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Article du jour - Page 123

  • Libé - Le jour où le PS a suspendu son vol

    Pics de campagne (3/5). Le samedi 25 mars, l’état-major du Parti socialiste se retrouve dans un A310 de la République pour aller enterrer Henri Emmanuelli. Alors que certains s’apprêtent à rejoindre Macron, Benoît Hamon cherche sa place.

    Coquetterie posthume ou ultime requête au pays qu’ils ont servi ? En disparaissant, les grands hommes politiques laissent une flopée d’instructions sur le déroulement de leurs obsèques, vissant au millimètre près l’hommage de leurs pairs. Ancien Premier ministre, Michel Rocard avait eu droit aux Invalides mais réclamé dans ses dernières volontés une autre cérémonie au Parti socialiste, rue de Solférino. Après avoir présidé l’Assemblée nationale, le PS et les Landes, Henri Emmanuelli avait, lui, prévu des bandas, ces fanfares festives du Sud-Ouest, au passage de son cercueil à Mont-de-Marsan.

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  • Capital - Les salaires de pacha des hauts responsables du PS

    Alors que depuis la débâcle de Benoît Hamon à l’élection présidentielle, le Parti socialiste souffre de graves difficultés financières, certains membres de la direction du parti empochent de très confortables rémunérations !

    Jusqu’à 10.100 euros brut par mois pour travailler rue de Solférino… C’est le coquet salaire que touche Maxime Mourier des Gayets en tant que directeur de cabinet de Jean-Christophe Cambadélis (il doit quitter son poste à la fin du mois). Et ce n’est pas le seul à bénéficier d’un tel traitement, à en croire les informations révélées par Mediapart.

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  • L'Humanité - Révélation. Les petites affaires des macroniens issus du groupe Danone

    La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, n’est pas la seule en cause dans le scandale des plus-values réalisées par les dirigeants de la multinationale. Où l’on découvre que plusieurs administrateurs ont fait partie des équipes du candidat Macron.

    L’examen dans le détail des publications de Danone montre que le scandale Pénicaud n’affecte pas que l’ancienne DRH du groupe. La quasi-totalité du comité de direction est impliquée, bénéficiant au total de près de 5 millions d’euros de plus-values. Récapitulons l’affaire.

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  • Non Fiction - Pour une anthropologie de la ville

    [vendredi 21 juillet 2017]
     
    Qu'est-ce qui forme 'la ville', en tant qu’espace vécu, commun et partagé, mais aussi divers et clivé ?

    Conceptualiser l’urbain semble un exercice de plus en plus périlleux: le brouillage des catégories de réflexion est le reflet de la transformation actuelle des structures urbaines et sociales qui semblent être de moins en moins pérennes. Il n’a ainsi jamais été aussi complexe de définir ce qu’est la ville. Michel Agier – dont les principales recherches portent sur la mondialisation, les questions de mobilité, de migrations et d’exils – souhaite apporter son éclairage d’anthropologue sur la ville. Dans cet ouvrage à portée conceptuelle, mais inspiré de ses travaux empiriques autour de territoires en marge qu’il nomme des "brouillons de ville" (favelas, camps...), il entend non pas essentialiser la ville et figer cet objet d’analyse mais appréhender ce qui "fait ville" aujourd’hui et cela, par ses marges. Comprendre ce qui "fait ville" est aussi un moyen de politiser l’agir urbain et se donner les moyens de revendiquer un droit à la ville. Qu’est-ce qui fait ville aujourd’hui d’un point de vue pratique et théorique   ? Comment la ville, c’est-à-dire la communauté, se construit ? Qu’est qui fonde la possibilité d’une anthropologie de la ville ? "Par quel processus ce que l’on appelle ‘la ville’ se forme en tant qu’espace vécu, commun, partagé, même si ce partage est fait de diversité et de désaccords ?"   En filigrane de ces interrogations se pose la question suivante : pourquoi la ville ne fait-elle plus société ?

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  • Ouest France - Emmanuel Macron : la fin de l’état de grâce

    Trois mois après son accession à l’Élysée, Emmanuel Macron dévisse dans les sondages. Une chute vertigineuse, comparée à celle de Nicolas Sarkozy ou François Hollande, qui fait suite aux cafouillages de l’été.

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  • L'Obs - "Belle Alliance populaire" : la facture très salée made in PS

    "Marianne" révèle les détails d'une partie de la facture réglée par le PS pour organiser une convention début décembre.

    Le 3 décembre dernier, Jean-Christophe Cambadélis et sa très proche équipe avaient mis sur pied une convention nationale au Paris Event Center, porte de la Villette à Paris. Ce grand raout était censé lancer officiellement la saison politique du PS avec en ligne de mire l'organisation des primaires et l'objectif assumé de "fédérer la gauche" pour la présidentielle. Manque de bol, François Hollande avait renoncé à se représenter deux jours plus tôt et la "Belle Alliance populaire", qui sentait déjà le réchauffé, s'était soldée par un bide.

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  • L'Obs - "Toute ma vie est celle d'une révoltée" : quand Jeanne Moreau s'entretenait avec Stéphane Hessel

    La comédienne Jeanne Moreau est morte à l'âge de 89 ans. En 2012, "L'Obs" avait organisé une rencontre inédite entre l'icône du cinéma français et l'auteur Stéphane Hessel.

     
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  • Le Monde - Le Parti socialiste tenté par la vente de son siège de Solférino

    Selon « Le Canard enchaîné », la mise en vente de l’hôtel particulier du PS pourrait être annoncée à la fin d’août. La direction du parti ne le dément qu’à demi-mot.

    Vendra, vendra pas ? Le Parti socialiste (PS) entretient le flou sur l’avenir de son siège historique, sis au 10 de la rue de Solférino, dans le très chic 7e arrondissement de Paris, après que Le Canard enchaîné a fait état, mercredi 2 août, de sa vente prochaine. Selon l’hebdomadaire satirique, l’annonce de cette mise en vente « sera faite officiellement lors du séminaire de rentrée de la direction du PS, du 23 au 26 août ».
     
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  • Batho reproche à Cambadélis d'être toujours à la tête du PS

    Jean-Christophe Cambadélis a présenté une direction collégiale. En attendant son installation à la rentrée, le premier secrétaire démissionnaire reste en poste. Ce qui agace la députée PS.

    Il avait annoncé sa démission dès le soir du second tour des élections législatives. Six semaines plus tard, Jean-Christophe Cambadélis est toujours là. Certes, il a présenté entre-temps une direction collégiale -une vingtaine de membres- qui prendra effet en septembre. Mais la démarche irrite l'ancienne ministre Delphine Batho, qui a fait part de ses interrogations mardi sur LCI

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  • L'Obs - Le Parti socialiste va vendre son siège de la rue de Solférino

    L'hôtel particulier occupé par les socialistes depuis 1980 vaudrait 40 millions d'euros, révèle le "Canard Enchaîné".

    Le Parti socialiste à Solférino, c'est bientôt fini. Après la débâcle de son candidat Benoît Hamon (6,5%) à la présidentielle et l'élection d'à peine 34 députés lors des législatives, le parti à la rose va devoir céder son siège historique situé au 10 rue de Solférino, dans le très chic VIIe arrondissement de Paris, révèle le "Canard Enchaîné" dans son édition du mercredi 2 août. 

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  • Slate, Gaël Brustier - Podemos et les socialistes espagnols, alliance tactique ou première pierre d’une refondation européenne?

    Le PSOE a fait le choix d’une alliance avec Podemos, malgré ou contre ses chefs historiques. Podemos choisit de s’inscrire dans une logique d’accès potentiellement rapide aux responsabilités gouvernementales. Si le gouvernement Rajoy est en ligne de mire, c’est le projet européen qui sera immanquablement questionné.

    L'un existe depuis moins de quatre ans, l'autre a été un des partis historiques de la transition démocratique espagnole dans les années 1970-1980. Le mouvement de gauche radicale Podemos et le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) viennent de faire chacun un pas en direction de l’autre en convenant de la création d’une instance de débat entre les deux formations.

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