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Article du jour - Page 130

  • France Info - Stéphane Le Foll plaide pour une "refondation" du Parti socialiste

    Stéphane Le Foll a plaidé pour une reconstruction du PS dimanche matin, sur franceinfo. L'ex-ministre de l'Agriculture a demandé une refondation "organisée" et a évoqué un changement de nom du parti. 

    Stéphane Le Foll a estimé que le Parti socialiste (PS) devait être reconstruit, dimanche 2 juillet, sur franceinfo. "L'idée qu'ont certains est qu'il suffit de créer des mouvements, pour qu'une idée, de manière extrêmement rapide, change la réalité. Non. Il faut être organisé", a martelé l'ex-ministre de l'Agriculture, actuel député PS de la Sarthe, qui plaide pour une "refondation" de la "vieille maison" [le parti socialiste].

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  • Le Monde - Benoît Hamon quitte le Parti socialiste

    L’ancien candidat socialiste a annoncé sa décision lors du lancement de son « Mouvement du 1er juillet », samedi à Paris.

    Il a finalement pris sa décision. Benoît Hamon a annoncé, samedi 1er juillet, à l’occasion du lancement de son « Mouvement du 1er juillet » à Paris, qu’il quittait le Parti socialiste. « J’ai décidé de quitter le Parti socialiste. Mais je n’abdique pas l’idéal socialiste. Je quitte un parti mais ni le socialisme ni les socialistes. Je serai plus utile en dehors de celui-ci », a-t-il lancé devant une foule nombreuse.
     
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  • L'Obs - Chez Benoît Hamon, on ne change pas une équipe qui perd

    Deux mois après sa débâcle présidentielle et quinze jours après celle des législatives, le socialiste lance ce samedi un nouveau mouvement à Paris pour tenter de se faire une place dans la "reconstruction de la gauche".

    Benoît Hamon-Sisyphe est de retour au pied de la montagne. Avec pour rocher rien de moins que la "reconstruction de la gauche". Après avoir englouti jeudi soir un kebab sauce harissa, le candidat malheureux du PS à la dernière présidentielle lance ce samedi après-midi à Paris un nouveau mouvement baptisé "Mouvement du 1er juillet".

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  • Marianne - Droit d'inventaire Eduardo Rihan-Cypel : "Le PS a été victime de sa paresse intellectuelle"

    Ancien député PS battu aux législatives, Eduardo Rihan-Cypel tire un bilan sévère de l’effondrement des socialistes et prévient : "On peut assister à l'extinction de l'espèce socialiste".

    Pourquoi les socialistes ont-ils été balayés, à la présidentielle puis aux législatives ?

    C’est le résultat de toute notre oeuvre. Le spectacle meurtrier de nos divisions a été fatal. Certaines mesures et décisions prises, notamment à la fin du quinquennat, étaient en contradiction avec des symboles puissants de la gauche : la déchéance de nationalité et la loi Travail ont été des fautes politiques qui ont ruiné toutes nos chances de victoire. Il y a eu également une forme d’arrogance au pouvoir, qui s’est illustrée par le spectacle des egos permanents.

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  • L'express - Carvounas (PS): Macron se rend compte qu'"il a tous les pouvoirs"

    Paris - Le député PS Luc Carvounas a estimé jeudi qu'Emmanuel Macron ne cherchait "pas à humilier" son Premier ministre en parlant devant le Congrès avant sa déclaration de politique générale, mais qu'il avait surtout compris "plus vite que ses prédécesseurs qu'il a tous les pouvoirs".

    "Il ne va pas humilier le Premier ministre, on l'a déjà vu dans tous les quinquennats, le président de la République, c'est le patron, et il rappelle de temps à autre à son Premier ministre qu'il est le patron", a expliqué le député du Val-de-Marne sur LCI. 

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  • Lyon Mag - À Lyon, “on est plus chez Collomb que chez En marche”

    Laminé à la présidentielle et aux législatives, le Parti socialiste lyonnais est en perdition. La faute à un Gérard Collomb tout-puissant qui, un temps socialiste, a entrainé tous ouailles avec lui vers le parti d'Emmanuel Macron.

    Ce n'est un secret pour personne. La République en marche a obtenu coup sur coup deux victoires politiques cinglantes. Même si l'abstention a atteint des records pour cette présidentielle et les législatives qui ont suivi, le jeune parti d'Emmanuel Macron est parvenu à écraser toute concurrence.

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  • Le Monde - Thierry Solère, député « Macron compatible », hérite d’un poste réservé à l’opposition

    Le député de Boulogne-Billancourt, LR « constructif », a été élu questeur face à Eric Ciotti, le candidat LR. Un ultime règlement de comptes à droite....

    Le président du groupe Nouvelle Gauche (ex-PS), Olivier Faure, a lui dénoncé le « jeu » du groupe LRM, qui veut « l’hégémonie sur toutes les questions ». Au sein même de la majorité, un élu, juriste, s’inquiète : « Les droits parlementaires, ce sont des droits absolus, ils ne méritent aucune transaction. »
     
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  • Le Figaro - Olivier Faure : «Un congrès ? Une humiliation pour le premier ministre»

    Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale s'est inquiété du «rapport exclusif du président de la République à l'opinion». Pour lui, si Emmanuel Macron venait à s'exprimer devant le Parlement avant Edouard Philippe, la situation ferait de ce dernier «un simple répétiteur».

    Après le «collaborateur» François Fillon, le «répétiteur» Edouard Philippe? La possibilité pour le chef de l'État de réunir le Congrès de Versailles à la veille du discours de politique générale du premier ministre donne des angles d'attaque à l'opposition. Invité lundi matin sur CNEWS, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale Olivier Faure a ainsi parlé d'une «humiliation» pour Edouard Philippe si Emmanuel Macron le devançait au Parlement.

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  • Le Figaro - Partir ou être écartés... rue de Solférino, les socialistes macronistes poussés vers la sortie

    Depuis quelques jours, les départs d'élus du Parti socialiste se multiplient. Quand ce n'est pas de leur fait, les personnalités socialistes qui ont voté pour Emmanuel Macron à la présidentielle sont écartés.

    Déjà fragilisé par ses mauvais résultats à la présidentielle et aux législatives, le Parti socialiste s'est lancé dans une chasse aux sorcières à l'endroit de ceux qui ont soutenu Emmanuel Macron. Des cadres de la rue de Solférino ont reçu dernièrement des missives pour les informer qu'ils étaient écartés des instances du parti. A l'image d'Amine El-Khatmi, élu du Vaucluse: «J'ai donc appris via un SMS assez minable de Karine Berger (ex-députée PS, NDLR) que j'étais exclu des instances nationales du PS pour avoir appelé à voter Macron», a-t-il indiqué sur Twitter.

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  • Le Monde - Manuel Valls quitte le Parti socialiste et rejoint le groupe LRM à l’Assemblée

    L’ancien premier ministre siégera comme député apparenté au groupe La République en marche, après un vote à mains levées mardi matin du groupe dirigé par Richard Ferrand. 

    L’ancien premier ministre Manuel Valls a annoncé, mardi 27 juin sur RTL, qu’il « quitte le Parti socialiste » et qu’il compte siéger « dans la majorité » durant la prochaine législature alors que les députés font leur entrée à l’Assemblée nationale à 15 heures. Dans la foulée de cette annonce, le groupe de La République en marche au Palais-Bourbon a voté, à mains levées, pour que l’ancien maire d’Evry soit apparenté au groupe majoritaire.
     
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  • Le Figaro - Bouvet : « Que des universitaires défendent Houria Bouteldja est un crime contre l'esprit »

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - En réaction à un article de Jean Birnbaum sur les dérives de l'antiracisme, une vingtaine d'intellectuels a pris la défense, dans une tribune du Monde parue le 20 juin, de Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République citée par Birnbaum. Laurent Bouvet réagit à cette affaire.

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