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Article du jour - Page 116

  • Luc Carvounas (PS) : "Nous soutenons tous les mouvements syndicaux qui s'opposent aux ordonnances"

    Luc Carvounas, l'un des 29 rescapés du PS à l'Assemblée nationale, est l'invité de Yaël Goosz à J-1 de la mobilisation contre la réforme du Code du travail. 

    .... "Les choses sont très claires", assure le député du Val-de-Marne, rappelant que son groupe -le Groupe Nouvelle Gauche- a "voté à l'unanimité contre les ordonnances" réformant le Code du travail, le 13 juillet, à l'Assemblée nationale. "Nous sommes contre et nous allons encore le redire", lors du vote de la loi de ratification, précise-t-il. "Nous, le Parti socialiste, soutenons tous les mouvements syndicaux qui s'opposent aux ordonnances Macron-Pénicaud."

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  • Libé - Benoît Hamon fait sa première rentrée hors du PS

    L'ex-socialiste participait dimanche au séminaire de rentrée de son nouveau mouvement, le M1717. Le mot d'ordre: rassembler la gauche contre le gouvernement.

    Une salle discrète, sans âme, une petite poignée de journalistes, des militants, des socialistes et une machine à café en souffrance. Ce dimanche, le mouvement lancé en juillet par Benoît Hamon, le fameux M1717, s’est retrouvé à Paris pour son premier séminaire. Toute une journée pour faire le point sur la situation politique et l’avenir du mouvement. En novembre, le M1717 répondra officiellement à toutes les questions avec un événement national.

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  • L'Obs - Qui veut la place de Cambadélis ? La bataille de Solférino est lancée

    Stéphane Le Foll a ouvert la porte à sa candidature pour prendre la tête du PS. Le premier d'une longue liste ?

    Stéphane Le Foll pour succéder à Jean-Christophe Cambadélis à la tête du Parti socialiste ? "Pourquoi pas !", répond l'ancien ministre et proche de François Hollande, dans "le Parisien" ce vendredi 8 septembre : "On ne peut plus accepter des individus qui ne seraient là que pour exister politiquement", juge également le député de la Sarthe, à l'attention de ses futurs concurrents. 

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  • Le Monde - Les comités locaux de Benoît Hamon en phase de rodage

    Le mouvement M1717, lancé par l’ancien candidat socialiste à l’élection présidentielle, réunit, dimanche, son séminaire de rentrée.

    Le vidéoprojecteur ronronne, les demis de bière commandés sont arrivés sur les tables, l’horaire annoncé est déjà dépassé de dix minutes : il est largement temps de commencer. Ce jeudi 7 septembre, c’est le grand jour pour le M1717 Montpellier Métropole – comprenez : le comité de la préfecture de l’Hérault issu du Mouvement du 1er juillet, créé par Benoît Hamon. Il ne se passe rien de moins, dans l’arrière-salle d’une brasserie du centre-ville réservée pour l’occasion, que le lancement officiel de cette branche locale.
     
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  • Libé - Ex-députés : la voie étroite de la reconversion

    Défaite aux législatives oblige, l’heure est au plan B pour les anciens élus du Palais-Bourbon. Si certains ont facilement rebondi, beaucoup sont toujours hantés par leurs années à l’Assemblée. Le retour à la vie quotidienne n’est alors pas une mince affaire.

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  • Le Monde - A la tête de La France s’engage, François Hollande veut revenir dans l’arène publique

    Elu à la présidence de cette fondation œuvrant dans l’innovation sociale, l’ancien chef de l’Etat entend peser dans le débat politique.

    Il cachait de moins en moins son envie de peser dans la vie politique. François Hollande a officiellement pris, mardi 5 septembre, la présidence de la fondation La France s’engage. Près de quatre mois après avoir quitté l’Elysée, François Hollande a été élu dans la soirée par le conseil d’administration de la fondation. L’ancien président de la République a déclaré, dans un communiqué :

    « La France s’engage est un projet que j’ai lancé comme président de la République et qui se poursuit aujourd’hui dans le cadre d’une fondation.

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  • L'Obs - Hollande: les idées socialistes "ont besoin d'un parti fort pour les exprimer"

    François Hollande a estimé mercredi que les idées socialistes avaient "besoin d'un parti fort pour les exprimer", rappelant que lui-même n'avait pas l'intention de s'investir dans la reconstruction du PS.

    "C'est à une génération nouvelle, à ceux qui ont exercé aussi des responsabilités, y compris dans mon gouvernement, de faire en sorte que l'idée socialiste puisse être portée", a déclaré l'ancien président, en marge d'un déplacement à la Station F (Paris XIIIe), où sont hébergés les bureaux de sa fondation "La France s'engage".

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  • Reuters - Martine Aubry étrille Macron et Muriel Pénicaud

    PARIS (Reuters) - L‘ancienne ministre socialiste du Travail Martine Aubry a dénoncé mercredi le “retour en arrière” social d‘Emmanuel Macron qu‘elle accuse de précariser les salariés et d‘imposer une politique d‘austérité à la France.

    La maire de Lille, qui ne s’était pas exprimée publiquement depuis l’élection du nouveau chef de l‘Etat, n‘a pas été tendre non plus avec la ministre du Travail Muriel Pénicaud, qui a porté les ordonnances de la réforme du Code du travail et fut à ses côtés conseillère pour la formation lorsqu‘elle occupait les fonctions de ministre du Travail, de l‘Emploi et de la formation professionnelle (1991-1993).

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  • Europe 1 - La "verdisation" du PS ou comment l'art de la synthèse a bloqué le parti

    Le Parti socialiste a tenu lundi soir son bureau national de rentrée. L'occasion pour les socialistes, toujours très divisés, de tenter un état des lieux.

    L'ÉDITO POLITIQUE

    Les socialistes n'arrivent pas à trancher. Le communiqué final du bureau national est un modèle du genre : "le PS soutient les manifestations syndicales contre la loi Travail, mais n’appelle pas explicitement à manifester". La beauté d’une motion de synthèse en une seule phrase ! Le "soutien sans participation", ça vous rappelle quelque chose ? On est là au cœur des errances actuelles des socialistes : pas d'accord entre eux sur le mot d'ordre, les uns ayant déjà appelé à se joindre aux cortèges de la CGT le 12 septembre, d’autres n’excluant pas de défiler derrière Jean-Luc Mélenchon le 23 septembre, les derniers refusant catégoriquement de s’afficher à la remorque des uns ou des autres tant que l’unité n’a pas été trouvée, mais n’excluant pas de lancer leur propre journée de mobilisation.  

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  • Francetvinfo - Code du travail : le PS soutient les mobilisations syndicales du 12 septembre

    Cette question de la participation ou non du PS à la manifestation du 12 septembre a suscité quelques remous ces derniers jours au sein même du parti.

    Le bureau national du Parti socialiste a pris sa décision. Le PS affichera son "soutien" à toutes les initiatives syndicales contre la réforme du code du travail, a affirmé lundi 4 septembre le numéro deux du parti Rachid Temal."Le PS, respectueux de l'indépendance syndicale, soutient toutes les initiatives syndicales contre la loi Pénicaud en appelant à des démarches unitaires", a-t-il précisé. "Le PS va éditer un tract national contre la loi Pénicaud et appelle ses fédérations à mener des actions de mobilisation."

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  • Libé - Contre la loi travail, les socialistes déjà divisés sur l’idée de manifester

    On ne sort pas de la crise du jour au lendemain. Au Parti socialiste, cet été, après le fiasco électoral et la démission du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, une direction collégiale aussi longue qu’une nuit d’hiver a été nommée pour dessiner une feuille de route. Tous les courants sont donc à la tête du parti, avec un objectif : une ligne claire, commune. Quelques semaines ont passé et la vérité a refait surface : les divisions sont tenaces et la bataille du congrès, qui devrait avoir lieu en février, n’est pas encore lancée.

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