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Article du jour - Page 124

  • Libé - Refondation du Parti socialiste : l’image d’Epinay

    La déroute à la présidentielle et aux législatives ramène le PS à une autre période compliquée de son histoire. Et les nouveaux dirigeants espèrent en venir à bout, comme l’avaient fait leurs aînés à la fin des années 60.

    ..... Il y a près de cinquante ans, le mouvement socialiste est, comme le PS d’aujourd’hui, dans un bien mauvais état. Réuni au sein de la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS), il vient de perdre sèchement les élections législatives de 1968 : 16,5 % et 57 députés qui débarquent à l’Assemblée nationale avec comme mot d’ordre «l’opposition constructive». L’actuel président de groupe de la trentaine de députés PS sauvés de la vague Macron, Olivier Faure, ne renierait pas l’expression.

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  • Libé - La jeunesse socialiste, aussi perdue que le PS

    Entre les lignes de Hamon, Valls et Macron, le MJS se cherche, frappé exactement des mêmes dissensions et interrogations que son grand frère.

    «Un bordel sans nom» ; «une déroute jamais vue» ; «une situation des plus floues». Face à l’état de leur parti, les Jeunes Socialistes s’accordent sans difficulté sur un point : le PS va mal, très mal. Mais lorsqu’il s’agit d’évoquer leur avenir, les évidences sont déjà bien loin. Faut-il s’investir dans la reconstruction du Parti socialiste ? Le quitter pour rejoindre le Mouvement du 1er Juillet de Benoît Hamon ? Faire les yeux doux à Emmanuel Macron façon Manuel Valls ?

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  • L'Obs - La guéguerre entre Julien Dray et l’entourage de Benoît Hamon

    Les proches de l'ancien candidat n'ont pas tardé à réagir après que Julien Dray a demandé un "audit" des comptes de campagne.

    Tu as trop dépensé – Non c’est faux. Voilà en substance le contenu du débat qui agite Julien Dray et l’entourage de Benoît Hamon par médias interposés. C’est dire si la période estivale ramollit les cerveaux. Quand le premier demande "un audit" des comptes de campagne, les seconds répondent par des procès en déloyauté.

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  • Le Monde - Dix ans après la crise financière, la finance mondiale renoue avec les excès Par Isabelle Chaperon , Eric Albert Londres, correspondance et Stéphane Lauer New York, correspondant

    Les économistes s’inquiètent des nouvelles menaces pesant sur le secteur. Aux Etats-Unis ou en Chine, la dette est de nouveau au plus haut. L’histoire pourrait encore mal finir.

    Dix ans après l’éclatement de la crise financière et tandis que la reprise se raffermit enfin en Europe, les mesures prises pour renforcer la solidité des banques européennes, celles pour sécuriser la stabilité financière et corriger les déséquilibres de la zone euro mettent-elles le Vieux Continent à l’abri d’un nouveau cataclysme ?

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  • L'Express - Présidentielle: Julien Dray demande un audit des dépenses de Hamon

    Le porte-parole du Parti socialiste s'étonne des sommes dépensées par le candidat de son parti à la présidentielle, au vu de son résultat.

    Plus de 15 millions d'euros pour 6,36% des voix. Soit 6,58 euros par voix obtenus. Ces statistiques de Benoit Hamon, largement relayés dans la presse depuis la publication des dépenses de campagnes des candidats à l'élection présidentielle, ont dérangé jusqu'au sein de Solferino.  

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  • Les Echos - Crise financière : attention, danger !

    LE CERCLE/PROJECT SYNDICATE - Dix ans après la crise, il est encore trop tôt pour affirmer que le système financier est sain dans son ensemble. Certains risques pèsent encore sur les marchés internationaux. Et ils ne proviennent pas forcément des banques.

    Depuis quelques semaines, des deux cotés de l'Atlantique les dirigeants politiques affirment que le système financier est équilibré et stable. La Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé en juin que toutes les banques américaines ont réussi leur test de stress annuel. Et la présidente de la Fed, Janet Yellen, pense que la prochaine crise financière n'est pas pour demain.

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  • Boursorama - Delphine Batho (PS) : "Aucune mesure n'est prise pour les catégories populaires"

    La députée PS Delphine Batho a regretté mercredi que le gouvernement ne prenne "aucune mesure pour les catégories populaires" et qu'il "taille dans les impôts des riches".

    "On a des mesures de gestion très technocratiques, pas une seule mesure pour les catégories populaires et modestes" n'est prise, a lancé l'ancienne ministre de l'Écologie ce mercredi 9 août sur RMC. "On nous annonce une hausse de la CSG (contribution sociale généralisée), tandis que des mesures sont prises pour les plus fortunés".

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  • Libé - Le jour où le PS a suspendu son vol

    Pics de campagne (3/5). Le samedi 25 mars, l’état-major du Parti socialiste se retrouve dans un A310 de la République pour aller enterrer Henri Emmanuelli. Alors que certains s’apprêtent à rejoindre Macron, Benoît Hamon cherche sa place.

    Coquetterie posthume ou ultime requête au pays qu’ils ont servi ? En disparaissant, les grands hommes politiques laissent une flopée d’instructions sur le déroulement de leurs obsèques, vissant au millimètre près l’hommage de leurs pairs. Ancien Premier ministre, Michel Rocard avait eu droit aux Invalides mais réclamé dans ses dernières volontés une autre cérémonie au Parti socialiste, rue de Solférino. Après avoir présidé l’Assemblée nationale, le PS et les Landes, Henri Emmanuelli avait, lui, prévu des bandas, ces fanfares festives du Sud-Ouest, au passage de son cercueil à Mont-de-Marsan.

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  • Capital - Les salaires de pacha des hauts responsables du PS

    Alors que depuis la débâcle de Benoît Hamon à l’élection présidentielle, le Parti socialiste souffre de graves difficultés financières, certains membres de la direction du parti empochent de très confortables rémunérations !

    Jusqu’à 10.100 euros brut par mois pour travailler rue de Solférino… C’est le coquet salaire que touche Maxime Mourier des Gayets en tant que directeur de cabinet de Jean-Christophe Cambadélis (il doit quitter son poste à la fin du mois). Et ce n’est pas le seul à bénéficier d’un tel traitement, à en croire les informations révélées par Mediapart.

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  • L'Humanité - Révélation. Les petites affaires des macroniens issus du groupe Danone

    La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, n’est pas la seule en cause dans le scandale des plus-values réalisées par les dirigeants de la multinationale. Où l’on découvre que plusieurs administrateurs ont fait partie des équipes du candidat Macron.

    L’examen dans le détail des publications de Danone montre que le scandale Pénicaud n’affecte pas que l’ancienne DRH du groupe. La quasi-totalité du comité de direction est impliquée, bénéficiant au total de près de 5 millions d’euros de plus-values. Récapitulons l’affaire.

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  • Non Fiction - Pour une anthropologie de la ville

    [vendredi 21 juillet 2017]
     
    Qu'est-ce qui forme 'la ville', en tant qu’espace vécu, commun et partagé, mais aussi divers et clivé ?

    Conceptualiser l’urbain semble un exercice de plus en plus périlleux: le brouillage des catégories de réflexion est le reflet de la transformation actuelle des structures urbaines et sociales qui semblent être de moins en moins pérennes. Il n’a ainsi jamais été aussi complexe de définir ce qu’est la ville. Michel Agier – dont les principales recherches portent sur la mondialisation, les questions de mobilité, de migrations et d’exils – souhaite apporter son éclairage d’anthropologue sur la ville. Dans cet ouvrage à portée conceptuelle, mais inspiré de ses travaux empiriques autour de territoires en marge qu’il nomme des "brouillons de ville" (favelas, camps...), il entend non pas essentialiser la ville et figer cet objet d’analyse mais appréhender ce qui "fait ville" aujourd’hui et cela, par ses marges. Comprendre ce qui "fait ville" est aussi un moyen de politiser l’agir urbain et se donner les moyens de revendiquer un droit à la ville. Qu’est-ce qui fait ville aujourd’hui d’un point de vue pratique et théorique   ? Comment la ville, c’est-à-dire la communauté, se construit ? Qu’est qui fonde la possibilité d’une anthropologie de la ville ? "Par quel processus ce que l’on appelle ‘la ville’ se forme en tant qu’espace vécu, commun, partagé, même si ce partage est fait de diversité et de désaccords ?"   En filigrane de ces interrogations se pose la question suivante : pourquoi la ville ne fait-elle plus société ?

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