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Article du jour - Page 128

  • Les Inrocks - Benoît Hamon pourra-t-il exister sans le PS ?

    En lançant son “Mouvement du 1er-Juillet” (M1717) samedi, et en quittant le PS, Benoît Hamon a fait un grand pas en avant dans la reconstruction de la gauche. Reste à savoir s’il n’était pas au bord du gouffre.

    Il est 18h35, samedi 1er juillet sur la pelouse de Reuilly (XIIe arrondissement de Paris), quand une phrase de Benoît Hamon, prononcée au bout de 50 minutes de discours, provoque une explosion de joie dans la foule venue assister au lancement de son “Mouvement du 1er-Juillet” (M1717) : “J’ai décidé de quitter le Parti socialiste”.

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  • Le Monde - Affaire Business France : la pression sur la ministre du travail augmente d’un cran

    Le parquet de Paris a annoncé, vendredi, l’ouverture d’une information judiciaire pour « favoritisme et recel de favoritisme », dans ce dossier

    Le 28 juin, Christophe Castaner, le porte-parole du gouvernement, avait exhorté les journalistes à « ne pas affaiblir » la ministre du travail, Muriel Pénicaud, en pleine réforme du code du travail, à travers leurs révélations sur l’affaire Business France. Une critique en règle du travail d’investigation conduit par la presse, reprise par le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, dans son discours du 3 juillet à Versailles, dénonçant une « recherche incessante du scandale ».
     
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  • Le Parti socialiste se dote d'une direction collégiale pléthorique

    Le parti va être dirigé par 28 personnes, dont de nombreux proches de François Hollande et de Jean-Christophe Cambadélis. Et un partisan de Benoit Hamon.

    Le PS va désormais être dirigé par une direction collégiale constituée de 28 membres, dont un noyau dur de 16 personnes, selon le vote samedi du Conseil national du parti.

    Cette direction sera donc organisée autour d'un noyau dur de 16 personnes, huit femmes et huit hommes, auquel s'ajouteraient des membres de droit, des porte-parole, un conseil des territoires, selon l'entourage de Jean-Christophe Cambadélis, le patron démissionnaire.

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  • 20 minutes - Parti socialiste: «La gauche se trouve ailleurs dorénavant»

    Sympathisants d’un PS en sale état, ils naviguent entre désillusions et espoir d’un renouveau…

    C’est la désillusion finale et les lendemains qui déchantent pour le Parti socialiste. Jamais depuis sa création en 1969, le PS n’avait connu une défaite si cuisante à la présidentielle et aux législatives. Abîmé par l’impopularité du quinquennat Hollande, rongé par les divisions entre légitimistes et frondeurs, le parti est en lambeaux.

    La démission tardive du premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, les départs successifs de Valls et de Hamon, l’un pour rejoindre la majorité présidentielle, l’autre pour créer son mouvement dans l’espoir de refonder la gauche, n’ont rien arrangé

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  • Le Monde - Le Parti socialiste à l’heure de la refondation

    Le parti se réunit samedi en conseil national. Chassé de l’Elysée après le quinquennat Hollande, réduit à une trentaine de députés à l’Assemblée, le PS d’Epinay se sait arrivé à un tournant.

    Réuni en conseil national samedi 8 juillet, le Parti socialiste va se donner une nouvelle direction collégiale d’une quinzaine de membres placée sous le signe du renouvellement.

    Chassé de l’Elysée après le quinquennat de François Hollande, réduit à une trentaine de députés à l’Assemblée nationale et pris en étau entre La République en marche et La France insoumise, le PS d’Epinay se sait arrivé à un tournant.

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  • Le JDD - Quitter ou non le PS? Les proches de Benoît Hamon refusent de choisir

    En annonçant qu'il quittait le PS pour lancer son "mouvement du 1er juillet", Benoît Hamon a laissé ses amis socialistes désarçonnés. Même si ces derniers ont unanimement salué la démarche, très peu d'entre eux ont osé quitter à leur tour le parti.

    "J'ai décidé de quitter le Parti socialiste." Pour les hamonistes, c'est un vrai coup de tonnerre qui s'est abattu samedi dernier sur la pelouse de Reuilly à Paris. Très peu d'entre eux avaient en effet été mis dans la confidence de la décision de Benoît Hamon de claquer la porte du Parti socialiste. Considérant que le parti où il militait depuis pourtant plus de trente ans avait "peut-être fait son temps", l'ancien candidat à la présidentielle a annoncé la création de son propre mouvement : le "mouvement du 1er juillet", sur lequel il compte bien s'appuyer pour occuper une place centrale dans la refondation de la gauche.

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  • Paris Match - Le casse tête de la nouvelle direction du PS

    Samedi 8 juillet, la nouvelle direction du Parti socialiste (PS) sera désignée à l’issue d’une réunion à huit clos, alors que ce parti s'est émietté depuis les législatives.

    Le drapeau est à terre. Et personne au PS n’est encore en mesure de le ramasser sur un champ de bataille dévasté : submergés par la vague En marche ! des derniers mois, les socialistes n’ont plus ni leader ni même, à en croire certains de ses anciens dirigeants, de raison d’être. C’est dire l’ampleur de la tâche qui attend la nouvelle direction qui doit être désignée ce samedi 8 juillet à l’issue d’une réunion à huit clos du conseil national, « le Parlement » des socialistes, dans un hôtel parisien. En ruine, le PS repart donc de zéro. Ou presque. Et personne ne se fait la moindre illusion. « Ce sera très long, ca va prendre des années », confie sans détours Matthias Fekl, l’ancien ministre de l’Intérieur symbole de cette génération François Hollande battue en juin dernier dans les urnes.

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  • Libé - Un PS en quête de renouvellement change de tête

    Le changement, c'est maintenant ! Réuni en Conseil national ce samedi, le Parti socialiste s'est donné une nouvelle direction collégiale. Chassé de l’Elysée après le quinquennat de François Hollande, réduit à une trentaine de députés à l’Assemblée et pris en étau entre la République en marche et la France insoumise, le PS d’Epinay se sait arrivé à un tournant. Le premier secrétaire et figure emblématique du parti Jean-Christophe Cambadélis en a tiré les conséquences en annonçant son départ au soir du second tour des élections législatives. 

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  • Marc Coatanéa. « Le PS n'est pas mort » © Le Télégramme

    Il a assisté, impuissant, au naufrage du Parti socialiste, mais n'a pas sauté du navire en perdition. Au gouvernail du PS finistérien depuis 2008, l'élu brestois Marc Coatanéa reste fidèle au poste dans la tempête et entend prendre une part active à la reconstruction du vieux parti du poing et de la rose. « Les Français nous ont donné du temps. Mettons ce temps à profit pour travailler sur le fond », exhorte-t-il.
     
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  • Le JDD - Hamon, Cambadélis, Hidalgo… Comment les socialistes imaginent l'avenir de la gauche

    Le Parti socialiste en crise, ses membres tentent de survivre politiquement : fuite du navire, création de mouvements dans et hors du PS… Chacun a sa solution.

    Il y a ceux, comme l'ex-premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, qui croient encore que le Parti socialiste (PS) peut être rénové, renouvelé, réinventé. Ceux qui avancent déjà, en lançant leur propre initiative, sans vraiment abandonner leur formation, à l'instar de la maire de Paris Anne Hidalgo. Et ceux qui ont abandonné leur famille politique, de l'ancien Premier ministre Manuel Valls au candidat battu de la présidentielle Benoît Hamon. Tous, depuis la déculottée socialiste à l'élection reine, puis aux législatives, tentent de repenser l'avenir du PS, chacun à leur façon.

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  • Le Point - PS : qui part, qui reste

    Sonné par l'élection de Macron, le Parti socialiste peine à se remettre de sa débâcle aux législatives. Certains ténors, comme Benoît Hamon, plient bagage.

    Le Parti socialiste se trouve à l'heure des choix. Après l'élection d'Emmanuel Macron, c'est un parti amaigri et plus que jamais divisé, notamment sur son positionnement vis-à-vis du gouvernement. Trois camps se dessinent : les déserteurs, ceux qui y croient encore et veulent reconstruire le PS, et ceux qui, dans l'attente que les choses se clarifient, ne se prononcent pas.

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