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Article du jour - Page 113

  • Le PS a hypothéqué son siège rue de Solférino

    Le PS a hypothéqué son siège de la rue de Solférino pour boucler un emprunt auprès du Crédit coopératif destiné à financer la campagne de Benoît Hamon, a affirmé aujourd'hui à l'AFP le trésorier du PS, Jean-François Debat, confirmant une information de la Lettre A. Le 19 septembre, M. Debat avait annoncé que la direction avait pris la décision de principe de vendre le siège du PS. Un appel à candidatures sera publié mi-octobre, a précisé le parti mercredi.

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  • Challenges - Socialistes: pourquoi il faut occuper le siège historique de Solférino Par Nicolas Domenach

    On ne brade pas les bijoux de famille. Mieux vaut ruser. Tergiverser. On ne s’incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu’on a été le premier mouvement politique de France!

    S'il reste encore quelques socialistes au PS, ils devraient occuper "Solfé", le 10 rue de Solférino, siège du parti socialiste, et empêcher la vente annoncée par un quarteron de dirigeants en retraite... D'abord parce qu'on ne brade pas les bijoux de famille, sinon, c'est qu'on accrédite la débâcle. Mieux vaut ruser. Tergiverser. Mais on ne s'incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu'on a été le premier mouvement politique de France qui ne saurait avoir honte d'occuper un hôtel particulier dans les beaux quartiers. C'était un choix stratégique très réfléchi.

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  • L'Obs - Démissionnaire du PS, Cambadélis allume Hollande (et les autres) dans un livre

    Jean-Christophe Cambadélis, façon Attila. Alors que le Premier secrétaire du Parti socialiste s'apprête à quitter ses fonctions - lors du conseil national du PS samedi prochain -, l'ancien député de Paris règle ses comptes. Dans "Chronique d'une débâcle" (à paraître ce mercredi 26 septembre aux éditions L'Archipel), Jean-Christophe Cambadélis - dont le bilan à Solferino est loin de faire l'unanimité - tire à boulets rouges sur le quinquennat de François Hollande.

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  • Le Monde - La mission de « médiation » sur Notre-Dame-des-Landes irrite les partisans du projet

    Les trois personnalités chargées de la médiation sur le dossier du nouvel aéroport nantais ont publié, mardi 26 septembre, un premier bilan de leur mission.

    En consultant le site qui vient d’être ouvert (et rendu public), mardi 26 septembre, par la « mission de médiation au projet d’aéroport du Grand Ouest », les visiteurs seront peut-être déçus.

    Sur ce site, www.mediation-aeroport-du-grand-ouest.fr, les trois personnalités choisies, au début de juin, par les ministres Nicolas Hulot, pour la transition écologique et solidaire, et Elisabeth Borne, pour les transports, publient un point d’étape de leur mission qui doit s’achever par la remise de leur rapport final au plus tard le 1er décembre.

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  • Libé - Ceta : le gouvernement sacrifie la santé et le climat aux intérêts commerciaux Par un collectif de maires

    Le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada entre en application provisoire ce jeudi dans sa quasi-totalité. Un collectif de maires appelle Emmanuel Macron à refuser cette application provisoire, au nom du respect de l’accord de Paris sur le climat.

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  • Le JDD - Le prochain congrès du PS aura lieu à Paris

    INDISCRET - Face aux difficultés financières, le Parti socialiste n'a d'autre choix que d'organiser son congrès, prévu pour février 2018, à Paris.

    Le prochain congrès du Parti socialiste (PS), censé être organisé en février 2018, aura vraisemblablement lieu à Paris, ou du moins en région parisienne. Il s'agit moins d'une affaire de symboles que d'économies : le parti est financièrement exsangue depuis ses défaites aux dernières élections (législatives et présidentielle), au point de mettre en vente son siège historique de la rue de Solferino. Les subventions annuelles de l'Etat ont en effet chuté de 25 à 7 millions d'euros par an pour le PS après sa déroute aux législatives. Cela correspond à un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros sur cinq ans.

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  • L'Humanité - CETA, avec son tribunal arbitral gare à nos droits sociaux, environnementaux et sanitaires

    ENTRETIEN AVEC MATHILDE DUPRE

    Le CETA qui prend effet ce jeudi 21 septembre amène dans ses bagages un tribunal arbitral qui va imposer la loi des lobbies d'affaires à notre droit. C'est ce que nous avait expliqué la juriste Mathilde Dupré dans un entretien... toujours d'actualité.

    Entretien avec Mathilde Dupré, juriste à l’Institut Veblen réalisé le 23 février 2017 lors de la signature du CETA. Pour elle, ce type de tribunal qui existe dans de nombreux traités a permis à des investisseurs étrangers d’attaquer des régulations sociales, environnementales ou sanitaires.

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  • Libé - Tribune : Comment contester les ordonnances ? Par Christophe Ramaux, économiste à Paris-I, membre des Economistes atterrés

    Ces réformes minent les fondements de notre société, à 90% salariale, et le salariat est synonyme de démocratie.

    Ces ordonnances, destinées à réformer le droit du travail, supputent que la flexibilité favorisera l’emploi. C’est oublier que les entreprises disposent déjà de souplesses (emplois temporaires, etc.). Loin des milliers d’emplois promis, presqu’aucune n’a utilisé les accords Fillon de 2004 et ceux de maintien dans l’emploi, introduits en 2013. C’est oublier qu’une entreprise embauche pour produire, et ne produit davantage que si elle espère vendre plus.

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  • France Info - Elections sénatoriales : les six enseignements du scrutin

    Le renouvellement de la moitié du Sénat n'a pas bousculé les équilibres. Le mouvement LREM d'Emmanuel Macron a subi une lourde défaite électorale.....

    La gauche se maintient

    Les socialistes craignaient une nouvelle déroute, mais ils s'en sortent finalement mieux que prévu. Certes, le PS va perdre des élus, en passant de 86 sièges à une estimation située entre 67 et 72 sièges. Mais il pourra compter sur le renfort d'une quinzaine de divers gauche. "Il reste un nombre assez conséquent d'élus locaux de gauche qui n'ont pas bousculé vers La République en marche", estime Jean-Daniel Lévy.

    Toujours à gauche, le groupe communiste a également le sourire car il est parvenu à conserver au moins dix élus, la barre nécessaire pour former un groupe. Les communistes sont malgré tout en perte de vitesse en passant de 18 à 13 sénateurs, selon leur propre décompte.

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  • L'Obs - Torreton à Mélenchon : "On ne construit pas l'avenir sur un déni de réalité"

    Cher Jean Luc Mélenchon

    Vous avez perdu les deux dernières élections majeures de ce pays. Les règles du jeu vous étaient connues : les modes de scrutin, la constitution... Instruit et passionné d'histoire et de politique comme vous l'êtes, je doute qu'un aspect, même mineur, relatif aux procédures électorales ait pu vous échapper. Votre tactique, vos choix stratégiques étaient donc établis et approuvés en parfaite connaissance de cause.

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  • La Gazette des communes - Face à Emmanuel Macron, le PS veut redevenir le parti de la décentralisation

    Le Parti socialiste tire à boulet rouge sur la « casse territoriale ». Une manière pour le PS de se refaire une virginité girondine à la veille d’un scrutin sénatorial du 24 septembre prochain.

    Le PS bouge encore. Lors d’une conférence de presse, le 21 septembre 2017, il a dit tout le mal que lui inspirait la politique du nouveau pouvoir en matière territoriale. Le patron de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains François Rebsamen, maire de Dijon et deux cadres du parti montés en graine ces dernières semaines, les conseillers régionaux Rachid Temal et Nadège Azzaz ont fustigé pêle-mêle « la baisse des contrats aidés », « la suppression de la taxe d’habitation » et l’effort financier supplémentaire de trois milliards d’euros au regard des engagements du candidat Macron…

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