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Article du jour - Page 129

  • L'Express - Parti socialiste: Cambadelis tente un #JeReste après le départ de Hamon

    Au lendemain du départ d'Hamon, entre ceux qui jugent sévèrement sa décision et ceux qui s'inquiètent de l'avenir du parti, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

    "Je crains qu'il ne reste plus grand monde au Parti socialiste", s'inquiète ce dimanche sur Europe 1 Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat. "C'est un drame", poursuit-il, décrivant un parti "très malade". Depuis l'annonce du départ de Benoit Hamon, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

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  • Le Monde - Après le départ de Benoît Hamon, le PS encore un peu plus affaibli

    L’ancien candidat à l’élection présidentielle a quitté samedi le Parti socialiste, moins d’une semaine après Manuel Valls.
     
    Le symbole est dérisoire. Et illustre parfaitement le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le Parti socialiste. Samedi soir, après l’annonce du départ de Benoît Hamon de la Rue de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis a publié sur Twitter un visuel où l’on pouvait lire : « Je suis, je reste au Parti socialiste. » Terrible aveu de solitude pour le premier secrétaire démissionnaire qui a vu partir, en moins d’une semaine, les deux finalistes de la primaire à gauche. Mardi 27 juin, c’était, en effet, l’ancien premier ministre Manuel Valls qui claquait la porte de la « vieille maison ».
     
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  • France Info - Départs en série au PS : "On est dans une descente aux enfers et elle n'est pas terminée"

    Après les départ de Benoît Hamon et de Manuel Valls, Patrick Lafarge estime que le PS est "plus proche de rentrer dans l'Histoire que de se projeter dans l'avenir". Il prédit un "choc" aux élections sénatoriales de septembre. 

    Après que Benoît Hamon a quitté le Parti socialiste et lancé samedi le Mouvement du 1er juillet, le politologue Patrick Lafarge a estimé, dimanche 2 juillet sur franceinfo, que le PS est "totalement déserté". Il évoque une "descente aux enfers" du parti et prévoit un "choc" pour les prochaines élections sénatoriales en septembre. "Les partis politiques changent de nom assez souvent. Là, il y a des problèmes de finances, des problèmes de patrimoine, des problèmes de salariés", justifie-t-il. "On est plus proche de rentrer dans l'histoire que de se projeter dans l'avenir", tranche-t-il.

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  • Le Figaro - Le PS veut empêcher la double appartenance avec le mouvement de Hamon

    De nombreux proches du candidat malheureux à la présidentielle envisagent de rejoindre son mouvement tout en restant rattachés à Solferino. Sauf que les statuts du parti interdisent la double appartenance.

    Les hamonistes menacés d'exclusion par le Parti socialiste? Si à ce stade Solferino se défend de vouloir «couper des têtes», la direction du parti rappelle opportunément que la «double appartenance» est interdite par les statuts.

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  • Le Figaro - Le PS ne cherche pas à retenir l'«enfant gâté» Hamon

    Les socialistes proches de l'actuelle direction ont pris acte du départ de l'ex-candidat à la présidentielle, avec lequel ils n'avaient plus de relations.

    Il n'aura pas de cadeau de départ rue de Solférino. Après l'annonce du départ de Benoît Hamon du PS, samedi, les ponts sont définitivement coupés entre la direction du parti et l'ex-candidat. Avant même son départ, ce dernier avait soigneusement séché tous les rendez-vous du PS depuis sa défaite au premier tour de la présidentielle, ce qui a eu le don d'énerver les cadres de Solférino.

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  • Le Parisien - Départ de Hamon du PS : Dray critique un «enfant gâté de la politique»

    Julien Dray a vigoureusement critiqué dimanche, sur Radio J, la décision de Benoît Hamon de quitter le PS pour lancer son «Mouvement du 1er juillet». Jugeant que «ce garçon est fidèle à lui même», Julien Dray a expliqué que Benoît Hamon «a pu faire sa campagne avec l'argent du PS, le soutien du PS, et donc la moindre des choses, la moindre des politesses c'est au moins de rendre compte à ses militantes et ses militants même si après on estime qu'on doit s'en aller». Julien Dray a noté que l'ancien député des Yvelines était absent au Conseil national du PS le 24 juin.

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  • Les décodeurs du Monde : Nouvelle Assemblée, mort de Simone Veil, mariage gay en Allemagne : les informations de la semaine à retenir

    Les députés ont fait une rentrée marquée par l’omniprésence de La République en marche, qui a mis la main sur la majorité des postes clés au Palais Bourbon.

    Avis du Comité d’éthique favorable à la procréation médicale assistée (PMA) pour toutes les femmes, ouverture du mariage aux couples homosexuels en Allemagne, mort de Simone Veil, figure du combat pour l’interruption volontaire de grossesse (IVG) en France… Voici notre tour d’horizon de l’actualité des sept derniers jours.
     
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  • France Info - Stéphane Le Foll plaide pour une "refondation" du Parti socialiste

    Stéphane Le Foll a plaidé pour une reconstruction du PS dimanche matin, sur franceinfo. L'ex-ministre de l'Agriculture a demandé une refondation "organisée" et a évoqué un changement de nom du parti. 

    Stéphane Le Foll a estimé que le Parti socialiste (PS) devait être reconstruit, dimanche 2 juillet, sur franceinfo. "L'idée qu'ont certains est qu'il suffit de créer des mouvements, pour qu'une idée, de manière extrêmement rapide, change la réalité. Non. Il faut être organisé", a martelé l'ex-ministre de l'Agriculture, actuel député PS de la Sarthe, qui plaide pour une "refondation" de la "vieille maison" [le parti socialiste].

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  • Le Monde - Benoît Hamon quitte le Parti socialiste

    L’ancien candidat socialiste a annoncé sa décision lors du lancement de son « Mouvement du 1er juillet », samedi à Paris.

    Il a finalement pris sa décision. Benoît Hamon a annoncé, samedi 1er juillet, à l’occasion du lancement de son « Mouvement du 1er juillet » à Paris, qu’il quittait le Parti socialiste. « J’ai décidé de quitter le Parti socialiste. Mais je n’abdique pas l’idéal socialiste. Je quitte un parti mais ni le socialisme ni les socialistes. Je serai plus utile en dehors de celui-ci », a-t-il lancé devant une foule nombreuse.
     
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  • L'Obs - Chez Benoît Hamon, on ne change pas une équipe qui perd

    Deux mois après sa débâcle présidentielle et quinze jours après celle des législatives, le socialiste lance ce samedi un nouveau mouvement à Paris pour tenter de se faire une place dans la "reconstruction de la gauche".

    Benoît Hamon-Sisyphe est de retour au pied de la montagne. Avec pour rocher rien de moins que la "reconstruction de la gauche". Après avoir englouti jeudi soir un kebab sauce harissa, le candidat malheureux du PS à la dernière présidentielle lance ce samedi après-midi à Paris un nouveau mouvement baptisé "Mouvement du 1er juillet".

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  • Marianne - Droit d'inventaire Eduardo Rihan-Cypel : "Le PS a été victime de sa paresse intellectuelle"

    Ancien député PS battu aux législatives, Eduardo Rihan-Cypel tire un bilan sévère de l’effondrement des socialistes et prévient : "On peut assister à l'extinction de l'espèce socialiste".

    Pourquoi les socialistes ont-ils été balayés, à la présidentielle puis aux législatives ?

    C’est le résultat de toute notre oeuvre. Le spectacle meurtrier de nos divisions a été fatal. Certaines mesures et décisions prises, notamment à la fin du quinquennat, étaient en contradiction avec des symboles puissants de la gauche : la déchéance de nationalité et la loi Travail ont été des fautes politiques qui ont ruiné toutes nos chances de victoire. Il y a eu également une forme d’arrogance au pouvoir, qui s’est illustrée par le spectacle des egos permanents.

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