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Article du jour - Page 141

  • Libé - Thomas Piketty : «Plus le score de Macron sera fort, plus il sera clair que ce n’est pas son programme que nous accréditons»

    L’économiste, qui a soutenu Hamon, appelle à voter en masse pour le leader d’En marche afin de montrer que c’est un choix contre le FN et non pour son libéralisme. Il estime que si l’ex-ministre de l’Economie est élu, il devra faire des gestes vers la gauche, notamment sur l’Europe, pour ne pas être contraint de donner des gages aux nationalistes.

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  • Le Monde - Gouverner par ordonnance, ça veut dire quoi ? Par Eléa Pommiers

    S’il est élu président de la République, Emmanuel Macron envisage de mettre en œuvre certaines de ses principales mesures par ordonnance. Explications.

    Emmanuel Macron promet d’aller vite. S’il est élu le 7 mai, il veut agir dès l’été pour mettre en œuvre l’un des points clés de son programme, la réforme du droit du travail. « Par ordonnances, pour procéder de manière rapide et efficace », a-t-il précisé le 9 avril dans un entretien au Journal du dimanche.

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  • Marianne - Législatives : le PS empêtré dans ses candidatures macronistes et socialistes

    A Solférino, on pense déjà aux élections législatives. Et on fait preuve d'une grande créativité pour éviter de se fâcher avec les équipes d'Emmanuel Macron et les socialistes tentés par l'aventure En Marche.

    Passé l'émoi suscité par la qualification de Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle, le PS pense aux législatives. Etape simple si la candidate du FN est élue, véritable nœud gordien pour Solférino en cas d'élection d'Emmanuel Macron. "Si Le Pen gagne, la bulle Macron explose pour les législatives et le PS marche d'un seul pas pour être dans l'opposition. Par contre si c'est Macron… Aujourd'hui, on ne peut pas partir sur une stratégie précise", résume un cadre du parti.

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  • Libé - Pascal Blanchard : «On ne s’oppose pas à Marine Le Pen comme on s’opposait à son père»

    Pour l’historien, le monde antiraciste des années 80 a vécu et l’on ne peut plus se contenter de discours moralisateurs. Il faut déconstruire les idées du Front national.

    L’historien Pascal Blanchard est spécialiste du fait colonial et de l’immigration. Il vient de publier, avec Farid Abdelouahab les Années 30 - et si l’histoire recommençait ? (La Martinière). Selon lui, le vote Macron au second tour pourrait se révéler être davantage qu’un simple réflexe contre l’extrême droite. Le leader d’En marche incarne aussi à ses yeux un libéralisme sociétal bienvenu.

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  • Le JDD - Chez les socialistes, le chaos après le KO

    Manuel Valls d’un côté, Benoît Hamon de l’autre. Aux deux extrémités du Parti socialiste existe la tentation de bâtir autre chose, ailleurs. Écologistes et hamonistes parlent déjà de "construire une maison commune"

    .... Certes, dès dimanche dernier, Hamon a appelé à voter Macron mais il l'a aussi qualifié d'"adversaire" politique. Les hamonistes seront donc, si Macron est élu, dans l'opposition. Pour faire vivre leur espace politique, Hamon et les écologistes d'EELV travaillent à un label commun pour les législatives. "Le principe est acté", chuchote un des piliers de cette aventure. Ils pourraient même aller plus loin. 

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  • Le Lab - Stéphane Le Foll "pense que c'est la fin" du PS "tel qu'on l'a vécu"

    Si Benoît Hamon a évité de battre le pire score pour un candidat socialiste à une présidentielle, ses 6,20% le 23 avril dernier, couplés d'un lâchage en règle par une bonne partie du PS, l'ont tout de même fait reconnaître une "sanction historique légitime" dont il a assumé "pleinement la responsabilité". Pour les législatives, le PS risque de se retrouver de nouveau pris en étau entre La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon et En Marche ! d'Emmanuel Macron. Le parti de la rue de Solférino est-il mort pour autant ? Sans aller jusque là, Stéphane Le Foll estime, ce mardi 2 mai dans un entretien au Parisien, que "c'est la fin du PS tel qu'il a vécu jusqu'ici"

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  • Le Monde - La gauche européenne effarée par l’effondrement du PS français

    Les partis socialistes d’Europe s’interrogent après la déroute de Benoît Hamon au premier tour de l’élection présidentielle.

    La performance catastrophique de Benoît Hamon au premier tour de la présidentielle consterne une gauche sociale-démocrate européenne déjà marquée par ses récents revers au Royaume-Uni, en Grèce et aux Pays-Bas, ses difficultés en Espagne ou la démission de Matteo Renzi en Italie, après l’échec de son référendum. L’effondrement du PS français ponctue une série que la mise en place du gouvernement de Stefan Löfven, fin 2014, en Suède, ou l’accession au pouvoir d’une coalition (minoritaire) de socialistes et d’indépendants au Portugal ne suffisent pas à égayer. Seul le SPD, emmené par Martin Schulz, offrira enfin, espèrent les sociaux-démocrates, une bonne surprise en septembre, lors des élections fédérales allemandes.
     
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  • Libé - Au PS, la synthèse fait son grand retour

    Pour sauver les meubles (et les places) aux élections législatives, la direction socialiste compte livrer, dans une semaine, un programme qui contente autant les héritiers de Hollande que les soutiens de Benoît Hamon.

    Ne prononcez surtout pas le mot «synthèse». Il est désormais banni du vocabulaire socialiste. Depuis dimanche, les dirigeants PS préfèrent utiliser des expressions du type «ce qui nous rassemble» ou «entreprendre une démarche collective»… Pourtant, après leur pire score (6,36%) obtenu dans une présidentielle depuis 1969, c’est bien une nouvelle «synthèse» que les socialistes, à très court terme, concoctent en coulisses afin de préserver leur «unité» et sauver le maximum de sièges aux élections législatives (11 et 18 juin).

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    Le Lab - La nouvelle équipe PS pour conduire les législatives : 5 hommes, aucune femme (ce que le PS dément)

    Après sa plus grosse déculottée à la présidentielle depuis 1969, le PS est dans l’après. La rue de Solférino, qui a appelé sans ambages à voter pour Emmanuel Macron face à Marine Le Pen, s’organise désormais pour la campagne des législatives. Le parti veut logiquement tourner la page pour éviter une seconde cuisante défaite les 11 et 18 juin. Il le fait en renouant avec de vieilles habitudes en composant une équipe exclusivement masculine pour mener la campagne

  • Le JDD - Robert Badinter : "S’abstenir, c’est favoriser l’élection de Marine Le Pen"

    INTERVIEW - Dans le JDD, l'ancien garde des Sceaux socialiste Robert Badinter met en garde contre le danger Le Pen et pense que l'élection n'est pas "pliée". Extraits.

    Considérez-vous, comme certains à gauche, que face à Marine Le Pen, l’élection d’Emmanuel Macron est acquise?
    Je ne ressens pas le même optimisme que nombre de mes amis. Non, l'élection présidentielle n’est pas "pliée" et la défaite de Mme Le Pen n'est pas acquise. Le résultat peut dépendre du taux d’abstention au second tour, notamment à gauche. Il suffit qu'une proportion élevée des électeurs s’abstienne de voter pour M. Macron, et Mme Le Pen peut l’emporter.

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  • Huffington Post - Emmanuel Macron refusera toute coalition avec le Parti socialiste ou Les Républicains s'il est élu président

    Le candidat d'En Marche! tacle, dans une interview au Figaro, l'attitude de Baroin et Cambadélis, soupçonnés de calcul politique.

    "L'objectif que je fixe est clair: obtenir aux législatives une majorité absolue qui soit une majorité présidentielle", a déclaré Emmanuel Macron dans cette interview mise en ligne vendredi soir. "Il n'y aura pas de coalition avec les deux grands partis existants, ni avec LR ni avec le PS. Mais dans les temps qui arrivent, il y aura une refondation de la vie politique qui verra des socialistes et des Républicains me rejoindre individuellement", a estimé le candidat d'En Marche!

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  • Ouest France - Présidentielle. « Il est précipité de dire que le PS est mort »

    Arrivé seulement en cinquième position, Benoît Hamon reflète à lui seul la lourde défaite du Parti socialiste. Avec moins de 7 %, c’est la plus mauvaise performance de la gauche depuis 1969. L’historien et spécialiste du PS, Alain Bergounioux analyse cette faillite.

    « Une sanction historique, légitime ». Depuis son QG de campagne, les premiers mots du candidat du Parti socialiste Benoît Hamon sont rudes mais réalistes. Celui qui promettait un « futur désirable » n’a pas atteint 7 % des voix au premier tour de la présidentielle, échouant à la cinquième place. Au-delà de la défaite du candidat, c’est celle de la gauche qui est alarmante.

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