Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Article du jour - Page 139

  • Le Parisien - Matignon: en nommant Philippe, Macron a "clarifié l?orientation de son projet", juge Hamon

    Le député des Yvelines Benoît Hamon (PS) a estimé lundi que la nomination d'Edouard Philippe (LR) à Matignon "clarifi(e) l'orientation (du) projet politique" d'Emmanuel Macron et jugé que "la place de la gauche" n?est pas dans la majorité.
    "Emmanuel Macron a clarifié l?orientation de son projet politique. Il a donné les clés du gouvernement à un homme issu de la droite, Edouard Philippe. Je souhaite à celui-ci, en dépit de nos désaccords passés et sans nul doute à venir, bonne chance et bon courage", écrit celui qui a porté les couleurs du PS à la présidentielle (6,3%).

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Monde - Législatives : la France insoumise cible les bastions de la gauche

    Jean-Luc Mélenchon lance la campagne des élections législatives à Villejuif (Val-de-Marne), lors de la convention nationale de son mouvement.

    Il en manque encore une dizaine pour arriver aux 577 circonscriptions mais La France insoumise n’a pas attendu la liste complète pour lancer, samedi 13 mai, sa campagne législative. Lors de la convention nationale des candidats de La France insoumise à Villejuif (Val-de-Marne), le directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard, a annoncé que le mouvement ne présentera pas de candidats face à des députés communistes sortants ayant parrainé la candidature présidentielle de M. Mélenchon. Ce dernier, lui-même candidat à Marseille face au sortant socialiste, Patrick Mennucci, devait prendre la parole en fin de journée.
     
    Lire la suite
    ____________________
    ____________________
  • L'Humanité - “Macron n’a fait qu’assumer ce qui était en germe au PS”

    Nicolas Framont, sociologue qui s’est intéressé au parcours du candidat Macron, analyse la passation de pouvoir qui a eu lieu ce dimanche comme une continuité entre les deux hommes. Le second, toutefois, plus “décomplexé”. Entretien. 

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Cnews - Tout savoir sur Ismaël Emelien, le nouveau conseiller spécial du président

    Pilier de la campagne d'En Marche!, Ismaël Emelien est le discret bras droit d'Emmanuel Macron depuis déjà trois ans. Il vient d'être officiellement propulsé «conseiller spécial» du président de la République.

    Ismaël Emelien fait son entrée dans l'arène politique en 2006. Alors âgé de 19 ans, il interrompt ses études à Sciences Po pour participer à la campagne d'un de ses professeurs, Dominique Strauss-Kahn, lors des primaires socialistes préparant l'élection présidentielle de 2007.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

    Marianne - Passation de pouvoir : qui est Alexis Kohler, le nouveau secrétaire général de l'Élysée de Macron ?

    La nomination de l'ancien directeur de cabinet d'Emmanuel Macron à Bercy au poste de secrétaire général de l'Élysée était attendue. On connaît également le nom de son conseiller spécial, de son directeur de cabinet et de son conseiller diplomatique.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • France Info - Les remerciements de François Hollande au Parti socialiste

    Juste après la passation de pouvoirs ce dimanche 14 mai au matin, François Hollande était en visite au siège du Parti socialiste, à Paris.

    Au sortir de la cérémonie de passations de pouvoirs, le président sortant François Hollande s'est rendu au siège du Parti socialiste, rue de Solférino, à Paris. Un geste symbolique fort probablement inspiré de François Mitterrand, qui avait fait de même à la fin de son quinquennat en 1995

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • BFMTV - Législatives: entre recyclés et recalés, quelle part du PS chez En Marche?

    Si plusieurs membres du Parti Socialiste ont émis le souhait de rejoindre les rangs d'Emmanuel Macron, peu ont finalement franchi le pas. Selon des sources à En Marche et au PS, entre 70 et 100 députés PS sortants ont sollicité l'étiquette du parti d'Emmanuel Macron, mais seule une pincée à été acceptée.

    En Marche, usine à "recycler" du PS comme l'en accusent ses adversaires? Le parti d'Emmanuel Macron a certes investi plus d'une vingtaine de députés sortants de gauche, mais il fait valoir que beaucoup de postulants socialistes ont été recalés.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Huffington Post - Législatives 2017: Mélenchon étrille les "crevards" du PS et la "tambouille de recyclage" du "président Macron"

    Lors de la convention législative de son mouvement, le chef de file de la France insoumise s'est posé en adversaire numéro un du président.

    "Méluche" repart à l'attaque. Ayant laissé passer le temps du deuil d'une victoire présidentielle qu'il croyait à portée de main, Jean-Luc Mélenchon a livré un brûlant discours de remobilisation ce samedi 13 mai devant ses candidats aux législatives réunis en convention à Villejuif, en région parisienne. Défendant le "gouvernement des braves gens" qu'il espère imposer au "président Macron" s'il parvient à remporter les prochaines élections, le chef de file de la France insoumise a tiré à boulets rouges contre les couacs des investitures En Marche! et le double-jeu de certains socialistes tentés par un ralliement à la majorité présidentielle.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Balle au centre, Agathe Cagé - Le coup de sifflet démocratique

    Publié le

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    Lire la suite
    _______________
    _______________

  • Le Figaro - En marche! investira Le Foll, Touraine et El Khomri s'ils lâchent l'étiquette PS

    Sur RMC/BFMTV, Richard Ferrand a annoncé que le mouvement d'Emmanuel Macron avait décidé de laisser un délai supplémentaire à quelques ministres sortants. Mais après mercredi, La République en marche leur opposera bien des adversaires.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Libé - De nouvelles têtes face aux ténors LR ou PS

    Ces duels-là auront des allures de combat de David contre Goliath. La plupart des ministres ou les têtes de gondole sortantes PS et LR qui ont découvert le nom du candidat de La République en marche (LREM) investi dans leur circonscription pour les législatives de juin, ont tous dû avoir le même réflexe jeudi après-midi : taper leur nom sur Google… Même portés par l’élection d’Emmanuel Macron, ces rivaux auront en effet un réel déficit de notoriété à rattraper.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme

    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________