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Article du jour - Page 123

  • Le Parisien - Seine-Saint-Denis : le PS déchiré entre les proches de Hamon et les loyalistes

    Le parti socialiste tente de panser ses plaies. En Seine-Saint-Denis, le parti à la rose a perdu ses neuf députés. Et si aucune grande figure n’a quitté le PS, cela n’empêche pas certains de faire entendre leurs petites voix. Ainsi Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental ou encore Mathieu Hanotin, ex-député, ne cachent pas leur soutien à Benoît Hamon qui, lui, est parti de son côté. Des positions qui ne plaisent pas à tout le monde.

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  • Sénatoriales 2017 : les hamonistes envisagent une liste dissidente face au PS

    Les hamonistes menacent le Parti socialiste de présenter une liste dissidente à Paris, dans le cadre des élections sénatoriales qui auront lieu le 24 septembre.

    Le Parti socialiste (PS) peine encore à rassembler ses tendances internes. Les représentants de l'aile gauche du PS à Paris menacent, dans la perspective des sénatoriales, de présenter une liste dissidente face à celle conduite par Rémi Féraud s'ils n'y obtiennent pas "une place éligible". 

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  • Info Châlons - Avec Boris Vallaud, c'est l'ombre d'Arnaud Montebourg qui va planer sur l'édition 2018 de la Fête de la Rose

    Alors que le PS est face à une situation inédite depuis de nombreuses décennies, les Amis de la Bresse, organisateurs de la Fête de la Rose, l'un des grands rendez-vous politiques annonçant la rentrée, n'entendent pas baisser les bras. En invitant le député Boris Vallaud, élu député des Landes en juin dernier, c'est aussi, un clin d'oeil effectué à Arnaud Montebourg. En Saône et Loire, chacun étant en capacité de se rappeler qu'avant d'entamer une carrière politique, Boris Vallaud qui n'est autre que le mari de Najat Vallaud-Belkacem, ancienne Ministre de l'Education Nationale de Manuel Valls, était bien connu en Saône et Loire, pour être la cheville ouvrière d'Arnaud Montebourg, alors Président du Conseil Général de Saône et Loire, en qualité de Directeur Général des Services. 

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  • Le Figaro - Paris : les Hamonistes menacent le PS d'une liste dissidente aux sénatoriales

    Dans la capitale, les sénatoriales créent de nouvelles tensions entre l'aile droite du Parti socialiste et les proches de Benoît Hamon. En cause, une liste LREM menée par un socialiste qui mettrait en danger la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann.

    Les tensions règnent toujours au sein de la famille socialiste. Nouvelle pomme de discorde, les sénatoriales à Paris. Alors que la sénatrice sortante Marie-Noëlle Lienemann était en bonne position sur la liste PS pour retrouver son siège, l'annonce de la tête de liste La République En Marche rebat les cartes.

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  • Le Figaro - Comment sauver le Parti socialiste ? Par Renée Fregosi

    Pour Renée Fregosi, s'il veut survivre, le Parti socialiste doit rompre avec l'idée désormais stérile de l'« union des gauches », qui l'empêche de définir une réelle base doctrinale.
     
    La nouvelle direction provisoire de la Rue de Solferino rassemble une fois encore les débris du hollandisme et les derniers avatars des frondeurs. Sinistres fossoyeurs d'un vaisseau fantôme, ils se présentent en défenseurs héroïques d'un parti en lambeau qu'ils ont largement contribué à détruire. Mais ce n'est pas en rejouant Epinay que le Parti socialiste trouvera une nouvelle dynamique. Les mutations profondes au niveau mondial comme le bouleversement de la vie politique nationale produit par Emmanuel Macron, interdisent la réussite d'une nouvelle entourloupe mitterrandienne.
     
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  • Slate, Jean-Hervé Lorenzi et Mickaël Berrebi - Annulation du redressement fiscal de Google: la stupidité d’une décision

    Le résultat de la bataille entre Google et la France déterminera qui nous gouverne véritablement.

    Le mot «stupide» tient son origine du latin stupere et qualifie un état de sidération qui nous éloigne de la réalité des choses. C’est exactement ce qui a été le cas lors de la décision du Tribunal administratif de Paris en annulant le redressement fiscal de Google en France. Et c’est exactement ce qui n’a pas été le cas, ni pour les décisions de la Commission européenne, ni pour celles de la Grande Bretagne et l’Italie, lorsque les uns et les autres ont sanctionné Google.

    Il ne s’agit évidemment pas d’incriminer Google qui joue des failles dans les dispositifs publics mais de juger de la capacité des États à se défendre, confrontés à des situations totalement inédites.

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  • Le Point - Moralisation: texte "satisfaisant" mais aussi "timide", estime Dosière

    L'ex-député PS René Dosière, spécialiste du contrôle de l'argent public, a jugé que les textes sur la moralisation, débattus à partir de lundi à l'Assemblée, apportaient des réponses "satisfaisantes" sur les points essentiels, mais "timides" sur le financement des partis politiques.

    "Sur les trois points les plus emblématiques du texte, l'interdiction des emplois familiaux de collaborateurs, le nouveau régime de frais de mandat et la suppression de la réserve parlementaire, les réponses sont satisfaisantes", a déclaré à l'AFP René Dosière, qui avait été consulté par François Bayrou alors garde des Sceaux, au moment de l'élaboration des projets de lois (ordinaire et organique).

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  • BFMTV - Olivier Faure moque le goût pour le "déguisement" d'Emmanuel Macron

    Le patron des députés du groupe Nouvelle Gauche (Parti socialiste) à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, a assuré ce lundi sur RTL que le président devait avoir "beaucoup de choses à cacher".

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  • Jeune Afrique - Algérie : « Si je veux me baigner en bikini, je me baigne en bikini »

    Porter un bikini sur une plage algérienne n’est pas chose facile. Un groupe Facebook - tenu secret - qui a vu le jour au lendemain de la fin de l’Aïd et rassemble aujourd’hui 3 600 femmes de la ville d'Annaba s'est donné pour mission d'organiser de grandes baignades collectives. Face aux regards appuyés et au harcèlement sexuel et moral, ces Algériennes opposent la force du groupe.

    « Si je veux me baigner en bikini, je me baigne en bikini », martèle Leila*, à l’initiative de ce mouvement d’habitantes d’Annaba désireuses de pouvoir se baigner en bikini sans avoir à craindre ni l’opprobre ni une quelconque forme d’oppression.

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  • Libé - Pour Faure (PS), Macron «confond tous les rôles dans sa présidence»

    Olivier Faure (PS), président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée, a décrit jeudi un Emmanuel Macron «qui confond tous les rôles dans sa présidence», tour à tour «chef d’état-major, ministre des Affaires étrangères et même ministre des relations avec le Parlement», après la démission du général Pierre de Villiers.

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  • L'Obs - Osez le féminisme : "Marlène Schiappa pédale dans la semoule !"

    La grogne monte chez les associations féministes, qui craignent une baisse des subventions publiques dont elles dépendent.

    En pleine polémique concernant le budget alloué aux associations de défense des droits des femmes, Marlène Schiappa a présenté ce jeudi sa feuille de route à la Délégation aux droits des femmes du Sénat. Elle en a profité pour déminer le terrain en affirmant que les subventions accordées aux associations ne baisseraient pas "d’un euro".

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