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Article du jour - Page 124

  • L'Obs - Le Parti socialiste va vendre son siège de la rue de Solférino

    L'hôtel particulier occupé par les socialistes depuis 1980 vaudrait 40 millions d'euros, révèle le "Canard Enchaîné".

    Le Parti socialiste à Solférino, c'est bientôt fini. Après la débâcle de son candidat Benoît Hamon (6,5%) à la présidentielle et l'élection d'à peine 34 députés lors des législatives, le parti à la rose va devoir céder son siège historique situé au 10 rue de Solférino, dans le très chic VIIe arrondissement de Paris, révèle le "Canard Enchaîné" dans son édition du mercredi 2 août. 

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  • Slate, Gaël Brustier - Podemos et les socialistes espagnols, alliance tactique ou première pierre d’une refondation européenne?

    Le PSOE a fait le choix d’une alliance avec Podemos, malgré ou contre ses chefs historiques. Podemos choisit de s’inscrire dans une logique d’accès potentiellement rapide aux responsabilités gouvernementales. Si le gouvernement Rajoy est en ligne de mire, c’est le projet européen qui sera immanquablement questionné.

    L'un existe depuis moins de quatre ans, l'autre a été un des partis historiques de la transition démocratique espagnole dans les années 1970-1980. Le mouvement de gauche radicale Podemos et le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) viennent de faire chacun un pas en direction de l’autre en convenant de la création d’une instance de débat entre les deux formations.

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  • Le Figaro - Céline Pina : « La leçon de liberté des Algériennes en bikini »

    En Algérie, de nombreuses femmes se réunissent pour réclamer la tolérance quant au fait de porter un bikini sur la plage. Céline Pina voit dans cette mobilisation un exemple pour toutes les femmes contraintes de cacher leur corps.

    Lasses d'être harcelées et insultées pour le seul crime d'oser enfiler un bikini, à Annaba, en Algérie, sur la plage de Seraidi, des femmes s'organisent pour venir en groupe à la plage afin de porter un maillot-de-bain sans que cela ne les mette en danger. Ces femmes luttent ainsi contre une police des mœurs insidieuse qui se met en place, tandis que les autorités choisissent de détourner le regard. Ne pouvant être protégées par le pouvoir politique, elles n'ont que leur nombre et leur mobilisation pour tenter de faire accepter cette simple liberté.

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  • Les Echos - Olivier Faure : « Macron n’est pas Jupiter, c’est Janus »

    Olivier Faure Président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée nationale

    Député de Seine-et-Marne et président du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée, le socialiste Olivier Faure fustige les dix premières semaines d' Emmanuel Macron à la tête de l'Etat. « Le double langage a remplacé la langue de bois. Ce n'est pas Jupiter, c'est Janus. Le dieu du 'en même temps' », raille-t-il, estimant que « rien de la promesse de rénovation n'est tenu ».

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  • Le Parisien - Seine-Saint-Denis : le PS déchiré entre les proches de Hamon et les loyalistes

    Le parti socialiste tente de panser ses plaies. En Seine-Saint-Denis, le parti à la rose a perdu ses neuf députés. Et si aucune grande figure n’a quitté le PS, cela n’empêche pas certains de faire entendre leurs petites voix. Ainsi Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental ou encore Mathieu Hanotin, ex-député, ne cachent pas leur soutien à Benoît Hamon qui, lui, est parti de son côté. Des positions qui ne plaisent pas à tout le monde.

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  • Sénatoriales 2017 : les hamonistes envisagent une liste dissidente face au PS

    Les hamonistes menacent le Parti socialiste de présenter une liste dissidente à Paris, dans le cadre des élections sénatoriales qui auront lieu le 24 septembre.

    Le Parti socialiste (PS) peine encore à rassembler ses tendances internes. Les représentants de l'aile gauche du PS à Paris menacent, dans la perspective des sénatoriales, de présenter une liste dissidente face à celle conduite par Rémi Féraud s'ils n'y obtiennent pas "une place éligible". 

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  • Info Châlons - Avec Boris Vallaud, c'est l'ombre d'Arnaud Montebourg qui va planer sur l'édition 2018 de la Fête de la Rose

    Alors que le PS est face à une situation inédite depuis de nombreuses décennies, les Amis de la Bresse, organisateurs de la Fête de la Rose, l'un des grands rendez-vous politiques annonçant la rentrée, n'entendent pas baisser les bras. En invitant le député Boris Vallaud, élu député des Landes en juin dernier, c'est aussi, un clin d'oeil effectué à Arnaud Montebourg. En Saône et Loire, chacun étant en capacité de se rappeler qu'avant d'entamer une carrière politique, Boris Vallaud qui n'est autre que le mari de Najat Vallaud-Belkacem, ancienne Ministre de l'Education Nationale de Manuel Valls, était bien connu en Saône et Loire, pour être la cheville ouvrière d'Arnaud Montebourg, alors Président du Conseil Général de Saône et Loire, en qualité de Directeur Général des Services. 

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  • Le Figaro - Paris : les Hamonistes menacent le PS d'une liste dissidente aux sénatoriales

    Dans la capitale, les sénatoriales créent de nouvelles tensions entre l'aile droite du Parti socialiste et les proches de Benoît Hamon. En cause, une liste LREM menée par un socialiste qui mettrait en danger la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann.

    Les tensions règnent toujours au sein de la famille socialiste. Nouvelle pomme de discorde, les sénatoriales à Paris. Alors que la sénatrice sortante Marie-Noëlle Lienemann était en bonne position sur la liste PS pour retrouver son siège, l'annonce de la tête de liste La République En Marche rebat les cartes.

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  • Le Figaro - Comment sauver le Parti socialiste ? Par Renée Fregosi

    Pour Renée Fregosi, s'il veut survivre, le Parti socialiste doit rompre avec l'idée désormais stérile de l'« union des gauches », qui l'empêche de définir une réelle base doctrinale.
     
    La nouvelle direction provisoire de la Rue de Solferino rassemble une fois encore les débris du hollandisme et les derniers avatars des frondeurs. Sinistres fossoyeurs d'un vaisseau fantôme, ils se présentent en défenseurs héroïques d'un parti en lambeau qu'ils ont largement contribué à détruire. Mais ce n'est pas en rejouant Epinay que le Parti socialiste trouvera une nouvelle dynamique. Les mutations profondes au niveau mondial comme le bouleversement de la vie politique nationale produit par Emmanuel Macron, interdisent la réussite d'une nouvelle entourloupe mitterrandienne.
     
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  • Slate, Jean-Hervé Lorenzi et Mickaël Berrebi - Annulation du redressement fiscal de Google: la stupidité d’une décision

    Le résultat de la bataille entre Google et la France déterminera qui nous gouverne véritablement.

    Le mot «stupide» tient son origine du latin stupere et qualifie un état de sidération qui nous éloigne de la réalité des choses. C’est exactement ce qui a été le cas lors de la décision du Tribunal administratif de Paris en annulant le redressement fiscal de Google en France. Et c’est exactement ce qui n’a pas été le cas, ni pour les décisions de la Commission européenne, ni pour celles de la Grande Bretagne et l’Italie, lorsque les uns et les autres ont sanctionné Google.

    Il ne s’agit évidemment pas d’incriminer Google qui joue des failles dans les dispositifs publics mais de juger de la capacité des États à se défendre, confrontés à des situations totalement inédites.

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  • Le Point - Moralisation: texte "satisfaisant" mais aussi "timide", estime Dosière

    L'ex-député PS René Dosière, spécialiste du contrôle de l'argent public, a jugé que les textes sur la moralisation, débattus à partir de lundi à l'Assemblée, apportaient des réponses "satisfaisantes" sur les points essentiels, mais "timides" sur le financement des partis politiques.

    "Sur les trois points les plus emblématiques du texte, l'interdiction des emplois familiaux de collaborateurs, le nouveau régime de frais de mandat et la suppression de la réserve parlementaire, les réponses sont satisfaisantes", a déclaré à l'AFP René Dosière, qui avait été consulté par François Bayrou alors garde des Sceaux, au moment de l'élaboration des projets de lois (ordinaire et organique).

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