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Article du jour - Page 134

  • Le Monde - Code du travail, assurance-chômage… le gouvernement présente ses réformes sociales

    Conformément à la promesse d’Emmanuel Macron, le code du travail sera réformé par ordonnances. Ces dernières devraient être publiées « à la fin de l’été ».

    Le premier ministre, Edouard Philippe, et la ministre du travail, Muriel Pénicaud, ont présenté, mardi 6 juin, une feuille de route pour les réformes sociales que le gouvernement entend mener les 18 prochains mois. Rénover le modèle social français est « indispensable et urgent », a souligné le chef du gouvernement en dévoilant le calendrier.
     
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    «Libération» s’est procuré des documents du ministère du Travail qui détaillent les pistes auxquelles l’exécutif réfléchit. Bien plus inquiétant que la présentation livrée par le gouvernement mardi.
     
    Vous avez détesté - ou aimé - la loi travail ? Vous allez haïr - ou adorer - sa petite sœur. Alors que le gouvernement a présenté, mardi, les lignes très générales de la future réforme du code du travail (lire par ailleurs), Libération s’est procuré des documents qui détaillent les projets de l’exécutif sur le sujet. Et c’est peu dire que la loi El Khomri, en comparaison, paraîtra bien fade aux acteurs du dossier.
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    Le gouvernement entend avancer vite sur la réforme du travail, un sujet qui a provoqué de fort remous sur le front social au printemps 2016. Les premières ordonnances, concernant le code du travail, devraient être adoptées à la fin de l'été.
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    EDITO. Si la fexicurité n'est que "flex", si le gouvernement ne réfléchit pas aux conditions d'un dialogue social réussi, la réforme ne fera qu'aggraver les maux français..... Dans l'équilibre de  la "flexicurité" proposé, on entend beaucoup de "flex" pour les employeurs, peu de "sécurité" pour les travailleurs. L'une sans l'autre, pourtant, est l'assurance d'un désastre, avec baisses de salaires, dégradation des conditions de travail, et tensions sociales accrues. 
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    La concertation avec les partenaires sociaux sur la réforme du code du travail va s’articuler autour de trois grands thèmes.
     
    Concernant la réforme du code du travail , le gouvernement a pris soin de découper le calendrier de la concertation avec les syndicats et le patronat sur les ordonnances en trois grandes parties.
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    On doit rétablir la prééminence de la loi de la république, l'état de droit dans l'entreprise, l'ordre public social.
  • Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal

    Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.

    Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de 310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.

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  • Europe 1 - Législatives : le PS dans l'angoisse d'une raclée historique

    Déboussolés par leur score à la présidentielle, les socialistes se souviennent avec effroi de leur défaite record aux législatives de 1993. Mais redoutent une défaite plus cuisante encore.

    Il y a encore quelques mois, les socialistes pensaient pouvoir éviter le pire. Le pire, c'était 1993, ces législatives en forme d'hécatombe et ce groupe réduit comme peau de chagrin à 57 députés. A une semaine du premier tour, pour le même résultat, les socialistes signeraient des deux mains. Les sondages leur promettent entre 20 et 30 unités, soit dix fois moins que sous le quinquennat Hollande. Avec un sens prononcé de ­l'euphémisme, Benoît Hamon, qui doit lutter pour sauver son siège, parle d'une "configuration compliquée" quand Bernard Cazeneuve, lui, se démultiplie au chevet des candidats moribonds comme pour leur administrer l'extrême-onction.

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  • Libé - Controverse autour du prochain président de l'islam de France

    Proche de l'AKP, parti islamo-conservateur du président Erdogan, et de son entourage, le représentant de l’islam turc en France, Ahmet Ogras, devrait devenir le prochain président du Conseil français du culte musulman, au risque de provoquer de violentes polémiques.

    A moins d’un coup de théâtre, le représentant officiel de l’islam turc en France, Ahmet Ogras deviendra le 1er juillet le nouveau président du Conseil français du culte musulman (CFCM), succédant ainsi à Anouar Kbibech. Il s’agit d’une première, puisque jamais aucun responsable turc n’a occupé cette fonction – depuis la création du CFCM en 2003, Algériens et Marocains l’avaient exclusivement présidé en alternance.

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  • Libé - Dans son bastion de Lille, le PS au bord du gouffre

    Dans la première circonscription du Nord, fief socialiste historique, François Lamy, proche de Martine Aubry, est à la peine face aux candidats de LREM et de La France insoumise.

    «Les mammouths, leur tête est mise à prix.» Il le dit sans hargne, presque à regret. Place de la Solidarité, entre bistrots, bagnoles et scooters, à Wazemmes, quartier populaire de Lille, Naïm résume ce qui pourrait arriver à François Lamy, proche de la maire socialiste Martine Aubry : perdre le fief imperdable. Même dans la 1re circonscription du Nord (1), celle de Pierre Mauroy et de Bernard Roman, et avant eux de Roger Salengro, les socialistes sont une espèce menacée.
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  • Marianne - Quand Theresa May découvre le communautarisme, le Guardian garde les yeux fermés…

    Après l’attentat perpétré au cœur de Londres ce samedi 3 juin, la Première ministre britannique Theresa May ne s’est pas contentée de répéter qu’« assez c’est assez », formule de circonstance qui ne mange pas de pain. Non seulement elle a ciblé les services de sécurité, mais elle a mis les pieds dans le porridge en dénonçant le communautarisme, principe pourtant considéré comme une institution de l’autre côté de la Manche.

    Qu’a donc déclaré Theresa May ? Que « si les attaques récentes ne sont pas liées par des réseaux, elles le sont par une idéologie qui prêche la haine et le communautarisme », ajoutant : « Cette idéologie est une perversion de l’islam ».

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  • Le ministre de l’intérieur envoie des policiers supplémentaires à Calais et adopte une ligne dure anti-migrants Par Maryline Baumard Gérard Collomb a présenté dans « Le Parisien » ses priorités et en particulier sa volonté de mettre en œuvre une politiq

    Le Monde Par Maryline Baumard

    Gérard Collomb a présenté dans « Le Parisien » ses priorités et en particulier sa volonté de mettre en œuvre une politique répressive en matière migratoire.

    Face à l’afflux de migrants à Calais, le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb joue le tout répressif et annonce avoir envoyé ce jour « trois unités supplémentaires de forces mobiles, soit plus de 150 policiers et gendarmes (…). Notre priorité, ajoute-t-il, c’est que Calais et le Dunkerquois ne demeurent pas des lieux de fixation et que les jungles ne s’y reconstituent pas. » C’est dans les colonnes du Parisien que le locataire de la Place Beauvau a choisi de divulguer ses priorités, au rang desquelles la gestion des migrants tient bonne place.

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  • Le Monde - Dix-huit jours après la passation des pouvoirs, François Hollande sort du silence

    L’ancien président a rompu ses vœux de silence pour regretter la décision de Donald Trump de quitter l’accord de Paris.

    Un bref communiqué, envoyé tard dans la soirée, jeudi 1er juin, et relayé par SMS par son ancienne attachée de presse, la sénatrice PS des Pyrénées-Atlantiques, Frédérique Espagnac. « Donald Trump a pris une décision funeste pour les Etats-Unis », y assène François Hollande, dans la foulée de la décision du président américain de se retirer de l’accord de Paris sur le climat. Pour l’ancien chef de l’Etat, qui a fait de la COP21 l’un des fleurons de son bilan, ce retrait « ne suspend pas l’accord ».
     
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  • 20 minutes - Education: Le retour à la semaine de quatre jours permis dès la rentrée

    Le ministre Jean-Michel Blanquer a confirmé qu’il y aurait un assouplissement des rythmes pour la rentrée…

    C’est un dossier extrêmement sensible que rouvre le nouveau ministre de l’Education, celui des  rythmes scolaires. Il doit donner la possibilité aux communes de revenir à la semaine de quatre jours dans les écoles dès la rentrée prochaine.

    Un troisième changement en neuf ans

    Un projet de décret dévoilé par le site ToutEduc et consulté mercredi par l’AFP, a été transmis aux syndicats mardi et doit faire l’objet d’un vote consultatif le 8 juin au Conseil supérieur de l’éducation (CSE), un mois avant la fin de l’année scolaire. Sans abroger la semaine de 4,5 jours réinstaurée en 2013 et 2014 durant le quinquennat Hollande, le document autorise de nouvelles dérogations.

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  • L'Obs - Notre-Dame-des-Landes : qui sont les trois nouveaux médiateurs nommés par Macron ?

    A peine nommés et déjà boudés par les pro-aéroport. Qui sont Gérard Feldzer, Anne Boquet et Michel Badré, les trois médiateurs nommés jeudi par le gouvernement ?

    "Il faut qu'il ait la sagesse de se retirer". Le président Les Républicains de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau a déjà dans son viseur Gérard Feldzer, l'un des trois médiateurs nommés par le gouvernement dans le dossier de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, enlisé depuis des années.

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  • Libé - Moralisation Législatives : ces cumulards qui seraient bloqués par la loi Bayrou

    C’était la condition de son alliance à Emmanuel Macron : François Bayrou a présenté jeudi les grandes lignes de sa loi de moralisation de la vie politique. Une loi qui, si elle était déjà en vigueur, empêcherait 88 candidats aux législatives de se représenter, dont un candidat... La République en marche.

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