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Article du jour - Page 113

  • Europe 1 - PS : Cambadélis pour une direction collégiale à trois ou quatre après le Congrès

    L'ancien premier secrétaire du PS est pour une direction collégiale restreinte à la tête du PS, composée de "trois ou quatre personnes, pas plus". 

    L'ancien premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis s'est dit favorable jeudi à la mise en place à la faveur du Congrès de 2018 d'une "direction collégiale restreinte" de trois ou quatre personnes à la tête du Parti socialiste. "Moi je suis pour une direction collégiale restreinte", et "beaucoup plus resserrée" que celle qui est aujourd'hui à la tête du parti, "trois, quatre (personnes), pas plus", a déclaré Jean-Christophe Cambadélis, invité de l'émission L'Épreuve de vérité de Public Sénat.

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  • Les Inrocks - Portrait de Boris Vallaud, le dernier socialiste ?

    Sur les ruines du Parti socialiste, rares sont les personnalités à émerger. Parmi elles, le tout nouveau député des Landes Boris Vallaud. Entre la bataille contre la loi travail et la recomposition socialiste, l'avenir du mari de Najat Vallaud-Belkacem s'annonce chargé.

    On a dû batailler un long moment avant que Boris Vallaud accepte notre demande d'entretien. Le nouveau député de la 3e circonscription des Landes, étiqueté "Nouvelle Gauche" n’y était pas forcément enclin. "Je comble un vide", répète-t-il à l’envi dans les nombreux articles que lui a consacrés la presse ces dernières semaines.

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  • Le JDD - PS : 28 questions pour une direction à 28

    Le Parti socialiste vient d'acter le départ de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, pour une direction collégiale de 28 personnes. D'ici à la "refondation" du mouvement, on s'est donc posé 28 questions sur l'avenir du parti.

    Une "refondation" pour tirer un trait sur les échecs de 2017 et relancer un parti devenu moribond. Le PS a entamé ce week-end une nouvelle étape de sa reconstruction qui doit le mener jusqu'à un nouveau congrès. A sa tête depuis 2014, Jean-Christophe Cambadélis a officiellement quitté ses fonctions de premier secrétaire du Parti socialiste. C'est désormais une direction collégiale, déjà installée en juillet, qui va assurer la transition. Mais une direction avant tout pléthorique… puisqu'elle est composée de 28 membres. L'occasion pour nous de questionner l'avenir de la famille socialiste à travers 28 questions.

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  • RTL - Parti socialiste : comment tente-t-il de se relever après la débâcle ?

    DÉCRYPTAGE - Samedi 30 septembre, le Conseil national a donné les clefs du Parti à la rose à une direction collégiale.

    Il y a cinq ans, il était majoritaire à tous les échelons de la vie politique française. Les pétales du Parti socialiste ont depuis perdu de leur éclat. 2017 a été le point d'orgue d'une série de désillusions. Plongé dans les eaux profondes de l'impopularité, François Hollande a déclaré forfait avant la présidentielle et la ligne de Benoit Hamon, en contradiction avec la logique de gauche de gouvernement défendue par les ténors en place, n'a convaincu ni le parti, ni les électeurs.

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  • Rue 89 - L’Université Lyon 2 annule son colloque sur l’islamophobie

    Une journée sur le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité » devait se tenir le 14 octobre prochain. Mais face à la polémique, la présidence de l’Université Lyon 2 a préféré annuler le colloque.

    Ce n’est pas le premier colloque sur l’islamophobie qui devait se tenir à l’université Lyon 2.
    Une première journée d’étude avait été organisée en partenariat avec l’Institut supérieur d’Etude des religions et de la laïcité (ISERL) le 5 mars 2016. Le thème était « Islamophobie, le poids des mots, la réalité des maux ». À l’époque, nulle polémique.

    Un an et demi plus tard, la chaire « Égalité, Inégalité, Discriminations » de l’Institut d’Etude du Travail (IETL) devait organiser la suite de ce premier colloque le 14 octobre prochain, sous le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité? ».

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  • RTL - Parti socialiste : l'histoire du pot de départ raté de Jean-Christophe Cambadélis

    RÉCIT - Lundi 2 octobre, Jean-Christophe Cambadélis a tenu son dernier Bureau politique du Parti socialiste en tant que secrétaire général. Un pot de départ avec ses amis socialistes était ensuite prévu.

    C'est définitivement la fin d'une ère pour le Parti socialiste. Lundi 2 octobre, Jean-Christophe Cambadélis, le secrétaire général du Parti socialiste sur le départ, se trouvait rue de Solférino avec des proches. À l'issue du Bureau politique hebdomadaire, ils se sont retrouvés dans la salle Marie-Thérèse Eyquem. Une tradition, raconte Le Figaro.

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  • Caroline Fourest - Le droit de réponse mensonger de Coexister

    Il y a quelques jours, Le Monde m’a demandé d’écrire une tribune pour éclaircir la polémique suscitée par Jean-Louis Bianco : Pourquoi Jean-Louis Bianco a-t-il fâché tant de laïques ? Cet article a logiquement déplu à l’association Coexister, mise en cause. En guise de droit de réponse, son principal animateur, Samuel Grzybowski, m’accuse de « propos mensongers »… Sans jamais démontrer en quoi mes reproches sont infondés. En réalité, ils sont parfaitement exacts. 

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  • Libé - Jean-Christophe Cambadélis: «La défaite du PS est morale : zéro idéologie, 100% tactique»

    Chaque lundi d’octobre, un socialiste s’allonge sur le divan de «Libé». Aujourd’hui, le premier secrétaire sur le départ. Il revient sur la genèse d’un échec cuisant, dresse sa liste de coupables, tout en traçant des perspectives d’avenir.
     
    Un dernier verre. Ce lundi soir, Jean-Christophe Cambadélis, tout nouvel ex-premier secrétaire, organise son pot de départ à Solférino. Tous les dirigeants de sa famille sont invités. L’occasion de jeter un œil sur le passé douloureux. De bavarder de son livre, Chronique d’une débâcle, 2012-2017 (L’Archipel). Avant d’éteindre la lumière et d’enfiler son nouveau costume - celui de «spectateur désengagé» -, il s’allonge sur le canapé pour nous livrer ses confidences.
     
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  • Libé - La direction collégiale du PS maintenue jusqu'au Congrès, Temal coordinateur

    Jean-Christophe Cambadélis a quitté la direction du partie, Rachid Temal prend le relais.

    Le Conseil national du PS a approuvé samedi une résolution prenant acte du départ du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, et maintenant en place la direction collégiale installée en juillet, avec en charge «l’administration et l’animation politique». Le texte a été adopté à l’unanimité moins trois voix, selon l'ancien premier secrétaire du parti. «Elle s’organisera autour de quatre pôles: Coordination, Expression, Relations extérieures, Administration», précise le texte.

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  • France 24 - Le Parti socialiste tourne la page Cambadélis

    À cinq mois de son congrès, le Parti socialiste a lancé samedi des "forums de la refondation". Après la déroute électorale de la présidentielle et la démission de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, le PS tente de rebondir.

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  • Gérard Grunberg - La gauche, Mélenchon et la démocratie

    En mai 2016, j’appelais dans ces colonnes Jean-Luc Mélenchon à prendre une position ferme sur la dérive dictatoriale du régime chaviste dirigé par Nicolas Maduro. Peu de temps auparavant, en effet, il voyait encore dans le Venezuela bolivarien une source d’inspiration et « l’idéal inépuisable de l’espérance humaniste ». Chavez, affirmait-il, « n’a pas seulement fait progresser la condition humaine des Vénézuéliens, il a fait progresser d’une manière considérable la démocratie. C’est sans doute, ajoutait-il, sa contribution majeure à la lutte socialiste de notre siècle. » Exemple significatif à ses yeux de la supériorité de la démocratie chaviste sur nos vieux Etats de droit libéraux, Mélenchon, en 2012, citait en premier la création « des référendums révocatoires permettant de faire partir un député, un gouverneur (…) voire même le président de la République ».

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