L’ancien porte-parole de François Hollande appelle à renommer le Parti socialiste « Les Socialistes ». Une appellation qu’il juge « plus simple, plus claire ».
Article du jour - Page 122
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Le Monde - Au Parti socialiste, Le Foll charge Hamon et plaide pour un (petit) changement de nom
C’est une énième charge d’un ténor du Parti socialiste contre son candidat malheureux à la présidentielle, Benoît Hamon. L’ancien ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, a demandé, vendredi 25 août, une « discussion claire et transparente » quant au coût de la campagne présidentielle du candidat PS. -
L'Obs - "Non, le meeting de Benoît Hamon n'a pas été financé avec l'argent du PS"
Bastien Recher, ex-secrétaire général administratif de la campagne de Benoît Hamon, veut tordre le cou aux accusations de financement douteux.
Les couteaux sont de sortie au Parti socialiste. Dans "le Parisien" du jour, plusieurs socialistes accusent Benoît Hamon d'avoir financé son meeting du 1er juillet avec l'argent du parti. Une énième boule puante, qui vient s'ajouter à d'autres distillées souvent en off par des ténors hollandais, à l'approche du congrès du PS. Ex-secrétaire général administratif de la campagne de Benoît Hamon, Bastien Recher dément point par point toutes ces accusations.
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Le JDD - Avant la rentrée, les jeunes socialistes ont le blues
Encore déboussolés par les revers électoraux subis par le PS en 2017, les jeunes socialistes s’interrogent sur leur avenir au sein du parti d’Epinay."Je ne m’attendais pas à ce qu’on soit au second tour mais pas à un tel échec…" Comme Rémi Marchand, jeune socialiste de 24 ans dans la Sarthe, de nombreux jeunes socialistes se souviendront longtemps de cette soirée du 23 avril 2017. Lorsque les résultats tombent à 20h, c’est l’hécatombe. Leur candidat Benoît Hamon est bas, très bas. Il s’aligne tout juste à la cinquième position avec un très fébrile 6,36% des voix, à des années lumières du quatuor de tête Emmanuel Macron (24,01%), Marine Le Pen (21,3%), François Fillon (20,01%) et Jean-Luc Mélenchon (19,58%). -
Le Parisien - Le financement d'un meeting de Hamon pose question au PS
Comment l'ancien candidat PS à la présidentielle a-t-il financé son meeting du 1er juillet, où il annonçait quitter le parti ? A gauche, les doutes se font de plus en plus entendre.
Benoît Hamon a-t-il payé le meeting de lancement de son mouvement, sur la pelouse de Reuilly à Paris (XIIe), le 1er juillet, avec de l'argent discrètement soustrait de sa campagne présidentielle financée quasi intégralement par le PS ? La question peut paraître brutale. C'est pourtant celle que posent de plus en plus de responsables socialistes... non hamonistes.
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Le Monde - La France retrouve son niveau de chômage du début de 2012
Avec une nouvelle baisse de 0,1 point au deuxième trimestre, le chômage revient au même niveau qu’à la veille de l’élection de François Hollande.Le taux de chômage poursuit sa décrue. Avec 0,1 point de baisse au deuxième trimestre, il s’établit désormais à 9,2 % de la population active en métropole et à 9,5 % avec l’outre-mer, selon des chiffres provisoires de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publiés jeudi 17 août. Cette légère baisse permet à l’indicateur sur la France entière de retrouver son niveau de début 2012, avant l’élection de François Hollande. -
Le Figaro - Code du travail: des "lignes rouges" pour le PS
Olivier Faure (PS), président du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée, ne prône pas un "retrait" du projet de réforme du droit du travail mais rappelle les "lignes rouges" dont le franchissement "justifierait [l'] opposition totale" des socialistes. Interrogé sur La France insoumise, qui a appelé à des manifestations contre la réforme du Code du travail lancée par le gouvernement, M. Faure, chef de file des députés socialistes, a assuré ne pas être "pour un retrait" du projet. "Je considère que le code du travail doit évoluer et qu'il est plutôt sain de vouloir tenir compte d'un certain nombre d'évolutions. En même temps il y a un certain nombre de lignes rouges que nous ne voulons pas voir franchies", a-t-il expliqué sur franceinfo.
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L'Obs - Nicole Ferroni juge Macron : "Le gouvernement assume de prendre les gens pour des bœufs"
100 JOURS DE MACRON. Nicole Ferroni, humoriste et chroniqueuse engagée, juge les premiers pas du président.
Hommes et femmes politiques, économistes, chefs d'entreprises, syndicalistes… Chaque jour, pour "l'Obs", un expert ou une personnalité dresse le bilan des premiers pas d'Emmanuel Macron à la présidence de la République. Aujourd'hui, l'humoriste engagée Nicole Ferroni, chroniqueuse dans la matinale de France Inter, livre son sentiment sur la vague En Marche qui a pris d’assaut toutes les instances du pouvoir.
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Le Vent Se Lève dans le laboratoire des gauches espagnoles
Au mois de juillet, nous nous sommes rendus en Espagne afin de rencontrer des responsables et des intellectuels des divers mouvements de la gauche espagnole. Si nous avons fait ce choix, c’est parce que l’Espagne a connu des bouleversements politiques importants depuis plusieurs années, et que ces bouleversements se sont traduits par un foisonnement intellectuel à gauche tel qu’on n’en a plus connu depuis longtemps en France. En effet, le mouvement des places, aussi appelé mouvement des indignés, ou 15-M, qui s’est déclenché en 2011 en réponse à la crise, et qui a été d’une ampleur incomparable à Nuit Debout, a rebattu les cartes de la politique espagnole. Les « vieux partis » se sont retrouvés complètement débordés, et un ensemble d’intellectuels proches du département de Sciences Politiques de l’Université Complutense de Madrid ont cherché, avec d’autres acteurs politiques, à donner une traduction électorale à ce qui s’était exprimé à travers le 15-M. De cette traduction est né Podemos, mouvement très influencé par la théorie populiste d’Ernesto Laclau et de Chantal Mouffe, qui eux-mêmes puisent beaucoup chez un auteur comme Antonio Gramsci.
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Le Point - Faouzia Charfi : "L'islam politique refuse l'histoire de la Tunisie anté-islamique"
ENTRETIEN. Intellectuelle, féministe progressiste, passionnée par les liens entre islam et sciences, Faouzia Charfi s'est confié au Point Afrique.
Propos recueillis par Ghizlaine BadriUniversitaire, professeur de physique et femme politique, Faouzia Charfi est tunisienne. Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du 17 janvier au 2 mars 2011, au sein du gouvernement de Mohamed Ghannouchi, puis dans celui de Béji Caïd Essebsi, elle a dénoncé à plusieurs reprises l'imbrication de mouvements politiques islamistes dans la sphère civile. Auteur de La Science voilée, ouvrage publié en 2013, elle est revenue avec Sacrées questions pour un islam d'aujourd'hui. Elle a accepté de répondre aux questions du Point Afrique.Lire la suite
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Le Figaro - Comment l'Europe a permis la paupérisation de ses classes moyennes
Les classes moyennes reculent partout en Europe. Pour Véronique Nguyen, rien d'étonnant à ce que celles-ci expriment leur colère car les acteurs publics les ont mutilées sur l'autel du libre-échange, puis asphyxiées.
Véronique Nguyen est professeur affiliée à HEC et associée chez Finexent. Avec Michel Santi, elle a publié Business Model du Low cost en 2012 chez Eyrolles.
La paupérisation des classes moyennes, le déclassement de leurs franges inférieures, la précarisation et l'insécurité sociale, la polarisation de la société avec la montée des inégalités, sont des faits établis dans tous les pays occidentaux (cf. les Cahiers Français, Janvier 2014). Entre 1980 et 2010, les Anglais ont ainsi vu le nombre de ménages pauvres augmenter de 60%, les ménages riches progresser de 33%, alors que le nombre de ménages aux revenus moyens diminuait de 27% (The Gardian, 7 mars 2015).
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L'Obs - Les emplois aidés sont-ils si inefficaces ? Il y a débat
Le gouvernement fustige les emplois aidés. Plus nuancés, deux économistes, Eric Heyer (OFCE) et André Zylberberg (Paris I) éclairent pour nous le débat.
..... Pour Éric Heyer, directeur du département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques, les emplois aidés ont une utilité à la fois pour amortir les chocs conjoncturels et faciliter l'insertion des personnes les moins qualifiées, mais c'est l'usage politique qui en est fait (pour faire baisser les chiffres du chômage) qui pose problème.
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