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Article du jour - Page 138

  • Europe 1 - SONDAGE. Législatives : Manuel Valls en difficulté dans son fief d'Evry

    Selon le sondage Ifop-Fiducial pour Le Journal du Dimanche et Sud Radio, l’ancien Premier ministre Manuel Valls se trouve à égalité au second tour avec la candidate mélenchoniste, dans sa circonscription d'Evry.

    Grosse surprise dans la 1ère circonscription de l’Essonne, à Évry et Corbeil-Essonnes. Selon le sondage exclusif Ifop-Fiducial pour le JDD et Sud Radio, réalisé par téléphone auprès de 605 électeurs*, Manuel Valls n’est pas assuré de l’emporter les 11 et 18 juin. Alors que ni le PS, dont il s’est affranchi, ni Emmanuel Macron, qu’il courtise, ne présentent de candidat face à lui, l’ex-Premier ministre arrive de peu en tête au premier tour (30% d'intentions de vote, contre 48,6 % en 2012). Il est talonné par la candidate mélenchoniste, Farida Amrani (26 %). A ce niveau, les marges d'erreur vont de 3,3 à 3,7 points.

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  • Lyon 89 - Dans la 2e circonscription du Rhône, une bataille des maires d’arrondissement

    Ici, la gauche est divisée. Tout comme la droite. Ce qui pourrait faire le jeu du candidat de La République En Marche.

    Dans une 2ème circonscription de Lyon ancrée à gauche, Hubert Julien-Laferrière, maire du 9e arrondissement, peut l’emporter mais rien n’est joué.

    La gauche d’Emmanuel Macron pouvait espérer gagner cette circonscription alors que le député sortant, le socialiste Pierre-Alain Muet, ne se représente pas et a adoubé Nathalie Perrin-Gilbert, certainement la candidate la plus connue du lot.

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  • France Info - Le brief politique. Les ténors du Parti socialiste préparent l'après-législatives

    Alors que le mouvement de Benoît Hamon commence à prendre de l'ampleur, les ténors du Parti socialiste préparent déjà l'après-législatives.

    Au Parti socialiste, les ténors préparent déjà l’après-législatives et le mouvement de Benoît Hamon commence à prendre de l’ampleur. 11 000 personnes se sont inscrites en six jours seulement pour participer au lancement du mouvement le 1er juillet, si l'on s'en tient aux chiffres fournis par l’entourage de Benoît Hamon.

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  • Le Monde - Réforme du code du travail : ce que veut faire Emmanuel Macron

    Le chef de l’Etat reçoit les partenaires sociaux mardi pour discuter de cette réforme dont il a fait une priorité.

    C’est la priorité du nouveau chef de l’Etat. Alors que François Hollande avait mis deux ans à prendre ses principales mesures en faveur des entreprises, Emmanuel Macron assure qu’il ne dispose pas de ce délai. Et d’expliquer durant sa campagne que son projet économique mettrait du temps à donner des résultats et qu’il fallait donc prendre des mesures immédiatement pour qu’elles portent leurs fruits avant la fin du quinquennat.

    Assouplissement du temps de travail, flexibilité pour les entreprises, ordonnances… Le président de la République reçoit, mardi 23 mai, les partenaires sociaux pour évoquer les pistes de sa réforme.

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  • Marianne - Assurance chômage universelle : ce que le programme de Macron change concrètement

    Derrière l'"assurance universelle" contre le chômage qu'il propose dans son programme, Emmanuel Macron prévoit un changement total de paradigme sur la manière dont les chômeurs seront indemnisés à l'avenir. Explications.

    "Notre système est injuste. Je propose de faire de l'assurance chômage une assurance universelle". Présentée comme cela, la vision d'Emmanuel Macron ne peut que susciter l'adhésion. "Un droit universel", promet son programme. Lequel reste bien inutile pour quiconque chercherait à en comprendre les détails : ils ne figurent pas dans ces 30 pages.

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  • Libé - Les chantiers de Macron Rythmes scolaires: les élus reprennent la main

    La «souplesse» promise sur cette mesure contestée inquiète certains, qui craignent un désengagement financier de l’Etat. Et en pratique, bien des villes garderont la semaine de quatre jours et demi.

    L’association des maires de France (AMF) hésite à se réjouir. La réforme des rythmes scolaires, emblématique mesure du quinquennat Hollande et très contestée à l’époque, ne sera plus obligatoire à compter de la prochaine rentrée. Pendant la campagne, Emmanuel Macron s’est engagé à redonner de la «souplesse» aux municipalités notamment dans l’application de cette réforme. Les communes, en «lien étroit» avec les écoles, auront désormais le choix : retourner à la semaine de quatre jours de classe, ou conserver le rythme de quatre jours et demi. Un décret est déjà prêt, assure l’entourage du Président, et devrait être publié cet été.

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  • Les Echos - La hausse de la CSG peut-elle faire perdre En Marche ?

    Depuis plusieurs jours, François Baroin, ne cesse de fustiger la hausse de la CSG annoncée par Emmanuel Macron. Cette stratégie se révélera-t-elle payante pour les élections législatives ?

    Emmanuel Macron a récemment annoncé une hausse de 1,7 point de la CSG, ce qui porterait son taux à 9,2 % pour les revenus d'activités, à 9,9 % pour les revenus de placement et à 8,3 % pour les pensions de retraite.

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  • Libé - Société civile, modernité ou poudre de perlimpinpin ?

    Axe fort de la politique macronienne, la promotion de responsables qui ne sont pas issus du sérail politique permet d’afficher un renouvellement des têtes et des pratiques. Mais si le principe est louable, les personnalités qui l’incarnent dessinent une élite très proche des professionnels de la politique.

    «Issu de la société civile» : l’expression est à la mode, à tel point qu’elle est presque devenue un label. Le président de la République, Emmanuel Macron, en a d’ailleurs fait un argument central de sa campagne victorieuse : avec lui, la «société civile», autrement dit les non-professionnels de la politique, entrerait au gouvernement et serait massivement représentée dans les candidats de La République en marche (LREM) aux élections législatives.

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  • Le Monde - Le FMI enjoint à Berlin de dépenser plus d’argent

    L’institution juge les excédents allemands trop élevés. Pour y remédier, elle demande au pays de baisser les impôts et d’accélérer ses investissements.

    Abaisser les impôts et dynamiser les investissements. C’est ce qu’a expressément demandé le Fonds monétaire international (FMI) à Berlin, lundi 15 mai, s’en prenant de nouveau aux excédents allemands, jugés trop élevés.

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  • Europe 1 - Harcèlement de rue : des femmes désertent les rues d'un quartier de Paris

    Chassées des rues de leur propre quartier, des habitantes de La Chapelle-Pajol, dans le Nord de Paris, se mobilisent pour dénoncer les agressions dont elles sont victimes depuis plusieurs mois.

    Remarques sexistes, insultes, parfois agressions... Les habitantes du quartier La Chapelle-Pajol (10ème et 18ème arrondissements de Paris) préfèrent déserter les trottoirs, la station de métro, les cafés et les restaurants depuis près d'un an, raconte Le Parisien jeudi. 

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    Libé - La Chapelle, une «no-go zone» interdite aux femmes à Paris ?

    Une pétition lancée ce vendredi dénonce le harcèlement de rue dont sont victimes plusieurs habitantes de ce quartier populaire et métissé du nord de la capitale. Un ras-le-bol un peu caricatural ?

  • Libé - 526 candidats LREM, un miroir déformant de la France

    Si le renouvellement promis par Macron permet l’émergence de nouveaux visages, les profils des candidats ne reflètent pas la réalité de la population française.

    Si les quatorze premiers noms de candidats LREM aux élections législatives ont été dévoilés face aux caméras de France 2 il y a plus d’un mois, la liste complète n’a visiblement pas été facile à boucler. Les six derniers sélectionnés sont tombés vendredi sur le fil : trois hommes, tous des élus, dont l’un affrontera le numéro 2 du FN, Florian Philippot, en Moselle ; et trois femmes, issues de la société civile. Au total, ce ne sont pas 577 mais seulement 526 candidats qui seront alignés pour défendre le programme d’Emmanuel Macron et, peut-être, lui offrir la majorité nécessaire pour voter ses réformes sur les bancs de l’Assemblée nationale.

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