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Article du jour - Page 142

  • Le Lab - Stéphane Le Foll "pense que c'est la fin" du PS "tel qu'on l'a vécu"

    Si Benoît Hamon a évité de battre le pire score pour un candidat socialiste à une présidentielle, ses 6,20% le 23 avril dernier, couplés d'un lâchage en règle par une bonne partie du PS, l'ont tout de même fait reconnaître une "sanction historique légitime" dont il a assumé "pleinement la responsabilité". Pour les législatives, le PS risque de se retrouver de nouveau pris en étau entre La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon et En Marche ! d'Emmanuel Macron. Le parti de la rue de Solférino est-il mort pour autant ? Sans aller jusque là, Stéphane Le Foll estime, ce mardi 2 mai dans un entretien au Parisien, que "c'est la fin du PS tel qu'il a vécu jusqu'ici"

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  • Le Monde - La gauche européenne effarée par l’effondrement du PS français

    Les partis socialistes d’Europe s’interrogent après la déroute de Benoît Hamon au premier tour de l’élection présidentielle.

    La performance catastrophique de Benoît Hamon au premier tour de la présidentielle consterne une gauche sociale-démocrate européenne déjà marquée par ses récents revers au Royaume-Uni, en Grèce et aux Pays-Bas, ses difficultés en Espagne ou la démission de Matteo Renzi en Italie, après l’échec de son référendum. L’effondrement du PS français ponctue une série que la mise en place du gouvernement de Stefan Löfven, fin 2014, en Suède, ou l’accession au pouvoir d’une coalition (minoritaire) de socialistes et d’indépendants au Portugal ne suffisent pas à égayer. Seul le SPD, emmené par Martin Schulz, offrira enfin, espèrent les sociaux-démocrates, une bonne surprise en septembre, lors des élections fédérales allemandes.
     
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  • Libé - Au PS, la synthèse fait son grand retour

    Pour sauver les meubles (et les places) aux élections législatives, la direction socialiste compte livrer, dans une semaine, un programme qui contente autant les héritiers de Hollande que les soutiens de Benoît Hamon.

    Ne prononcez surtout pas le mot «synthèse». Il est désormais banni du vocabulaire socialiste. Depuis dimanche, les dirigeants PS préfèrent utiliser des expressions du type «ce qui nous rassemble» ou «entreprendre une démarche collective»… Pourtant, après leur pire score (6,36%) obtenu dans une présidentielle depuis 1969, c’est bien une nouvelle «synthèse» que les socialistes, à très court terme, concoctent en coulisses afin de préserver leur «unité» et sauver le maximum de sièges aux élections législatives (11 et 18 juin).

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    Le Lab - La nouvelle équipe PS pour conduire les législatives : 5 hommes, aucune femme (ce que le PS dément)

    Après sa plus grosse déculottée à la présidentielle depuis 1969, le PS est dans l’après. La rue de Solférino, qui a appelé sans ambages à voter pour Emmanuel Macron face à Marine Le Pen, s’organise désormais pour la campagne des législatives. Le parti veut logiquement tourner la page pour éviter une seconde cuisante défaite les 11 et 18 juin. Il le fait en renouant avec de vieilles habitudes en composant une équipe exclusivement masculine pour mener la campagne

  • Le JDD - Robert Badinter : "S’abstenir, c’est favoriser l’élection de Marine Le Pen"

    INTERVIEW - Dans le JDD, l'ancien garde des Sceaux socialiste Robert Badinter met en garde contre le danger Le Pen et pense que l'élection n'est pas "pliée". Extraits.

    Considérez-vous, comme certains à gauche, que face à Marine Le Pen, l’élection d’Emmanuel Macron est acquise?
    Je ne ressens pas le même optimisme que nombre de mes amis. Non, l'élection présidentielle n’est pas "pliée" et la défaite de Mme Le Pen n'est pas acquise. Le résultat peut dépendre du taux d’abstention au second tour, notamment à gauche. Il suffit qu'une proportion élevée des électeurs s’abstienne de voter pour M. Macron, et Mme Le Pen peut l’emporter.

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  • Huffington Post - Emmanuel Macron refusera toute coalition avec le Parti socialiste ou Les Républicains s'il est élu président

    Le candidat d'En Marche! tacle, dans une interview au Figaro, l'attitude de Baroin et Cambadélis, soupçonnés de calcul politique.

    "L'objectif que je fixe est clair: obtenir aux législatives une majorité absolue qui soit une majorité présidentielle", a déclaré Emmanuel Macron dans cette interview mise en ligne vendredi soir. "Il n'y aura pas de coalition avec les deux grands partis existants, ni avec LR ni avec le PS. Mais dans les temps qui arrivent, il y aura une refondation de la vie politique qui verra des socialistes et des Républicains me rejoindre individuellement", a estimé le candidat d'En Marche!

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  • Ouest France - Présidentielle. « Il est précipité de dire que le PS est mort »

    Arrivé seulement en cinquième position, Benoît Hamon reflète à lui seul la lourde défaite du Parti socialiste. Avec moins de 7 %, c’est la plus mauvaise performance de la gauche depuis 1969. L’historien et spécialiste du PS, Alain Bergounioux analyse cette faillite.

    « Une sanction historique, légitime ». Depuis son QG de campagne, les premiers mots du candidat du Parti socialiste Benoît Hamon sont rudes mais réalistes. Celui qui promettait un « futur désirable » n’a pas atteint 7 % des voix au premier tour de la présidentielle, échouant à la cinquième place. Au-delà de la défaite du candidat, c’est celle de la gauche qui est alarmante.

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  • Francetvinfo - Présidentielle : "Cette campagne a mis fin au Parti socialiste d'Épinay"

    Selon Laurent Bouvet, professeur de science politique, l'élimination de Benoît Hamon au premier tour de la présidentielle dimanche a "mis fin à ce qui a été le parti socialiste d'Épinay".

    Quelles conséquences aura le premier tour de la présidentielle sur le Parti Socialiste et la gauche ? Les cartes sont rebattues après le très faible score de Benoît Hamon (6,36%) et la percée d'Emmanuel Macron. "Cette campagne a mis fin à ce qui a été le parti socialiste d'Epinay", a expliqué à franceinfo Laurent Bouvet, professeur de science politique et auteur de La gauche zombie (éditions Lemieux).

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  • Libé - Réactions «Les forces qui gouvernent depuis dix ans sont disqualifiées»

    Magyd Cherfi, du groupe Zebda, est allé voter «en pleurant» dimanche (il aimait «beaucoup» Benoît Hamon). Un an après son livre Ma Part de Gaulois, il vient de sortir un nouvel album en solo Catégorie reine.

    «Je suis déçu, oui. D’abord du score de Hamon, catastrophiquement bas. Cela me fait mal au cœur. Et puis j’aurais préféré que ce soit Mélenchon face à Le Pen, cela aurait au moins permis de mettre cartes sur table. Là, on reporte seulement de cinq ans le combat avec le Front national. J’ai la certitude que Macron va l’emporter, mais cela ne m’empêche pas d’avoir du chagrin. A ce rythme, dans cinq ans, le FN l’emporte.

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  • Le JDD - Benoît Hamon : "Espérez, démentez l’avenir"

    REPORTAGE - Mercredi soir, place de la République, Benoît Hamon a appelé les sympathisants de gauche à choisir leur avenir, "pas un nom sur un bulletin".

    A la recherche d’un nouveau souffle, d’un peu d’air place de la République à Paris. Mercredi soir, Benoît Hamon a tenu son dernier grand meeting d’avant premier tour. Alors que sa campagne s’essouffle depuis plusieurs semaines, le désormais cinquième homme des sondages d’intentions de vote joue gros dans cette dernière ligne droite : convaincre les indécis et ramener à lui ceux qui, à la faveur du vote utile, penchent pour Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. "Je ne vous appelle pas à un vote utile. Au nom de quoi? Je déteste cette expression. Chaque vote est utile à exprimer le désir d’un citoyen", a étrillé le candidat socialiste.

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  • Boursier - Macron augmente son avance, Hamon au plus bas-Ifop/Fiducial

    PARIS (Reuters) - Avec 24% des intentions de vote, soit une progression de 0,5 point, Emmanuel Macron conforte son avance sur ses poursuivants Marine Le Pen, François Fillon et Jean-Luc Mélenchon, stables tous les trois, selon un sondage Ifop-Fiducial publié pour CNEWS, Paris Match et Sud Radio jeudi.

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  • Législatives: Cazeneuve dit sa "disponibilité" de vive voix aux députés PS

    Bernard Cazeneuve a fait part mardi de vive voix de sa "disponibilité" pour la campagne des législatives, lors d'une réunion des députés PS où a aussi été mise en avant "la nécessité de continuer à convaincre" avant le premier tour, selon des participants.

    Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, a rappelé que le nom du Premier ministre était évoqué "semaine après semaine" pour conduire la bataille des législatives. "Bernard Cazeneuve a répondu qu'il n'était demandeur de rien, mais qu'il était évidemment disponible et ne se déroberait pas si d'aventure on lui demandait de prendre une part active", selon M. Faure.

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