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Article du jour - Page 133

  • Quand Theresa May découvre le communautarisme, le Guardian garde les yeux fermés…

    Après l’attentat perpétré au cœur de Londres ce samedi 3 juin, la Première ministre britannique Theresa May ne s’est pas contentée de répéter qu’« assez c’est assez », formule de circonstance qui ne mange pas de pain. Non seulement elle a ciblé les services de sécurité, mais elle a mis les pieds dans le porridge en dénonçant le communautarisme, principe pourtant considéré comme une institution de l’autre côté de la Manche.

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  • Télérama - Khaled Freak, le youtubeur qui remixe les politiques

    Mélenchon en autotune, Macron passé à la moulinette heavy metal, Hollande sublimé par son flow... Les vidéos de Khaled Freak sont souvent jubilatoires. Bilan en remixes d’une législature qui s’achève, en espérant que les élections de juin nous enverront une nouvelle fournée de députés inspirés et inspirants.

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    C'est Pas De Votre faute (REMIX POLITIQUE)

    Ajoutée le 2 janv. 2016

    Remix d'un débat politique entre UMP et PS concernant les problèmes de finance.
    Bernard Cazeneuve contre Dominique Dord
    Au final c'est de la faute de qui ?? lol

     

  • Jean-Christophe Cambadelis à BuzzFeed: «La question de Manuel Valls au PS ne se posera plus dans quelques semaines»

    En pleine tempête, le PS aborde les prochaines législatives en serrant les dents. Chez BuzzFeed, le patron du parti Jean-Christophe Cambadelis évoque l'échec de la présidentielle, les trahisons des uns et des autres, et l'avenir de son parti à l'orée d'une déroute historique.

    Le PS est à la dérive, mais son patron, Jean-Christophe Cambadelis, tente tant bien que mal de tenir la baraque. À quelques jours d'un premier tour aux allures de chemin de croix pour les candidats socialistes, le député de Paris et lui-même candidat à sa réélection dresse le portrait d'une gauche morcelée mais pas (encore) abattue. Au passage, il allume Manuel Valls et Marisol Touraine, coupables d'avoir rejoint Emmanuel Macron dans son entreprise de démolition du PS.

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  • Le Monde - La future loi antiterroriste du gouvernement soulève de vives inquiétudes

    « Le Monde » publiait jeudi un avant-projet de loi montrant comment l’exécutif entend faire entrer l’état d’urgence dans le droit commun. Des défenseurs des libertés publiques et le PS s’en alarment.
     
    Une « perfusion » de l’état d’urgence dans le droit commun : l’avant-projet de loi antiterroriste du quinquennat Macron que dévoilait, jeudi 8 juin, Le Monde, suscite de vives inquiétudes à gauche et parmi les magistrats et défenseurs des libertés publiques.
     
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  • Le Figaro - Castaner, Daech appartient bien, hélas, à la sphère musulmane »

    Christophe Castaner a déclaré qu'il ne fallait plus parler d'État islamique parce que les « djihadistes » n'avaient rien à voir avec l'islam. Pour Pascal Bruckner, il s'agit pourtant d'un des visages, pas le principal et fort heureusement pas le seul, de la religion musulmane.

    FIGAROVOX. - «Cessons de parler d'État Islamique, ils trahissent la religion qu'ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins» a déclaré, sur Europe 1, Christophe Castaner, le porte-parole du gouvernement. Faut-il cesser de parler d'État islamique?

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  • France Inter, Thomas Legrand : Loi Travail et législatives

    Les projets de réforme du code du travail sont maintenant connus. C’est le dossier central de cette élection législative !

    En réalité c’est le seul, hormis le consensuel dossier de la moralisation de la vie publique, le seul sujet de fond, d’ordre programmatique, qui émerge mais il est très compliqué… il n’est nécessairement pas précis puisqu’il est soumis à négociation.

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  • Le Lab - "Tous les socialistes" qui font campagne pour un candidat autre que celui du PS sont considérés comme "démissionnaires" par le parti

    C’est la débandade au Parti socialiste. Après la dérouillée reçue par Benoît Hamon à la présidentielle, les législatives s’annoncent tout aussi réjouissantes : entre 20 et 35 sièges à l’Assemblée selon les sondages, on est plus proche du PCF de George Marchais de 1993 que de la défaite historique du PS de Laurent Fabius à ce même scrutin.

    Pendant que le bateau coule, le capitaine "Camba" tente de remobiliser les troupes, en public en tout cas. Parce qu’en interne, l’ambiance est, comment dire, trèèès tendue.

    Pour preuve, cette circulaire que le Lab a pu se procurer. Adressée le 31 mai dernier aux premiers secrétaires fédéraux, aux membres du conseil national et aux parlementaires, cette lettre fait état de la décision du Bureau national après la saisine de la CNC (Commissions nationale des conflits). Décision adoptée sans aucun avis contraire, nous fait-on savoir dans les instances du PS.

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  • Le Monde - Code du travail, assurance-chômage… le gouvernement présente ses réformes sociales

    Conformément à la promesse d’Emmanuel Macron, le code du travail sera réformé par ordonnances. Ces dernières devraient être publiées « à la fin de l’été ».

    Le premier ministre, Edouard Philippe, et la ministre du travail, Muriel Pénicaud, ont présenté, mardi 6 juin, une feuille de route pour les réformes sociales que le gouvernement entend mener les 18 prochains mois. Rénover le modèle social français est « indispensable et urgent », a souligné le chef du gouvernement en dévoilant le calendrier.
     
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    «Libération» s’est procuré des documents du ministère du Travail qui détaillent les pistes auxquelles l’exécutif réfléchit. Bien plus inquiétant que la présentation livrée par le gouvernement mardi.
     
    Vous avez détesté - ou aimé - la loi travail ? Vous allez haïr - ou adorer - sa petite sœur. Alors que le gouvernement a présenté, mardi, les lignes très générales de la future réforme du code du travail (lire par ailleurs), Libération s’est procuré des documents qui détaillent les projets de l’exécutif sur le sujet. Et c’est peu dire que la loi El Khomri, en comparaison, paraîtra bien fade aux acteurs du dossier.
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    Le gouvernement entend avancer vite sur la réforme du travail, un sujet qui a provoqué de fort remous sur le front social au printemps 2016. Les premières ordonnances, concernant le code du travail, devraient être adoptées à la fin de l'été.
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    EDITO. Si la fexicurité n'est que "flex", si le gouvernement ne réfléchit pas aux conditions d'un dialogue social réussi, la réforme ne fera qu'aggraver les maux français..... Dans l'équilibre de  la "flexicurité" proposé, on entend beaucoup de "flex" pour les employeurs, peu de "sécurité" pour les travailleurs. L'une sans l'autre, pourtant, est l'assurance d'un désastre, avec baisses de salaires, dégradation des conditions de travail, et tensions sociales accrues. 
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    La concertation avec les partenaires sociaux sur la réforme du code du travail va s’articuler autour de trois grands thèmes.
     
    Concernant la réforme du code du travail , le gouvernement a pris soin de découper le calendrier de la concertation avec les syndicats et le patronat sur les ordonnances en trois grandes parties.
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    On doit rétablir la prééminence de la loi de la république, l'état de droit dans l'entreprise, l'ordre public social.
  • Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal

    Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.

    Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de 310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.

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  • Europe 1 - Législatives : le PS dans l'angoisse d'une raclée historique

    Déboussolés par leur score à la présidentielle, les socialistes se souviennent avec effroi de leur défaite record aux législatives de 1993. Mais redoutent une défaite plus cuisante encore.

    Il y a encore quelques mois, les socialistes pensaient pouvoir éviter le pire. Le pire, c'était 1993, ces législatives en forme d'hécatombe et ce groupe réduit comme peau de chagrin à 57 députés. A une semaine du premier tour, pour le même résultat, les socialistes signeraient des deux mains. Les sondages leur promettent entre 20 et 30 unités, soit dix fois moins que sous le quinquennat Hollande. Avec un sens prononcé de ­l'euphémisme, Benoît Hamon, qui doit lutter pour sauver son siège, parle d'une "configuration compliquée" quand Bernard Cazeneuve, lui, se démultiplie au chevet des candidats moribonds comme pour leur administrer l'extrême-onction.

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  • Libé - Controverse autour du prochain président de l'islam de France

    Proche de l'AKP, parti islamo-conservateur du président Erdogan, et de son entourage, le représentant de l’islam turc en France, Ahmet Ogras, devrait devenir le prochain président du Conseil français du culte musulman, au risque de provoquer de violentes polémiques.

    A moins d’un coup de théâtre, le représentant officiel de l’islam turc en France, Ahmet Ogras deviendra le 1er juillet le nouveau président du Conseil français du culte musulman (CFCM), succédant ainsi à Anouar Kbibech. Il s’agit d’une première, puisque jamais aucun responsable turc n’a occupé cette fonction – depuis la création du CFCM en 2003, Algériens et Marocains l’avaient exclusivement présidé en alternance.

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