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Article du jour - Page 132

  • France Info - Après la débâcle aux législatives, comment les socialistes peuvent espérer faire renaître le PS de ses cendres

    Après avoir encaissé la plus violente déroute de son histoire lors de ces élections législatives, le Parti socialiste se cherche un avenir.

    Le cœur n'y est pas. Sonnés par la débâcle électorale qui a réduit leurs troupes à peau de chagrin, dimanche 18 juin, les socialistes se cherchent un avenir. En ruine au lendemain des élections législatives, le parti est dans un tel état que certains se demandent s'il vaut la peine d'être sauvé. En attendant, les différentes chapelles qui composent le PS avancent quelques idées pour imaginer la suite.

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  • En Tunisie, des manifestants réclament le droit de manger en public pendant le ramadan

    Début juin, quatre non-jeûneurs ont été condamnés à un mois de prison pour « outrage public à la pudeur » après avoir mangé dans un jardin en plein mois de jeûne.

    Des dizaines de personnes ont manifesté, dimanche 11 juin, à Tunis, pour réclamer le droit de manger et de boire en public durant le ramadan et pour protester contre l’arrestation des non-jeûneurs. Début juin, quatre hommes ont été arrêtés puis condamnés à un mois de prison pour « outrage public à la pudeur » après avoir mangé dans un jardin en plein mois de jeûne musulman.
     
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  • Slate - Législatives: les élites ne meurent jamais

    Au soir du premier tour des élections législatives, une partie des élites est en passe de «dégager» pour de bon. La question est de savoir par qui et par quoi elle sera remplacée...

    «Qu’ils s’en aillent tous!», s’était exclamé Jean-Luc Mélenchon en 2010. Et ils s’en allèrent –presque– tous, donnant sept ans plus tard son caractère prophétique au titre de l’essai du leader du Front de Gauche/France insoumise. Ce que ni Jean-Luc Mélenchon ni personne n’avait en revanche anticipé, c’est que ce «dégagisme», un terme qu’il a également contribué à populariser, s’exercerait aux dépens de toutes les forces politiques, partis ou formations contestataires inclus. Quand le «système» craque pour de bon, ce qui est arrivé ce dimanche 11 juin lors du premier tour des élections législatives, les électeurs-balayeurs ne font pas de tri sélectif et la frange «anti-système» est emportée dans le coup de balai final du grand ménage électoral.

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  • Le Parisien - Jean-Jacques Urvoas : « L'image du Parlement n'est pas bonne ! »

    En campagne pour les législatives, Jean-Jacques Urvoas, l'ancien ministre de la Justice, fait des propositions pour améliorer le travail parlementaire.

    Candidat à sa réélection comme député PS dans la 1re circonscription du Finistère, l'ancien ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas vient de publier à la Fondation Jean Jaurès ses propositions pour revivifier le rôle du Parlement.

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  • La Tribune - Législatives : après le revers politique, le PS fait ses comptes

    Bien au-delà de la simple déroute politique, le Parti socialiste subit d’ores et déjà un revers financier considérable, dans ces élections législatives. Les dotations publiques, calculées par rapport au nombre d’élus, vont fortement diminuer au cours des cinq prochaines années.

    Alors que les résultats du premier tour des législatives étaient annoncés, dimanche dernier, les calculatrices fonctionnaient déjà à plein régime dans les principaux partis politiques. En effet, au-delà de l'avenir politique et de leur présence plus ou moins importante au sein de la prochaine assemblée, se joue lors de ces élections l'avenir financier des formations.

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  • Libé - PS : une génération en marge

    Particulièrement ciblés par la stratégie électorale de La République en marche, les jeunes candidats socialistes ont essuyé de sévères défaites dimanche, au point de compliquer considérablement la restructuration du parti.

    Ils avaient beau venir d’horizons socialistes différents, on les appelait la «génération Hollande». Tout un paquet de députés âgés de 30 à 40 ans qui avaient fait leur entrée à l’Assemblée en 2012 se retrouvent aujourd’hui sur le carreau, victimes de la vague En marche. L’hécatombe est tellement massive au PS que toutes les catégories d’élus - éléphants ou jeunes pousses - sont fortement touchées. Mais pour nombre de socialistes, La République en marche (LREM) a particulièrement ciblé ceux qui pouvaient être appelés à jouer un rôle de premier plan dans les cinq ans qui viennent. Histoire de creuser un fossé générationnel et de se dégager la voie pour le quinquennat et bien au-delà.

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  • Géoconfluences - L'élection, la carte et le territoire : le succès en trompe-l’œil de la géographie

    Publié le 30/05/2017

    Auteur(s) : Aurélien Delpirou, agrégé et docteur en géographie, maître de conférences à l’École d’urbanisme de Paris, chercheur au sein du laboratoire Lab’Urba de l’université Paris-Est, corédacteur en chef de la revue « Métropolitiques ».
    Les élections sont des périodes propices à la médiatisation de la géographie. Cependant, ces portraits de la France qui vote, brossés parfois sommairement, peuvent aussi donner lieu à des raccourcis. En reprenant certains des discours tenus dans la presse au nom de la discipline, l'auteur met en garde quant à l'utilisation de typologies binaires et à l'essentialisation des espaces et des populations auxquelles elles peuvent conduire.
     

    Les périodes électorales se suivent et se ressemblent. Dès les premiers résultats connus, la télévision, la radio et la presse s’essaient à dresser des tableaux politiques de la France et de ses territoires. Pour étayer ces analyses, le recours croissant à la cartographie analytique et l’usage désormais banalisé de termes issus de la discipline géographique (métropoles, périurbain, espace rural) s’accompagnent, depuis quelques années, de l’affirmation médiatique de quelques géographes dans une posture d’experts « décryptant »[1] les « mystères »[2] des territoires du vote.

    Ainsi la géographie est-elle aujourd’hui largement mobilisée par les médias au service d’approches localisées des résultats électoraux. Il y a sans aucun doute matière à s’en réjouir : la mise en lumière de la discipline, mal identifiée et longtemps restée dans l’ombre de l’histoire, ne peut que la renforcer et susciter des vocations. De même, il est heureux que des commentateurs aussi avisés et influents que Raphaël Glucksmann découvrent, à l’occasion des élections, qu’il existe « à une heure et demi de route » de Paris « des bourgs picards […] à l’agonie » (sic)[3]. Toutefois, cette percée géographique ne manque ni d’ambigüités ni d’inconvénients, car elle est porteuse d’une vision partielle et partiale de la discipline.

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  • Lyon Mag - Un tsunami, disent-ils ?

    Les scores des candidats En marche dans les 14 circo du Rhône sont assez décevants.

    A part, peut-être, ceux de Thomas Gassilloud  - qui a fait 3000 voix de plus que le score de Macron dans la 10ème circonscription (Craponne et Sainte-Foy-l’Argentière) et Blandine Brocard qui en a fait 2000 de plus dans la 5ème (autour de Caluire), tous les autres candidats En Marche ont perdu des voix par rapport au score - déjà assez peu élevé - que le Président de la République a réalisé  dans les 12 circonscriptions restantes du Rhône au 1er tour des élections présidentielle le 23 avril dernier.

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  • Le Figaro - Menacé de disparaître, le PS tente de contenir les règlements de comptes

    Au lendemain d'une défaite électorale sans précédent, la direction du parti reporte à plus tard la question du bilan du quinquennat.

    Les lendemains de défaite électorale ? La routine pour le Parti socialiste. Lundi matin, après la déroute historique essuyée au premier tour des élections législatives, quelques chefs à plumes convergeaient comme d'habitude vers le 10, rue de Solferino, le pas lourd. «Vous venez voir mourir la bête ? Elle n'est pas morte ! Du moins, pas encore !», plaisante Emmanuel Maurel, député européen. «C'est sympa de venir aux enterrements !», s'exclame tout de go Benjamin Lucas, président du mouvement des Jeunes Socialistes. L'ancienne ministre Laurence Rossignol apparaît vers 10 heures. Interrogée sur l'avenir du parti, l'ex-sénatrice s'agace vite des «questions d'appareil » qui appartiennent «au vieux monde ».

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  • Europe 1 - La future loi antiterroriste soulève une fronde

    Les opposants politiques, mais aussi les autorités judiciaires, fustigent le projet de loi qui doit être présenté en Conseil des ministres le 21 juin. Le gouvernement tente de déminer. 

    Les critiques pleuvent sur le gouvernement depuis la divulgation, jeudi, des dispositions prévues dans un avant-projet de loi antiterroriste, qui vise à transposer certaines mesures de l'état d'urgence dans le droit commun. Si Edouard Philippe, le Premier ministre, a tenté de déminer la situation vendredi en assurant que le gouvernement n’avait pas l’intention d’instaurer un état d’urgence permanent, le débat est loin d’être clos.

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  • Débâcle du Parti socialiste : Jean-Christophe Cambadélis "est le synonyme de l'absence de renouvellement et des erreurs de notre parti"

    Michèle Delaunay, ex-ministre déléguée aux Personnes âgées et à l'autonomie, a appelé, lundi sur franceinfo, au départ du premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, et Bernard Cazeneuve à prendre la tête du PS.

    Sur franceinfo lundi 12 juin, l'ancienne ministre déléguée aux Personnes âgées et à l'autonomie dans les gouvernements socialistes de mai 2012 à mars 2014, attribue sa défaite aux "hamono-écologistes qui se sont ligués" pour la faire perdre. Pour Michèle Delaunay, le PS n'est pas mort. Il peut se "reconstruire", mais sans Jean-Christophe Cambadélis.

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