Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Article du jour - Page 111

  • Libé - Centenaire d'octobre 2017 24-25 octobre : la nuit rouge Par Laurent Joffrin

    Le 24 octobre 1917 au soir, à Petrograd, c’est un Lénine seul mais décidé qui saisit sa chance et part lever ses troupes pour s’emparer du pouvoir.

    Lénine est méconnaissable. Sur son crâne chauve, il a posé une perruque blondasse surmontée d’une casquette défraîchie et il s’est entouré le visage d’une vieille écharpe… Courbé sous le vent du Nord, emmitouflé dans un antique pardessus, il marche à pas pressés dans les rues de Vyborg, le quartier ouvrier de Petrograd, décidé à rejoindre le quartier général bolchevique coûte que coûte malgré la police qui le pourchasse. Depuis des jours, mis hors la loi par le gouvernement, il se cachait chez Fofanova, une militante bolchevique qui lui a prêté son appartement. Mais l’attente était insupportable. Aujourd’hui, 24 octobre, il le sait, il le sent, le pouvoir est à portée de main.

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Le Parisien - François Hollande, patron du PS malgré lui

    Du 4e étage du 242, rue de Rivoli, avec vue lumineuse sur les jardins des Tuileries, à Paris, l'ex-président François Hollande surveille le PS pour contrôler ce qu'il s'y passe. 

    «C'est bordélique, comme toujours !» Tous ceux qui sont passés dans les bureaux de François Hollande décrivent un capharnaüm de papiers et journaux, au milieu de cartons entassés. Au point que Michel Sapin, détaché du Conseil d'Etat depuis le 1er  octobre pour le conseiller, ne trouve pas de place pour s'installer. De l'Elysée, l'ex-président a ramené un casque à crinière des cavaliers de la garde républicaine, des voitures miniatures Dinky Toys dont il fait collection, et de nombreuses photos.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le JDD - Quand les salariés du PS racontent leur Solférino

    La mise en vente de Solférino, le siège du Parti socialiste, fait remonter souvenirs et anecdotes dans les esprits des anciens salariés du PS. Ils racontent au JDD.

    A peine les mots "vos années à Solférino" sont-ils prononcés que les souvenirs fusent. "Solfé, c'est l'Histoire et plein de petites histoires", sourit Valerio Motta, passé par différents postes à la communication du Parti socialiste (PS) pendant 10 ans. Pour tous ces salariés, chargés de la communication, permanents de fédération, directeurs de cabinet… le 10, rue de Solférino est un morceau de vie, dont il est difficile de se séparer, malgré l'officialisation mi-septembre de la mise en vente du siège de la formation.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le JDD - La nouvelle génération à l'assaut du PS

    Officiellement, personne n'est candidat à la tête du Parti socialiste. Mais certains y pensent comme Luc Carvounas, Olivier Faure ou, plus inattendu, Carole Delga.

    Si La France insoumise, La République en marche et Les Républicains vont changer leurs structures ou leur direction entre novembre et décembre, les socialistes, encore groggy, se réveillent peu à peu. La date exacte de leur congrès – fin février ou début mars – n'est toujours pas connue. Personne encore ne vise officiellement le poste de premier secrétaire mais certains font davantage qu'y penser, à l'instar des députés Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Luc Carvounas. Les hypothèses Matthias Fekl et Najat Vallaud-Belkacem s'éloignent. Dans ce brouillard, un autre nom émerge, plus inattendu, celui de Carole Delga.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Point - Mediapart : le complotisme au petit pied

    Comment les disciples d'Edwy Plenel travestissent les faits, cautionnent des écoutes liberticides et élaborent des théories complotistes. Démonstration.

    Thierry Meyssan a fait des émules. La vedette des complotistes, qui avait prétendu dans un livre que le 11 septembre 2001 était en fait une vaste conspiration américaine, inspire toujours. Ces temps-ci, c'est du côté de Mediapart que ses méthodes prospèrent. Dans un livre signé de deux de ses journalistes, Fabrice Arfi et Karl Laske, et intitulé Avec les compliments du Guide, se trouve un superbe exemple de cette pratique en vogue. Comme un passage nous concerne, et plus particulièrement l'auteur de ces lignes, voici l'histoire, elle est édifiante. Car ces deux « journalistes » m'accusent d'avoir censuré un article mettant en cause Nicolas Sarkozy. Rien que ça ! Il est ahurissant d'avoir à se justifier de ses choix éditoriaux devant ces nouveaux inquisiteurs, mais ici, cela vaut le coup tant on en apprend sur leurs pratiques.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • France Info - Parti socialiste : une annonce pour la mise en vente du siège de Solférino publiée dans la presse

    Confronté à des problèmes financiers, le parti avait annoncé la mise en vente de son bâtiment du 7e arrondissement de Paris le 19 septembre.

    "Un ensemble immobilier exceptionnel à usage de bureau et d'habitation d'une surface de 3 389 m2." Une petite annonce concernant la mise en vente du siège du Parti socialiste, situé rue de Solférino dans le 7e arrondissement de Paris, est parue dans le journal Les Echos, mercredi 18 octobre. 

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Le Parisien - Paris : les Hamonistes du XIVe quittent le PS

    Sept élus du XIVe claquent la porte du PS pour rejoindre le mouvement politique de Benoît Hamon.

    Décidément, le paysage politique parisien est mouvant. Après le départ des élus qui ont soutenu Emmanuel Macron à la présidentielle, voilà que le PS perd aussi les Hamonistes. Pascal Cherki, ancien député frondeur, a annoncé qu’il quittait le parti socialiste pour rejoindre le mouvement du 1er juillet (M1717) de Benoît Hamon, l’ancien candidat PS à la présidentielle.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Point - Le PS va se séparer de la moitié de ses effectifs

    Selon "Le Monde", entre 50 et 70 personnes seront victimes d'un licenciement économique dans les jours qui viennent. Les difficultés financières continuent.

    On savait le parti en grandes difficultés financières. La vente du siège historique du PS rue de Solférino avait d'ailleurs fait grand bruit il y a quelques semaines, révélant au grand jour les graves soucis d'argent depuis les multiples défaites électorales : municipales, départementales, régionales, présidentielle et législatives. La facture salée de la campagne de Benoît Hamon (arrivé en 5e position au premier tour de la présidentielle) avait même créé le malaise au sein du parti, certains ténors réclamant des explications sur les lourdes dépenses effectuées par le candidat : après son année électorale désastreuse, le Parti socialiste est passé de 28 millions d'euros de budget annuel à seulement 8 millions, rappelle au Mondele trésorier du PS Jean-François Debat. Surtout quand la masse salariale s'élève à environ 12 millions d'euros annuels.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Lab - Valls dénonce le texte de la députée LFI Obono où elle raconte ne pas avoir pleuré Charlie Hebdo mais pour la censure de Dieudonné

    La guerre est bel et bien déclarée entre La France insoumise et Manuel Valls. Et cela ne semble pas près de s'arrêter. Invité d'Europe 1 ce jeudi 12 octobre, l'ancien Premier ministre a remis une pièce dans la machine en dénonçant les écrits de la députée de Paris Danièle Obono.

    L'ancien maire d'Evry considère qu'une partie des responsables LFI font preuve de complaisance à l'égard de l'islamisme. "Je pense que c'est théorisé aujourd'hui au sein de La France insoumise", estime Manuel Valls. La preuve, donc, s'appelle Danièle Obono.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Reuters - L'exécutif interpellé de tous côtés pour plus de justice sociale par Elizabeth Pineau

    PARIS (Reuters) - De la CFDT au Parti socialiste en passant par le MoDem et même La République en marche (LREM), l'exécutif français est invité à infléchir vers davantage de justice sociale une politique perçue dans l'opinion comme oublieuse des plus fragiles.

    Les tentatives de mise en lumière des choix d'Emmanuel Macron, notamment fiscaux, n'ont jusqu'ici guère atténué les attaques contre un président vu comme le défenseur d'une élite dont il est issu, voire méprisant avec les défavorisés.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • "Jupiter doit atterrir", Michel Destot, ancien maire et ancien député PS de Grenoble sort de son silence

    Quatre mois après sa défaite aux élections législatives, l'ancien député socialiste et ancien maire de Grenoble Michel Destot revient sur son parcours politique et livre son analyse sur les premiers mois du quinquennat d'Emmanuel Macron.

    Depuis juin dernier, Michel Destot s'est fait discret. Sa candidature aux élections législatives pour le Parti socialiste s'est soldée en cuisante défaite, au profit de l'élection d'Émilie Chalas pour la République en Marche. Ce vendredi 13 octobre, il revient pour France Bleu Isère sur ces résultats décevants

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________