PS, le Parti radical de gauche (PRG) et les écologistes pro-gouvernement.A l'heure actuelle, la seule socialiste candidate est Marie Noelle Lienemann. Une frondeuse, pas vraiment pro-gouvernement donc."C'est une bonne avancée (...) On vit une crise politique majeure qui exige d'avoir un candidat de la gauche capable de rassembler"
Marie Noelle LienemannUn coup de pression sur les autres formations de gauche, pour qu'elles participent à cette primaire, espère le député frondeur Jérôme Guedj, membre du Bureau national du PS.
Le député socialiste frondeur Jérôme GuedjLe Point - Primaire du PS : Christian Paul salue une "avancée" tout en restant pruden
Malgré l'annonce de ce débat ouvert, le chef de file des frondeurs demande que cette élection soit irréversible, loyale et ouverte.Libération publie ce jour une interview de Jean-Christophe Cambadélis que vous pouvez retrouver en cliquant ici ou lire dans son intégralité ci-dessous.
Le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, défendra ce samedi lors du conseil national du Parti socialiste un vote de désignation du candidat à la présidentielle, François Hollande compris.
Tour à tour réclamée, promise, puis déclinée, la primaire à gauche n'aura vraisemblablement pas lieu. Retour sur un enterrement programmé.Le programme paraît bien vague. Le conseil national du PS, qui se réunit samedi 18 juin, doit plancher sur le "suivi de l'organisation et du calendrier des primaires de la gauche et des écologistes". Mais comment suivre l'organisation et le calendrier d'un scrutin dont la tenue est plus qu'incertaine ?
Le premier secrétaire du PS annonce à «Libération» que son parti organisera une primaire en vue de la présidentielle de 2017 avec (ou sans) l'ensemble de la gauche. Il dit souhaiter que François Hollande y participe.Le premier secrétaire du Parti socialiste a pris position. Après plusieurs mois de suspense, Jean-Christophe Cambadélis va proposer samedi 18 juin aux socialistes, en plein accord avec le président François Hollande, l'organisation, fin janvier, d'une primaire de la gauche de gouvernement en vue de 2017.Des militants socialistes assignent leur parti en justice pour l’obliger à organiser une primaire, avant la présidentielle. Les Verts et le PC ne veulent plus s’allier avec le PS. C’est le début de la fin ?BFMTV - Cambadélis préférerait "des primaires de toute la gauche à des primaires rabougries"
Le premier secrétaire du Parti socialiste a appelé dimanche le Parti communiste français et Europe Écologie-Les Verts à la raison, plaidant pour des primaires à gauche.
ANALYSES17 juin 2016 - Pour réduire les inégalités face à l’emploi, il faut mieux former les jeunes et sanctionner l’abus de recours aux contrats précaires. Rendre l’emploi encore plus flexible n’est pas la bonne solution. Par Denis Clerc, économiste, fondateur du magazine Alternatives économiques. Extrait de l’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent ».
EUROPEPour neuf responsables socialistes européens, c'est le moment ou jamais de donner un coup d'accélérateur au projet, exhortant les gouvernements à placer l'intérêt des citoyens au-dessus de celui de la finance.FRONDEURSLibé - Les frondeurs lancent la consultation «marathon»
Avant le retour du projet de loi travail à l'Assemblée, députés socialistes, écologistes et communistes opposés au texte veulent démontrer qu'un «compromis est possible»
Le Figaro - La Haute autorité éthique du PS ouvre la voie à des sanctions contre les frondeurs
Le 12 mai dernier, la direction du PS avait promis des suites à la tentative ratée des députés frondeurs de déposer une motion de censure contre le gouvernement, deux jours plus tôt. Jean-Christophe Cambadélis a donc saisi la Haute autorité éthique (HAE) du PS pour statuer quant à de possibles sanctions, qui viseraient les 26 députés de la majorité qui avaient signé la motion, aux côtés de trente autres parlementaires de gauche. L'instance éthique a rendu ce lundi matin son avis et ouvre la voie à des «conséquences».
Le Figaro - Loi travail : la diplomatie parallèle des frondeurs auprès des syndicats
L'examen du projet de loi travail se poursuit ce mardi, alors que la France connaît une nouvelle journée de mobilisation syndicale. Si le gouvernement a fermé la porte à tout nouvel ajustement sur le texte, les négociations en coulisses continuent. Soucieux de ne pas apparaître comme des éléments bloquants sans proposition constructive, les frondeurs du PS, associés à plusieurs signataires de la motion de censure de gauche avortée en mai dernier, entendent bien démontrer que des évolutions restent possibles sur le texte. Objectif: renvoyer dans le camp du gouvernement l'accusation de «jusqu'auboutisme» régulièrement portée à l'encontre des opposants à la loi travail.
Le Figaro - Règlements de comptes au PS après le coup de pression des frondeurs
«Je ne souhaite pas m'associer à ceux qui défendent un tel programme. (…) Je m'oppose, aussi, et même encore plus, au risque de retour de la gauche au pouvoir». Ce lapsus, lâché ce jeudi matin par Christian Paul sur BFM-TV, traduit un état de tension persistant au sein de la majorité. L'échec de la motion de censure de gauche à deux signatures près ce mercredi à l'Assemblée, ne semble pas avoir calmé les esprits au Parti socialiste, toujours déchiré par les débats sur la loi Travail. Les frondeurs ne désarment pas et se préparent déjà à la suite des hostilités, alors que les soutiens de l'exécutif dénoncent le franchissement d'une «ligne rouge».
LOI TRAVAIL
Marianne - Loi Travail : le dalaï-Macron joue le contraste avec le caporal Valls
Invité ce vendredi 17 juin sur la matinale de RTL, le ministre de l'Economie a prononcé des paroles apaisantes envers la CGT, qui contrastent avec le ton martial adopté cette semaine par Manuel Valls. Macron métamorphosé ? Ou pas…
Le Parti socialiste se divise en deux catégories : ceux qui font une différence entre casseurs et manifestants contre la Loi Travail et ceux qui n'en font pas. Sans trop s'avancer, on peut considérer que Manuel Valls appartient vraisemblablement à la deuxième catégorie.
En cette journée de mobilisation contre la loi El Khomri, Romain Colas se dit favorable à une négociation sur l'article 2, autour duquel se focalise désormais le conflit. Alors que la loi travail fera l'objet d'un vote au sénat le 28 juin, c'est un autre texte qui mobilise le député PS. Rapporteur de la loi Sapin II, il défend la convention judiciaire d'interêt public pour les faits de corruption et le dispositif rendant public les données financières et commerciales des multinationales. Membre d'une gauche fracturée, il estime que ce texte peut réunir sa famille politique.HULOTSon premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, se dit "prêt à discuter" avec Nicolas Hulot. Il rend Cécile Duflot responsable de la "décomposition" d'Europe Ecologie-Les Verts .MACRONDéjà fini, la stratosphère sondagière pour Emmanuel Macron ! Selon le dernier baromètre Ifop-Fiducial pour "Paris Match" et Sud-Radio, les Français commencent à se lasser sérieusement du ministre de l'Economie. Et du côté de son tout jeune mouvement "En marche", les donateurs se font de plus en plus rares. Macron ne fait plus rêver, de quoi ravir chez Manuel Valls.PARTIELLELe Figaro - Départementale partielle au Mans : le PS battu par un tandem EELV-PCF
L'écart est infime mais le symbole est là. Avec 17 voix d'avance, un tandem EELV-PCF a remporté dimanche, au second tour, une élection départementale partielle dans la Sarthe, face à un autre binôme de gauche formé de socialistes. Elen Debost (EELV) et Gilles Leproust, maire PCF d'Allonnes, (1.664 voix, soit 50,26%) ont gagné cette partielle, dans le canton du Mans 7, organisé après l'annulation par le Conseil d'Etat, en mars 2016, du précédent scrutin qui avait vu la victoire des deux socialistes qui se représentaient.
PS (communiqués)
Le Parti socialiste se félicite du vote de la loi portant sur la transparence, la lutte contre la corruption et la modernisation de la vie économique. Sous l’impulsion de Michel Sapin, ministre des finances et des comptes publics, il s’agit d’une grande avancée pour la justice et la démocratie, une loi au service de valeurs que la gauche a toujours défendues.
Les électorats du FN
Que signifie voter Marine le Pen aujourd’hui ? Quels électorats attire-t-elle et pourquoi ? La dédiabolisation tant mise en avant par les journalistes et les membres du Front national lui-même a-t-elle eu l’effet escompté ? Son nouveau discours a-t-il convaincu ?
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L'actualité des socialistes du 13 au 19 mai (revue de presse hebdomadaire)
A LA UNE
Benoît Hamon à C Politique le 22 mai
Le Monde - Parti socialiste : que va-t-il advenir des « frondeurs » ?
Depuis la tentative – et l’échec – du dépôt par des députés de gauche d’une motion de censure du gouvernement le 11 mai, les appels à sanction à l’encontre des vingt-quatre socialistes « frondeurs » pleuvent du côté légitimiste du parti. Ainsi, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souligné « l’incohérence » qu’il y a à critiquer « matin, midi et soir » l’action du gouvernement, « tout en restant au Parti socialiste ».La gauche française vit, alors même qu’elle exerce pour la quatrième fois depuis 1981 le pouvoir d’Etat, un de ces moments de crise aiguë dont elle est coutumière. Nouvel épisode, banal au fond, de la longue et insoluble crise identitaire qui la caractérise diront certains ; ultime soubresaut avant son indispensable refondation diront d’autres. Sans doute un peu des deux risquera-t-on, tant les tensions actuelles qui se manifestent en son sein témoignent d’une accumulation de paradoxes qu’il lui faudra résoudre si elle veut prétendre continuer de jouer un rôle historique dans le devenir du pays.ANALYSES ET REFLEXIONS
Non Fiction - Comment réduire la pauvreté ? (Denis Clerc, Michel Dollé)
Alors que la France est, en Europe, le pays qui consacre la part la plus importante de son PIB à la protection sociale, elle n’atteint que des résultats moyens en matière de lutte contre la pauvreté et contre le chômage. Plus de 13% de sa population est en situation de pauvreté, soit un « gigantesque gâchis humain » ; et le problème est bien antérieur à la crise des années 2008, nombre de facteurs s’avérant de nature structurelle. Enfin, toute une part des politiques publiques repose sur le fameux trickle down, hypothétique « effet de ruissellement » économique du haut en bas de la société, séduisant sur le papier mais largement inopérant en pratique : « les plus démunis sont souvent ignorés des embellies caractérisées par la création d’emplois et d’activités génératrices de revenus supplémentaires. Dans le meilleur des cas, un petit nombre, composé de ceux qui ont le plus d’atouts ou de chances, parvient à s’accrocher à l’un de ces navires qui monte ». Il y a donc urgence à agir autrement, d’autant que, nous montrent de façon convaincante les auteurs, « réduire la pauvreté » est « un défi à notre portée » par nombre d’adaptations qui n’ont rien de révolutionnaire (l’objectif étant ici, au contraire, de « trouver des voies réalistes » et de ne pas dépenser plus, mais mieux) et relèvent principalement de la lutte contre la pauvreté laborieuse d’une part, et de l’investissement social de l’autre.
Les premiers mois tumultueux des primaires présidentielles reflètent un moment populiste de la politique américaine. Dans le camp démocrate, le seul sénateur autoproclamé socialiste, Bernie Sanders, a fait montre d’une force surprenante contre l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton, que l’on s’attendait à voir remporter l’investiture démocrate pratiquement sans opposition. Dans le camp républicain, le milliardaire homme d’affaire et de télévision Donald Trump s’est imposé comme le favori parmi une myriade de politiciens, qui comprenait notamment Jeb Bush, ancien gouverneur de Floride et frère du président George W. Bush. Bien qu’il ait récolté plus de 100 millions de dollars pour financer sa campagne, Jeb Bush n’a pas réussi à parler aux électeurs et s’est retiré de la course.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/02/26/michael-sandel-la-collusion-entre-les-partis-et-l-argent-fait-le-jeu-des-candidats-protestataires_4872389_3232.html#APOtw2r82VmSqJI3.99OFCE - Croître et durer par Hervé Péléraux
Un environnement macroéconomique toujours favorable à une reprise
La publication, le 29 avril dernier, d’une croissance de l’économie française de 0,5 % au premier trimestre 2016, en ligne avec nos dernières prévisions, est un signal conjoncturel encourageant. Elle confirme d’abord le changement du régime de croissance engagé à partir de la seconde moitié de 2014, passé de 0,1 % par trimestre en moyenne entre le deuxième trimestre 2011 et le deuxième trimestre 2014 à 0,3 % depuis (graphique). Elle semble ensuite indiquer que la capacité de croissance de l’économie française ne s’est pas éteinte après les crises à répétition survenues depuis 2008 et que l’appareil productif est à même de pouvoir répondre aux sollicitations de la demande intérieure à court terme, notamment en services. Enfin, en atteignant 2,2 % en rythme annualisé, la croissance du premier trimestre 2016 s’est élevée, comme aux deux trimestres précédents (respectivement 1,5 et 1,4 %), au-delà de la croissance potentielle évaluée à 1,3 % l’an selon nos estimations, ce qui pourrait signer une entrée de l’économie française dans une phase de reprise si le rythme d’expansion se maintenait durablement au-dessus de ce seuil.
SONDAGES
Qui seront les candidats alignés au premier tour de la présidentielle le 23 avril 2017 ? Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon à part, les représentants des principales forces politiques ne sont pas connus pour l’heure. Si bien que les instituts de sondage, qui tentent de prendre le pouls des électeurs à moins d’un an de l’échéance, doivent s’adapter aux différents scénarios possibles.MONTEBOUGL’ancien ministre (PS) de l’économie Arnaud Montebourg a lancé, lundi 16 mai, « un appel » aux Français pour leur « proposer dans les mois qui viennent de construire un grand projet alternatif pour la France ».
Achevant l’ascension du mont Beuvray (Saône-et-Loire), qu’il fait traditionnellement chaque lundi de Pentecôte, il s’est adressé « aux économistes, aux entrepreneurs et aux syndicalistes, (…) aux citoyens engagés et tout simplement aux Français qui souhaitent peser sur le destin de notre nation et de notre continent ».
RTL - Présidentielle 2017 : Arnaud Montebourg, la bouffée d'air frais des frondeurs socialistes au Mont-BeuvrayL'ex-locataire de Bercy fait un pas vers son retour en politique ce lundi 16 mai au Mont Beuvray à l'occasion d'un événement organisé par les frondeurs Christian Paul et Laurent Baumel.
Libé - Avec Montebourg au mont Beuvray : «C’est bien beau mais comment on fait maintenant ?»
Lors de la traditionnelle ascension du mont Beuvray, Arnaud Montebourg a précisé son calendrier pour 2017, sans pour autant se déclarer officiellement candidat. Une démarche qui a laissé sceptique certains militants.
Un pas de plus vers la candidature ? Lundi 16 mai, Arnaud Montebourg doit gravir le mont Beuvray, comme il le fait chaque année. Objectif de cette marche très politique dans le massif du Morvan : avancer un peu plus encore vers une candidature à la prochaine élection présidentielle. Le 8 mai, sur France 2, l’ancien ministre de l’économie était resté sibyllin au sujet de ses intentions réelles pour 2017. « S’il y avait des responsabilités à prendre, je les prendrais », a-t-il déclaré, sans plus de précision. Lundi, au mont Beuvray, il devrait « se mouiller davantage », selon Mathias Nirman, autoentrepreneur de 26 ans et membre du Parti socialiste (PS), à la tête du collectif Les Jeunes avec Arnaud.CHOMAGEEn France métropolitaine, le taux de chômage s'est maintenu de justesse sous les 10% au premier trimestre 2016. Le chômage des seniors a reculé, mais celui des jeunes a grimpé.Selon l'OCDE, 9% des emplois en France présentent un "risque élevé de substitution" par des robots. Cela représente 2,4 millions d'emplois. Au total, près de 30% des emplois devront, au minimum, évoluer sérieusementISLAMISMETélérama - Femme et islam : Fawzia Zouari, une guerrière sur le front de la laïcité
“Il n'y a que ceux qui ont le pied sur la braise qui en ressentent la brûlure”, dit un proverbe arabe. Cette brûlure, des millions de femmes la ressentent quotidiennement en terre d'Islam. Fawzia Zouari, docteur en littérature française et comparée à la Sorbonne et romancière, sera l'invitée du festival Etonnants voyageurs, qui a débuté le 14 mai 2016 à Saint-Malo.
Huffington Post - Djihadisme et islamisme, un lien organique, Jean-Louis Margolin
Les choses bougent vite à propos de notre connaissance du phénomène djihadiste. Une série de livres, d'articles académiques, de reportages et de films convergent, au-delà de leur diversité, dans une remise en cause des discours de banalisation et de minimisation qui longtemps ont dominé la scène intellectuelle et politique française.
On tend ainsi à abandonner la présentation des djihadistes comme des brutes incultes droguées au captagon, totalement ignorantes du Coran, qui joueraient à la Guerre Sainte comme d'autres aux jeux vidéo.
Six mois après les attentats de Paris, on peine encore à expliquer le comportement de leurs auteurs. Faut-il aller chercher dans leur inconscient les motifs réels de leur violence et et de ce délirant désir de sacrifice ? Entretien avec le psychanalyste Fathi Benslama, auteur d'“Un furieux désir de sacrifice. Le surmusulman”.
Le takfirisme est une sous-branche du salafisme. Cette famille religieuse issue du sunnisme (la principale branche de l’islam) prône une pratique rigoriste de la religion musulmane, proche de ses premiers fidèles (le terme salaf désigne, en arabe, les « ancêtres », en l’occurrence les premiers compagnons du Prophète).JUSTICEDivorcer sans passer devant le juge, simplifier le changement d’état civil des personnes transgenres et transsexuelles ou supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs : le projet de loi sur la « justice du XXIe siècle » est aussi vaste qu’hétéroclite. Les députés se saisissent mardi 17 mai de la dernière réforme judiciaire du quinquennat, portée par le ministre de la justice Jean-Jacques Urvoas.HARCELEMENT SEXUELLes accusations d’agressions sexuelles visant Denis Baupin l’ont une nouvelle fois prouvé : le sexisme n’épargne aucune sphère de la société, encore moins la très masculine sphère politique. « Dans tous les partis, il y a du sexisme », « les remarques déplacées, les gestes équivoques, ça arrive, comme partout », « il y a du sexisme dans tous les lieux de pouvoir », lâchent pêle-mêle des élus Les Républicains, socialistes ou communistes, encore marqués par l’affaire DSK, qui avait mis au jour le sentiment de toute-puissance de certains hommes politiques.TAFTAConclure l’accord commercial entre les Etats-Unis et l’Europe (Tafta, Trans Atlantic Free Trade Agreement, ou TTIP) si possible, avant la fin du mandat de Barack Obama, en janvier 2017. Ne pas abaisser les normes européennes, protéger les indications géographiques — en clair, le savoir-faire européen et les spécificités des produits locaux —, obtenir un engagement clair des Etats-Unis sur le développement durable : les objectifs de la commissaire européenne au commerce, la libérale suédoise Cecilia Malmström, restent les mêmes, comme elle l’a répété vendredi 13 mai, à Bruxelles, lors d’un conseil des ministres du commerce.NUIT DEBOUTLe Monde - Nuit debout est un rassemblement plus diversifié qu’on ne le dit Par un collectif de chercheurs en sciences socialesSur Nuit debout, on a tout entendu : « La moyenne d’âge est de 25 ans », « un entre-soi de bobos parisiens », « aucun vrai prolétaire », mais « une bourgeoisie blanche urbaine », « des SDF et des punks à chien qui boivent de la bière », « un rassemblement d’étudiants déclassés, de militants de l’ultra-gauche et de semi-professionnels de l’agit-prop »… Ces énoncés, souvent tranchants, mobilisent des catégories toutes faites, disent quoi penser, clament ce que le mouvement est, doit ou ne doit pas devenir, hiérarchisent les endroits ou les moments de la place, le « vrai » et le « faux » Nuit debout. On plaide ici pour une autre approche : commencer par établir les faits, en enquêtant collectivement.
ACTUALITES PSEn proie à la division, le PS est au bord de l'explosion selon le premier secrétaire du Parti socialiste. Pour lequel seul François Hollande maintient l'unité du parti.Depuis la tentative – et l’échec – du dépôt par des députés de gauche d’une motion de censure du gouvernement le 11 mai, les appels à sanction à l’encontre des vingt-quatre socialistes « frondeurs » pleuvent du côté légitimiste du parti. Ainsi, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souligné « l’incohérence » qu’il y a à critiquer « matin, midi et soir » l’action du gouvernement, « tout en restant au Parti socialiste ».Lorsque, début 2015, Emmanuel Macron était venu présenter devant les députés son projet de loi pour la croissance et l’activité, il bénéficiait encore de l’avantage de la nouveauté et de la curiosité. La majorité du groupe socialiste de l’Assemblée nationale s’efforça, tout au long des travaux en commission et de l’examen en séance, d’épauler le novice qui effectuait ses premiers pas dans l’arène politique et de l’aider à déjouer les embûches. Même si, à l’arrivée, ce fut un 49.3 qui ponctua les débats.Les loyalistes appellent à la condamnation des frondeurs, les frondeurs refusent de quitter le PS, et les aubrystes sont prêts à arbitrer le match.Recoller les morceaux. C'est ce qui attend un Parti socialiste plus divisé que jamais, à un an de l'élection présidentielle. L'utilisation du 49-3 par le gouvernement pour faire passer la loi Travail, puis la signature, par 25 députés encartés, d'une motion de censure, ont fracturé le parti. Alors que certains, parmi les "loyalistes", appellent à sanctionner les frondeurs, ces derniers ne sont pas décidés à partir. Au milieu de cette guerre fratricide, les proches de Martine Aubry comptent jouer les casques bleus.
A un an de la présidentielle, la formation de la rue de Solférino semble plus fragile que jamais.Le parti socialiste semble au bord de l'implosion après l'épisode du 49.3 et de la tentative de motion de censure de gauche sur la loi Travail. Alors que Manuel Valls a réclamé, jeudi 12 mai, une "clarification" aux frondeurs, que le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a saisi la Haute autorité éthique du parti, les trublions socialistes assurent - par la voix de Pascal Cherki - qu'ils ont une "tactique". Francetv info revient sur les clans qui s'affrontent rue de SolférinoPS (communiqués)Ce vendredi 13 mai, Jean-Christophe Cambadélis a adressé une lettre à Nicolas Sarkozy, Jean-Christophe Lagarde, Pierre Laurent et tous les dirigeants de partis politiques républicains et d’organisations syndicales, à propos des violences en général et des attaques de permanences de parlementaires perpétrées depuis plusieurs semaines. -
L'actualité des socialistes du 15 au 21 avril
A la une
LE PLUS. La situation se complique sérieusement pour François Hollande et le Parti socialiste. Échecs électoraux à répétition, sondages extrêmement défavorables, fédérations en mal d'adhérents et de cotisations, fractures idéologiques... Les difficultés sont nombreuses. Militante socialiste, Charlotte Picard adresse une lettre ouverte au Premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis.
Le Monde - L’élimination de Hollande au premier tour, en 2017, est « un risque majeur »
Il fut l’un des rares à avoir perçu le risque du 21 avril 2002. Analyste politique, proche du PS, Gérard Le Gall, qui dans la Revue politique et parlementaire a récemment décrit le scrutin régional de décembre comme des « élections de confirmation », décrypte l’opinion à
un an de la présidentielle.Kamel Daoud a reçu jeudi dernier le prix Jean-Luc Lagardère du journaliste de l’année pour ses chroniques parues dans le Point et dans le Quotidien d’Oran. Paradoxe : l’écrivain algérien a été distingué au moment même où il annonçait son retrait du journalisme. Affecté par les polémiques acerbes qui ont suivi la publication de son analyse des événements de la Saint-Sylvestre à Cologne, Kamel Daoud préfère désormais se consarer entièrement à la littérature. Traduit dans de nombreux pays, son roman Meursault Contre-Enquête a remporté plusieurs distinctions après avoir manqué » d’une voix le prix Goncourt.REFLEXIONS
Vincent Présumey - Voile islamique et lutte mondiale des classes.
Dans ce 3° article formant un ensemble avec les deux précédents, on revient sur la lutte des classes en France, dans le monde, et on finit par une défense de la laïcité et de l'autonomie individuelle.
Printemps 2016, France. Nous assistons à un nouveau « spasme à la française », comme écrivait autrefois Alain Minc. Plein de tradition nationale et d'atavisme républicain (atavisme, au bon sens du terme, non au sens de l'hérédité ! ), car depuis la victoire du 10 août 1792 la France connaît des poussées vers la « journée » où le mouvement général des exploités et opprimés, se groupant dans l'aspiration à la démocratie, cherche à affronter le pouvoir.
Slate - Le PS et les Républicains en voie de décomposition avancée
.... Le printemps républicain, c’est la laïcité et l’égalité homme-femme contre la menace islamiste. Ce qui est nouveau à gauche, tant les partis de gauche, à commencer par le PS, ont fui et continuent de fuir cette question, par électoralisme, ambiguïté ou tout simplement désarroi. C’est au fond le premier mouvement politique post-attentats, qui apporte une réponse idéologique –forcément discutable– mais une réponse, aux débats qui ont suivi le tragique mois de janvier 2015, quand les institutions politiques et partisanes se sont concentrés sur les réponses sécuritaires (loi renseignement ou état d’urgence).
Pour Marcel Gauchet, les Français n'acceptent qu'à reculons le modèle néolibéral, mondialisé, individualiste. Le seul moyen de sortir du « malheur français » serait de construire des institutions publiques performantes. Mais les responsables politiques actuels ne sont pas à la hauteur de l'enjeu...
The Conversation - Loi travail : précarité de l’emploi et précarité de l’entreprise
Il faut espérer que la contestation de la loi El Khomri permettra de renouveler en profondeur le débat sur le travail en France. On pourrait attendre ainsi que la sécurisation individuelle des parcours professionnels cède la place à une véritable sécurité sociale industrielle visant à développer les capacités collectives d’innovation que requiert l’urgence climatique, ou la montée de la dépendance liée au vieillissement de la population. En effet, le problème n’est pas de renforcer la négociation d’entreprise au détriment de la loi, il est d’élaborer les conditions légales d’une refondation de l’entreprise en intégrant l’expression de ses salariés. Dans cette démarche, il reste à imaginer des outils nouveaux qui, prolongeant l’action renforcée des comités d’entreprise, permettraient d’envisager la définition de collectivités de travail cohérentes en regard de leurs activités productives. Ce serait l’occasion de revoir les multiples formes prises par une sous-traitance qui marque moins la victoire de l’esprit d’entreprise, que le retour au marchandage du XIXe siècle.
PRIMAIRE
Libé - A gauche, une irresponsabilité primaire
«Unité !» qu’ils disaient… En l’espace d’un week-end, une partie des responsables politiques de gauche vient d’apporter la preuve de son irresponsabilité. C’est d’abord le Parti communiste qui explique être d’accord pour participer à une primaire, mais pas pour soutenir François Hollande s’il la gagne. C’est ensuite la direction du Parti socialiste, et en tête son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, qui prend prétexte de cette position du voisin de la place du Colonel-Fabien pour affirmer que le PCF «prend la responsabilité de la division», alors que jamais il n’a accepté le principe d’un «socle» de propositions communes censé «rassembler» une famille de gauche aujourd’hui fâchée.
Le Figaro - Cambadélis : «La primaire de la gauche a du plomb dans l'aile»
«Là, je dois avouer que ce matin, la primaire a du plomb dans l'aile.» Sur le plateau de LCI, le patron du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a jeté lundi la première pelletée de terre socialiste sur le projet de primaire à gauche, réclamé par les déçus du hollandisme. Pourtant, le député de Paris l'assure, le PS - partisans du chef de l'Etat compris - a mis toute la bonne volonté du monde dans l'organisation de cette primaire: «On a commencé en disant: “C'est la primaire de toute la gauche”. Jean-Luc Mélenchon est parti, on nous a dit: “C'est pas grave, on va faire avec les autres.” On s'est dit: “Pourquoi pas, si ça permet de sélectionner un candidat”. (…)Tout le monde au Parti socialiste était d'accord, y compris les frondeurs, pour une fois nous avons voté une résolution à l'unanimité.»
Libé - Primaire à gauche : «C’est possible que ce soit impossible mais dites-le nous!»
Pour le dernier débat du Forum organisé par «Libération», la question désormais vitale de cette initiative de primaire a gauche a été posée : comment avancer si les partis politiques se sont engagés dans l’opération pour mieux la torpiller ?
LAICITE
Le Temps - «Pour une certaine gauche, les musulmans sont les nouveaux damnés de la terre»
L’extrême gauche genevoise se déchire sur l’islam et la laïcité? Un phénomène qui traverse l’ensemble de la gauche, explique le politologue français Laurent Bouvet
Professeur de théorie politique à l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, Laurent Bouvet est un des leaders de la Gauche populaire, un mouvement proche du Parti socialiste français, qui plaide pour la reconquête des couches populaires. Pour Le Temps, il analyse le divorce, à gauche, entre multiculturalistes et républicains laïcs.
Libé - Gilles Kepel: «Il faut écouter les prêches du vendredi»
La controverse qui m’oppose ainsi que bien d’autres chercheurs arabisants (1) à Olivier Roy et ses épigones n’est pas personnelle : elle interroge la validité épistémologique de la recherche, qui en retour détermine l’interprétation la plus exacte possible d’enjeux cruciaux pour notre société. Face à l’effondrement de la crédibilité de la caste médiatico-politicienne, à la papardelle d’experts instantanés qui envahissent les plateaux télé et aux gesticulations électoralistes dans la perspective des échéances de 2017, l’université redevient une référence car elle rationalise des questions anxiogènes, propices à tous les dérapages. Ce débat doit être mené publiquement, il en va de la responsabilité sociale des universitaires. L’invective («Kepel est un Rastignac»), outre que tout ce qui est excessif est insignifiant, et que le sexagénaire que je suis est flatté par pareille cure de jouvence balzacienne, ne fait que trivialiser les enjeux pour mieux les occulter.
Depuis des années, tout le monde parle du voile, de plus en plus de personnes portent le voile, pas seulement à Bamako ou au Caire, mais aussi à Londres, Paris ou New York. Symbole religieux ou signe religieux? Que signifie ce carré de tissus qui met la planète en émoi? Intrigué par autant de questions, j'ai décidé de consacrer quelques semaines de mes vacances à compulser les livres d'histoire religieuse pour remonter aux racines du signe, pour ne pas dire du mal.Et là, en remontant au plus loin des traces écrites des civilisations antiques, en fouillant dans les annales des histoires sumériennes, j'ai découvert avec stupéfaction que le voile découle à l'origine d'une illusion optique.
En effet, une croyance sémitique très ancienne attestée en Mésopotamie, considérait la chevelure de la femme comme le reflet de la toison pubienne!
SECRET DES AFFAIRES
.... Une directive très critiquée, notamment par les journalistes et les lanceurs d’alerte, qui y voient une menace sérieuse contre la liberté d’informer. Mais malgré une pétition signée par plus de 500 000 personnes, les députés européens ont voté à une très large majorité (77 %) le texte proposé par la Commission européenne.NUIT DEBOUT
La commission Démocratie s’est donné rendez-vous à 16 heures, place de la République à Paris, mercredi 20 avril. Sous un grand soleil, les militants se retrouvent pour discuter de la construction des « outils démocratiques » de Nuit debout. Et ce n’est pas tâche aisée : avant même de lancer la réunion, le rappel de l’ordre du jour provoque déjà des débats. Doit-on prendre le temps de tout réexpliquer aux « nouveaux » qui n’étaient pas là la veille ? « Cela me paraît très compliqué, cette discussion… », soupire déjà un participant.Libé - Nuit debout : à la Bourse du travail, l'étape d'après reste en suspens
Réunis mercredi soir dans le Xe arrondissement de Paris, les initiateurs de la contestation populaire ne sont pas parvenus à donner une perspective au mouvement.
Slate - En expulsant Finkielkraut, Nuit Debout tombe dans le piège du déjà vu
Quoiqu'on pense de ses prises de position, ce qui est arrivé au philosophe place de la République samedi soir rappelle la violence politique exercée par les maos après Mai 68.
Telos - Nuit debout, gouvernement couché? Monique Dagnaud Olivier Galland 13 avril 2016
Merci, François Ruffin, pour ce moment ! Que l’on soit sensible à la musique de l’extrême-gauche ou pas, le documentaire Merci, patron, de François Ruffin, fondateur en 1999 du journal alternatif Fakir, « le journal fâché avec tout le monde, l’oligarchie, la finance, les médias », restera dans les mémoires comme une performance, dans les deux sens.SONDAGEFrançois Hollande serait talonné par Jean-Luc Mélenchon au 1er tour de la présidentielle de 2017, selon un sondage TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL. Emmanuel Macron serait de son côté le candidat préféré des Français pour représenter le PS.ACTUALITESLe sort du premier secrétaire du PS est lié à celui de l'actuel locataire de l'Elysée. Une défaite de ce dernier en 2017 et la direction du parti serait quasi mécaniquement remise en cause.Le Monde - Emmanuel Macron dit ne pas être « l’obligé » du président
Le ministre de l’économie marque une nouvelle fois son émancipation vis-à-vis du gouvernement. Porté par des sondages flatteurs, Emmanuel Macron multiplie les initiatives médiatiques, alimentant les doutes quant à ses intentions pour 2017. Dernière sortie en date, dans une interview au Dauphiné libéré, à paraître vendredi 22 avril, Emmanuel Macron se dit « loyal sur le plan personnel » au président de la République, mais il estime que sa nomination par François Hollande n’en fait pas « son obligé ».Le nombre de militants au Parti socialiste ? "Encore une courbe que l'on n'est pas prêts d'inverser", souffle un élu socialiste dépité. La formation politique fait face à une véritable hémorragie des adhésions depuis le début du quinquennat de François Hollande. En 2014 pourtant, le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, s'était fixé l'ambitieux objectif de multiplier leur nombre par trois pour atteindre les 500.000 militants en 2017.Le Monde - Nucléaire : François Hollande refuse de remettre en cause le projet Hinkley Point
L’Etat a du mal à régler le très délicat dossier EDF. La réunion interministérielle, mercredi 20 avril, à l’Elysée, sous la présidence de François Hollande, n’a pas permis de rendre les arbitrages attendus. Avant d’arrêter ses décisions sur l’avenir de la compagnie électrique publique, dont la situation financière est tendue, le président de la République a souhaité bénéficier d’éclairages complémentaires. « L’équation n’est pas encore résolue, on se donne un peu plus de temps que prévu », dit un proche du dossier à l’Elysée.Le président du mouvement des Jeunes Socialistes était, ce lundi 18 avril, l’invité de la matinale des Echos.Benjamin Lucas revient sur l'échange, la semaine dernière, entre le Président de la République et les citoyens sur France 2 concernant, notamment, la situation de la jeunesse en France.
Si Manuel Valls irrite une partie des parlementaires socialistes, il en va de même avec les eurodéputés du parti de la rue de Solférino. Le 12 avril, le Premier ministre s’est rendu au Parlement européen et est intervenu devant la délégation française du groupe socialiste. Une intervention restée en travers de la gorge de l’eurodéputée PS Pervenche Berès, également présidente de la délégation socialiste française à Strasbourg.