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Article du jour - Page 132

  • Le Figaro - Partir ou être écartés... rue de Solférino, les socialistes macronistes poussés vers la sortie

    Depuis quelques jours, les départs d'élus du Parti socialiste se multiplient. Quand ce n'est pas de leur fait, les personnalités socialistes qui ont voté pour Emmanuel Macron à la présidentielle sont écartés.

    Déjà fragilisé par ses mauvais résultats à la présidentielle et aux législatives, le Parti socialiste s'est lancé dans une chasse aux sorcières à l'endroit de ceux qui ont soutenu Emmanuel Macron. Des cadres de la rue de Solférino ont reçu dernièrement des missives pour les informer qu'ils étaient écartés des instances du parti. A l'image d'Amine El-Khatmi, élu du Vaucluse: «J'ai donc appris via un SMS assez minable de Karine Berger (ex-députée PS, NDLR) que j'étais exclu des instances nationales du PS pour avoir appelé à voter Macron», a-t-il indiqué sur Twitter.

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  • Le Monde - Manuel Valls quitte le Parti socialiste et rejoint le groupe LRM à l’Assemblée

    L’ancien premier ministre siégera comme député apparenté au groupe La République en marche, après un vote à mains levées mardi matin du groupe dirigé par Richard Ferrand. 

    L’ancien premier ministre Manuel Valls a annoncé, mardi 27 juin sur RTL, qu’il « quitte le Parti socialiste » et qu’il compte siéger « dans la majorité » durant la prochaine législature alors que les députés font leur entrée à l’Assemblée nationale à 15 heures. Dans la foulée de cette annonce, le groupe de La République en marche au Palais-Bourbon a voté, à mains levées, pour que l’ancien maire d’Evry soit apparenté au groupe majoritaire.
     
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  • Le Figaro - Bouvet : « Que des universitaires défendent Houria Bouteldja est un crime contre l'esprit »

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - En réaction à un article de Jean Birnbaum sur les dérives de l'antiracisme, une vingtaine d'intellectuels a pris la défense, dans une tribune du Monde parue le 20 juin, de Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République citée par Birnbaum. Laurent Bouvet réagit à cette affaire.

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  • Libé - Le PS choisit «l’opposition», même dans l’abstention

    Réunis en conseil national, les responsables socialistes ont clairement pris leur distance avec l’exécutif mais gardent la porte ouverte à une abstention de leurs députés lors du vote de confiance. Un choix (aussi) tactique.

    ..... Le Parti socialiste vient de connaître deux des pires défaites électorales de son histoire. Et pourtant, réunis ce samedi en conseil national - parlement du parti - à quelques pas de l’Assemblée où les députés macronistes se réunissaient le même jour en séminaire, les socialistes en sont sortis avec - presque - l’unanimité sur leur position vis-à-vis du nouveau pouvoir. 

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  • Le Monde - Des proches d’Arnaud Montebourg veulent ramener le PS vers la gauche

    Dans une tribune, plusieurs dizaines de socialistes appellent à « tourner le dos à la dérive libérale » du Parti socialiste.

    L’objectif est clair : profiter de la reconstruction du Parti socialiste pour le ramener vers la gauche. A la veille d’un conseil national qui doit entériner le fait que le PS entre dans l’opposition au gouvernement, les anciens soutiens d’Arnaud Montebourg, derrière François Kalfon et Yann Galut, ont publié un long texte ayant pour ambition d’« inventer la gauche nouvelle ».
     
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  • Libé - Réforme du droit du travail : ce que contient le projet de loi d'habilitation

    «Le Monde» s'est procuré le projet de loi d’habilitation qui doit autoriser le gouvernement à légiférer par ordonnance. Encore très vague, le texte recense des pistes déjà connues et d'autres, hautement sensibles, sur lesquels les syndicats n'ont pas encore été consultés.

    Une semaine avant sa présentation en conseil des ministres, le Monde s’est procuré le projet de loi d’habilitation qui doit autoriser le gouvernement à légiférer par ordonnance pour réformer le droit du travail. Ce texte, soumis au Conseil d’Etat le 14 juin, sera débattu au Parlement mi-juillet. Encore vague, il ne permet pas de lever le voile sur les intentions réelles du gouvernement. Mais il ne ferme pas non plus la porte à des mesures radicales, inspirées par les propositions du patronat.

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  • Libé - Le PS doit retrouver son humanité Par Stéphane Le Foll, Député de la Sarthe et ancien ministre.

    Il ne faut pas se contenter de couper des têtes, mais refonder le parti autour de l’écologie, de l’Europe et de nouvelles formes de redistribution.

    Le Parti socialiste (PS) connaît une défaite historique. Face aux défis auxquels il est confronté, il y a plusieurs attitudes. D’abord, c’est celle qui va consister à couper des têtes, et les socialistes jivaros se sont déjà beaucoup exprimés. Je voudrais leur dire, qu’au regard de l’histoire, leurs sabres ne sont que de petits canifs avec des lames émoussées et rouillées. Il y a aussi, comme à chaque défaite, la tentation de l’expliquer uniquement par le fait que nous n’aurions pas été assez à gauche.

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  • Libé - «S’il n’y a pas de clarification au PS sur la confiance, on devient le Parti radical.»

    Guillaume Balas eurodéputé PS mardi à Libération

    Quel vote pour les députés PS à l’issue du discours de politique générale d’Edouard Philippe le 4 juillet ? L’expression en vigueur depuis mardi à la direction du parti - proposée au conseil national samedi - est : «Ne pas voter la confiance.» «Sauf qu’il faut préciser ! souligne Guillaume Balas, proche de Hamon. On vote contre ou on peut s’abstenir ? Si on s’abstient, les gens diront que les socialistes n’ont rien compris, qu’ils n’ont toujours pas de position claire.»

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  • RTL - Parti socialiste : Olivier Faure élu président du groupe à l'Assemblée

    Olivier Faure a été élu jeudi 22 juin à la tête du groupe socialiste avec 28 voix contre 3 à Delphine Batho.

    Olivier Faure a été réélu jeudi président du groupe PS de la nouvelle Assemblée nationale, l'emportant très largement sur l'autre candidate, l'ancienne ministre de l'Environnement Delphine Batho, a-t-on appris de sources concordantes. Lors d'un vote à bulletin secret, Olivier Faure, 48 ans, réélu en Seine-et-Marne dimanche avec 61% des voix, l'a emporté par 28 voix contre 3 pour Delphine Batho, redevenant ainsi le président d'un groupe qui ne compte actuellement que 31 députés après le revers du PS lors des dernières élections législatives.

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  • La Tribune - Le Parti socialiste uni... pour refuser la confiance au gouvernement

    Au lendemain des législatives, l'instance dirigeante socialiste a donné le ton - ferme à l'égard de la majorité présidentielle - à l'Assemblée nationale. Les socialistes qui voteraient la confiance au gouvernement seront exclus du parti.

    "Aucun des participants n'est allé dans le sens de voter pour la confiance à Édouard Philippe", a estimé Luc Carvounas, nouveau député du Val-de-Marne, à la sortie du bureau national du Parti socialiste. Voilà qui est clair désormais, quant à la position que vont adopter les 30 députés qui devraient composer le groupe PS à l'Assemblée nationale. Les socialistes qui voteraient la confiance au gouvernement seraient exclus du parti.

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  • Les Inrocks - Entretien avec Benoît Hamon : “Je ne me vis pas du tout comme une victime”

    Invité au sein de la rédaction des Inrockuptibles, le socialiste Benoît Hamon fait le bilan de ses défaites électorales récentes. Alors qu’il lancera son mouvement le 1er juillet, il esquisse des solutions pour reconstruire une gauche en pleine année zéro.

    Après ces législatives, la gauche semble KO debout. Comment expliquez-vous cette déroute idéologique ?
    Benoît Hamon – Je pense que la gauche a vécu un long phénomène d’érosion comme lorsqu’une falaise se fragilise et d’un coup, un bloc finit par tomber. A première vue, les résultats des législatives donnent un peu le vertige car la gauche laisse l’impression de disparaître du spectre politique, mais ce n’est pas parce qu’elle ne siège plus à l’Assemblée qu’elle a disparu du paysage.

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